Citation :
Dans La fabuleuse histoire de la fellation (Musardine, février 2014), Thierry Leguay revient sur les origines d’une pratique souvent condamnée qu’on observe de tout temps et à travers tous les continents. «Au Ier siècle avant J.C., Cléopâtre fut réputée pour son tempérament luxurieux : elle était d’ailleurs surnommée la «Grande bouche» et aurait appris l’art d’aimer dans un bordel», écrit-il. «On raconte même qu’elle aurait, un jour, exercé son talent buccal sur une centaine d’hommes de garde». Au temps des Romains, la fellation exprime un rapport de domination entre maître et esclave, vieux et jeune, homme et femme. On peut être sucé, mais il n’y a pas de plus grande honte, de perte de virilité, que de s’abaisser à le faire.
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La fabuleuse histoire de la fellation, Thierry Leguay, la Musardine, 2014, 8,95 euros.
Un article très intéressant sur liberation.fr