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Depuis toujours, lorsque je fais l' amour à une femme, je suis très respectueux et utilise des mots gentils, mignons. Par contre, avant même d' avoir l' anus défloré, l' homme qui m' a déviergé me suçait, me léchait l' anus et me traitait de petite salope. Voyant que j' aimais ça, il utilisait des mots de plus en plus crus et ça m' excitait à fond. La première fois qu' il m' a enculé, il m' a dit que j' étais une petite salope d' enculé que j' aimais la bite dans mon cul et j' ai crié que oui. Par la suite, j' adorais me faire traiter de pute, de pipeuse, de bouffeuse de bite ou de bac à sperme, etc ... par tous les hommes que je rencontrais.
Depuis, avec les hommes, j' ai toujours adoré ça, être chienne, cochonne, femelle soumise, lécheur de rondelle et qu' on me le dise ... au plus l' injure est crue au plus j' aime ! D' ailleurs, je le disais moi - même et demandais à mes baiseurs de me dire des trucs humiliants.
Ce qui me surprend, c' est la dualité puisque ce plaisir de la coprolalie ne me concerne pas avec les femmes et les quelques fois où j' ai rencontré des femmes qui aimaient se faire insulter, traiter de truie, de salope, je le faisais pour leur faire plaisir sans que ça m' excite davantage.

J'accepte avec plaisir d'être traité/e ainsi lorsque je sais ou sens qu'il s'agit d'un jeu et que par ailleurs on m'a témoigné du respect.
Cela ne me vient pas systématiquement avec une femme, mais si elle me fait comprendre que ça ne la gêne pas,
voire que ça lui est "vital", je sais y trouver mon compte.

Je déteste ça!

Curieux je n'ai jamais ete sensible a ça! Meme si je ne dis Jamais jamais ou Source ....

Le sexe reste encore pour moi un moment de douceur meme si elle est musclé par moment. Un moment de partage, d'échange respectueux et heureux.

Bien sûr Cinke, un moment de partage, d'échange de bons et loyaux serf-vices.
Je n' ai pas forcément envie de dire ou d'entendre des saloperies, je sais fonctionner autrement, mais c'est excitant lorsque clairement il ne s'agit encore une fois comment faut-il l'écrire que d'un jeu, oui partagé.
Sinon aucun intérêt, aucune besoin de me sentir rabaissé, ni de blesser autrui.
C'est comme avec l'humour. Il y a différents degrés de sensibilité. Et cela nécessite d'être capable de bien s'accorder, et l'un, et l'autre, pour bien s'éclater. C'est le but.
Ou le go-goal ?!

Je n'y suis pas venu de moi-même, et me suis calé sur l'autre, lorsque pour la première fois une jeune femme me demanda de la traiter plus durement et de vraiment lui claquer les fesses, alors que je faisais déjà l'homme orchestre.
Pfffou ! Je m'y suis risqué, bien "obligé" de m'organiser, surpris d'y prendre goût, puisque alors spectateur et pas si mauvais acteur du plaisir que cela lui procurait.
Cela ne fait toujours pas partie de mes pratiques habituelles, mais j'avoue penser parfois avec un brin de nostalgie aux moments passés avec cette fille, qui me fit découvrir un autre jeu, de nouvelles sensations, qui me paraissaient horribles au préalable.
Mais j'ai toujours un bon stock de douceur, de gentillesse, une bonne dose d'attention et de respect dans ma baisace, toujours prêt aussi à rigoler de bon cœur, sans déconner !
C'est plutôt ce dernier "travers" qui semble effrayer (oui j'ai remarqué)
Mais pour certaines, c'est un atout, alors... Jouons "enchienned melody".

Autant je me vois mal traiter ainsi une partenaire féminine lorsque nous faisons l'amour ensemble, respectant trop les femmes pour cela, autant lorsque je me fais baiser par un homme j'apprécie de me faire traiter de salope (c'est d'ailleurs parfaitement justifié ), d'enculé (idem), etc..... Cela rajoute à mon excitation et je le prend plus comme une part du plaisir que comme une insulte. A moins que le fait d'être insulté soit un plaisir pour moi......

J'aime qu'à l'occasion mon homme m'appelle sa petite pute ou sa petite salope car ça m'excite. C'est dans le cadre du jeu et ça reste respectueux.

J'ai découvert le plaisir "d'insulter" mes partenaires avec une ex qui adorait cela. Je ne faisais l'amour, avant elle, qu'en lâchant quelques gémissements quand le plaisir était très fort, mais je ne me sentais pas de le montrer.

Un jour, elle orienta notre conversation vers le sujet et m'avoua qu'elle aimait beaucoup se faire traiter de salope pendant l'acte. Hélas, je ne me voyais pas insulter la femme que j'aimais, même avec sa permission. Pensant justement que j'allais passer pour gros bourrin de macho.

Mais quand l'occasion se présenta, je me lançais dans un "salope" tellement peut crédible et certainement un visage bizarre qu'elle éclata de rire. J'en fit tout autant en la voyant et en me remémorant le ton et le peu d'envie que j'avais mis dans ce mot.
Nous avons continué à faire l'amour comme d'habitude. Elle n'osant pas, de par mon attitude, causer dans ces moments la.

Puis, se revoyant lors d'un rendez-vous, c'est en la prenant en levrette que les mots sont sortis machinalement. Sans que j'y réfléchisse et avec spontanéité. Tutu (je l’appellerais comme cela et si un jour, elle passe par la, elle se reconnaitra) m'entendant, rentra dans le jeu, me répondant ou répétant mes mots. Une excitation nouvelle se répandait en moi. Une autre façon de faire l'amour aussi. Plus "violent", ma maitresse était descendue du piédestal ou je l'avais mise. Nous avons pris un pied terrible et nous en avons discuté ensuite.

Mon vocabulaire s'est élargi. Mes envie de diriger aussi. Puis vint les claques sur les fesses. Je ne me sentais plus ridicule dans ces attitudes. Et elle en redemandais.

Bref, mon premier "salope" et les rires qui s'en étaient suivi, m'avaient débloqué, décoincé, désinhibé. Et je ne le regrette toujours pas.

Etre irrespectueux, pour moi, serait de me servir de ces mots avec ma (une) femme en dehors des jeux du sexe et d'une complicité.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Les noms d'oiseau, prononcés d'une certaine façon dans un certain contexte, ont toujours (dans 99% des cas) boosté la libido, avec un résultat final très profitable pour les 2 parties

Mais si ça devient une habitude, ça perd de son sel...

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Maître à mes heures

Moi aussi j'aime me faire traiter de truie quand je me fais enculer mais jamais je ne dirai la même chose à la femme que je baise, c'est impossible

Je dois bien avouer prendre mon pied quand ma maîtresse me traite de tous les noms d'oiseaux. Pendant qu'elle me dirige ça me transporte et m'excite à outrance. Je crois qu'elle adore voir dans quel état ça me met, de réaliser l'emprise qu'elle a sur moi.
Et à l'occasion j'aime bien inverser les rôles et lui dire des mots crus, ça me fait bander 2 fois plus dur. Donc plus de plaisir pour elle aussi...
Alors vive la coprolalie, puisque j'en découvre le nom

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J'adore aussi. J'ai eu un "régulier" au sexe extrêmement épais qui adorait verbaliser ses ébats. Il m'enculait longtemps et tout en douceur, ce qui me convenait parfaitement du fait de son imposante anatomie. En chien de fusil, il me parlait en me besognant, et ses mots crus se mêlaient aux puissants frissons qui me parcouraient à chaque fois qu'il coulissait en moi. Il se servait aussi bien de ses mots que de sa queue. J'étais très jeune, lui avait la quarantaine, et croyez-moi, lorsqu'il me disait qu'il allait décharger, qu'il allait me remplir le cul avec sa grosse queue, que j'allais recevoir ce que je méritais, ses mots m'excitaient déjà. Alors lorsque son gland palpitait tout au fond de mes fesses, ses énormes doigts dans ma bouche... j'étais déjà au 7ème ciel. Et soudain son foutre me brûlait le ventre.
Certaines fois, je n'hésite pas à demander aux hommes s'ils ont envie de "m'enculer", de "me baiser", de me "remplir le cul" alors que je suis en train de les pomper. Mais je ne me sens jamais femme.

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Und lieben will ich ! Lieben, bis mir das Fleisch von der Seele fällt.
Konstantin Wecker (Lieber Gott)

Oui, d'accord avec tout ce qui précède. J'adore être traité de pute et de vide couille quand je me fais enculer par un mec, je l'excite d'ailleurs en lui disant "vient juter dans ta pute, je suis un trou à bites", baise ta salope...
Mais quand je fais l'amour à ma femme il est exclu que je la traite de pute ou de truie, je détesterai ça, elle ne me l'a jamais demandé et je ne le ferai pas

Mais c'est vrai que pour moi, quand je sens une bite fouiller ma rondelle je m'abandonne totalement et je suis heureux de faire la pute, je pousse sur mon anus pour bien ouvrir, ça excite le mec qui me baise et c'est encore meilleur pour moi, se faire baiser comme une salope c'est super, je suis une truie à bites, dans le cul et dans la bouche

j'aime les dire
et qu'on m'n dise

je sais pas si il y avais un topic sur le sujet alors autant en profiter pour l'ouvrir !

A une époque ce n'etait pas du tout mon truc. Mon premier homme me parlais tres mal, ce que je n'aimais pas du tout et me sentais dégradée, mais j'etait tres jeune donc ne disais rien... par la suite ca m'as donc un peu bloqué. Puis le temps a fait que pendant l'acte je pensais beaucoup a des mots crus, je les disais dans ma tete, mais par peur des réaction, je n'ai jamais rien dit a haute voix ... jusqu'a ce que mon nouveau partenaire commence a la faire ! Petit a petit j'apprend a me lacher et dire ce que j'ai envie : sensations décuplées !

Les mots crus sont pour moi un stimulant et un excitant, mais on trouve rarement de bon porno avec des dialogues à la hauteur. Pourtant, si des auteurs érotiques écrivaient les dialogues on pourrait avoir du sublime...

Dans la vraie vie je n'ai jamais rencontrere de partenaire avec qui j'ai pu partager cette passion... J'en ai pas eu beaucoup non plus;;;;