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MessagePosté : dim. 14 janv. 2024, 20:33 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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A la Mac Pyridine Company on pensait que c'était Manu qui avait la plus grosse et Bien! Non.
Chose promise!
Denise m'a fabriqué un nouveau poste.

Structures mystérieuses ayant suscité de nombreux fantasmes, les réseaux Stay behind n’en ont pas moins eu une existence réelle, dorénavant bien documentée.
Le premier à avoir révélé cette « armée secrète » de l’OTAN est en août 1990 le président du Conseil italien Julio Andreotti, qui décrit sommairement leur organisation tout en soulignant que, à l’époque, ces réseaux sont encore actifs. Il précise qu’ils ont des noms différents dans chaque pays : « Gladio » en Italie, « Rose des vents » en France, « Aginter Press » au Portugal, par exemple. À l’exception de l’Islande, qui ne disposait pas d’armée, et du Canada, qui n’était pas sous la menace directe d’une invasion soviétique, des réseaux Stay behind auraient été implantés dans les quatorze autres pays membres de l’OTAN de l’époque, ainsi que dans quatre pays neutres : la Suisse, la Suède, la Finlande et l’Autriche.
Ces réseaux Stay behind apparaissent en Europe de l’Ouest à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mis sur pied par la CIA et le MI 6 britannique, ils sont coordonnés par des comités clandestins au sein de l’OTAN. Ils sont conçus comme un réseau occulte de résistance destiné à œuvrer, en cas d’occupation soviétique, derrière les lignes ennemies. Forme de défense non conventionnelle, ils ont pour objectif initial d’être activés en cas d’invasion et de procéder à des opérations de recueil d’informations, de sabotage, de propagande et de guérilla.
Les personnes repérées et jugées à la fois assez mûres et de confiance pour pouvoir appartenir au réseau sont cooptées et assez régulièrement convoquées pour des périodes d’exercice…


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MessagePosté : mar. 16 janv. 2024, 18:47 
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Faisons des présentations!

Aujourd'hui alors que je vais rejoindre pour un temps l'institut Ospif comme concierge, ce qui devrait me distraire un peu, je vais vous raconter le premier contact de Hélène Dubois avec Denise et notre institut de marine interne.
Hélène travaille encore pour la compagnie et est aujourd'hui second du capitaine Elise Machuculovska sur un de nos plus gros navire, basé à Colón Panama, Elise est sous les ordres de Véronica Borniol et Véronica Mac Pyridine.
En illustration vous trouverez une image des jeux que Denise imposait quelquefois à Hélène. avec la complicité d'Elise.
"Faisons connaissance"

Hélène Dubois était en train de lire un roman d'amour, bien au chaud dans son lit, quand la Directrice, sans même frapper à la porte, entra en coup de vent dans sa chambre.
"Bonsoir Hélène" dit-elle en prenant l'unique chaise de la chambre. Elle s'assit à côté du lit.
Hélène était une nouvelle élève, et Elise Machuculovska , sa 'marraine' - chaque nouvelle élève était prise en charge par une aînée - l'avait prévenue de la visite probable de la Directrice. Elle avait ajouté:
"C'est un mauvais moment à passer, mais quoi, si tu ne lui déplais pas trop, ce ne sera pas trop grave. Surtout ne lui résistes pas, ne lui dis jamais 'non'! Alors elle va te réciter le sacro-saint règlement de l'Institut Ospif, elle va te bousculer un peu, peut-être même te tripoter, et puis elle te fichera la paix..."
Et voilà que la Directrice se trouvait à côté de son lit, penchée sur elle comme un garde-malade. Son chignon lui donnait un air sévère. Avec une grimace qui devait passer pour un sourire elle prit le livre que Hélène était en train de lire et regarda la couverture. "Rempart des béguines" par Françoise Mallet-Joris. Son regard en dit long et Hélène sut que cet entretien n'allait pas être si facile que Elise avait prédit...
"Bon, je vois. Mademoiselle Hélène, vous n'avez pas la permission de lire ce genre de roman. Cela se trouve en toutes lettres dans le règlement que vous avez signé, à l'inscription."
Elle soupira et continua :
"Et si vous n'avez pas la permission, cela veut dire que cette littérature vous est interdite." C'était plus une constatation qu'une question.
"qui vous a donné ce livre ?"
Hélène ne sut pas quoi répondre. Elle avait pris le livre dans la bibliothèque de ses parents, espérant profiter du temps libre au pensionnat pour le lire, loin des yeux indiscrets.
"Rabattez vos couvertures." L'ordre était bref.
Hélène s'exécuta. Elle ferma les yeux, ne sachant pas ce qu'elle devait penser. La Directrice avait une fameuse réputation et les histoires qui circulaient dans l'école donnaient la chair de poule...
Sans hésiter la Directrice lui releva la robe de nuit jusqu'au nombril, exposant une sage culotte de coton blanc. Le corps de la jeune étudiante était splendide, fait pour la mer et l’océan, de solides jambes pour résister au tangage, mais il lui manquait encore quelques rondeurs.
Hélène s'efforça de ne penser qu'à ce que Elise lui avait dit "Ne pas la contredire, ne pas s'opposer..."
Mais quand la femme crocha dans l'élastique du slip et l'abaissa sur ses cuisses, découvrant la toison sombre de son sexe, Hélène eut quand même un sursaut qu'elle eut du mal à dissimuler. Heureusement la Directrice fit comme si elle n'avait rien remarqué. Hélène sentit son regard glisser sur son corps, s'attarder sur son bas-ventre, là où le soleil des vacances avait dessiné le contour minuscule du bikini...
"Je vous conseille de ne pas bouger."
Même si la Directrice n'avait rien dit, Hélène n'aurait pas bougé. Elle était terrifiée. C'était comme si toute sa volonté avait glissé d'elle avec sa robe de nuit.
Sous le regard perçant de la femme, Hélène se sentit rougir. Elle avait la chair de poule et les pointes de ses seins étaient douloureux à force d'être durs.
La Directrice regarda Hélène droit dans les yeux et ses mains glissèrent vers les mamelons roses. Elle les prit entre ses doigts, les fit rouler doucement.
Ils réagirent immédiatement et Hélène sentit qu'ils durcissaient encore. Elle était horriblement gênée, en attrapait chaud et froid. L'agacement de ses seins se répercutaient dans son bas-ventre comme s'il y avait des fils électriques qui reliaient ses seins à son sexe.
Mais la Directrice serrait les pointes de plus en plus fort. D'une sensation plutôt agréable, la manipulation de ses seins devenait franchement douloureuse. Les pointes étaient sensibles de nature et n'avaient jamais subi de traitement pareil.
Hélène se mit à haleter. Ses yeux se remplirent de larmes. La Directrice pinçait, tirait, roulait les pointes, grosses comme des crayons, entre ses doigts. Sans brutalité, sans pitié non plus, mais avec efficacité. Sans broncher: elle guettait les réactions d'Hélène comme un entomologiste regarderait l'accouplement d'un scarabée rare.
Hélène ne put éviter un gémissement. Elle transpirait bien qu'il faisait frais dans la petite chambre. La Directrice tourna lentement le bout des seins.
Toujours avec la même efficacité perverse. Hélène couina, la vue troublée par les larmes.
Ses pieds s'agitaient, sa tête roula de gauche à droite.
Hélène gémit sans discontinuer, sans même faire d'effort pour se retenir. Elle ne savait plus penser, la douleur lui coupa le souffle.
Puis tout aussi soudainement que cela avait commencé, la Directrice lâcha les pointes. La douleur diminuait lentement...
"Tournez-vous sur le ventre."
Hélène n'hésita pas et, contente de pouvoir cacher son sexe, se retourna, les fesses en l'air.
"Je vais prendre votre température, puis je me vois dans l'obligation de vous faire subir une légère punition, tant pour vos lectures, que à titre préventif, pour vous faire sentir ce à quoi vous vous exposez..."
La Directrice enfila des gants de chirurgien, puis rabaissa encore un peu plus la culotte de l'adolescente. L'instant suivant Hélène sentit que la femme lui écartait les fesses. Morte de honte, elle enfouit sa tête dans l'oreiller.
Sans un geste superflu la Directrice examina l'entrejambe de son élève. Le renflement circulaire de l'anus se contractait dès que ses doigts le tâtèrent.
La vulve était d'un rose pâle et l'ouverture du sexe laissait suinter un liquide transparent. Elle écarta les grandes lèvres pour examiner la corolle formée par les petites lèvres, puis tira dessus pour exposer le clitoris. Le prépuce glissa et le petit bouton nacré apparut, légèrement érigé.
Comme l'examen gynécologique approfondi était prévu pour la semaine prochaine, ce premier contrôle était suffisant.
La Directrice enduit ses doigts de vaseline. Elle rapprocha sa chaise et, appuyant son bras gauche sur le dos de la jeune fille, lui écarta à nouveau les fesses. Hélène se laissait faire, incapable de bouger. Elle se rendit compte que la Directrice appliquait une crème épaisse sur le pourtour de son anus. Puis elle sentit une légère douleur, un peu comme une brûlure, et un doigt glissa dans son rectum vierge. Elle gémit à nouveau, dans son oreiller.
Cette fois-ci ce n'était pas la douleur qui la faisait gémir, mais cette sensation horriblement humiliante de ces doigts qui fouillaient son intimité:
la Directrice avait recourbé son doigt et palpait la parois ultrasensible du rectum. Avec horreur Hélène se rendit compte que cet attouchement contre nature ne lui était pas désagréable, que ce lent va-et-vient dans son derrière l'excitait sexuellement.
La jeune fille respirait à peine, morte de peur pour ce qui allait suivre. La Directrice, s'aidant de sa main gauche, réussit à insérer un deuxième doigt dans le conduit étroit. Elle les écarta pour ouvrir l'ouverture, ce qui provoqua une nouvelle série de gémissements.
Quand elle estima que le sphincter était bien lubrifié, elle retira ses doigts, laissant à Hélène la désagréable sensation que son anus restait entrouvert. Avant que le muscle ne se soit rétracté, la femme y inséra son thermomètre rectal, qui n'était en fait rien d'autre qu'un thermomètre de vétérinaire. Elle possédait bien entendu un fin thermomètre digital à lecture quasi instantanée, mais dans un cas pareil elle préférait de loin le gros tube de verre qu'elle pouvait enfoncer jusqu'au fond du rectum.
Hélène poussa un petit cri, vite étouffé par l'oreiller, quand le bout du thermomètre vint heurter le fond du rectum, là où commence le virage du sigmoïde. L'intestin est très peu sensible, excepté à l'étirement, et c'est ce qu'elle ressentait maintenant. La Directrice n'insistait pas et laissa le thermomètre en place. Il dépassait des fesses de la jeune femme comme une verge grotesque qu'on aurait fiché dans son derrière.
Entre-temps elle inspecta le dos et l'arrière des cuisses de la jeune fille.
Après un temps qui parut très long la Directrice retira le thermomètre. Hélène se contracta involontairement: elle avait l'affreuse impression de ne plus contrôler ses muscles intimes.
"36,6. Un peu bas pour le soir, mais je crois que ça va monter bientôt..."
"Mettez les mains dans la nuque. Je vais vous administrer quelques coups de cravache, en signe de bienvenue. Comme ça vous saurez ce qui vous attends si vous ne respectez pas le règlement."
La Directrice s'était levée et avait fait glisser la culotte le long des jambes d'Hélène pour la lui enlever. Puis elle lui écarta les jambes. Hélène était comme paralysée. Elle se rendit vaguement compte que son sexe était horriblement exposé entre ses cuisses ouvertes. Elle entendit un sifflement, suivi de près d'un claquement sec. Puis la douleur du coup de cravache l'envahit et elle hurla. La Directrice lui poussa la tête dans l'oreiller:
"Si vous faites du bruit, je vous étouffe, et je continue jusqu'à ce que votre postérieur soit en sang. Compris?"
Hélène fit oui de la tête. Elle essayait de reprendre sa respiration: la douleur lui avait coupé le souffle.
Avant qu'elle ait pu récupérer, la cravache s'abattit une deuxième fois en travers de ses fesses. Puis une troisième fois. La morsure de la cravache dessinait chaque fois une nouvelle ligne rouge. La douleur irradiait dans son bassin et se transformait en chaleur. Hélène ne savait plus ce qui était le plus horrible: la douleur cuisante, l'humiliation de la fessée, ou son sexe béant exposé entre ses cuisses écartées. Curieusement, la fessée augmentait son excitation d'un cran: elle se sentait vulnérable, exposée, et surtout, incapable de s'opposer à la volonté de cette femme à la poigne de fer. Son corps réagit à la chaleur de son derrière martyrisé et elle sentit son sexe gonfler, ce qui l'humiliait encore plus.
La Directrice frappa encore plusieurs fois, dessinant un joli motif géométrique sur les fesses rebondies. Puis elle dit sur un ton sans réplique:
"Bien. Retournez-vous sur le dos."
Hébétée, Hélène se retourna. La fraîcheur relative des draps lui fit du bien à ses fesses torturées.
"Relevez les genoux. Vous êtes droitière? Posez votre main droite sur votre sexe."
Hélène ne comprit pas où la Directrice voulait en venir. Sa main se posa sur sa vulve et presque sans qu'elle s'en rende compte son médius chercha le renflement du clitoris.
La voix de la Directrice la sortit de sa torpeur:
"Maintenant montrez-moi comment vous vous caressez."
Hélène réalisa enfin ce que la Directrice voulait, ouvrit les yeux avec horreur et secoua la tête. Se caresser devant cette femme? Jamais! Tout devenait clair à Hélène maintenant... La torture de ses seins, les coups de cravache sur ses fesses... tout cela n'avait qu'un but: briser sa résistance, la repousser dans ses derniers retranchements, pour en arriver à ceci... La Directrice voulait voir comment la jeune fille se caresse, comment elle jouit, c'est à dire, comment elle est réellement... Car c'est bien connu : c'est dans l'abandon et dans l'ivresse de la jouissance qu'on révèle sa réelle personnalité...
"Je peux recommencer la séance de la cravache si vous y tenez..."
Avant même que Hélène ait pu répondre, la Directrice abattit la cravache de toutes ses forces sur le bas-ventre de la jouvencelle, là où le renflement du sexe faisait une bosse. Hélène hurla de douleur, choquée. Une longue ligne rouge se dessina de l'une hanche à l'autre, interrompue par la touffe de poils pubiens.
"De toute façon, c'est la première chose que vous auriez fait dès que j'aurais quitté cette pièce... Alors, allez-y... Ce n'est que le début qui est difficile..."
Morte de honte Hélène glissa une main entre ses cuisses. Elle ferma les yeux, la vue barbouillée par les larmes. A son étonnement elle trouva son sexe trempé et très vite ses doigts se mirent en marche.
La Directrice regarda avidement le jeu des doigts entre les lèvres gonflées.
Elle bougea sa chaise, se pencha entre les cuisses de l'adolescente. Son médius chercha l'anus encore lubrifié et s'y enfonça d'un coup. Hélène salua cette pénétration dans son intimité par un nouveau gémissement, de plaisir celui-ci. Elle se mit à haleter, la bouche mi-close. Ses doigts dansaient un ballet frénétique. Toute sa réserve avait disparu: les jambes largement ouvertes, elle montra sans plus aucune gêne son sexe ruisselant.
La Directrice mit sa main gauche sur le visage de la jeune fille et frotta légèrement les lèvres de son doigt ganté. Sans hésiter Hélène prit le doigt en bouche et se mit à le sucer comme un nourrisson tête le mamelon de sa mère.
Sa respiration s'accéléra et devint saccadée. Elle gémissait maintenant sans discontinuer.
La Directrice retira à moitié son médius du sphincter anal, et revint à la charge avec deux doigts. Hélène se mit à avancer son bassin à petits coups pour mieux s'empaler sur les doigts.
"Encore..." parvint elle à murmurer "...encore un..."
La Directrice ajouta un troisième doigt et glissa son pouce dans le vagin inondé. Elle se mit à malaxer les parois ultrasensibles du vagin et du rectum, pinçant le périnée entre ses doigts musclés. Le résultat ne se fit pas attendre: Hélène partit comme une flèche. Elle bascula son bassin d'une façon absolument obscène, s'arrêta brutalement de respirer, puis serra de toutes ses forces ses cuisses autour de la main de la Directrice et se mit à trembler de la tête aux pieds, en proie à un des plus beaux orgasmes de sa jeune vie...
Après un temps qui semblait interminable, le corps de Hélène se détendit. Elle retomba comme une poupée désarticulée.
Avec une douceur qu'on ne lui soupçonnait pas, la Directrice retira ses doigts du rectum de Hélène. La donzelle suçait toujours le doigt ganté. La femme l'observa encore quelques instants, puis retira son doigt. Rapidement elle borda la jeune fille, éteignit la lumière et quitta la chambre sans faire de bruit.

- fin de l'épisode -
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De gauche à droite. Le Second Capitaine Hélène Dubois et le Commandant Elise Machuculovska vous présentent leur bateau.
Voici le PANAMA-TUNA de la Mac Pyridinne company basé à Colón Panama. Un très gros batiment qui justifie deux officiers à bord.


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MessagePosté : mer. 24 janv. 2024, 23:59 
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C'est reparti suv=8 intense, bien fait de passer le relais à Denise.


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MessagePosté : dim. 28 janv. 2024, 21:06 
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"Tendres copines"

Florence Coterin actuelle Capitaine du RIA DE ALDAN MANAPANY à Colón Panama, et Stéphanie Rincard déjà vue ici, actuelle Capitaine de l’ALEUTIAN BALLAD à Homer Alaska.

L’image de fin montre Florence et Stéphanie de retour dans les chambres après cette mémorable journée. Après l’incident en classe Denise excitée était venue dans les chambres pour finir de les punir en privé, elle avait glissé ses doigts dans les vagins des filles avant de se les lécher avec perversion devant leurs visages ébahis.

Bien sûr qu'elle l'avait vu... La Directrice voyait toujours tout, malheureusement...
Florence avait volé un léger baiser à Stéphanie pendant que la Directrice écrivait des formules au tableau. Un tout petit baiser. Un baiser léger comme un papillon. Juste de quoi patienter jusqu'au soir, quand dans l'obscurité des chambres sous les toits elles pourraient se donner à leur passion...
Comme si elle avait eue des yeux dans le dos, la Directrice s'était retournée vers la classe au beau milieu d'une équation...
En un éclair elle avait compris la scène et se sentit obligée de sévir immédiatement afin d'éviter que d'autres filles suivent l'exemple. Il y avait plusieurs 'amitiés' dans cette classe, cela se sentait dès qu'on y entrait : il y avait toujours comme de l'électricité dans l'air. Raison de plus pour mettre le holà...
Sa voix froide fit frissonner les coupables :
"Mesdemoiselles Florence et Stéphanie, devant la classe."
Rougissant les deux étudiantes se levèrent lentement et s'approchèrent du tableau.
Brutalement la Directrice tira Stéphanie sur l'estrade, la mettant le dos contre le tableau vert. Puis elle s'adressa à Florence:
"Vous, à genoux devant votre amie, le derrière vers la classe." Tremblant de peur et de honte, la jeune fille s'exécuta.
"Les mains par terre."
Son derrière, pris dans la jupe à plis grise, pointait vers la classe. Ses jambes étaient couvertes de chair de poule.
"Vous aviez envie de vous cajoler? Petites dévergondées. Vos hormones vous tourmentent ? Ce n'est pourtant pas le printemps, que je sache. Je vais vous apprendre à jouer vos petits jeux en classe. Où vous croyez-vous?"
Dans la classe on pouvait entendre voler une mouche. La Directrice avait la réputation d'être horriblement humiliante quand elle punissait en public.
Qu'allait-elle inventer cette fois-ci? Déjà l'école ne supportait pas que les filles se promènent bras dessus, bras dessous, dans la cour de récré, alors un baiser en pleine classe...
"Je vais vous punir toutes les deux. Si votre attitude pendant votre correction est satisfaisante, je pourrais peut-être oublier de faire une note à vos officiers"
La Directrice lança un regard circulaire sur la classe pour s'assurer qu'elle avait toute l'attention. Puis elle se baissa, prit l'ourlet de la jupe de Florence et la lui releva, exposant sa culotte blanche.
"Oh Madame la Directrice, s'il vous plaît... Je regrette ce que j'ai fait... S'il vous plaît, ne... ne faites pas ça..."
Mais la Directrice, n'écoutant pas les protestations, se pencha à nouveau et d'un geste sec lui baissa la culotte sur les genoux.
Florence était une jeune fille élancée et mince, et avait un derrière à l'avenant. Toutes les filles pouvaient constater que ses fesses étaient également couvertes de chair de poule. Elle serrait les cuisses mais entre ses fesses musclées ses condisciples pouvaient voir l'entrée fripée et rose de son anus. En dessous de cela, la forme enflée de sa vulve encadrait les lèvres qui luisaient.
Se sentant découverte, exposée à toute la classe, Florence se mit à sangloter.
"Ouvrez les jambes !" lui intima la Directrice d'une voix cassante.
Florence s'exécuta et écarta les genoux aussi loin que sa culotte lui permit.
Ses grandes lèvres ressemblaient à deux coussinets de chair qui encadraient l'ouverture du vagin. De fins poils blonds, à peine visibles, soulignaient la jeunesse de la propriétaire du sexe.
"Maintenant, Mademoiselle, vous allez retirer la culotte de votre amie - je suppose que ce n'est pas pour vous déplaire?"
Florence aurait voulu disparaître sous terre... Elle couina comme si la Directrice l'avait frappée.
"Mais vous allez le faire avec vos dents..."
Un brouhaha s'éleva de la classe.
"Silence! Ou vous viendrez prendre le place de Mademoiselle Florence!"
La Directrice continua à l'intention de Florence:
"Pour vous activer vous aurez un coup de cravache toutes les 10 secondes.
Commencez... maintenant !".
Un sifflement, un bruit sec, et la de cravache dessina une ligne rouge en travers des fesses nues de la jeune adulte tout juste sortie de l’adolescence.
Celle-ci s'écria de douleur et avança vers le ventre de sa copine, s'esquintant les genoux sur le bois rugueux de l'estrade.
En classe dix-sept paires de yeux étaient gluées aux fesses torturées.
Personne ne restait indifférent devant cette scène d'une obscénité rare. Le but était d'associer l'affreuse humiliation, ainsi que la douleur de la cravache, aux jeux sexuels, pour que les filles comprennent le message : pas d'amourettes dans l'Institut Ospif.
Sans que la Directrice eut besoin de lui dire, Stéphanie avait mis les mains derrière le dos et attendait ce qui allait se passer. Elle n'osait pas regarder la classe, elle était rouge comme une tomate bien mûre. Quand les fesses de Florence avaient reçu leur premier coup de cravache, elle aussi avait ressenti une douleur aiguë dans son derrière, comme par sympathie avec son amie.
Déjà le deuxième coup de cravache fit crier Florence et aussitôt une deuxième marque rouge vint s'ajouter, parallèle à la première.
Morte de honte, Florence passa la tête en dessous de la jupe de son amie, frôlant ses jambes nues.

Quand sa tête dessina une protubérance monstrueuse dans le tissu gris, la tension monta d'un cran dans la classe. A ce moment-là, plusieurs fille auraient aimé être à la place de Florence, même au prix d'un derrière en feu...
Des mains disparurent discrètement en dessous des jupes, des cuisses se serrèrent, puis se relâchèrent, puis se serrèrent à nouveau. Ginette Sarogue, les bras croisés devant sa poitrine, se caressait discrètement les seins à travers son chemisier. A la dernière rangée Régine Detulin, le ventre rentré, avait apparemment les mains sagement sur le dos, mais sa main droite disparaissait entièrement dans sa culotte, invisible pour la Directrice...
Le troisième coup de cravache, donné sur le haut des cuisses, projeta Florence en avant, son nez cognant douloureusement contre le pubis de son amie. Cette fois-ci Stéphanie cria aussi. C'eût le don d'exaspérer la Directrice qui lui asséna de sa main gauche une formidable claque sur les fesses, la propulsant à nouveau contre le visage de Florence. Celle-ci, dans l'obscurité sous la jupe, enivrée par l'odeur intime de son amie, se mit fiévreusement à la recherche de l'élastique de la culotte. Elle ne le trouva pas car la taille de la jupe descendait plus bas sur les hanches que la culotte. Alors elle mit ses dents dans le coton et tira de toutes ces forces, secouant la tête, comme un chien qui a retrouvé sa pantoufle préférée. Malheureusement, elle avait aussi agrippé quelques poils et était en train de les arracher. Stéphanie cria de douleur, et instinctivement bascula son bassin en arrière. Un nouveau coup de cravache stimula Florence qui repartit à l'assaut, la bouche grande ouverte. Elle rencontra une résistance et ferma les dents dessus, décidée de ne plus lâcher prise: ses fesses étaient en feu.
Mais dans sa hâte d'échapper à la morsure de la cravache, elle n'avait en bouche pas seulement la culotte de coton, mais aussi une bonne bouchée du sexe de son amie. Stéphanie hurla de terreur quand elle sentit les dents se refermer sur sa chair intime et perdit le contrôle de sa vessie. Le liquide chaud inonda le visage de Florence et coula sur son chemisier d'école.
Surmontant son dégoût, elle rajusta sa prise et se mit à tirer la culotte trempée le long des jambes de son amie. L'odeur d'urine la troublait. La culotte avait maintenant un goût salé et glissait mal. Plusieurs fois elle lâcha prise et dut recommencer.
L'urine coulait toujours en un petit filet et faisait un bruit répugnant sur le bois de l'estrade, éclaboussant les bas blancs de Stéphanie et les genoux de Florence.
Florence parvint à glisser la culotte jusqu'aux chevilles. Quand Stéphanie leva un pied puis l'autre, Florence put enfin se redresser, toujours à quatre pattes, le derrière strié de marques rouge pointé vers la classe. Dans la bouche elle tenait la culotte encore tiède, dégoulinante d'urine, comme un chien de chasse qui apporte le lièvre encore chaud à son maître.
Pour punir Stéphanie d'avoir uriné en public la Directrice lui releva la jupe sur le ventre et lui asséna un terrible coup de cravache en travers du pubis.
Sous la douleur fulgurante Stéphanie tomba à genoux et se remit à uriner en de long jets. Ce fut l'instant que choisirent plusieurs filles pour atteindre leur paroxysme et la classe fut secouée de gémissements difficilement étouffés.
La Directrice fit mine de ne s'apercevoir de rien, pour ne pas avoir à punir toute le classe. Mais elle nota mentalement qu'elle devrait surveiller cette classe de très près...

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Le Capitaine Florence Coterin et son bateau Le RIA DE ALDAN MANAPANY basé à Colón Panama.


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Dorothée Duchâtelet fraichement nommée directrice générale pour l’Europe centrale à Lorient en France, proche de l’institut de formation des matelots à Port Louis elle continuera à tenir ses fonctions à l’institut. Pour la soutenir et l’aider dans ses nouvelles responsabilités elle bénéficiera temporairement des services de Philéas Mac Pyridine arrivé récemment de Homer pour s’occuper de la conciergerie. Par la suite Philéas devra comme prévu assurer la formation de deux personnels spéciaux choisis par Denise : les enfants de la plus jeune sœur de Gilbert Ospif son mari, ceux-ci seront affectés ensuite comme co-directeurs à la base sensible de la compagnie à Port Dikson située en mer de Kara sur le territoire Russe.
L’image de fin montre Dorothée punie pour la seconde fois par Denise avant qu’elle en devienne amoureuse. Il est rare qu’une personne sans lien avec la famille puisse devenir directrice.

La candidate

"Dorothée Duchâtelet je présume ? Entrez!"
La Directrice fit entrer la femme dans son bureau. La candidate pour la fonction d'assistante pédagogique lui plaisait instinctivement. Mais elle ne voulait pas se baser sur cette première impression.
"Asseyez-vous. J'ai bien reçu votre candidature et je dois dire que votre curriculum est intéressant. Mais avant de vous engager, je voudrais vous poser quelques questions d'ordre privé... "
La candidate avait la trentaine riante: mince et athlétique, elle inspirait la sympathie. La Directrice l'observait sans rien dire. Ce qui frappait chez cette candidate, c'était son sourire: elle souriait des yeux, sans que sa bouche participe. Ses cheveux blonds étaient tirés en arrière en une longue natte, ce qui lui donnait un petit côté juvénile qui lui allait très bien.
Les deux femmes parlèrent d'éducation, de projets et de tendances pédagogiques. La candidate avait assez bien d'expérience dans une université publique, mais elle trouvait que la discipline y manquait. Quelqu'un lui avait parlé de l'Institut Ospif où on honorait encore les principes pédagogiques qui étaient depuis longtemps oubliés dans les autres écoles. Elle avait sollicité et sa candidature avait été retenue. L'entretien avec la Directrice-co-fondatrice Denise Mac Pyridine, épouse de Gilbert Ospif, avait été agréable, mais la jeune femme sentait qu'elle ne s'en tirerait pas si facilement.
Effectivement, la Directrice ferma le dossier de Mme Duchâtelet et l'invita à s'asseoir dans le petit salon :
"Nous y serons mieux pour discuter..."
La Directrice lui indiqua un énorme fauteuil à accoudoirs, moelleux à souhait, où Dorothée s'enfonça avec plaisir.
"Un doigt de Porto ? C'est un vintage de 1970..."
"Volontiers, Madame la Directrice."
Discrètement la Directrice l'observait de la tête aux pieds. La jeune femme avait visiblement soigné son apparition: tailleur deux-pièces sombre, chaussures aux talons raisonnables, un simple bracelet d'argent autour du poignet droit.
"Chère Madame, votre dossier m'a l'air plus que positif, mais vous savez comme moi qu'il y a des choses qui ne se trouvent dans aucun dossier, n'est-ce pas?"
Dorothée Duchâtelet acquiesça.
«Avant d'engager quelqu'un j'ai d'habitude une conversation un peu, mettons, 'informelle'... Êtes-vous d'accord de répondre à quelques questions un plus personnelles? »
A nouveau ce sourire partant des yeux, éclairant tout le visage. Décidément, elle plaisait de plus en plus à la Directrice.
"Je vous promets de répondre sincèrement..."
"Savez-vous vous faire obéir ?" commença la Directrice.
Dorothée eut un regard étonné et répondit :
"Oui, bien sûr, je l'ai prouvé à maintes reprises."
"Et savez-vous aussi obéir ?"
La Directrice l'observait comme un chat regarde la souris qu'il va croquer.
Quelque chose de trouble passa dans les yeux de Dorothée, comme un nuage. Elle se reprit, et malgré une certaine rougeur sur joues, elle répondit d'une voix naturelle:
"Je sais obéir..." Son regard ne fuyait pas celui de la Directrice.
Cette dernière se sentait dans son élément : elle allait se mesurer à une jeune femme dynamique et intelligente, ce qui était toujours intéressant.
Dorothée Duchâtelet attendait la suite, assise dans son fauteuil, les mains croisées sur les genoux sagement joints. Elle ne portait pas de bas en ces derniers jours d'été et ses jambes étaient joliment bronzées.
Sans ouvrir la bouche, la Directrice fixa les genoux ronds de la jeune femme.
Elle ne dut pas attendre longtemps: la jeune femme avait capté le regard intense, et d'un geste naturel elle mit ses mains sur les accoudoirs du fauteuil et déplaça ses pieds, écartant légèrement les genoux.
La Directrice fit la moue et maintint son regard.
Dorothée avala difficilement, sourit à nouveau des yeux, puis écarta ses genoux un peu plus, faisant monter la jupe du tailleur au-dessus du genou. Elle admirait le magnétisme de la Directrice et la regarda droit dans les yeux. Elle avait soudain très chaud, mais cela ne lui déplut pas.
Sur un nouveau signe de la tête Dorothée ouvrit encore plus les jambes, consciente que la Directrice pouvait voir sous sa jupe. Ce petit jeu aussi discret qu'innocent la troublait plus qu'elle ne voulait avouer. Elle regarda la Directrice, mais ne pouvait rien voir: le fauteuil où Madame Ospif était assise était de biais. Dorothée se rendit compte avec étonnement qu'elle aurait bien aimé voir la Directrice faire le même manège qu'elle.
"Faites-moi sentir votre parfum..." La Directrice avait parlé sans presque bouger les lèvres, le visage impassible comme un masque de cire.
"Je... euh, 'L'Air du Temps'?"
Pas de réponse. Dorothée n'osa pas croire ce que la petite voix dans sa tête lui soufflait...
"Mon... parfum...?"
Comme toute réponse, la Directrice cligna des yeux.
Sans le savoir Dorothée passa sa langue sur ses lèvres. Elle plongea son regard dans celui de la Directrice, essayant de le déchiffrer. Elle y renonça et décida de jouer le jeu. Elle était profondément troublée par le comportement étrange de sa future patronne: elle sentit que l'autre femme avait une personnalité très forte, mais qu'elle posséda aussi une chaleur peu commune, et que cette chaleur se dirigeait vers elle. Machinalement elle releva légèrement ses manches, elle eut soudain une bouffée de chaleur...
"Faites..." Dorothée ne sut pas si elle avait entendu l'ordre ou si elle l'avait seulement imaginé.
Un sourire aux lèvres elle glissa la main droite sous sa jupe, d'un mouvement souple et naturel. Ses yeux se voilèrent une fraction de seconde quand la main atteignit son but. "Comment a-t-elle su que j'étais troublée? Que me veut-elle exactement? Jusqu'où va-t-elle aller? Je ferais n'importe quoi pour cette femme, comment a-t-elle obtenu cela? Est-ce que cela se voit si clairement?"
Lentement elle se pencha et tendit la main à la Directrice, la paume vers le haut.
La Directrice huma sans quitter la jeune femme des yeux. "Elle est vraiment parfaite" se dit-elle et hocha la tête.
"L'autre côté, maintenant..."
Dorothée se mordit les lèvres, baissa les yeux un court instant. Puis, son cœur battant la chamade, sa main gauche disparut sous sa jupe. Elle dut se contorsionner un peu, glissa plus en avant dans l'énorme fauteuil. Elle se prit au jeu et savoura le regard de la Directrice. De l'électricité passait entre les deux femmes. Dorothée ouvrit la bouche sur un gémissement sourd quand un doigt se fraya un passage là où elle n'avait encore jamais mis un doigt.
Dorothée tendit les deux mains. La Directrice les huma à tour de rôle. Son odorat développé discerna plusieurs parfums. Madame Duchâtelet était fortement troublée par cet interview, mais elle n'avait pas peur, la Directrice l'aurait immédiatement senti. Elle avait chaud et transpirait, mais aucune note aigre.
Elle sentait le savon et le talc.
"Donnez-moi votre petite culotte..."
Dorothée dut se mordre les lèvres pour ne pas montrer son désarroi et rester calme. Elle respira profondément et d'un geste qu'elle voulait naturel, alla chercher sa culotte sous sa jupe. Elle tendit le slip roulé en boule à la Directrice, mais celle-ci fit mine de ne pas le voir.
"Humez-la..."
La jeune femme mit le sous-vêtement contre son visage. "Comment a-t-elle deviné que cette odeur m'enivre? Qu'il m'arrive de m'endormir avec ma culotte contre mon visage? Peut-elle lire les pensées? Que doit-elle bien penser de moi?" Elle avait à nouveau rougi et se sentait sans défense devant cette personnalité qui avait l'air de briser posément chacune de ses défenses. C'est comme si elle avait perdu toute son énergie maintenant que la Directrice l'avait amenée à s'exposer de la sorte, à avouer sans mots à quels jeux elle s'adonnait parfois dans la chaleur moite de son lit à une place...
"Supportez-vous la douleur?"
La question mit plusieurs secondes à pénétrer.
Dorothée murmura "Oui..."
Puis "Je suis prête... Madame la Directrice..."
"Vous savez que vous méritez de souffrir, afin d'être prête pour votre tâche?"
"Oui..."
Sans un mot la Directrice se leva. Elle appuya sur un bouton, éteignant la lumière. Seules quelques bougies éclairaient la scène.
Les battements de cœur de Dorothée s'était calmés, elle était sereine, en paix avec elle-même. Elle était vraiment prête à subir une juste punition pour toutes ses offenses, pour tous ses péchés.
La Directrice s'agenouilla devant la jeune femme et lui mit les mains sur les genoux. Quand elle les ouvrit elle ne sentit aucune résistance. La jupe remonta très haut sur les cuisses. Dans la pénombre elle devina le sexe nu.
Dorothée eut un gémissement sourd quand la Directrice lui mit d'abord l'une jambe sur l'accoudoir, puis l'autre, exposant son entrejambe d'une façon savamment obscène. D'elle-même la jeune femme mit ses bras derrière le dossier du fauteuil, faisant saillir ses seins sous le chemisier blanc. La Directrice ouvrit un à un les boutons du chemisier, puis d'un mouvement sec, souleva le soutien-gorge, libérant les seins de Madame Duchâtelet. Elle avait une poitrine menue et ferme, aux auréoles à peine plus foncé que les seins bronzés.
La Directrice lui prit délicatement le bout des seins entre les doigts et les roula prudemment. Dorothée réagit en se mordant les lèvres, avouant ainsi être très sensible.
Puis, sans pitié la Directrice pinça les bouts de plus en plus fort, comme dans une tenaille. Des larmes jaillirent aux coins de yeux de la jeune femme, ses lèvres tremblèrent, mais elle tint bon. Elle gémit. Le regard chargé d'hypnotisme profondément dans les siens, la Directrice lui demanda d'une voix douce:
"Allez-vous m'obéir aveuglément, quoi qu'il arrive?"
"... Oui, Madame..." Elle dut faire un effort pour se dominer, pour ne pas crier...
C'est comme si on lui arrachait le bout ses seins.
"Alors je vous garderai près de moi..."
"Mmmmmerci, Madame..." Elle relâcha les pointes.
"Maintenant vous allez être châtié pour vous purifier de vos offenses. Cette punition restera entre nous. Mais je ne peux pas vous garantir qu'en cas de récidive vous ayez à nouveau droit à cette clémence... Je propose que dans ce cas vous soyez punie publiquement, devant vos collègues..."
"Bien, Madame la Directrice."
"Voulez-vous que je vous bâillonne et que j'attache vos mains?"
"Oui, s'il vous plaît..."
La Directrice prit la culotte roulée en boule et la mit dans la bouche de la jeune femme. Puis elle enleva son foulard de soie et l'attacha autour de la tête pour garder le bâillon en place.
Dorothée avait deviné juste: la Directrice avait horreur du bruit en général, des cris en particulier.
Les mains furent attachées derrière le fauteuil, avec des menottes en cuir, reliées par une chaîne.
La Directrice prit une longue latte de plastique souple sur la table basse et vint s'agenouiller entre les jambes écartées de Dorothée. Dorothée s'était rasée il n'y avait pas longtemps car un léger duvet recouvrait son mont de Vénus. Dans cette pose le sexe béait largement et malgré la faible lumière la Directrice put distinguer le petit bouton de chair qui était sorti de sous son capuchon protecteur. Les lèvres étaient délicatement ourlées et cachaient mal l'entrée du vagin, d'où d'abondantes sécrétions coulaient, démontrant le trouble de la jeune femme. L'anus luisait doucement comme une étoile de chair dans la lueur des bougies.
La Directrice approcha le visage. Ses narines tremblaient au contact de ce parfum dont elle n'arrivait pas à se lasser. Elle refréna son envie d'enfouir son visage dans ce sexe ouvert et respira profondément pour retrouver son calme. Elle se reprit. Entre ses jambes son émoi laissait aussi des traces.
Elle prit la latte à la verticale, la tenant d'une main à la base. Ensuite, de l'autre main, elle plia le plastique souple vers l'arrière. Elle visa soigneusement, puis lâcha brusquement.
La latte se détendit et frappa le sexe offert de plein fouet. Dorothée sursauta, les yeux révulsés par la douleur. Elle cria dans son bâillon.
Les cuisses tremblaient, les muscles du bassin se contractaient spasmodiquement; les orifices se resserraient, puis s'ouvraient à nouveau.
Dorothée eut de la peine à ne pas céder à la panique: elle ne s'attendait pas à une douleur si vive, ni surtout à cet endroit. Ce n'est pas sans raison que la Directrice avait choisi cette place pour la châtier: la douleur est décuplée quand elle est exercée en un endroit intime. L'humiliation augmente la perception de la douleur.
Le deuxième coup partit quand le choc du premier commençait à peine à diminuer. La latte fit un bruit écœurant en frappant les chairs délicates. La Directrice vit clairement le petit bouton devenir blanc comme une perle, le sang chassé, puis redevenir rouge-sang. La douleur devait être horrible.
Dorothée secouait la tête, le visage convulsé. Son vagin restitua brusquement l'air qui s'y était engouffré, le bruit insolite ajoutant encore à l'émoi de la jeune femme.
Cette fois-ci la Directrice n'attendit pas et frappa une troisième fois.
Dorothée faillit s'évanouir. Elle était folle de douleur. Ses sphincters lâchèrent et elle urinait sans même s'en rendre compte, éclaboussant la Directrice.
Avant même que la vessie de la jeune femme fut vide, la Directrice avait encore frappé deux fois. Des capillaires avaient dû éclater car quelques gouttes des sang apparurent sur les lèvres. La vulve était violacée comme si la douleur avait attiré tout le sang du bassin.
Avant de s'évanouir, Dorothée entendit la voix de la Directrice à travers un épais brouillard :
"Je suis fière de vous..."
Le sourire aux lèvres, Madame Dorothée Duchâtelet tomba dans un trou noir...

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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-1

Ginette Sarogue, les bras croisés devant sa poitrine, se caressait discrètement les seins à travers son chemisier. A la dernière rangée Régine Detulin, le ventre rentré, avait apparemment les mains sagement sur le dos, mais sa main droite disparaissait entièrement dans sa culotte, invisible pour la Directrice...

Deux petites cochonnes diplomées de l'institut Ospif avec une affectation comme Bosco sur deux de nos navires à Samsun sur la terre Turque dépendant de la de la direction générale de l'Asie de l'ouest. Des navires neufs sortis des ateliers de Tersan .Formées à la rigueur et à obéissance, elles occuperont plus tard de grandes responsabilités dans la compagnie,mais elles doivent encore apprendre


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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-2

l'installation de la compagnie à Diksonsky Morskoy en mer de Kara est très compliquée et délicate dans l'urgence Denise a recruté un non feminisé comme mécanicien et protecteur des filles ,elle pense qu'il est pour le moins bisexuel et qu'elle devrait arrivé à l'inactivé dans le futur, Anania y est bien arrivé avec Philéas.
La compagnie vous présente Vladimir, on ne peut vous donner son nom de famille pour ne pas embarasser sa parentèle.


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On fait ici connaissance de Mado Lavergne aujourd’hui Commandant de Marine suppléante elle prend en charge les remplacements sur toutes les mers et océans, elle est basée à Panama pour des raisons évidentes, elle dispose pour mener à bien ses missions d’un yacht très rapide LE FUSION de la Mac Pyridine Company. Clémentine Kloasskunt est devenue quant à elle Capitaine sur LA PENA notre plus petit navire à Colón.

En illustration Mado et Clémentine dans les toilettes de L’institut Ospif.

Formules de maths

Madame Mado Lavergne assistait son collègue prof de mathématiques Charlotte Ghélains avant qu’elle ne devint directrice de l’institut après la nomination de Denise au sommet de la Mac Pyridine Company, lors des l'examens; elle surveillait les élèves.
Soudain elle surprit Clémentine Kloasskunt à relever subrepticement le bord de sa jupe à plis, puis à regarder le dessus de ses cuisses. Elle la tint à l'œil. Le manège se renouvela quelques fois. Vers la fin de l'examen, quand la feuille de Clémentine fut bien remplie, Madame Lavergne la fit se lever et lui donna l'ordre de l'accompagner hors de la classe.
"Je crois que vous devez aller aux toilettes, n'est-ce pas ?"
Clémentine Kloasskunt rougit fortement et se leva.
Penaude elle suit la femme vers les toilettes des professeurs. Mais au lieu de rester devant la porte de la toilette, Madame Lavergne entra avec Clémentine dans la petite pièce ! La jeune fille ne comprenait pas. Mais quand Madame Lavergne lui dit de remonter sa jupe elle comprit très vite.
A regret, les joues rouges, elle souleva sa jupe : joliment alignées, il y avait des dizaines de formules, écrites en encre noir sur le dessus des cuisses.
"Asseyez-vous." Madame Lavergne avait fermé la porte. Elles étaient seules et il y avait peu de risque qu'elles soient dérangées.
Clémentine était blême de peur. Tricher à l'examen pouvait signifier son renvoi de l'Institut Ospif.
Mais Madame Mado Lavergne avait autre chose en tête... Clémentine était une petite blonde appétissante et Mado décida de lui donner une bonne leçon - et une deuxième chance au lieu de l'envoyer chez la Directrice, ce qui signifierait certainement son renvoi...
La jupe toujours retenue autour de hanches, Clémentine s'assit sur la lunette de la cuvette. Madame Lavergne s'accroupit à côté d'elle et, sans hésiter, mit sa main sur la cuisse charnue. Doucement elle caressa les formules. Puis sa main glissa vers l'intérieur des cuisses de la jeune étudiante, là où la peau est très douce. Clémentine était horriblement gênée. Elle rougit fortement et regarda la main de la femme sur ces cuisses recouvertes de formules de maths.
Les ongles de la femme étaient soignés, limés en pointe et étaient recouverts d'un vernis argenté. Lentement la main se déplaça et s'approcha de la culotte.
Clémentine gémit de honte.
"Non, Madame, non... S'il vous plaît..." plaida-t-elle.
"Quel effet cela vous fait-il de tricher ?"
Clémentine sursauta quand la main se plaqua avec une brusquerie calculée sur l'entrejambe.
"Alors, ma petite salope... On va faire votre fête..."
"Madame... s'il vous plaît... ne... faites pas ça...Oh..."
La fixant droit dans les yeux, Madame Lavergne se mit à lui masser le sexe à travers le coton de la culotte blanche. La main bougea lentement en rond, puis un doigt suivit la ligne qui sépare les lèvres en un allez et retour lascif, s'arrêtant à l'endroit où les lèvres se rejoignent. Là, le doigt se mit à vibrer, en augmentant la pression, puis relâchant, puis augmentant à nouveau...
Clémentine se sentait très mal à l'aise, cette femme avait quelque chose de pervers dans le regard. Un instant même elle se demanda si elle ne ferait pas mieux de se sauver et d'aller se réfugier chez la Directrice, quitte à être renvoyée de l'Institut...
Mais Mado Lavergne ne lui laissa pas l'occasion.
"Si vous ne vous laissez pas faire, je pourrais vous faire très, très mal..." En disant cela elle pinça méchamment dans le gras des lèvres. Clémentine gémit.
"Madame... je regrette ce que j'ai fait, mais s'il vous plaît, laissez-moi, je vous en supplie..." Elle était morte de honte. La main continuait à malaxer ses chairs intimes. Clémentine brûlait de repousser cette main qui la fouillait, mais n'osait pas, terrorisée.
Madame Lavergne se pencha, la bouche près de l'oreille de Clémentine.
"Depuis fait longtemps j'avais envie de m'occuper d'une petite salope comme vous... Croyez-vous que je ne vous connaisse pas ? Je vous ai observée..."
La main gauche toujours sur le renflement du sexe, Madame Lavergne mit sa main droite sur les reins de Clémentine, puis la fit glisser dans la culotte, le bout des doigts suivant la raie des fesses.
"A la façon où vous bougez votre petit derrière on voit très bien que vous êtes une vraie salope... Avec combien de filles de cette école avez-vous déjà fait l'amour, dites ? Combien de garçons avez-vous laissé chipoter sous votre jupe trop courte ?"
Arrête-s’il vous plaît..." Clémentine sanglotait. La main qui était entrée dans sa culotte par derrière se frayait un passage vers son intimité. La jeune fille était troublée et en même temps avait envie de vomir. Cette femme était en train de la violer, là, dans les toilettes de l'Institut, d'une façon subtile mais non moins efficace. Elle haletait, de honte, de dégoût, de peur...
Madame Lavergne tapota légèrement l'entrejambe où elle sentait le renflement de la vulve. Elle avait expressément évité de glisser sa main gauche dans la culotte et pinça sournoisement à travers le coton. Du bout du doigt elle poussa le tissu le plus loin qu'elle put dans l'ouverture du sexe. A cause de son massage la culotte était chaude et humide. Personne, aucun corps ne résiste à une main experte. Et Madame Lavergne était experte !
De son coude gauche elle écarta encore plus les genoux de Clémentine tandis que sa main droite avait atteint la protubérance de l'anus. Délicatement elle en suivit le pourtour du bout du doigt. Clémentine pleurait sans se retenir, horriblement gênée.
"Laissez-moi, s'il vous plaît... C'est mal ce que vous faites..." elle parvint à balbutier entre deux sanglots. "Vous n'avez pas le droit..."
"Ah bon, je n'ai pas le droit ? C'est ce que vous croyez ! Vous vous trompez Mademoiselle. Dans le périmètre de l'Institut j'ai le droit de vous corriger comme bon me semble... Je vais vous faire passer un quart d'heure que vous n'oublierez pas de sitôt...".
La femme se rapprocha à nouveau de l'oreille de Clémentine. Elle darda la pointe de sa langue dans l'oreille de la jeune fille, la faisant frissonner.
"Maintenant ma petite salope, vous allez faire ce que vous étiez venu faire : vous allez faire pipi. Un beau gros pipi... Allez-y.…"
Clémentine ouvrit de grands yeux, n'osant pas comprendre ce que la femme lui avait suggéré.
"Mais je... Ma culotte ?"
"Je crains que vous deviez porter une culotte trempée pour le reste de la journée... Ne me faites pas attendre, cela pourrait être très douloureux... pour vous..." et elle lui gratta légèrement l'anus du bout de l'ongle. Clémentine gémit, plus de peur que de douleur.
"Je soigne toujours bien mes ongles... Ils sont coupants comme des rasoirs...
Je peux vous faire très mal, vous savez...". Clémentine n'en douta pas. En panique elle essaya de faire pipi pour éloigner le danger immédiat, tant pis pour la culotte. Mais l'effroi la paralysa : c'est comme si son sphincter était bouché et ne lui appartenait plus. Pas moyen d'uriner...
"Ça vient ?"
Hélas, non, cela ne venait pas...
"On dirait que vous avez moins de bagout... Pourtant votre corps a l'air d'apprécier, vous ne croyez pas ?"
Clémentine poussa autant qu'elle put. C'est vrai que son corps réagissait,
Madame Lavergne avait du doigté...
Les doigts se firent plus pressants. Comme Clémentine continuait de pousser, son anus s'ouvrit légèrement. Madame Lavergne n'hésita pas et son doigt pénétra profondément dans le derrière de la jeune fille. Clémentine sentit comme une brûlure. Les sanglots redoublèrent.
"S'il vous plaît, arrêtez... Vous me faites mal..."
"J'attends..."
Sa main gauche massa doucement l'entrecuisse. Clémentine parvint enfin à se relaxer ; un gros soupir accompagna le premier jet d'urine.
Madame Lavergne sourit en sentant la culotte s'imprégner et la frotta de plus belle. L'urine débordait des deux côtés de l'entrejambe de coton, puis coulait avec un bruit clair dans la cuvette. Elle sentit aux contractions du rectum que Clémentine faisait tout pour s'arrêter d'uriner.
"Allez-y, continuez... une vraie petite salope... Qui mouille sa culotte...
Quand vos copines sauront ça..."
Madame Lavergne continuait son lent massage. Du bout des doigts elle tâta la source d'où jaillissait l'urine brûlante. Le massage avait comme résultat que la culotte était trempée.
"Maintenant enlevez votre culotte..."
Reniflant, Clémentine agrippa l'élastique et tira mais eut de la peine à l'enlever parce qu'elle était trempée. Avec une grimace de dégoût elle la fit glisser le long de ses jambes.
"Regardez le fond... Vous savez très bien ce que je veux dire..."
Effectivement, le massage expert avait eu des suites physiologiques que l'urine n'avait pas pu effacer.
"Maintenant léchez "
Clémentine ouvrit de grands yeux et hésita. Madame Lavergne remit sa main sur le sexe nu. Le doigt dans l'anus se courba vicieusement. Clémentine cria.
Pleurant de honte la jeune fille avança prudemment la langue. L'odeur d'urine était puissante mais au grand étonnement de Clémentine, pas vraiment rébarbatif. Le liquide avait un goût salé, un peu comme de l'eau de mer, mais en plus fort.
"Vous transpirez Mademoiselle..." Madame Lavergne prit la main qui tenait la culotte mouillée et lui frotta le visage. Clémentine tenta en vain de se débattre et d'éviter le contact avec le linge souillé.
"Maintenant vous allez effacer le gribouillage sur vos cuisses..."
Pleurant de chaudes larmes, Clémentine se mit à frotter avec sa culotte. Elle avait l'impression que tout sentait le pipi : son visage, son ventre, ses cuisses. Une à une les formules disparaissaient. La peau rougit tant elle frottait fort.
"Bon. A présent je vais vous punir. Levez-vous. Ouvrez la bouche."
Madame Lavergne prit la culotte et la fourra dans la bouche de la jeune fille. Le goût salé envahit sa bouche, l'odeur d'urine l'incommodait. Clémentine n'osa pas s'opposer. Elle avait une peur viscérale de Madame Lavergne, la sentant sûre d'elle-même et prête à tout.
A nouveau ce goût et ce parfum interdit. Troublant. Et humiliant, justement parce que Clémentine sentait que cela la troublait malgré elle.
"Retournez-vous, et appuyez-vous sur la lunette."
Comme un automate, Clémentine obéit. Elle se pencha en avant et appuya ses mains sur la lunette blanche de la toilette.
"Ecartez les pieds. Mieux que cela."
Clémentine bougea ses pieds. Elle avait déjà été cravachée deux fois depuis qu'elle était à l'Institut. Elle détestait avoir alors les jambes ouvertes ; c'était comme si les coups étaient plus douloureux que quand elle serrait les cuisses. Ou était-ce l'humiliation de montrer son entrejambe à celle qui la cravachait qui augmentait la douleur ?
Clémentine entendit un glissement quand Madame Lavergne enleva la ceinture de sa jupe et pensa "Ouille, pas la cravache, mais la ceinture..." La cravache était beaucoup plus maniable, étant créée pour frapper, mais avec la ceinture on ne savait jamais où elle allait atterrir, et comment : parfois elle tournait et c'était le bord mince de la ceinture qui frappait la chair, et non le côté plat...
Clémentine retint son souffle, ferma les yeux.
L'instant après la douleur l'aveugla : la ceinture ne l'avait pas frappée sur les fesses comme elle l'attendait, mais entre les cuisses ! Sa vulve était en feu, touchée de plein fouet. La ceinture l'avait mordue de l'anus jusqu'au pubis, suivant la courbe de son corps, la léchant comme une langue de feu.
Elle dut s'agenouiller contre la cuvette pour ne pas tomber. Heureusement qu'elle était bâillonnée, sinon son cri aurait été entendu dans toute l'école.
"Relevez-vous, ce n'est pas fini. Je vais vous apprendre à tricher."
Clémentine se redressa, les jambes tremblantes, et reprit la position.
Elle se retourna une fraction de seconde, juste assez longtemps pour voir Madame Lavergne se tenir prête, la fine ceinture de cuir pendant de sa main droite comme un serpent noir.
Les muscles de la jeune fille se crispaient dans l'anticipation de la douleur horrible qui allait venir. Elle ne supporterait plus beaucoup de coups pareils ; la douleur irradiait encore dans son ventre, en rapides pulsions.
Le deuxième coup était encore bien plus douloureux que le premier : Madame Lavergne avait trouvé la bonne manière de lancer le bras. La ceinture claqua entre les jambes de la jeune fille. Clémentine faillit s'étrangler avec son bâillon et se prit le sexe à deux mains. Avec horreur elle les retira toutes mouillées. Ce n'était heureusement pas du sang : par la douleur elle s'était mise à uriner sans s'en rendre compte.
Madame Lavergne visa soigneusement. La ceinture claque une troisième fois.
Comme un zombie Clémentine se releva. Le troisième coup lui avait donné l'impression d'être coupée en deux : c'est le bord de la ceinture qui l'avait touchée. Sa chair intime était rouge-sang. Elle avait glissé par terre et avait perdu connaissance pendant quelques instants.
Madame Lavergne l'avait aidée à se relever. Puis elle avait lui retiré la culotte de la bouche et l'avait obligée de la remettre. Clémentine avait touché le fond de l'horreur : la culotte trempée d'urine et de salive collant sur sa vulve douloureuse à hurler, était la pire des choses qui lui étaient arrivées jusqu'à présent.
L'urine coulait toujours, en un petit filet, sans que Clémentine puisse l'arrêter : elle ne se contrôlait plus, ne sentant que l'affreuse douleur entre ses jambes. "Je suis incontinente... Elle a touché quelque chose et je suis incontinente... Je ne sais plus m'arrêter de faire pipi, je ne sens plus rien, tout fait si mal entre mes jambes..." Les pensées s'entrechoquèrent dans sa tête.
Clémentine passa le restant de la journée à l'infirmerie, dans le lit cage, les mains attachées pour qu'elle ne puisse pas se toucher ; l'infirmière avait enduit sa vulve d'une crème contre les hématomes, puis lui avait enfilé une couche-culotte. Clémentine avait protesté contre ce traitement humiliant, mais Madame Lavergne et l'infirmière avaient ignoré ses cris et ses injures.
Jusqu'à ce jour Clémentine n'a plus essayé de tricher aux examens.

Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
Par Charlene O.


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Mado Lavergne Commandant Suppléant et son Yacht LE FUSION de la Mac Pyridine Company.


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MessagePosté : sam. 09 mars 2024, 14:23 
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Le Capitaine Clémentine Kloasskunt et son navire LA PENA.


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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-3

Mise sous pression par sa soeur Denise, Huguette chief executive de la Mac Pyridinne compagny a exigé la cloture de l'organigramme de la société pour l'Amérique Centrale, il est en effet grand temps de s'occuper de l'Amérique du Sud et du renouvellement des équipes de la nouvelle Directrice Générale transexuelle Lili Choquet.A Mar Del Plata Lili a à faire de vieux capitaines grincheux en bout de course qui ne veulent plus entendre parler que de retraite.

Philéas a œuvré en sous marin, il voulait que soit nommée Rosa Quispe à la direction des poissonneries de l'Amérique centrale,elle est la partenaire des jeux sexuels extrêmes du jeune ami du vieux Mac Pyridine: Gilbert Ospif. Kiyomi Sakana responsable de la direction centrale pour cette branche de nos activités a bien voulu répondre favorablement à la condition que Quetzal, la fille de Rosa, devienne co-directrice pour assurer la vision à long terme.

La Mac Pyridine Company vous présente Quetzal et Rosa Quispe Directrices des poissonneries Mac Pyridine en Amérique Centrale.

NB:L'organigramme pour l'Amérique Centrale est clos et sera puplié très prochainement dans le journal de la société.


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ORGANIGRAMME DE LA MAC PYRIDINE COMPANY PARTIE-2
Un premier clic pour agrandir.
Un second clic pour zoomer.

Rappel PARTIE-1
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Les spin-off de la Mac Pyridine company story-1
Actuellement en charge de la conciergerie de l’institut à Port-Louis et en attente des enfants de la plus jeune Sœur de Gilbert Ospif que je dois formater, j’étais seul sur les remparts lorsque cette femme bénéficiant du logement et autres avantages attribuées par Denise me racontât son histoire comme elle l’avait fait bien des années auparavant à la toute nouvelle patronne de la compagnie, je sors de son lit et je pense que nous avons été mis en présence à dessein et dans la perspective de l’éducation des jeunes adultes que je dois former, beaucoup de signes m’indique que la tâche et ma mission ne seront pas simples ,je viens d’apprendre que Jenifer Choquet et Nathalie Borniol arrivaient demain de Homer transportées par Mado Lavergne sur le FUSION afin de me donner quelques conseils sur les mesures à prendre de manière à apprivoiser et dresser Pascal et Pascaline Wolff avec l’appui et les compétences de madame Hélène Troischapel.
Vous pourrez voir une illustration des jeunes années de madame Troischapel sur l'image de fin.

Madame Hélène Troischapel-Demi raconte son histoire...
Madame Hélène était la doyenne des enseignantes de l'Institut Ospif . Elle avait de beaux restes, jamais on ne lui aurait donné ses cinquante-cinq ans.
Dans son jeune âge elle avait dû être très jolie. De taille moyenne, les années n'avaient que légèrement accentué les rondeurs aux bons endroits. Ses cheveux blonds, descendant jusque sur ses épaules, lui donnaient un air jeune et dynamique.
La Directrice l'aimait bien : madame Hélène était une personne cultivée, toujours soignée de sa personne, et elle avait un sens inné de la pédagogie.
En plus, elle avait montré à maintes reprises que les femmes ne lui étaient pas indifférentes. Et à l'Institut ce sont des choses qui comptent...
Un jour, elle aidait la Directrice à ranger quelques dossiers dans les archives de l'Institut, quand - par accident ? - sa main frôla les hanches de la Directrice. Celle-ci se retourna et lut dans les grands yeux bleus que le professeur n'était nullement gêné de ce geste.
"J'admire votre ligne, Madame la Directrice..." dit-elle de sa voix douce et elle refit son geste, suivant délicatement la ligne des hanches, du bout des doigts.
L'instant après les deux femmes se trouvaient face à face, les yeux dans les yeux, les mains sur les hanches l'une de l'autre. Du courant électrique passait...
Sans paroles elles se comprenaient.
C'est dans le petit salon de la Directrice que Madame Hélène se laissa aller aux confidences :
"Je n'ai pas toujours été bisexuelle, vous savez, j'y ai été forcée. Par deux 'amies' de classe... près de dix ans après la fin des études..."
"Vous dites qu'elles vous ont forcée ?"
"Oui. C'était un samedi, je m'en rappelle comme si c'était hier..."
Et Madame Hélène se mit à raconter son histoire...
"J'étais seule dans mon appartement et je préparais mes cours. J'avais viré mon fiancé quelques semaines plus tôt parce qu'il m'avait trompée avec ma meilleure amie. Et puis, on a sonné à la porte. C'étaient deux amies de classe, que je n'avais plus vues depuis longtemps..."
"On passait dans le coin, et puis on s'est dit, tiens, pourquoi ne pas monter dire bonjour à 'La Belle Hélène'..."
"'La Belle Hélène', c'est un surnom que j'avais en classe. Je n'étais pas mal, vous savez, à l'époque...", Hélène expliqua. La Directrice sourit, l'encourageant à continuer son histoire...
" Après cinq minutes, nous nous sommes assises toutes les trois sur le canapé.
Emilie à ma gauche, Chloé à ma droite. J'aurais dû me douter de quelque chose car elles étaient vraiment tout contre moi. Je sentais la chaleur de leurs cuisses contre les miennes. C'était au mois de mai et je portais une petite jupe à carreaux, qui m'arrivait jusqu'aux genoux. Emilie fit la remarque qu'elle trouvait la jupe très jolie.
"Où l'as-tu trouvée ? Tu es à croquer !"
"Je... euh... " je balbutiais, un peu gênée par son compliment.
Emilie fit aller le bout des doigts sur ma jupe, sur le dessus de ma cuisse, comme pour sentir la qualité du tissu. Un peu par politesse je lui retournai le compliment :
"Ta robe est chouette aussi !" C'était une robe en coton imprimé, blanche avec des fleurs bleues. Chloé portait un vieux jeans délavé qui la moulait comme un gant.
La main de Emilie se fit plus pressante. Je ne sais pas si c'était voulu ou pas, mais en remontant le long de ma jupe, elle accrocha le tissu et fit monter la jupe bien au-dessus du genou.
Confuse je tirais sur ma jupe. A ce moment-là, Chloé se tourna vers moi, mis sa main sur mon genou droit, et me darda une langue pointue dans l'oreille. Ce fut le signal.
"Hé, mais qu'est-ce que vous faites ?" J'étais médusée. Les deux filles étaient en train de m'allumer !
"Vous me faites une blague ? Dites, euh... vous voulez du café ? Je vais faire du thé... Vous aimez le Earl Grey ?" J'aurais trouvé n'importe quoi pour me sauver.
Mais elles ne me laissèrent pas partir.
Emilie me coupa la parole :
"Ne sois pas stupide, on veut batifoler un peu... S'amuser, quoi !"
"Mais, mais..." je ne trouvai plus mes mots, "je ne suis pas... comme 'ça'..."
"Comme quoi, ma petite Puce ? Nous sommes toutes pareilles tu sais !" Sa main caressait franchement l'intérieur de ma cuisse par-dessus ma jupe. Je commençais à me sentir sérieusement mal à l'aise. J'avais soudain très chaud.
"Je trouve que 'ma Puce' te va bien... Bien mieux que 'Belle Hélène', tu ne trouves pas, Chloé ?"

"Sûr ! 'Belle Hélène ça fait un peu poire, je trouve" et elles pouffèrent de rire.
Ensuite - je n'ai pas su voir si elles s'étaient fait signe - elle me prirent chacune par un genou, puis m'ouvrirent les cuisses. Ma jupe remonta très haut et je sursautai.
"Non ! Ça suffit, laissez-moi maintenant ! Vos petits jeux ne m'amusent pas."
"Mais pas question, ma Puce, on y est, on y reste ! On va s'amuser un peu... Et puis tu verras, tu aimeras, promis !"
"Je ne suis euh, je ne suis pas lesbienne !" j'arrivai à dire, espérant que cela calmerait leurs ardeurs.
"Mais nous non plus, mon chou ! Mettons que nous sommes 'bi', c'est dans le vent tu sais... Il n'y a qu'une femme qui sait ce qui fait vibrer une autre femme... Les femmes qui se disent 'hétéro' sont des 'bi' qui s'ignorent !"
Chloé approuva les mots d'Émilie :
"Sûr. Les hommes c'est chouette aussi. Mais c'est tout différent."
Je me sentais vraiment mal à l'aise. Vautrée au fond du canapé, les genoux tenus écarté non par un homme, mais par deux femmes, je n'en menais pas large.
Mon front était couvert de transpiration.
Je me surpris à haleter. Chloé l'avait remarqué :
"Ça t'excite, hein, Pupuce ! C'est la première fois ? Dis ? La première fois avec une femme ? C'est ça qui te chipote ?"
Que répondre ? J'étais au bord de la panique. J'aimais les hommes, je n'avais jamais été attirée par les femmes. Bien sûr, à l'école, il y avait des filles qui formaient un couple, surtout chez les pensionnaires. Je les avais regardé faire et cela ne m'avait pas attiré. Ni répugné, non plus, d'ailleurs. Mettons que cela me laissait indifférente. Dans l'optique de 'à chacun sa tasse de thé...'.
Mais maintenant j'étais confrontée avec deux amies qui donnaient tous les signes d'être plus que des amies...
Pire, qui voulaient me faire profiter de leurs leçons. Je n'étais absolument pas prête pour ça !
"Non, non et non, je ne joue pas vos jeux. J'ai été ravie de vous revoir, mais je dois partir..."
Mais elles étaient déchaînées, sentant que leur proie ne pouvait plus leur échapper. Elles prirent mes jambes entre les leurs, pour avoir les mains libres.
Me tenant chacune par un genou et un bras, elles lancèrent une attaque en règle: Emilie mit carrément sa main sous ma jupe, tandis que Chloé m'embrassa sur la bouche. J'étais sans défense. Mon corps se crispait, mais en vain.
J'essayais de garder la bouche fermée, mais la langue agile de Chloé se fraya un passage entre mes lèvres. Comme un petit animal sa langue me frottait les gencives, au-dessus des dents. De pure misère je me suis mise à pleurer. Je parvins à tourner la tête.
"Mais laissez-moi... Qu'est-ce que je vous ai fait ? Laissez-moi donc !"
Rien à faire. Pleins d'images fusèrent dans ma tête. Les idées qu'on se fait d'amours lesbiennes, moi comme esclave de ces deux furies... Je ne pouvais rien faire, Chloé glissa résolument sa langue entre mes dents. Une langue chaude et douce. Je fermai les yeux, j'étais trop gênée pour regarder cette femme qui m'embrassait passionnément, comme seulement quelques hommes m'avaient embrassé jusqu'à présent.
Je gémis quand je sentis la main d'Emilie insister entre mes cuisses.
J'adorais les jeux amoureux avec une homme, mais cette main qui me frôlait l'entrejambe avait une douceur, un raffinement que je ne connaissais pas, qui me troublait, qui me fit peur. Elle ne me touchait pas vraiment, elle m'effleurait, rien à voir avec la main d'un homme qui vous caresse. C'était tellement diabolique que malgré moi mon corps réagit : je sentis un fourmillement familier dans mon ventre et sans que je le veuille mon bassin se soulevait à l'encontre de ces doigts qui appartenaient aussi à une femme.
Emilie me susurra :
"On va t'apprendre, ma Puce... N'aies pas peur, on ne va pas te faire mal..."
Mais je me sentais comme un condamné devant la potence. Je fis un dernier essai :
"Je vous en supplie, laissez-moi ! Je ne dirai rien à personne, mais partez !"
Je sanglotais. Chloé me dit "Petite sotte" et recolla ses lèvres aux miennes. Les yeux fermés, la bouche scellée par Chloé, je pleurais doucement. Prudemment la jeune femme me souleva le sein droit, puis le laissa retomber. Je frémis, ne m'attendant pas à ça. Elle recommença son manège, soulevant le sein avec douceur, puis le relâcha brusquement. Je gémis, troublée, beaucoup plus que si elle m'avait malaxé la poitrine à pleine mains. C'était doux, c'était pervers... Mais c'était tellement agréable... A mon grand désarroi je me rendis compte que j'étais en train de me laisser aller... J'essayais une dernière fois de briser l'envoûtement, mais je sentais instinctivement que j'étais en train de perdre, que j'étais sans défense devant ces deux filles, expertes en femmes...
La main d'Emilie glissa sur ma culotte, lascivement, en formant de petits cercles aléatoires du bout des ongles, remontant sur mon bas-ventre. Elle atteignit bientôt l'élastique de la taille et, au lieu de le tirer vers le bas comme je l'y attendais, elle tira dessus, autant que ma jupe le permit, puis le relâcha. L'élastique claqua sur la peau de mon ventre et fit un léger bruit que nous avons entendu toutes les trois. Je sursautai, perdant un instant le contact avec la bouche de Chloé. Emilie continua de chipoter avec l'élastique.
C'était éprouvant pour les nerfs. Je savais ce qui allait se passer, mais justement, rien ne se passa, Emilie jouait avec l'élastique de ma culotte. Au point où je voulais lui crier 'Alors, vas-y, tires-le, qu'attends-tu ?'...
Chloé mit doucement sa main sur mon sein, par-dessus mon pull-over en cachemire et augmenta la pression imperceptiblement. C'était bon, Dieu que c'était bon, je sais encore parfaitement ce que je ressentais alors...
Elle m'aplatit le sein, puis le relâcha, puis poussa à nouveau du plat de la main, mais d'une manière si délicate, si... féminine... Mes seins ne sont pas gros, mais cette manipulation me donnait l'impression d'avoir une poitrine importante, ultrasensible, convoitée. Elle alternait, l'un sein, puis l'autre, puis à nouveau le premier. A cet instant je crus qu'il y avait des fils électriques qui reliaient mes seins à mon sexe : le plaisir que me procurait la caresse de ma poitrine descendit entre mes jambes et éclata dans mon ventre.

Alors seulement je me rendis compte qu'Emilie avait profité de l'assaut de Chloé pour faire glisser ma petite culotte sans que je résiste ; pour qu'elle y arrive j'avais dû l'aider involontairement en soulevant mon derrière. Je ne m'en étais même pas aperçue.
La culotte glissa le long de mes jambes et tomba par terre. Mes cuisses furent à nouveau écartées. Je paniquais : j'étais plutôt pudique de nature, et de me retrouver les genoux tenus écartés me donnait le vertige. Ma jupe avait remonté très haut sur mes cuisses. Sournoisement les filles tirèrent sur mes jambes et je glissai vers le bord du canapé, jusqu'à ce que mes fesses pendent dans le vide.
En m'embrassant Emilie frottait son nez au mien comme les Esquimaux s'embrassent ; entre-temps elle releva mon chandail et défit mon soutien-gorge. Puis elle reprit son doux jeu, cette fois-ci avec mes seins nus. J'étais comme tétanisée. Son massage était si doux, si subtil, que je serais restée des heures comme ça, à la laisser faire...
J'ouvris mes yeux en grand en sentant Emilie qui vint s'asseoir à califourchon sur ma jambe ; je vis avec effroi qu'elle avait ôté sa robe. Son soutien-gorge blanc se dessinait sur la peau bronzée. Puis je regardai plus bas, vers l'endroit où son corps touchait le mien... Emilie avait aussi enlevé sa culotte.
Un triangle net ornait son ventre.
Je fis 'non' de la tête, mais elle se mit à rire. Je me rappelle que j'avais très peur,
comme dans un cauchemar. Emilie se pencha vers moi, frottant son sexe sur ma cuisse, elle prit un mamelon dans sa bouche. En même temps sa main revenait entre mes cuisses. J'ai failli crier quand ses doigts s'emparèrent de moi.
Comme dans un rêve j'entendis Chloé enlever son jeans. Puis elle s'assit sur l'autre cuisse. Elle glissa une main en dessous de mes fesses, cherchant l'ouverture de mes reins. Je suffoquais. C'était contre nature, c'était contre tout ce que j'avais appris et vécu jusqu'alors... Mais c'était bon. Le plaisir se disputait la honte.
Maintenant, avec le recul, je dois avouer que je m'accrochais au fait qu'elles me tenaient fermement, qu'elles m'empêchaient de bouger, que ce n'était donc pas volontairement que je subissais leur assaut, leurs caresses ; je m'accrochais à l'idée du viol comme à une bouée de sauvetage...
C'était cela : c'était un viol, elles m'ont forcé à subir leurs jeux dégradants, elles m'ont forcée à gémir quand leurs mains me pénétrèrent... Elles m'embrassaient à tour de rôle, la salive coulait de mon menton. Elles usaient de toute la technique qu'elles maîtrisaient pour me faire jouir contre mon gré...
Tout le temps j'avais surtout une peur panique d'une chose : que Emilie ou Chloé, ou les deux, s'asseyent sur mon visage, m'obligeant à… je n'osais même pas y penser, malade de dégoût...
Mais si je suis honnête, je dois avouer que je devenais aussi peu à peu malade d'envie. Mes cuisses étaient gluantes là où Emilie et Chloé me chevauchaient.
Je ne pouvais pas le voir, mais je savais qu'elles se caressaient : leur respiration devint bientôt aussi rapide et saccadée que la mienne. Mais elles attendirent, prolongeant l'attente, me faisant franchir doucement le point de non-retour. J'avais l'impression d'être soulevée comme en lévitation, je devenais légère, légère, le sang cognait à mes tempes. Leur respiration m'entraînait, nous étions en harmonie toutes les trois, puis je ne pus plus m'empêcher et je me mis à crier, doucement d'abord, puis de plus en plus fort.
Ce devait être cela qu'elles attendaient, car les frôlements que je perçus accélérèrent, la pression de leurs entrejambes sur mes cuisses augmentait... Je jouis, le plaisir décuplé parce que je l'avais repoussé si longtemps, croyant que je serais plus forte que leurs mains, que leurs bouches sur mes seins, que leurs sexes sur mes cuisses. J'avais perdu, je criais... Cela déclenchait la jouissance chez Emilie, et quelques secondes plus tard aussi chez Chloé, comme si les deux femmes m'avaient attendu avant de se laisser aller..."
Madame Hélène soupira, le regard trouble perdu dans son passé.
La Directrice respecta son silence. Ce n'est qu'au bout d'une longue pause qu'elle demanda :
"Que s'est-il passé après ?"
Doucement Madame Hélène redescendit sur terre.
"J'ai eu honte de moi pendant plusieurs semaines. Honte de m'être laissée aller... Honte d'avoir joui devant elles, avec elles, avec des femmes, avec des femmes que je connaissais à peine... Je ne dormais plus, revivant chaque seconde de ce viol, encore et encore. Et cela me troublait à chaque fois. Je ressentais le même trouble que pendant ce que j'appelais 'leur assaut'. Et..."Elle hésita. C'est la Directrice qui termina sa phrase :
"Et vous vous caressiez chaque fois ?"
Madame Hélène cligna des yeux devant la sagacité de la Directrice.
"Oui, c'est bien cela, je ne pouvais pas m'en empêcher. Jusqu'au jour où je suis dit que cela ne pouvait plus continuer comme cela. J'ai fait un exercice mental, une analyse de conscience en quelque sorte. J'ai osé m'avouer que faire l'amour avec ces femmes m'avait fort troublée et que j'avais joui comme encore rarement j'avais joui. Au bout de ce gymkhana mental j'ai retrouvé la paix en moi : j'ai accepté qu'à part les hommes, les femmes aussi savaient me faire jouir ; j'ai accepté que je ne devais pas avoir de honte d'être bisexuelle..."
Elle sourit tendrement à la Directrice.
"Merci de m'avoir écoutée... Peu de gens connaissent cette histoire... Je choisis soigneusement à qui je la raconte, car je suis fort troublée chaque fois que je repense à cette première fois..." et pour prouver ses dires, elle prit la main de la Directrice et la glissa sous sa jupe...


- fin de l'épisode -
Collection "La Directrice de L'Institut Ospif"
par Charlene O.


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