Je vais remettre ici ce que j'ai déjà mis dans
Abstinence jubilatoire (ou repousser l'orgasme au maximum) il y a plein d'idées là bas.
Citation :
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Arrivé au moment fatidique j'arrêtais quelques instants et je reprenais ma masturbation jusqu'à la prochaine montée ... et j'arrétais ... et je recommençais ... cela pouvait durer 4 à 5 heures de suite et j'en arrivais à ne plus pouvoir toucher ma verge tant elle me faisait mal. Mais je pouvais atteindre un niveau de jouissance élevé presque en continu. Je restais toujours en érection et l'explosion finale était très forte.
En fait c'est cet état de jouissance presque permanent qui est fabuleux.
Cette manière de se masturber est absolument jouissive, le tout est de s'amener au bord de l'éjaculation et de s'arrêter la micro seconde d'avant, laisser retomber la tension pour recommencer aussitôt après.
J'ai déjà expliqué comment je procède mais je ne sais plus si c'est avant ou après le crash, alors je recommence. J'utilise une sorte de préso en caoutchouc épais que j'ai récupéré sur un slip en latex. un soupçon de lubrifiant et de salive pour l'enfiler, et je suis fin prêt. J'utilise un Magic Wand, et à son contact le caoutchouc transmet les vibrations à l'ensemble de la verge, autant vous dire que la bête qui est en moi apprécie fortement. En dehors du côté jouissif des vibrations, ça a un énorme avantage sur la main, même bien lubrifiée, aucune irritation à craindre. Il m'arrive de jouer comme ça jusqu'à 6 heures de suite, et à la limite, l'éjaculation quand elle intervient, même si elle est très forte, n'est qu'une partie du plaisir ressenti pendant toutes ces heures. Je suis crevé à l'issue d'une telle séance
Voilà comment je prends le maximum de plaisir, ceci dit, il y a aussi la question d'âge, maintenant les hormones ne me chatouillent plus avec la même intensité qu'avant et je peux privilégier le plaisir sur la nécessité. Je me rappelle parfaitement une période où j'étais habité par une tension pesante dont je n'arrivais à me libérer qu'avec une branlette vite fait. Mais là, je dirais que c'était thérapeutique, agréable bien sûr, mais surtout indispensable pour se dégager l'esprit.