Citation :
L'enquête Ifop-CAM4* a de quoi émoustiller l'imaginaire (et seulement l'imaginaire). Selon cette étude, ils seraient 16 % de jeunes de moins de 25 ans a utilisé les nouvelles technologies pour alimenter - ou réaliser - leurs fantasmes. Un chiffre qui a presque doublé en trois ans. Visionnage de sextape, striptease devant sa webcam ou jeux sexuels filmés, seul, à deux voire plus, le phénomène peut prendre différentes formes, question de goûts.
Cette nouvelle forme de sexualité est révélateur d'une tendance, pour François Kraus, directeur d'études à l'Ifop cité par lefigaro.fr, qui tend à "inverser le mouvement de dissimulation de l’activité sexuelle et d’intériorisation des pulsions induit par le processus historique de civilisation. Car en garantissant aux gens un total anonymat tout en leur permettant d’élargir leurs choix de partenaires potentiels, Internet constitue un terrain idéal pour accomplir des fantasmes voyeuristes ou exhibitionnistes que l’on ne pouvait pas assouvir dans la vie réelle."
Une cyber sexualité qui peut se révéler dangereuse : sur Internet, rien ne s'efface. Les internautes mal intentionnés, les amoureux éconduits et les voyeurs de tout bord auront tôt fait d'utiliser ces images érotiques à mauvais escient. Une mise en garde qui n'est pas à prendre à la légère, tant le phénomène se généralise. L'enquête révèle en effet que près de 40 % des jeunes de moins de 25 ans seraient tentés par une sextape.
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