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La vratouille, jeu de Haute-Savoie (de Jean Yanne)

Régle du jeu:

La vratouille se joue à deux, avec une pamoise et un corbechin. Le joueur qui joue de la pamoise doit décluter le corbechin de l'adversaire sans se faire magreler son corzon.
Si le corzon magrèle, il devrouille son machepied et burgonne sa clillette en tarfouillant ses rallebouifs.
Dans le cas contraire, c'est le corbechineur qui ragouille.
Les joueurs changent de camp à chaque riponart de douze coups. :banik:

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Quand on est jeune, c'est pour la vie ! (Georges Clemenceau)

ça fait un peu penser au schmilblick de Pierre Dac.

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Kangourophile qui aime les quéquettes pas humaines.
Cupidon vous déteste ? Moi, il se paye ma tête.

Vratrouille du soir, espoir

Minuit, les douze blouques ont brinquezillés ! Avant de bouronfler il faut déclapoter le bouriblonde pour le trafoutre dans la clafentine :clin: Mais gardafiou ! Retartire la glantête de la clafentine avant de déglapurgir sinon le poliglanfin est dans le tartimaroir Et la pamoise est enceingrossée...

Au prochain riponart :clin:

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Kenavo

Moi, ça me fait penser à la règle de la grelotine de Perceval, dans Kaamelott:

"C’est facile. On peut jouer soit avec des haricots,
soit avec des lentilles. Le premier qui annonce la
mise, il dit mettons : “lance de seize” ou “lance de
trente-deux” ou une quadruplée comme on
appelle, c’est une “lance de soixante-quatre”.
Parce qu’on annonce toujours de seize en seize,
sauf pour les demi-coups. Là, celui qui est à sa
gauche, soit il monte au moins de quatre, soit il
passe il dit : “passe-grelot”, soit il parie qu’il va
monter de six ou de sept et il peut tenter une
grelottine. À ce compte-là, il joue pas, il attend le
tour d’après, et si le total des mises des deux
autres suffit pas à combler l’écart, il gagne sa
grelottine et on recommence le tour avec des
mises de dix-sept en dix-sept.
Donc mettons le suivant, il annonce une
quadruplée, donc là elle vaut soixante-huit, il
peut contrer ou il se lève et il tape sur ses haricots
en criant “grelotte, ça picote !” et il tente la relance
jusqu’au tour d’après. "

Coup du cheval

Retrouvés sur le ptifofo qui n'avait aucun rapport ( même sexuel ) avec Vassilia .

Redux: Tu dis : "Si le corzon magrèle, il devrouille son machepied"
C'est à peu près vrai, a condition que le malaron soit déjà en jeu ! Sinon c'est pas le corzon qui magrèle, c'est le Rontapan
J'aime la précision, sorry ...

Mad: Tu fais bien de preciser!!!

Sergent: J'ai même pas réussi à lire jusqu'au bout
On dirait Perceval qui explique un jeu Ecossé (dans Kaamelott)

Bathory: OK Redux, mais comme ces dames ont déjà quelques difficultés avec une régle au combien évidente, je pense que les finesses de l'âme Savoyarde ne pourront leur être dévoilées qu'aprés longue macération

Banana: "Dans le cas contraire, c'est le corbechineur qui ragouille."
Mais pas obligatoirement: si le masaoua décide de dédjouguer un joueur qui fuplotte sur chague déguenillo, il peut décider un krachmaoué sédenillant!
Enfin cette règle est laissée à l'appréciation du ficelaoueur


On ne pourra donc s'empêcher de noter que l'élite intellectuelle s'est de longue date emparée de ce sujet ô combien vaste et passionnant .

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Il était tellement con que, chaque fois qu'il disait quelque chose d'intelligent, il se retournait pour voir si c'était quelqu'un d'autre ( Wolinski )

Dans le même esprit :

Malibol facile
Préparez la carrée en watchibolant.
Dans une ogiwa, faites fondre le malibol avec le sozon puis réservez.
Dans un calivroussi, incorporezl es tintania, l'esopar, le tournecul, le nibus puis rajoutez le malibol fondu. Mélangez bien.et évitez les grumlos.
Tintaniez et tourneculer un govar à rayures et versez-y le mélange.. Comptez 35 bazroufs à mi-hauteur et chaleur derviche.
Une fois fini, pensez à fermer le gaz.

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Cette recette doit beaucoup à un grand maitre, le sieur Rabelais lui-même

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De temps en temps une femme est un substitut convenable à la masturbation . Mais bien sûr, il faut beaucoup d'imagination.
[Karl Kraus]