Aujourd' hui, j' en pense surtout que je te souhaite d' en rester au fantasme !
Dans le passé - dans l' autre monde avant sida - ça m' est arrivé bien des fois de sucer à la chaîne devant d' autres mecs qui attendaient leur tour, sur des plages, dans des cinés, des toilettes publiques, des saunas et j' adorais ça mais également dans des glorys holes ou des black rooms car la dimension de dépravation était encore plus forte. Je me souviens de saunas avec des petites cabines avec plusieurs trous dedans où je m' enfermais ce qui voulait dire à tous les mecs qui cruisaient dans le couloir qu' ils pouvaient y fourrer leur queue. Ma bouche, mes mains, mon cul s' occupaient alors avec bonheur de toutes les bites qui passaient par les trous. Le fait de le faire à la chaîne sans retenue, de sentir ces bites gicler, d' avaler le sperme à pleines doses était hyper jouissif mentalement et l' idée que les types ne me voyaient pas et que j' ignorais à qui étaient ces bites ne faisait que décupler mon excitation et mon plaisir cérébral. Quel bonheur de sucer des bites d' inconnus, de n' être qu' un instrument à faire jouir, à décharger, un bac à sperme, un vide couilles ! Quelques uns, après avoir éjaculé, lâchaient un peu de pisse pour mon plus grand plaisir et, lorsque le trou à bite était à la bonne hauteur, j' arrêtais ma pipe pour me fourrer le chibre dans la rondelle et m' empaler quelques instants avant de reprendre ma sucette, lécher mon propre foutre et pomper jusqu' à l' éjaculation.
J' aimais ces pulsions de folie et les assouvir comme une salope, une pute dépravée avant de retourner dans le quotidien comme si de rien n' était, sans même garder une trace de ça.
Aujourd' hui ce type de comportement est totalement suicidaire, pas pour les autres car comme le dit Georline, celui qui plonge sa queue dans un glory hole se doute bien qu' il ne sera pas le seul et que son sperme sera mélangé ! ... mais surtout pour toi car celui dont tu suceras la queue et boira le sperme dans ces circonstances en a sans doute sucé plein d' autres sans précaution et là, tu jouerais avec ta vie bien plus qu' avec ton plaisir.
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