Années 70, un sauna homo bien connu de l' époque ... une pièce avec une croix de St André.
J' y vais trois ou quatre fois par an.
Je prends un verre au bar avec le patron que je connais et nous mettons le scénario au point.
Je vais dans la pièce, passe un porte jarretelles spécial et des bas puis il me fixe des pinces avec des chaînettes et des poids aux tétons. C' est lourd , jouissif au bord de la douleur. La base de ma queue et de mon sac est ensserrée dans une gaine en cuir de trois ou quatre centimètres, lacée juste assez pour permettre au sang de passer et que je puisse bander ; il en met une autre plus longue autour du scrotum juste au dessus de mes couilles avant d' y suspendre des poids.
J' adore la sensation de serrage et d' étirement, je me mets à bander et sens la tension extrême dans ma bite serrée par le cuir.
Il tire mon prépuce et y met aussi des pinces avec des poids , c' est trop bon.
Je me mets face à la croix et me laisse attacher les poignets et les chevilles, les jambes bien ouvertes et avant de placer un bandeau de soie sur mes yeux il installe une chaise haute devant la croix.
Il suffira qu' un mec s' y installe pour avoir la queue ou l' anus à hauteur de ma bouche.
Je me sens soumis, offert, comme un esclave, un objet surtout quand il met trois doigts dans ma bouche pour que je les mouille de salive avant de les sentir pénétrer mon fondement sans ménagement.
Il me doigte longuement, évase bien mon trou et j' entends plusieurs mecs entrer dans la pièce.
Toutes mes sensations sont exacerbées, c' est dingue.
Le code est simple : lui et tous les autres qui auront envie se serviront de moi pour tout avec un seul mot d' arrêt : STOP. Les exceptions : pas de coups sauf légers au martinet ni de scato.
Il m' encule le premier et je feule de plaisir car je jouis immédiatement du cul.
Un autre type est venu se placer sur la chaise mais ce n' est pas sa queue qui vient cogner à mes lèvres : il pose les ourlets de son anus comme une bouche sur la mienne. Je lèche, plonge la langue comme il me l' ordonne pendant que l' autre me bourre le fion.
Il décharge dans ma chatte anale, décule et est directement remplacé par un autre qui me bourre sauvagement en me tenant par les hanches et en me traitant de pute. J' aime.
D' autres mains tirent les poids qui torturent mes seins, mes couilles.
Je jouis, j' éjacule, ça sort sans qu' on me touche la bite, sans que je ne puisse retenir mon jus tandis que mon cul explose de plaisir sous les coups de boutoir de l' autre.
Celui dont je bouffais la rondelle s' est retourné, a enfourné sa bite dans mon gosier et m' a ordonné de le sucer et de le pomper jusqu' à éjaculation. Je m' applique avec bonheur et son jus jaillit. J' avale ma première dose en aspirant encore son gland avec gourmandise.
Dans mon cul, le troisième se déchaîne, me brûle le fion, m' éclate la rondelle en pétrissant mes fesses.
Il étire les élastiques du porte jarretelles et les relâche violemment sur mes fesse ; ça brûle, c' est bon.
Des experts jouent avec mes couilles, tirent les poids et vont jusqu' aux limites en sentant mes réactions.
Je n' arrête pas de crier de plaisir dès que ma bouche est vide et mon ventre me donne l' impression de jouir non stop.
Une nouvelle bite vient baiser ma bouche et j' en sens une autre me caresser le visage.
Je les alterne et un autre vient m' aider à sucer, mélangeant sa langue à la mienne pour lécher les glands.
Deux jouissent dans ma bouche, trop bon, je bois tout le jus puis l' autre vient mettre un téton sur mes lèvres et me demande de lui sucer les seins.
Mon enculeur se retire après avoir vidé ses couilles et j' ai l' impression que mon ventre est vide, en manque et que mon trou de cul est un cratère béant, complètement évasé.
Le martinet frappe une première fois dans ma raie en douceur comme une caresse mais juste assez fort pour que mes lèvres anales pincent, picotent, c' est délicieux.
Les lanières mordent mes fesses, ma fente, les ourlets de ma vulve et mon sac à couilles ; un autre type retire les pinces de mon prépuce et je sens qu' il en met une sur mon frein qu' elle étire car il y des poids qui pendent. C' est délicieusement douloureux.
Les lanières fouettent mon gland, je crie que c' est bon.
Les coups deviennent plus fort et j' aime ; j' ai l' impression que l' entrée de ma chatte anale est en feu et que mon gland est gonflé à exploser.
Il arrête, me caresse amoureusement les fesses, vient m' embrasser dans la nuque en me disant que je suis une bonne salope , une brave chienne.
Puis des mains puisantes me prennent les hanches et une très grosse bite vient me remplir le fion. Ooouaww, elle est énorme et bonne. Je suis empalé , pourfendu.
Le type me défonce et il y va à fond car son gland atteint le tréfonds de mon boyau.
Il me dit que j' ai un bon cul et à sa voix je comprends que c' est un noir.
L' autre a remplacé ses tétons par son trou.
Il me dit qu' il a fait un lavement puis vient de se faire enculer et qu' il a fait sortir ses chairs en prolapsus.
Il m' ordonne de manger son chou, de boire le foutre et le sperme qui en sortent, de dévorer son bourgeon pendant qu' il se branle.
J' adore faire ça ; je lèche, aspire, bouffe, mange , mords, suce, plonge la langue dans le trou chaud et doux que je ne vois même pas.
Il m' insulte de bouffeuse de rondelle, de suceuse de fion ...
Je me sens humilié et j' adore ce jeu qui me fait jouir mentalement.
Le black se soulage dans mon cul puis en riant annonce aux autres qu' il va me pisser dans la chatte.
Je crie que oui, que j' aime ça.
Il s' épanche en moi, ça déborde, dégouline, d' autres s' y mettent, me pissent dessus.
Je pisse aussi, secoué par des frissons de plaisir.
Celui dont je bouffe le cul se retourne et plonge son gland dans ma bouche pour décharger son sperme puis lorsque j' ai tout avalé, se met à pisser.
J' accepte quelques gouttes puis le repousse et il me pisse sur le visage et sur les seins. Mmmm ...
Ils seront encore quatre ou cinq à venir jouer avec mon corps et j' éjaculerai encore une fois car un type m' enlève la pince qui pend à mon frein et me masturbe comme s' il trayait ma bite avec ses deux mains et une crème chauffante.
La sensation à l' endroit irrité par la pince est trop jouissive et je hurle de plaisir.
Je me fais encore sodomiser mais après la septième ou huitième enculade je demande grâce et dis stop.
Ils sortent tous de la pièce sauf un seul type qui m' enlève les pinces, les cuirs et le reste puis me sèche délicatement avec une serviette éponge.
Il me détache de la croix et me demande de le suivre dans une petite pièce où je m' allonge et il commence un ballet infernal.
D' abord des effleurements et des caresses amoureuses avec ses doigts et se mains puis avec sa bouche.
Ses lèvres et sa langue vont embrasser et lécher chaque millimètre de peau de mon corps, insistant où j' aime : entre les orteils, tétons, aisselles puis il me bouffe l' anus comme jamais, me faisant sentir ses dents dans l' entrée du trou qu' il a aspirée comme si sa bouche était une ventouse.
Pour finir, il me fait une gorge profonde et j' éjacule pour la troisième fois de la soirée.
J' ai passé une soirée géniale et je sais que j' ai assouvi mes pulsions extrêmes pour deux ou trois mois !
Je prends un verre avec le patron avant de partir et lui confirme que je lui téléphonerai avant de revenir pour qu' il prévienne des vieux pervers comme j' aime.
J' ai joué à l' objet, à l' esclave, à la pute soumise comme j' en ai parfois envie et j' en arrive même à l' oublier jusqu' à ce que la pulsion revienne avec l' envie irrésistible, le besoin de bites partout, d' humiliation, de pisse, de sensations extrême.
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