Encore une anecdote de mes aventures...Authentique !
Ce vendredi, il faisait une belle et douce journée et j’avais promis d’aller au sauna, quelle idée.
Bon j’avais accepté le rdv, donc j’irai, mais avant j’avais l’appel de la campagne. Je déjeune donc de bonne heure et à midi je file vers les vertes vallées.
Petite robe bleue, une de mes préférées, assortie au ciel et dessous un petit string rouge a fanfreluches et le soutien poitrine assortis. J’adore, ça soutien par en-dessous, ça ne comprime pas et de plus pas besoin de l’enlever au cas où une douce main s’égarerait par là.
Je n’oublie pas ma petite séance de photo habituelle, au milieu de l’herbe verte et des fleurs jaune d’or (mais de pissenlit, attention ca tache).
Deux heures après mon départ il me faut rejoindre mon autre endroit favori.
Arrivée la première cela donne au boss et a moi le temps d’aller en fumer une et de palabrer en attendant mon rencar.
Ah oui, c'est vrai, je ne vous ai pas dit, j’avais eu un message d’un homme qui m’avouait avoir un fantasme, faire l’amour avec une transsexuelle, et au vu des deux trois photos de moi qui trainent sur le forum de l’établissement, il avait décrété que j’étais son fantasme.
Mais il m’avait aussi avoué qu’il était timide et n’avait jamais fait l’amour avec un homme.
Et Céline, bonne fille, avait accepté de réaliser son fantasme.
A l’heure dite il arrive. Et avant même de passer au vestiaire il se dirige vers moi. Dans mes âges, pas mal conservé, pas moche.
Timidement il me tend la main…Céline ?....Je vais me changer.
Il revient, avec juste une serviette autour de la taille. Pas trop poilu, ouf ! Et le voilà qui part à la douche en m’invitant, ce que je décline, et lui indique que c’est déjà fait (pour cause…mes cheveux et mon rimmel ne supporteraient pas une averse)
Finalement je rejoins la salle télé déserte a cette heure-ci et attends tranquillement dans le canapé, c’est sûr, il va bien me retrouver.
Timide c’est évident, on engage la conversion et me rappelle ce qu’il m’avait déjà indiqué. Au bout d’un petit moment, alors que nous sommes assis près l’un de l’autre, il pose la main sur ma cuisse et commence doucement a la caresser, puis se ravisant, il décide de commencer par mes seins. Tant mieux, j’adore.
Comme je le laisse faire il finit par poser délicatement ses lèvres sur mon têton ( là il joue gagnant) tout en me caressant la cuisse de plus en plus haut. A ce point de la conversation, je reste passive, consentante, et silencieuse
A priori ma poitrine l’attire et je me laisse un peu glisser sur le canapé pour lui faciliter la tâche, pendant ce temps mon string devient de plus en plus étroit. Mais sa curiosité fait le reste, et avec douceur, passant un doigt sous la dentelle il libère ce clito, caché entre mes cuisses et désormais disproportionné pour son contenant. Quittant mes têtons qui avaient quelque peu gonflé sous les caresses prolongées, je vois à son regard brillant qu’il vient de se trouver un nouveau pôle d’attraction. Bien vu, il passe ses doigts de haut en bas, toujours avec une grande douceur, puis s’éloigne légèrement (les fesses) pour pencher sa tête vers mon ventre. Il est temps pour moi de passer mon bras derrière lui et de commencer a caresser son dos…et un peu plus bas.
Il ne lui en faut pas plus pour porter mon sexe a ses lèvres, et là, délices, ….
....Sa main semble s’empêtrer dans la ficelle de mon string, alors délicatement pour ne pas le troubler (ni l’interrompre) je commence à faire glisser le haut de ce qui devient désormais inutile.
Bon il lâche tout et me donne un coup main, j’en profite pour virer aussi la mini-jupe
Il a l’air ravi, reprends sa position et continue ce qu’il a si bien commencé.
Assez rapidement il se retrouve a quatre pattes sur le divan, et moi bien affalée, ses lèvres vont et viennent avec délice pendant qu’un doigt inquisiteur me visite, et mes légers va et vient du bassin semblent l'encourager.
Je ne peux, vu sa position, faire autrement que de glisser ma main sous lui et de lui prodiguer des douceurs a son appendice que je voudrais voir s’épanouir.
Les yeux fermés, au comble de la volupté, je goûte à ces rares moments ou me sentant plus que jamais femme, tous mes sens, tous mes désirs se conjuguent au féminin. Et manifestement il a à cœur de me traiter avec délicatesse, voire de la tendresse. Alternant avec ma poitrine tantôt la main, tantôt les lèvres et moi l’encourageant par des caresses, nous avons passé un très long moment dans cette effusion de douceurs.
Puis, finalement il s’arrête, comme a regrets, et se rassois à côté de moi. Je lui passe le bras derrière les épaules et le caresse de l’autre, et finalement pose mes lèvres sur son appendice qui semble vouloir rester impassible quoi qu’il arrive.
Il me souffle à voix basse « aujourd’hui je n’y arriverai pas », je le rassure en lui disant que « ce n’est pas grave du tout, et qu’un autre jour »...J’admire son objet et lui souriant lui dit, il faudra que l’on se revoit.
Rassuré par cette déclaration et voyant que je n’étais pas fâchée, il prend un air plus détendu. Faut comprendre, un homme en échec subit un léger traumatisme, je le sais, j’ai été homme dans une autre vie.
Se sentant plus a l’aise et ayant obtenu que j’aille jusqu’au summum de la volupté, il se met à se caresser discrètement en devisant avec moi.
Sentant que malgré tout, il aurait aimé lui aussi entrevoir le septième ciel, je me lève et je me place face a lui, m’approche et m’assois sur ses genoux. (Imaginez moi, quasi nue, les seins encore tendus, et pas seulement)
Je remonte suffisamment vers lui, juste pour le laisser œuvrer et je le caresse des deux mains, m’attardant un peu sur sa poitrine légèrement velue, et finalement lui masse doucement les épaules, puis me penchant pour approcher au plus près ma poitrine de la sienne…et là, il ne faut pas longtemps pour que… miracle, un râle, puis deux, de plus en plus fort et enfin l’extase. Je ne vous décris la mine béate de mon compagnon de jeux.
Me rassoyant a ses côtés, je lui passe a nouveau le bras sur les épaules, lui la tête posée sur ma poitrine, sa main passant doucement sur ma cuisse, nous voilà silencieux goutant l’instant présent.
Le temps ayant passé je lui rappelle que malheureusement il doit être temps que je parte.
Une effusion, on se rappelle…..
D’après l’horloge du bar, effectivement nous avons passé près d’une heure et demie ensemble.
Pour gagner un peu de temps, je remets mes sous-vêt, chemises et pantalon, le tout bien masculins, en gardant mes escarpins et bien sur ma tête de fille, le boss a un sourire en me voyant sortir du vestiaire, Sur que là je fais lesbienne dominante. Et il ajoute, « mais même comme ça elle est mignonne ».
Je me démaquille dans ma voiture sur le parking, range mes affaires dans le coffre, et me voilà prête à rejoindre « sweet home », rayonnante.
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