Une ville en Allemagne … Suite de la suite.
Cette soirée s’ est prolongée jusque bien tard et ma bouche et mon cul ont été rassasiés.
Ils ont encore été quatre ou cinq à se servir de mes trous pour se soulager et se vider pour mon plus grand plaisir car j’ étais presqu’ insatiable.
De plus, ils m’ ont pris de face, les jambes en l’ air ce qui me fait jouir encore plus fort analement.
A la fin nous avons encore bu un verre, parlé et A m’ a proposé de m’ emmener dans un autre club homo le lendemain, près de la frontière avec la France.
Sa proposition m’ a plu immédiatement car il m’ a dit que je pourrais probablement baiser avec une vraie transsexuelle qui était souvent là et me faire sodomiser par elle.
Il ajoute aussi qu’ il est habitué de cet endroit et que je pourrai y assouvir mes fantasmes car en début de soirée, il y a surtout des hommes âgés dont la plupart sont rasés sous la ceinture.
Il ajoute qu’ ils seront tous fous en voyant un jeune type comme moi, imberbe de partout, que j’ aurai l’ occasion de satisfaire tous mes désirs uros et probablement aussi de tenter de la scato car un des habitués aime se faire faire dessus et même dans la bouche.
Rien qu’ à y penser, je me remets presqu’ à bander alors que je viens de passer toute la soirée à jouir.
Il me fixe alors rendez – vous pour le lendemain en fin d’ après – midi sur le parking de la gare de cette ville, juste à côté de la frontière française.
Nous allons directement au sauna et j’ ai tout de suite une bonne impression ; les locaux sont très propres et dès que nous sommes passés au vestiaire où je constate que beaucoup de casiers sont occupés, nous passons une serviette autour des reins, A qui connaît bien les lieux, m'entraîne directement en bas.
Au passage nous croisons près d’ une vingtaine d'hommes, quasiment tous âgés de plus de cinquante, soixante ans et même plus et je bande déjà comme un âne car je reçois plein de regards chargés de gourmandise.
Nous accrochons nos serviettes pour passer sous un jet de douche tiède et A agace ma bite juste assez pour qu’ elle soit bien raide et tendue, puis nu, je le suis dans le hammam qui est assez sombre.
Mais il me guide vers une zone assez éclairée pour qu’ on voie bien mon corps imberbe et ma queue toute dressée, se met face à moi et commence à me caresser langoureusement la poitrine, le ventre, le sexe et les couilles.
Je tends la main et sens sa tige dure et tendue dont j’ attire le bout pour qu’ il le frotte sur mon ventre et n'y tenant plus, je m'accroupis pour la prendre en bouche ; j’ adore son très gros sexe et son gland bien gonflé et dessiné que je lèche goulûment en lui caressant les couilles.
J’ embrasse amoureusement son gros bout mauve puis l’ enfonce dans ma bouche et me mets à le sucer avec gourmandise en l’ inondant bruyamment de salive et il me dit en anglais mélangé d’ allemand :
- Oui, va-y, comme la vraie salope pipeuse que tu es ! Suce-moi bien, tu m'excites trop. Suce moi bien les couilles à sec ! Je vais tout cracher dans ta bouche ! Je sais que tu aimes ça salope, téter les bites et avaler le sperme.
Ce qu’ il me dit m’ excite à mort car j’ aime entendre ces insultes mais surtout parce que je sais que les autres hommes qui sont dans le hammam l’ entendent et vont venir pour se faire sucer aussi.
Je m’ agenouille et en même temps que je le suce et le pompe, je me caresse les seins dont les tétons bandent maintenant tout durs. Je sens que A ne va pas tenir longtemps et je me régale d'avance des giclées de sperme que je vais recevoir.
Je comprends aussi que plusieurs types se sont rapprochés de nous en se masturbant car j’ entends ces bruits de branlette bien particuliers des bites qui coulissent dans des mains et qui m’ excitent à fond.
Je suis toujours agenouillé aux pieds de A, sa bite bien au fond de ma gorge quand, je m'aperçois que deux ou trois hommes sont carrément à côté de nous.
J’ en vois un derrière A, en train de lui doigter l'anus et j’en sens deux derrière moi ; je sens surtout les bites qu'ils frottent sur mes joues et contre ma nuque ! Deux très belles queues, brûlantes et raides, rasées.
A ce moment là, je sens que A se penche en avant et je le vois tendre la croupe vers l’ arrière.
Il pousse un petit cri et je comprends que l'homme qui est derrière lui, après l'avoir bien doigté, l’ a attrapé par les hanches pour l’ enfiler, l’ a enculé et est en trains de le sodomiser.
Tout en continuant de téter la bite que j'ai en bouche, je passe une main entre ses cuisses pour caresser les couilles et la rondelle de son baiseur puis la base de sa bite qu’ il a complètement rentrée dans le cul de Jean.
C'est vraiment génial !
Je l'entends couiner de plaisir ; il parle en allemand mais je comprends qu’ il dit que c’ est bon …
L’ autre lui répond et parle de moi en disant des saloperies.
Ça m’ excite de l’ entendre et du coup, j’ enfonce deux doigts dans son trou de cul que je caresse et qui s’ ouvre, tout mouillé pour les accueillir.
Il feule de plaisir.
Les deux autres hommes n'y tiennent plus et se branlent comme des fous tout en triturant mes mamelons en érection qu’ ils tordent, étirent, pincent doucement.
Je lâche la bite de A, en enfourne une autre en bouche et immédiatement, le mec jouit et me déverse de longs jets de sperme brûlant dans la gorge.
J’ avale tout puis j' engobe la bite du deuxième juste avant qu'il ne gicle à son tour.
J'ai du mal à le prendre profond tant il a une grosse queue et en quelques secondes, je sens son gland qui grossit et il se vide les couilles.
Je manque d'étouffer tant il crache et j'en avale une partie puis laisse couler le reste sur mon ventre et ma queue.
A mon tour, je gémis :
- Ahhh, vas-y A, j’ ai envie de boire ton jus et tu pourras me pisser dessus après pour me rincer !
J’ ignore s’ ils comprennent mais ça m’ excite de dire ça et A se met à jouir du cul en criant.
En même temps, je sens les couilles de l’ enculeur tressauter dans ma main, son fourreau se contracter autour de mes doigts qui le fouillent et j'ai juste le temps de me replonger sa queue au fond de la gorge quand il éjacule à son tour.
Je me gave car son sperme est très bon, crémeux et sucré comme du sirop et je prends le temps de tout avaler et d'aspirer les dernières gouttes puis me pourlèche les lèvres et le menton encore pleins de semence.
Cette scène a attiré quelques amateurs et je suis maintenant entouré de six ou sept mecs dont trois viennent de jouir dans ma bouche.
Un quatrième sort sa grosse bite du trou de cul de A qu’ il vient d’ inonder et vient la présenter à ma bouche.
Elle est belle, presque molle mais encore toute gonflée, brillante, gluante de sperme et de foutre anal mélangés et la couronne, à la base du gland, est souillée de traces brunes par l’ anus de A mais plutôt que de me répugner, ça m’ excite encore plus.
- Prends la salope, dit il en anglais en posant le gros bout luisant sur mes lèvres, suce et nettoie …
Sans hésiter je la prends en main, tire le prépuce à fond pour dénuder tout le gland, ouvre la bouche, engloutis le gros bout mauve et pompe le dard encore enflé pour en aspirer les dernières gouttes de jus et je lèche toute la bite pour la laver, promenant le bout de ma langue avec soin dans tous les replis de chair pour qu’ elle soit parfaitement propre.
C’ est délicieux et il gémit de plaisir en se tordant sous mes caresses :
- Oooh oui salope, ta bouche est divine, lèche moi la bite, j’ adore …
Lorsque j’ ai terminé, A se retourne, se plie en deux et me tend son cul, les mains posées sur ses fesses qu’ il écarte pour ouvrir sa raie et me donner son trou à bouffer.
Il recule et sa rondelle vient naturellement sur ma bouche.
- Embrasse la, lèche la, suce la, nettoie la et mange la petite pute, me dit il, après je te pisserai dessus pour te donner à boire et te rincer.
Son trou de balle ourlé comme un chou fleur est encore tout ouvert et évasé et je colle ma bouche sur ce cratère béant et dégoulinant de foutre anal et de sperme en ouvrant les lèvres et aspire, comme une ventouse, les chairs tendres de son anus qui sortent du trou en formant des bourrelets très charnus.
C’ est aussi délicieux et je me régale en suçant et lapant tout le jus qui sort de son cul jusqu’ à ce qu’ il soit parfaitement propre.
A nouveau il dit des choses incompréhensibles mais je me doute qu’ il aime.
En même temps, je sens qu’ un autre type me doigte le cul avec plusieurs doigts pleins de salive et j’ écarte bien les fesses pour lui offrir ma rosette que je sens déjà toute ouverte.
En soupirant d’ aise, je termine de dévorer le trou de cul de A, écarte ses fesses à fond avec mes mains et plonge toute ma langue dans sa corolle pour masser le fourreau en profondeur pendant qu’ il crie de plaisir.
A ce moment, mon doigteur bouge et je sens un gland venir buter contre mon œillet qui palpite d’ envie tandis que ses mains agrippent mes hanches pour m’ attirer vers lui.
- Oooh oui, vas y, encule moi …
Il ne se fait pas prier et, d’ une seule poussée, engloutit toute sa bite dans mon fourreau en criant son plaisir et je suis d’ entendre un Français …
- Haaah, quelle super chatte, toute chaude, détrempée, t’ es une vraie salope en rut toi ….
Un nouveau vient alors devant moi, présente sa bite toute raide devant mes lèvres ouvertes et s’ enfonce dans ma bouche pour se faire sucer.
Celui qui me sodomise me lime très vite et très fort et se met à jouir en moi au moment où celui que je suce décharge en criant.
Dès qu’ il a terminé, sans attendre, il commence à me pisser dessus et d’ autres
l’ imitent tandis qu’ un nouvel inconnu vient violer mon trou de balle déjà dilaté et complètement trempé et graissé par mon foutre et le sperme de celui qui vient d’ en sortir et qui a rejoint les pisseurs.
Je prends une véritable douche de pisse chaude et dorée, en recevant partout sur le corps, le visage, les seins au moment où deux autres hommes entrent dans le hammam.
Lorsque les derniers flots d’ urine sont taris, les deux derniers s’ astiquent et A les invitent à se faire sucer par moi et à m’ enculer.
J’ entends le Français en rajouter pour mon plus grand plaisir :
- Allez y les gars, cette salope adore sucer et le fait mieux qu’ une pute, faites vous sucer … et enculez la en même temps … c’ est son truc … une queue dans chaque trou à bites …
Ils me parlent aussi en français avec un fort accent, me traitent de truie, me font mettre à quatre pattes et tandis que l’ un m’ encule sans ménagement et défonce ma rondelle, l’ autre me prend la tête et m’ enfourne son gros mandrin dans la bouche.
Ensuite, ils alternent leur bite dans ma bouche et dans mon trou de cul jusqu’ à ce qu’ ils jouissent dans mon fourreau en me traitant de bac à sperme, de brouteuse de bite et de chienne.
J’ adore …
Je me rends alors compte que tous connaissent A et sont des habitués.
Moi, je n'ai pas encore joui et je dis que je vais me doucher.
En marchant, je me dandine et tortille du cul en serrant les fesses car je sens le sperme dégouliner de mon trou béant, s’ écouler le long de mes fesses et de mes cuisses, ce que j’ adore, et j’ ai envie que ça dure.
Mais au moment où j’ entre dans les douches, un type qui me suivait m’ attrape, se couche sur le carrelage et me demande de m’ asseoir sur son visage et de coller mon anus sur sa bouche.
Ça m’ excite à mort et quand il m’ aspire le cul en me demandant de pousser, je me laisse aller et sens clairement que je fais dans sa bouche.
Il a une bouche vorace et me mange, me dévore, … mmmmh, c’ est bon et
j’ ai du mal à résister à une envie folle d’ en enduire aussi mes mains pour me branler jusqu’ à la jouissance mais je me retiens.
Par contre, je suis en soixante neuf avec lui et pendant que je soulage mon ventre, il me demande de le masturber vite et fort, ce qui le fait jouir en quelques secondes et je vois, étonné, un lourd jet de jus blanc jaillir de son méat à une hauteur impressionnante.
Je prends ensuite son gland dans ma bouche et le tète en le laissant me nettoyer consciencieusement la rondelle avec sa langue.
Je commence par prendre une douche pour me rincer de l'arrosage de pisse que je viens de subir quand je vois arriver une créature de rêve : une transsexuelle, toute jeune d’ une vingtaine d’ années, accompagnée d'un autre mec beaucoup plus âgé au corps imberbe.
Ils sortaient du sauna et viennent se rafraîchir sous la douche.
A cette vue, ma bite bondit, devient raide et gonflée à faire mal car je rêve de cette transsexuelle depuis que A m’ en a parlé la veille …
La soirée n’ est pas finie.
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