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 Sujet du message : La sexualité des français
MessagePosté : ven. 16 sept. 2011, 10:20 
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Les Français, l'amour et le sexe Séduction, préliminaires et positions
13/09/2011 à 22H25 sur M6
Durée : 60min. ( 22H25 - 23H25 )
Genre : Docu-info - Société Origine : France Année de réalisation : 2010
Citation :
Une enquête sur la sexualité des Français aujourd'hui. Avec l'éclairage et le décryptage du sexologue Pascal de Sutter, auteur de «La sexualité des gens heureux», professeur de psychologie à l'université de Louvain, chef de service de l'unité de sexologie à l'hôpital, et chercheur. Fondée sur les dernières études sur la sexualité des Français, et commentée par le sexologue Pascal de Sutter, cette grande enquête va nous permettre de percer les mystères des plaisirs du sexe... Comment les Français font-ils l'amour ? Ont-ils de nouveaux comportements sexuels ? Comment avoir du plaisir et comment le faire durer ? Le renouveler ? Le pimenter ?...

Visible sur M6 Replay


Séduction, préliminaires et positions


Orgasme et fantasmes

Modération - Omphale
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MessagePosté : mer. 23 nov. 2011, 17:58 
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Citation :
Le sexe oui, mais nous en avons tous une image différente. Quelques points listés pour voir où vous en êtes.

1. Un bon moyen de draguer !
10 % des hommes et 6 % des femmes avouent avoir déjà eu des rapports sexuels avec quelqu'un à la suite d'une rencontre sur le Net.

2. La crise, un bon prétexte pour « noyer ses difficultés »
7 % des Français déclarent avoir une libido boostée par le climat de crise.

3. Le sexe oui, mais pour enfanter !
7 % des personnes considèrent encore que le sexe sert avant tout à faire des enfants.

4. La pornographie, un plaisir qui se traduit au féminin
Selon une enquête de 2009 Marc Dorcel/Ifop, 32 % des femmes accepteraient de regarder un film porno avec leur compagnon et 44 % avouent que cela accroît leur désir sexuel.

5. Varier les plaisirs
40 % des personnes interrogées ignorent les plaisirs du sexe bucco-génital.

6. Le sextoy en plein boum !
24 % des femmes déclarent que le sextoy est leur « meilleur ami » et qu'elles ne le quittent pour rien au monde.

7. Libération des femmes
40 % des femmes de plus de 50 ans déclarent avoir une libido plus forte avec l'âge.

8. La sodomie, un tabou dépassé
37 % des femmes interrogées avouent avoir déjà autorisé leur partenaire à la sodomie. Une pratique qui reste exceptionnelle mais en progression.

9. Vite fait, bien fait
Selon une étude menée par AuFéminin.com, 47 % des sondées aimeraient les petits « coups vite faits ».

10. Libertinage et échangisme
2 % des femmes avouent avoir déjà fréquenté un club échangiste (contre 3,6 % pour les hommes).

Par Alice Lemard
http://www.francesoir.fr/people-tv/sexe ... 59307.html" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : sam. 03 déc. 2011, 15:14 
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Citation :
53% des Français font l'amour au moins une fois par semaine, révèle une étude internationale sur la sexualité et les comportements érotiques menée par Trend Research pour le site de rencontres légères Casualdating.fr, ce vendredi 2 décembre. Mené dans onze pays à travers le monde, cette enquête révèle les Français comme étant de grands amateurs de sexe. 48% des personnes interrogées de l'échantillon total ont en effet déclaré faire l'amour au moins une fois par semaine.

Les Français aiment le sexe et ne s'en cachent pas. 18% ont déclaré faire l'amour une fois par jour, quand seulement 11% des Allemands sont concernés. Particularité : les Français sont peu nombreux (22%) à utiliser des sex toys. La France arrive dernière dans ce classement.

Pour pimenter leur vie sexuelle, les sondés n'hésitent pas à assumer leurs fantasmes. 67% des Français estiment que ceux-ci doivent être assouvis. Le plus grand fantasme des femmes est de faire l'amour dans un endroit insolite, partagé par 40% de répondantes.

Autre fantasme : faire l'amour à plus de deux (15%). A ce sujet, les Français, hommes et femmes confondus, ne sont pas ceux qui ont le plus d'expérience. Seuls 16% disent avoir déjà partagé ce moment à plusieurs, bien loin des Norvégiens (24%) et des Suisses (19%).

A l'inverse, s'ils sont seuls, les Français n'hésitent pas à déclarer s'adonner à la masturbation. 86% des hommes sont adeptes de l'onanisme, alors que leurs homologues féminins ne sont que 39%.

Cette étude a été menée dans onze pays (France, Belgique, Autriche, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Norvège, Espagne, Suisse, Brésil, Suède). 5.670 personnes ont été interrogées du 18 août au 1er septembre 2011.

http://www.leparisien.fr/laparisienne/s ... 751010.php" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : lun. 20 févr. 2012, 15:00 
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Citation :
15 février 2012
Sexualité des jeunes : comme papa-maman ? Par MARIE-JOËLLE GROS

Rapports. D’après des sociologues qui se sont penchés sur les pratiques des 18-24 ans, les stéréotypes sont tenaces.

La révolution sexuelle ? Quelle révolution sexuelle ? «Au mieux, on a connu une évolution. Mais parler de révolution, au vu du chemin qu’il reste à parcourir, est impossible», posent d’emblée Yaëlle Amsellem-Mainguy et Wilfried Rault, jeunes sociologues organisateurs d’un débat qui se tiendra ce soir à Sciences-Po sur le thème «Jeunesse et sexualité : expériences, espaces, représentations» (1). Ambition ? Mettre le doigt sur tout ce qui coince encore. «Les normes qui encadrent la sexualité sont toujours bien là, insiste Yaëlle Amsellem-Mainguy. On a pu les imaginer diluées, mais il n’en est rien : diversifiées et recomposées, elles perdurent.» Des travaux de sociologie récents vont servir de base à cette exploration de la sexualité des 18-24 ans. Leurs conclusions sont souvent sans appel : la sexualité reste genrée, dépendante des stéréotypes masculins ou féminins ; les deux figures repoussoirs de «la pute» et «du pédé» ont la vie longue ; et les adultes éprouvent toujours une forme de panique morale à l’égard du sexe des jeunes.

Même en 2012, l’ordre hétérosexuel fait toujours la loi et les normes. Il exclut et stigmatise ceux qui y dérogent. A travers deux études, l’une dans des cités d’Ile-de-France, l’autre dans la campagne de la région Centre, Isabelle Clair (CNRS) décrit cette «hétéro normativité» qui veut qu’un garçon soit «tout sauf une fille» (sinon c’est un pédé) et qu’une fille n’étale pas une sexualité libre (sinon c’est une pute).

Dans les cités comme au village, la surveillance de la respectabilité des uns et des autres reste de mise. «Un garçon doit être à la hauteur de son sexe» et ne jamais laisser douter de sa virilité. Et les autres ?

Le pédé est considéré comme contre-nature. Quant à la fille, on considère encore qu’elle a potentiellement une nature de pute, qu’elle doit dominer, en passant pour vertueuse : soit en étant fidèle à son copain, soit en étant religieuse ou non accompagnée et sage. Autant de conditions pour passer pour une «fille bien». Bilan : la sexualité des filles est «la clé de voûte de l’ordre social», souligne Isabelle Clair.Les garçons y veillent scrupuleusement, en portant un regard inquisiteur «constant sur la sexualité des filles, car c’est pour eux un enjeu d’affirmation de leur propre virilité», poursuit la sociologue.

Au fond, la féminité pose encore problème. Si les garçons doivent impérativement gommer tout ce qui fait fille, on compte à l’inverse beaucoup de «garçons manqués» parmi elles. La sociologue conclut : l’ordre hétérosexuel ordonne l’«asymétrie» des sexes : «il fait du groupe des garçons le référent absolu de celui des filles».

Plus d’un tiers des 18-24 ans, garçons et filles, se sont déjà connectés à un site de rencontres. Sans remplacer les lieux de la vraie vie (café, bancs de la fac, cercles d’amis), les sites de rencontres forment désormais «un territoire constitutif de la géographie sexuelle de la jeunesse», résume la doctorante en sociologie Marie Bergström. Démarche solitaire, sous pseudonyme, cette connexion accélère le nombre des relations sexuelles et, surtout, permet aux jeunes femmes de recruter des partenaires occasionnels à l’insu de leurs pairs. Bref, de multiplier les expériences tout en gardant une image de modérée sexuelle.

Il faut distinguer un site comme Meetic, véritable terrain d’entraînement (on teste son sex-appeal, sa technique de drague, son image) ouvert à tous les vents nouveaux, et Facebook, où l’on reste sous la surveillance des «amis». Les sites de rencontres servent à multiplier les histoires «pas sérieuses» mais «en connaissance de cause» : aucune ambiguïté sur les intentions des protagonistes. La relation est prioritairement physique et sexuelle.

Mais, sur ces sites-là aussi, les filles sont contraintes de «poser des barrières» en se déclarant à la recherche d’une relation amoureuse ou amicale pour se réserver une marge de manœuvre lors de la relation sexuelle : le pouvoir de dire non.

L’adolescence est désormais considérée comme une période d’apprentissage de la sexualité. Cela passe par différentes étapes jusqu’à la «sexualité génitale» qui marque l’entrée dans la jeunesse. Entre les années 50 et les années 2000, beaucoup de choses ont changé. On est passé d’une vision négative de la sexualité juvénile à une sexualité souhaitée et protégée (le préservatif est présent dans 90% des premiers rapports sexuels). Mais cette «intériorisation des contrôles» se double d’une explosion des inquiétudes adultes, ce que Michel Bozon, directeur de recherches à l’Institut national d’études démographiques (Ined), appelle un «alarmisme sexuel» qui prend comme abcès de fixation la pornographie. Les adultes ayant l’impression que les jeunes ont une sexualité influencée par la profusion de vidéos X : violence, absence de sentiments… Bozon y voit un «marronnier médiatique» qui ne résiste pas à l’épreuve des faits : le porno est loin d’être le seul canal d’information des jeunes.

Mais, pour le chercheur, cette panique morale des adultes renforce les rôles sexués. Les filles, qu’on attend responsables et modérées, sont chargées par les parents du rôle de gardiennes de la morale sexuelle. Elles ont la responsabilité de façonner les garçons dans une sexualité politiquement correcte (procréative, hétéro…). Ce qui ne favorise ni l’égalité des sexes ni celle des désirs. A quand la révolution ?

(1) Lire aussi le numéro 60 de la revue «Agora Débats/jeunesse» de l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire, éd. Sciences-Po-Les presses, 2012, 17 euros.
http://next.liberation.fr/vous/01012390 ... papa-maman" onclick="window.open(this.href);return false;


L'article d'Agnès Giard sur le même sujet


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : ven. 30 mars 2012, 07:56 
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Dis-moi comment tu fais l’amour, je te dirai ce que tu votes

Fellation, sodomie, échangisme... qui sont les plus coquins ?
Citation :
A paraître ce vendredi dans le magazine Hot Vidéo, une enquête Ifop sonde les slips et les culottes des électeurs. Comment fait-on l’amour selon que l’on est de gauche ou de droite, vert ou rouge, bleu ou rose ?

L’échantillon des sondés est représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, 1411 personnes ont été sollicitées pour sortir du mystère.

Les résultats sont plutôt drôles et pas si loin des clichés.
L'article de Renée Greusard sur rue 69


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : ven. 30 mars 2012, 13:45 
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Enregistré le : dim. 05 déc. 2010, 22:28
Messages : 4131
Sexe et orientation sexuelle : bi? pas bi? allez savoir...
Localisation : 4 lieues à l'est
Marrant, comme quoi il vaut mieux avoir un/e copain/copine de gauche ou frontiste (plus de turlute de sodo et d'échangisme) mais se marier dans la droite modérée (moins d'insatisfaction sexuelle en général) toutefois éviter le modem où là ça ne baise pas beaucoup :lol:

_________________
La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln

alors qu'est ce qu'on attend ? :D


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : ven. 30 mars 2012, 20:53 
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Citation :
Après son enquête sur la sexualité des hommes, l’anthropologue Philippe Brenot s’est intéressé aux femmes. Leur sexualité a évolué mais elles restent inhibées.
Qu’est-ce qui excite les femmes hétéros et en couple ? Qu’est-ce qui excite les hommes hétéros et en couple ? Comment font-ils l’amour ? Après s’être intéressé aux hommes, en 2011, dans « Les Hommes, le sexe et l’amour » (éd. Les Arènes), Philippe Brenot a choisi de se poser les mêmes questions avec les femmes.

Il publie ce jeudi « Les Femmes, le sexe et l’amour », chez le même éditeur.

Cette fois-ci, ce sont 3 404 femmes hétérosexuelles qui ont répondu aux questions de cet anthropologue de formation, devenu sexologue. Le panel d’hommes était lui constitué de 2 153 sondés.

Au delà des chiffres croustillants – 68% des femmes ont essayé la sodomie, qui fut une expérience positive pour seulement 57% d’entre elles –, nous avons voulu croiser les chiffres des deux enquêtes et Philippe Brenot nous a accordé une interview.
Un long article de Renée Greusard
http://www.rue89.com/rue69/2012/03/30/l ... eau-230687" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : ven. 08 juin 2012, 17:06 
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Citation :
Dans le coeur ( et dans d'autres organes qu'on ne citera pas ) des Français, la position sexuelle qui apporte le plus de plaisir n'est autre que la levrette. Côté sexe toujours, quel lieu préfèrent-ils ? A plusieurs ou à deux ? Voici un sondage qui nous dit tout.
http://www.cosmopolitan.fr/,sexe-les-fr ... 688880.asp" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : dim. 08 juil. 2012, 15:26 
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Sexe et orientation sexuelle : étérau
Localisation : Peurisse in France
je suis français, et j'ai pas de sexualité donc j'aurais bien du mal à répondre à une telle enquète!!!


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 Sujet du message : Re: La sexualité des français
MessagePosté : sam. 14 juil. 2012, 23:12 
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Citation :
La crise nuit à notre sexualité
Alexandra Echkenazi | 04.07.2012, 09h01

Peur de perdre son emploi, de ne pas pouvoir rembourser le prêt de la maison ou payer les études supérieures du plus grand… La crise économique nous cause du souci, et cela jusque… sous la couette, selon une étude qui vient d’être publiée par l’institut d’études britannique Vision Critical pour les laboratoires Pfizer. Menée sur 6249 hommes et femmes dans 7 pays européens (France, Espagne, Italie, Allemagne, Royaume-Uni, Suède, Belgique), cette enquête montre que pour 15% des personnes interrogées le contexte économique a un impact négatif sur leur désir de faire l’amour. En dehors de tout dysfonctionnement biologique, c’est aujourd’hui devenu un facteur essentiel pour ceux qui ont des problèmes dans leur vie intime. Parmi ceux qui se disent inquiets de la crise, 83% déclarent d’ailleurs avoir envie d’améliorer leur vie sexuelle (contre 59% de ceux qui ne sont pas inquiets).

« Les soucis du quotidien ont une forte influence sur notre sexualité, confirme le docteur Sylvain Mimoun, auteur d’un Antiguide de sexualité (Editions Bréal, 19€). Surtout si l’on en discute avec son conjoint juste avant d’aller au lit! » Un conseil, si vous ne voulez pas faire partie des « frustrés » de la crise, choisissez bien vos sujets de conversation avant de faire l’amour. Aborder la chute des Bourses mondiales risque fort de provoquer un krach au sein du couple.

Toutefois, pas de panique, parmi les 7 pays sondés, la France n’est pas celui qui s’en sort le plus mal (lire encadré). Force est de constater en effet chez nous le maintien d’une forte fécondité malgré la crise. Par ailleurs, certains scientifiques affirment qu’en période de trouble économique, les êtres humains subissent certes une période de malaise qui perturbe leur sexualité mais connaissent rapidement un regain d’activité dans ce domaine. « Faire l’amour, lorsque ça va mal, permet de fabriquer des endorphines et de se changer les idées », décrypte Sylvain Mimoun. Exemple : le baby-boom après la Seconde Guerre mondiale.

Selon l’enquête de Pfizer, les femmes sont davantage affectées par le climat économique que les hommes (17% contre 14%). Une étude scientifique, publiée il y a un an par l’université du Kansas, aux Etats-Unis, émet l’hypothèse que face, à la crise, les hommes et les femmes adoptent des comportements sexuels différents. Après leur avoir demandé d’imaginer leur propre mort, les chercheurs ont projeté à leurs « cobayes » des images à connotation sexuelle. Résultat : les hommes ont été beaucoup plus nombreux à répondre aux stimuli sexuels que les femmes. Les scientifiques en ont conclu qu’en situation de crise économique — qu’ils estiment similaire à une situation où la survie est en jeu — les hommes sont davantage enclins à une activité sexuelle. Une conclusion qui pourrait s’expliquer, selon le docteur Mimoun, par la nature des photos projetées. « Les femmes sont beaucoup moins excitées que les hommes par les images », souligne-t-il. Au final, que votre conjoint soit un homme ou une femme, évitez les graphiques économiques avant d’aller au lit…

Le hit-parade des « frustrés » économiques
1. L’Espagne (34%)
2. L’Italie (21%)
3. La Suède (11%)
4. La France (10%)
5. Le Royaume-Uni et l’Allemagne (9%)
7. La Belgique (8%)

Parmi les 7 pays sondés par l’étude de Pfizer, voici ceux qui disent subir le plus l’impact de la crise économique sous la couette. La Grèce étant absente de l’enquête, on ne sait pas si ses habitants sont plus ou moins frustrés que leurs voisins. Les résultats obtenus montrent clairement que plus la situation économique est instable, plus les personnes qui déclarent vivre des difficultés à faire l’amour sont nombreuses. Les Belges sont ceux qui vivent le moins mal la crise au sein de leur couple. Les plus stressés au lit sont les Espagnols. Quant aux Français, ils arrivent en quatrième position, juste avant les Britanniques et les Allemands.
http://www.leparisien.fr/laparisienne/s ... 077300.php" onclick="window.open(this.href);return false;


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