J'ai brisé un gros tabou cet été, celui de m'exhiber et de baiser dans les toilettes ou sur le parking d'une aire d'autoroute. Comme je l'expliquais dans un autre post, j'ai une double vie. Gentil garçon d'un côté, sérieux et travailleur et de l'autre grosse salope nymphomane. J'ai fait en sorte que ces deux vies soient complètement étanches, mais mon secret a été découvert l'année passée par un collègue de travail - Gérard - plus âgé que moi. Je tiens un blog racontant mes expériences et mes aventures et il en a eu connaissance, d'une manière trop compliquée pour être racontée ici.
J'étais catastrophé, jusqu'au moment où j'ai compris que ça l'excitait. Nous avons alors commencé à partager fantasmes et perversions. Lorsque j'avais passsé un moment chaud avec un mec, je le documentais sur mon blog et le lundi matin, durant la pause café, il me regardait en sachant toutes mes turpitudes. La honte et l'humiliation étant particulièrement excitantes pour moi, j'aimais qu'il sache tout de ma vie intime.
Un vendredi après-midi, je rentrais d'un rendez-vous raté - le mec m'avait posé un lapin. J'appelle Gérard, pour lui faire part de ma déconvenue et il me demande où je suis. Je donne ma position et il me dit que je n'ai qu'à aller faire la pute sur l'aire d'autoroute qui est à dix kilomètres, sur mon chemin. Il a un ton très autoritaire, ça me plaît et ça m'excite et j'obéis.
Je traverse le parking devant tout le monde. Il n'y a pas que des hommes en quête d'aventure en ce milieu d'après-midi, mais aussi de simples touristes. Ma tenue d'efféminé est explicite. J'entre dans les toilettes et il y a un homme d'environ 70 ans, qui sort immédiatement sa queue. Je ne suis pas passé inaperçu et deux mecs dans la cinquantaine rappliquent. Le vieux me demande de les sucer et quand j'ai terminé, je le suce à son tour. Tout a été filmé et une fois terminé, j'envoie les vidéos à mon collègue.
J'ai aussi échangé mon numéro avec le vieux, qui est depuis mon "grand-père" pervers et nous nous voyons régulièrement depuis. A partir de ce moment-là, je n'ai plus ressenti de honte ni de gêne à me montrer en public habillé en efféminé.
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