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Et pourtant, au delà d'un certain seuil d'excitation il est parfois extrêmement difficile de faire machine arrière, un peu comme si le cerveau était toujours physiquement là, mais qu'il avait le plus grand mal à rester le patron

Modération - Omphale Discussion créée à partir de Bitophilie, bisexualité quelle différence ?

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Oui, c’est vrai (jusqu’à un certain point)… Probablement que les couches supérieures de la conscience sont alors inhibées au profit des parties plus animales, instinctives, comme cela peut également être le cas dans une situation d’urgence/stress extrême…

Ceci dit, est-ce différent pour les femmes ? Vos avis, mesdames et mesdemoiselles ? Vous arrive-t-il de « perdre la tête » pendant vos parties de jambes en l’air ?

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« La liberté signifie la responsabilité. C’est pourquoi la plupart des hommes la craignent. »
George Bernard Shaw
« des hommes » au sens « êtres humains », hein (sacrée langue française ) !

Hélas non. La seule fois où j'ai commencé à vraiment me lâcher totalement mon meilleur ami à eut un peu peur car je me suis montrée assez brutale avec lui

Mauvais partenaire, changer partenaire (ou bien frapper plus fort ).

Je vais y penser :clin:

Puisque c'est maintenant un fil à part entière, je vais un peu développer mon propos

C'est le cerveau qui commande la plupart du temps, il le fait plus ou moins bien, mais là n'est pas le propos. Je ne vais parler que pour moi, puisque je n'ai que ma propre expérience à proposer. Quand j'étais plus jeune, il existait un point de "non retour", un certain seuil d'excitation qui une fois dépassé me poussait à aller jusqu'à l'assouvissement. Attention, je n'ai rien d'un violeur, mais si une partenaire avec laquelle je suis en train de jouer depuis un certain temps et que mon orgasme est sur le point de se déclencher, décide brusquement que ça suffit, qu'il est temps que je remballe ma marchandise, j'aurais eu la plus grande peine du monde à me retirer, lui faire un bise sur le front et lui dire à bientôt en partant. Ça ne s'est jamais présenté ainsi et je suis à peut prêt sûr que j'aurais pu m'arrêter, mais seulement à peu près sûr, pas à 100 %. L'âge s'avançant je me rapproche des 100 % de certitude.

Je suis un homme qui ne se laisse pas gouverner par ses pulsions, mais je ne suis pas certain d'être représentatif. Je pense que le point de "non retour" peut être différent pour chacun, et qu'il peut être dangereusement rapidement atteint par certains. C'est pourquoi je suis assez mal à l'aise quand des adolescentes veulant tester le pouvoir qu'elles ont sur les hommes s'habillent ou se comportent dans la rue de manière imprudente, j'ai un peu peur que des fois elles ne tentent le diable. Il n'en va pas de même dans une soirée où là, le jeu de la séduction est implicite, qu'elles soient habillées très sexy et qu'elles se conduisent apparemment comme des chattes en chaleur n'a aucunement la même incidence car le groupe les protège.

J'ignore totalement ce qu'il peut en être des femmes et je lirai avec plaisir leurs futurs témoignages

Pour le titre je proposerais plutôt "Sexe ou cerveau, qui commande?" ça me paraît plus explicite, parce que là "Quel organe est aux commandes ?" ça peut être le pancréas, les pieds ou le nez

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Hihi, alors l'organe qui commande chez moi, c'est l'estomac

Les palsisirs de la table sont très liés à ceux du sexe. Chez nous, en tout cas, c'est sûr!

Les palzizirs tu veux dire ?

Ah! Ouais! Je vois! Pas mal la co(q)uille! Je devrais me relire parfois...

Blague à part, je suis plutôt cérébral et ça na va pas sans quelques inconvénients.

Me concernant, si mon sexe se rappelle souvent à mon cerveau, c'est ce dernier qui donne le feu vert ou non. Je suis souvent dans la méfiance.
Envers l'autre que je ne connais pas et des possibles conséquences d'un acte auquel je pourrais me laisser aller. Un exemple étant de mélanger le cul et le boulot. J'ai toujours eu quelques craintes de ce côté la, je n'ai jamais cherché à conclure quoi que se soit avec une possible partenaire.
Envers moi, aussi. Je me connais pas mal et je sais adorer les jeux du sexe. Je me contrôle très (trop) souvent et "m'interdit" les relations extra-conjugales, même si des fois, ce n'est pas facile.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Mais qu'est ce qui peut bien leur faire penser ça ?
Idée: chaque soir, debriefing. Exemple: "Aujourd'hui mon cerveau a gagné 2-3-5-10 xx fois sur ma bite, alors qu'est ce que tu vas prendre !!!"

Je ne sais pas.
Je cherches toujours.
Trop de boulot et ça risque d'être ennuyeux.
Ca ne me pose pas de problème d'avoir des pensées érotiques, sexuelles, sensuelles, pornos, etc dans la journée. Ca coupe du travail. La journée passe mieux.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Le nez