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Ballerina BoysLes Ballets Trockadero de Monte Carlo

L’odyssée artistique des "Trocks", joyeuse troupe de danseurs travestis née dans le New York des années 1970, qui revisite avec humour et virtuosité le ballet classique.

Une troupe de ballet exclusivement composée d’hommes, en tutu, maquillés et coiffés de perruques, exécutant pointes et entrechats entre deux grimaces… Comme son nom ne l’indique pas, c’est à New York qu’est née la compagnie des Ballets Trockadero de Monte Carlo, dans le sillage des émeutes de Stonewall, jalon historique de la libération homosexuelle. En 1974, des danseurs de profession, fins connaisseurs du répertoire classique et amateurs de travestissement, ont l’idée de faire interpréter par des hommes les rôles féminins les plus iconiques des ballets français ou russes, pour leur rendre un hommage savoureusement décalé. Le résultat est un show aussi hilarant que virtuose, associant aux exigences techniques de la danse l’esprit fantasque et exubérant du spectacle de drag queen, doublé d’un comique visuel millimétré. Le succès est immédiat. Loin de susciter le scandale, les premières tournées à travers l’Amérique profonde contribueront à faire tomber certains préjugés sur les homosexuels.

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..................................... « Les gens oublient que nous sommes des êtres humains, déplore Aëla, femme trans trentenaire dont le parcours a été suivi par les caméras de la sixième chaîne. On nous réduit presque à un état de mobilier ou d’animaux qu’on aurait le droit d’attaquer comme si on était des créatures venant d’un monde parallèle. Certains n’ont pas encore le déclic de se dire "Je n’ai pas le droit de faire du mal à cette personne, même si je ne comprends pas qui elle est et ce par quoi elle passe." C’est là-dessus qu’il faut qu’on apporte une éducation et des réponses. »
« Il faut communiquer, c'est un sujet humain »

C’est ainsi pour faire œuvre de pédagogie qu’Aëla a accepté de témoigner dans le documentaire. Même chose pour Zach, homme trans de 20 ans. « Avant de découvrir ce qu’était la transidentité, j’étais mal sans savoir pourquoi. C’est grâce à la plus grande visibilité accordée à ce sujet que j’ai su que ça existait. Ne pas en parler serait nier la réalité. »..........................

Vu ce documentaire hier. Ceux qui le regarderont se feront une idée.
Me concernant, je n'aime pas la facilité de faire une généralité sur les hommes prédateurs, "agresseurs" et privateurs de liberté pour les femmes.

Je suis, hélas, d'accord avec toi...

Vu ce documentaire hier. Ceux qui le regarderont se feront une idée.
Me concernant, je n'aime pas la facilité de faire une généralité sur
les hommes prédateurs, "agresseurs" et privateurs de liberté pour
les femmes.

https://www.6play.fr/mes-seins-sans-soutien-p_22747

Nouvel étendard féministe depuis les années 2000, la culotte se montre, s'affirme et symbolise aujourd'hui une forme d'émancipation féminine. Son histoire au fil des décennies, c'est la nôtre. Faire parler la petite culotte, c'est raconter une autre histoire des femmes…