Puisque c'est maintenant un fil à part entière, je vais un peu développer mon propos
C'est le cerveau qui commande la plupart du temps, il le fait plus ou moins bien, mais là n'est pas le propos. Je ne vais parler que pour moi, puisque je n'ai que ma propre expérience à proposer. Quand j'étais plus jeune, il existait un point de "non retour", un certain seuil d'excitation qui une fois dépassé me poussait à aller jusqu'à l'assouvissement. Attention, je n'ai rien d'un violeur, mais si une partenaire avec laquelle je suis en train de jouer depuis un certain temps et que mon orgasme est sur le point de se déclencher, décide brusquement que ça suffit, qu'il est temps que je remballe ma marchandise, j'aurais eu la plus grande peine du monde à me retirer, lui faire un bise sur le front et lui dire à bientôt en partant. Ça ne s'est jamais présenté ainsi et je suis à peut prêt sûr que j'aurais pu m'arrêter, mais seulement à peu près sûr, pas à 100 %. L'âge s'avançant je me rapproche des 100 % de certitude.
Je suis un homme qui ne se laisse pas gouverner par ses pulsions, mais je ne suis pas certain d'être représentatif. Je pense que le point de "non retour" peut être différent pour chacun, et qu'il peut être dangereusement rapidement atteint par certains. C'est pourquoi je suis assez mal à l'aise quand des adolescentes veulant tester le pouvoir qu'elles ont sur les hommes s'habillent ou se comportent dans la rue de manière imprudente, j'ai un peu peur que des fois elles ne tentent le diable. Il n'en va pas de même dans une soirée où là, le jeu de la séduction est implicite, qu'elles soient habillées très sexy et qu'elles se conduisent apparemment comme des chattes en chaleur n'a aucunement la même incidence car le groupe les protège.
J'ignore totalement ce qu'il peut en être des femmes et je lirai avec plaisir leurs futurs témoignages
Pour le titre je proposerais plutôt "Sexe ou cerveau, qui commande?" ça me paraît plus explicite, parce que là "Quel organe est aux commandes ?" ça peut être le pancréas, les pieds ou le nez