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MessagePosté : ven. 24 déc. 2021, 00:40 
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Enregistré le : ven. 27 août 2021, 16:53
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Sexe et orientation sexuelle : Sissy - travestie - bisexuelle
[Soumission] [Travestissement] [Candaulisme][Humiliation] [Couches-culottes][Uro] [Bisexualité]

Bonjour, je poste ici deux récits qui se trouvent sur ma page Fetlife sous une autre identité (j'essaie de séparer désormais l'identité de Sissy en couche de mon personnage purement travestie; il y a bien de l'uro et une histoire de couche là-dedans, mais les faits remontent à une époque où non seulement je ne séparais pas les deux personnages, mais je n'assumais même pas mon travestissement.)
Je n'ai pas osé les envoyer à Eddy pour publication, car la "soumission" qui y est décrit n'est pas si drôle que ça. Et comme il est bien précisé dans le règlement que ça doit rester un jeu...Encore que, fort heureusement, si certains faits, certains détails sont authentiques, ces récits relèvent évidemment du fantasme, pour au moins 70-80%!!! Mais le lecteur n'étant pas censé faire la part de vrai et de faux, cela reste le récit d'une mésaventure fort désagréable pour le jeune garçon pas très viril (moi) qui en fait les frais. Heureusement, cela s'améliorera dans les prochains chapîtres, qui...ne sont pas encore écrits.
Dites-moi ce que vous en pensez...

Bonne Lecture,

Julia / Vanessa.


"Comment j'ai compris que je n'étais pas (vraiment) un garçon"


"À 18 ans, j’étais encore puceau mais déjà très attiré par le monde des couches, du pipi-culotte, et bien d’autres choses encore.
La première copine « sérieuse » que j’ai eu, à la fac en est très rapidement venue à parler de sexe avec moi. Et je lui avouais mon pucelage. Cela la fit rigoler, de manière un peu maternelle.
Très rapidement, nous eûmes des relations sexuelles, assez médiocres, il faut le préciser, vu mon inexpérience et la taille très moyenne de mon sexe: 11-12 cms max.
Mes performances faisaient rigoler ma copine, gentiment, mais rigoler quand même…
Il faut le dire nettement: la fille en question était une chaudasse. À 20 ans, elle affichait fièrement plus d’une centaine de mecs au compteur, tenait des cahiers entiers de ses expériences, possédait un tiroir complet d’accessoires, de boîtes de préservatifs tous différents, de sex-toys de toutes les tailles et de toutes les formes…
Il faut être honnête, c’était aussi pour ça que je sortais avec elle…. J’espérais me faire une bonne expérience rapidement, et, non pas me marrier avec cette nana mais prendre confiance en moi pour cartonner un maximum de filles à la fac…

Très rapidement, et vu ses collections, nous en vînmes à parler de fantasmes, et rapidement, je lui parlais de mes goûts pour les couches-culottes et le pipi…
Elle éclata de rire. Un de ses ex, Clément, était un passionné de couches…
« Il est bi » me dit-elle… « peut-être es-tu un peu bi, toi aussi?" Cette question me troubla. Mais je disais que non, l’air grognon. Elle répondait alors, pour me provoquer: « pourtant vu tes performances, tu es peut-être plus doué pour donner du plaisir à un homme qu’à une femme? Ou alors, tu es vraiment un bébé à mettre en couche, vu que tu as un zizi de bébé?

Je fus très blessé par cette question, bien que vu mon âge et la libéralisation des mœurs avec l’avènement d’internet, je me posais moi-aussi secrètement ces questions. Après tout, il faut bien profiter de sa jeunesse, non?

Suite à ces discussions, elle commença à devenir de plus en plus provocatrice avec moi: à chaque rapport sexuel, elle tentait de me mettre un doigt dans l’anus, me demandait de la lêcher après qu’elle ait fait pipi ou bien que j’ai joui en elle: « tout ce sperme lâché après à peine 3 minutes, il ne faudrait pas le gâcher, non?
Elle arriva une fois à me mettre un doigt dans le cul, puis deux fois, puis 3 fois, puis ce fût systématique à chaque rapport.
Un jour qu’elle avait ses règles, elle réussit même à m’insérer un tampon dans l’anus.
Il faut dire la vérité: cela me donnait un peu de plaisir.
Elle était en train de me « piéger », et le pire c’est que plus tard, j’aimerai ça.
On reparla des couches-culottes… c’est là qu’elle révéla son génie sadique et mon plaisir de future sissy qui aime être humiliée…
« Bon écoutes », me dit-elle un jour: « je veux bien faire une séance en couches avec toi, je veux bien même faire pipi, mais toi aussi tu devras pousser tes limites. »
Intrigué, je demandais plus de précisions…
« -tu vas être ma gentille petite salope: tu porteras une de mes culotte, un de mes soutien-gorge, et tu me laisseras te maquiller. Et bien sûr, tu auras un de mes petits godes dans le cul. En échange, je te promets une séance en couche que tu n’es pas prêt d’oublier! »
Après quelques jours de réflexion, j’acceptais et achetais un paquet de couches dont je connaissais bien les types de tailles.
Le jour venu de notre arrangement, j’amenais le paquet de couches dans son deux-pièces d'étudiante, et nous commençâmes notre séance. Étant intégralement épilé par habitude pour le sport, je pus directement enfiler la petite culotte en coton rose à petit cœurs qu’elle me tendais. Elle m’aida à enfiler un soutien-gorge assorti, puis me fit m’accroupir, abaissa ma culotte au niveau des fesses, et sorti de son tiroir un petit plug en forme de mini-pénis.
« Ça doit te rappeler quelque-chose » se moqua-t-elle: « on dirait le tiens ». Ce n’était pas vrai (honnêtement), mais j’avais pris l’habitude de ses moqueries.
Elle l’enduisit de lubrifiant, et après quelques efforts et un peu de douleur, elle réussit à me l’enfoncer dans l’anus. Elle me maquilla: rouge à lèvres, fond de teint, mascara, prit beaucoup de soin sur les yeux: j’avais une vraie tête de fille, mais toujours mes cheveux courts de garçon.

Elle me regarda fièrement:
« Une vraie petite pédale » rigola-t-elle.
Je fronçais les sourcils: pour moi, je n’avais accepté tout ça que pour un échange avec ce qui m’intéressait: voir ma copine en couche bien remplie de pipi, une tétine dans la bouche comme un bébé…
« -Ben quoi? Non mais regarde-toi au bout d’un moment! T’es en lingerie et maquillé comme une pute avec un plug entre les fesses! Qu’est-ce que tu voudrais qu’on fasse comme commentaire sur ta tenue? Tu crois que tu ressembles à Gi-Joe là? »
En me regardant dans le miroir de sa chambre, je dus admettre qu’effectivement, sur le moment, je ressemblais à un travesti.
« -tu veux pas que je mettes une serviette hygiénique dans ta culotte? » me demanda-t-elle en souriant.
« Tu crois pas que j’en ai fais assez et que tu as ta part du contrat à remplir? » répondis-je, un peu échauffé.
« Oh comme tu veux, mais puisque tu aimes les couches et le pipi-culotte et que tu as déjà une culotte, je me suis dis qu’on pourrait faire d’une pierre deux coups…? Et puis moi aussi je vais pisser dans une couche tout à l’heure! »
Je dois avouer que voir les protèges côtés d’une serviette hygiénique dépasser de la culotte d’une fille était une idée qui avait provoqué chez moi une excitation perverse, depuis que la jupe de ma meilleure amie s’était soulevée l’année dernière, laissant apparaître deux protège-côtés épais sur sa petite culotte à fleurs.
J’imagine que déjà à cette époque, ma sexualité était déjà sacrément pervertie, sans que je ne m’en rende compte…

J’acceptais alors.
Agnès, ma copine, baissa ma petite culotte, sorti une Always Super plus, l’installa dans ma culotte et colla les protège-côtés à l’extérieur.
« Bon, maintenant ma petite pédale, tu vas faire un petit pipi, comme une fille!
Au point où j’en étais…
Nous nous rendîmes dans ses toilettes, je m’asseillais sur la cuvette, et je fis pipi dans ma culotte, garnie d’une serviette épaisse… j’y prenais, il’ est vrai, beaucoup de plaisir.
Agnès, vu son sourire jusqu’au oreilles, était morte de rire intérieurement…
« Alors, ma petite pédale, on a fait pipi dans sa culotte? »
« Oui maman », répondis-je: « je suis une petite pisseuse, je mérite une punition! » excité que j’étais.
« Oui ma chérie, je suis bien d’accord » répondit Agnès. Attend, j’ai encore des surprises pour toi!
Je pensais que j’avais gagné le gros lot et que j’allais passer la meilleure journée de ma vie en matière de sexe. Rétrospectivement, ce n’était pas tellement faux. Mais j’étais loin de m’imaginer la suite…

Nous retournames dans sa chambre. Elle installa un sac poubelle par terre, pour que je puisse m’asseoir sans salir sa moquette, puis me dit « le paquet de couches est resté dans le salon, je vais le chercher, que tu aies enfin ta récompense! »

J’étais aux anges. Elle partit dans sa petite robe, 5 bonnes minutes, puis passa la tête par la porte, le paquet de couches pour adultes à la main:

« Et voilà mon petit puceau! Ta récompense! Et il y a encore des surprises! »

Elle entra complètement dans la pièce…suivie de son Ex! Clément!!!
Le type, minet pas vraiment viril façon Di Caprio dans ses jeunes années mais beaucoup plus grand et mieux bâti que moi, affichait un large sourire en me voyant, travestie, et pleine de pisse.
« -ah! Alors c’est ça le looser qui te fait simuler depuis 6 mois! Ah ah! Ouais il a pas l’air très doué, ouais! T’as bien fait de me rappeler », s’exclaffa-t-il en malaxant les fesses d'Agnès comme si elles lui avaient toujours appartenu.

J’avais la tête qui explosait, complètement noyé entre la honte, le chagrin et la dévastation. Ce qui devait être la meilleure partie de sexe de ma vie tournait juste au cauchemar.
Je me levais instinctivement, comme pour m’enfuir…
« -où tu vas mon amour? Tu comptes t’enfuir dans la rue dans cette tenue et pleine de pisse? » me demanda Agnès, qui avait attrapé la main de Christian et l’avait glissé dans sa culotte.

« Écoute, t’es gentil, mais franchement tu ne te rends pas compte à quel point t’es un looser au lit: t’as une petite bite, tu éjacules en deux minutes chrono, tu sais rien faire à part le cunnilingus, et en plus t’es bourré des idées les plus perverses que j’ai entendu, alors avec Clément on va commencer par te montrer ce que c’est qu’un vrai homme, et ensuite comment tu peux espérer prendre du plaisir dans le futur, parce que je penses pas qu’une autre femme voudrait coucher avec une petite bite comme toi. Et puis admets-le, tu as bien d’autres idées perverses qui te traversent le crane et il est temps que tu les assumes! » dit Agnès en feulant sous l’effet de la main de Clément.

-« au fait, tu lui as dis que j’ai baisé Hélène, sa meilleure amie? «
Demanda Clément.
« Oh ben maintenant il est au courant… » répliqua Agnès en riant: « hé oui mon chéri, Hélène dont tu es si secrètement amoureux depuis un an…alors comment te dire…. Elle s’est déjà faite troncher par quasiment toute la fac sauf toi, elle sait que tu es fou amoureux d’elle et ça la fait bien rigoler, elle sait aussi que tu as une petite bite, que tu ne sais pas t’en servir et que tu est éjaculateur précoce, hein, ça va de soit, on a eu tout le temps d’en parler, chaque fois que j’ai baisé avec elle, parce que oui, moi aussi je me la suis tapée ta Hélène, et bien sûr, je lui ai déjà raconté tous tes fantasmes dégueulasses de couches, de pipi-culottes, et toutes les fois où je t’ai mis un doigt dans le cul…alors dis-toi bien qu’il gèlera en enfer avant qu’elle ne te roule ne serait-ce qu’une petite pelle tellement elle se moque de toi, tellement elle te méprise ah! Si tu savais comme tu la dégoutes! » bon allez Clément, montrons à notre petite pute pisseuse ce que c’est que du sexe… »
J’étais brisé, assommé, le souffle coupé, les tempes battantes. Je croyais entendre leurs propos comme dans un cauchemar, ridicule, trempé, sentant la pisse et commençant à sangloter.
Eux s’installèrent sur le lit et commencèrent à baiser comme des acteurs pornos: ils changeaient de positions, faisaient grincer le sommier dans tous les sens, elle le suça, il l’encula, ce qu’elle m’avait toujours refusé au prétexte « tu y auras le droit le jour où tu me feras jouir », la baise dura 45 bonnes minutes… la première fois, car ils recommencèrent à deux reprises…Le sexe de Clément faisait pas loin de 20 cm par 5 de large, une véritable bite comme on n'en voit que sur Internet;

Une fois baisé tout leur saoul, ils s’intéressèrent à nouveau à moi:
« Bon qu’est-ce qu’on en fait de ta fiotte? » demanda Clément sans ménagement.
« Bin j’avais d’abord pensé que tu pourrais lui faire découvrir ce que c’est qu’être une fiotte en dépucelant son cul, mais j’ai l’impression qu’en matière de sexe t’as déjà tout donné… et puis je lui ai promis une séance en couche avec pipi »
Répondit Agnès en souriant.
Ils échangèrent de grands sourires complices, et revinrent vers moi, resté dans le coin de la chambre devant la porte, mon Rimmel coulant en larmes noires sur mes joues fardées.
« Bon écoutes, ma grande », dit Agnès: « t’es pas un mec et t’en seras jamais un. D’ailleurs j’ai pas l’intention de te rendre tes affaires de garçon si tu n’obéis pas. Mais si tu laisses gentiment Clément faire de toi une bonne lopette, si tu obéis bien, on va te laisser partir comme un garçon, et tu auras eu au moins un peu de plaisir. Pas avec ton zizi ridicule, ça c’est sûr, mais tu pourrais découvrir d’autres choses…
Allez Clément, laisse la pédale nettoyer ta bite, j’ai bien l’intention moi-même qu’il nettoie ton sperme de ma vulve, et ensuite on lui donnera enfin ce qu’il veut en matière de couches….? »
J’était abattu, affolé, détruit, sans volonté. Clément présenta sa demi-molle encore pleine de foutre devant mes lèvres bien maquillée, j’entrouvris la bouche, et commençais à suçoter son gland salé. Il posa une main sur ma tête, entra bien dans ma bouche. L’humiliation était à son comble…
Bizarrement, cela commençait à l’exciter. Il termina en tapotant sa bite, bien rincée, sur ma joue.
"-allez, à toi chérie", dit Clément. Donne à manger à notre petit bébé Vanessa."
"-Vanessa? Ah j'avoue, comme à la base il s'appelle Vincent, Vanessa ça tombe sous le sens..." répondit Alice en s'approchant de moi, la chatte dégoulinant de sperme.
Elle commença par me faire lêcher sa main, qu'elle tenait sur son minou depuis la fin de leurs ébats. Sa chatte avait déjà eu le temps de bien dégouliner de sperme. Je le léchais, un peu dégouté, mais de toutes façons sans aucune volonté. Elle se positionna au-dessus de mon visage, attrapa l'arrière de ma tête de plaqua sa vulve dégoulinante sur ma bouche.
-"Mais c'est qu'elle commence à y prendre goût, la petite conne!" s'exclama Agnès, alors que je léchais son vagin pleine de sperme.
C'est vrai. J'y avais pris goût. Peu importait en réalité: personne ne m'aimait, j'étais cocu avec ma "première fois", petite bite, à peine dépucelé, nul au pieu, ma meilleure amie dont j'étais, il est vrai, secrètement amoureux se moquait bien de moi. J'étais travestie, ridicule, la culotte pleine de pisse et je venais de me faire humilier et de sucer un gland, alors au point où j'en étais, autant apprécier en tant qu'humilié...
Pendant que je vidais la chatte Agnès avec ma langue, Clément attrapa une couche dans le paquet, la déplia...
"Je suis sûr qu'elles te vont, grosse salope! Tu dois bien connaître les tailles, depuis le temps que tu te branles dedans, dans ton pipi, hein!"
C'était vrai. Je faisais à peu près le même poids qu'Agnès, et je savais parfaitement que ces couches m'irait et à elle également, j'en avais déjà acheté et porté plusieurs fois.
Une fois la chatte Agnès vide, et ma bouche pleine, Alice m'ordonna de bien tout avaler. Au point où j'en étais...
"Quelle salope!" s'exclama Clément. "Tu as bien fais de me parler de ce con Agnès, je vais en faire une bonne petite pédale, quand j'en aurais finis, elle ira peut-être même d'elle-même faire la pute au bois et acheter ses soutiens-gorge toute seule!"
-"J'espère bien, répliqua Agnès! De toutes façons il n'est pas prêt de coucher à nouveau avec une fille, dans notre fac en tous cas! Toutes les nanas de notre promotion sont au courant qu'il a une petite bite et qu'il baise mal! Tu m'entends "Vaness' "? Tu as intérêt à apprendre très vite comment prendre du plaisir avec ton cul et ta bouche, parce que ta petite bite n'est pas prête de décevoir une autre fille! ah ah!!"

J'étais anéanti. Clément me fit lever de mon sac poubelle humide de pisse, puis m'incita à m'allonger sur le dos. Il étira mes jambes vers le plafond et commença à me retirer ma culotte.
La vue de mon pénis lui arracha des éclats de rire contagieux avec Agnès: "Noooooooon non mais lol quoi! ah ah ah! Et t'as vraiment laissé "ça" te pénétrer? Non mais t'as senti quelque-chose?"
-"Ah ah oui un peu, ça m'a rappelé mes premiers tampons, taille S!" rigola Agnès.
Je n'entendais plus rien, ne voyait plus rien, je regardais le plafond, complètement honteux, lorsque la lumière de la pièce s'éclaira de plusieurs flashs, alors que retentissaient des petits bruit électroniques très reconnaissables: ils prenaient des photos en rigolant!!!
Je serrais les cuisses instinctivement mais c'était trop tard!!!
"Oh noooon! non bébé! ne ferme pas tes cuisses, déjà qu'il n'y a pas grand chose à voir!" éclata de rire Clément. "Enfin, ne t'inquiètes pas, on a déjà tout: ta petite nouille de bébé, ton visage, ta serviette pleine de pisse, ton soutien-gorge rose, même ta rondelle dont un magnifique plug anal dépasse! Alors sois gentille, "Vanessa", ou on poste toute ça sur l'intranet de la fac!"
Je me remis à pleurer, complètement brisé. Pendant ce temps, je sentis Christian soulever mes fesses, y installer la couche...Cette sensation, je la connaissais par coeur...Mais pour la première fois de ma vie, elle n'avais rien d'agréable. Rien de pouvait plus être agréable.
Toutes ces années passées à acheter des couches en cachettes de mes parents lorsque j'étais mineur...Tous ces risques pris pour être discret...Et paf! piégé comme un débutant par une nénette dont je n'étais même pas amoureux. Elle avait su trouver les mots, déjouer toutes mes défenses, trouver toutes mes défaillances...J'était ridicule. Un bébé, un vrai bébé...
"Bon", reprit Clément. "La couche, c'est fait, mais tu ne lui avais pas promis du pipi?"
"Si", répondit Agnès. "Je commence?"
Agnès, toujours nue, s'accroupit sur moi au niveau de mon sexe, et commença à uriner...
"Profites-en bien pauvre con, c'est probablement la dernière fois avant longtemps qu'une chatte est aussi proche de ta petite bite!"
Agnès arrosa mon sexe, mes testicules, toute la couche déployée. Bizarrement, cette sensation de chaleur sur mon sexe, malgré la situation, commençait à m'exciter au plus haut point. Une fois sa miction terminée, Agnès vint sur mon visage pour que je nettoie son sexe humide de son urine. Elle n'eur rien à dire, je m'exécutais à présent tout seul, comme un automate. Pendant ce temps, Clément attrapa mes cheville, écarta mes cuisses. Tirant sur le plug anal, il le retira, repris mes chevilles pour pointer mes jambes vers le haut et écarter mes cuisses, visa mon petit trou et se mit à uriner sur mes fesses.
Cela m'excitait encore plus.
La chatte Agnès sentant le pipi, le liquide chaud dans ma couche, et maintenant, ce jet brulant sur mon anus me fit bander.
"Ah ah, mais c'est qu'elle bande, la petite pute! Non mais c'est sérieux, ça? Ca fait combien? 10 cms? "
-"12-13, d'après lui", répondit Agnès. "Enfin bon, les mecs et leurs machins, hein, on sait comment ils sont vantards!".
A peine installée, ma couche était déjà trempée.

"T'aurais pas un tampax?" demanda Clément. "Je ne voudrais pas que ma nouvelle salope reparte avec le cul vide, elle doit s'habituer à avoir toujours quelque chose dedans..."

Agnès, qui s'était relevée de mon visage, lui tendit un énorme tampon avec applicateur. Christian ouvrit l'emballage, déplia l'applicateur, et m'enfonça le tampon sans ménagement. Puis il referma ma couche, saturée d'urine.

"Bon, ma petite Vanessa. On va te démaquiller, te rendre tes vêtements de garçons et tu vas rentrer chez toi. Mais tu dois accepter que maintenant, tu es notre salope à Agnès et moi, et qu'on va te faire découvrir encore plein de nouveau plaisirs, ok? Et si jamais tu n'es pas contente, on a encore plein de photos à partager à la fac, histoire que tu comprennes bien qui t'autorise à avoir du plaisir désormais et par quels moyens, ok? Alors sois sage et fais ce qu'on te dit"
J'acquiéscais, silencieusement. Qu'aurais-je bien pu dire? Porter plainte? Pour quoi? cocufiage et arrosage à l'urine? Personne ne parlait de harcèlement de masse à cette époque là, et heureusement, Facebook n'en n'était qu'à ses balbutiements. Non, j'étais juste un garçon transformé en fille, cocufié, humilié, arrosé de pisse et un tampax dans le cul. Et le pire, c'est qu'une partie de moi aimait ça.

Agnès me démaquilla pendant que Clément se rhabillait. J'enfilait mon boxer, mon jean's et mon t-shirt par dessus ma couche. Je rentrais chez moi à pied, ne pouvant pas supporter l'idée que quelqu'un dans le métro sente mon odeur de pisse qui commençait à rancir. Sur le chemin, je reçu un MMS de Clément: une photo de moi allongé sur le dos, en soutien-gorge, une culotte rose descendue sur les cuisses, une énorme serviette hygiénique saturée de jaune humide collée dedans, et un plug anal dépassant de mes fesses. On reconnaissait parfaitement mon visage malgré le maquillage et le rimmel qui avait coulé sur mes joues.
Un sms de Clément suivit: "Je te conseille de t'acheter un peu de lingerie, une perruque et des capotes, ma chérie, ce n'est que le début de notre histoire, je vais faire de toi une femme très bientôt, et je te jure que tu vas adorer. Agnès pourra te prêter un peu de lingerie pour commencer. Mais j'insiste pour la perruque et les capotes...Prends des extra lubrifiées, ça sera plus facile, la bise".

Un autre MMS suivit: c'était le sexe de Clément en érection, toujours aussi impressionnant.
Le tampon dans mes fesses bougea légèrement: je bandais de nouveau dans ma couche pleine de pisse, malgré mon inquiétude, ma tristesse et mon dégout...

Je ne savais pas quoi faire de ce mélange de sentiments. Cela allait prendre du temps. Mais j'avais compris quelque chose en cette funeste journée. Quelque chose dont je me doutais un peu auparavant, mais que je n'arrivais pas à formuler exactement:

Je n'étais pas un garçon.

Pas un garçon ordinaire, en tous cas. Mon comportement de chevalier blanc vis à vis des filles, cet espèce de romantisme imbécile, fleur bleu, timide et timoré; et puis ces fantasmes de malade mental... cela cachait juste une personnalité soumise, prête à beaucoup d'excentricités. Qu'allais-je devenir? Homo? Avais-je seulement envie de coucher avec un homme?
Non. Mais la belle bite de Clément...Et ce plaisir d'avoir porté de la lingerie...la douceur du coton sur mes fesses, du soutien-gorge sur mes tétons...
Le goût de tout ce sperme que j'avais avalé aujourd'hui...le goût de son gland...

Allais-je devenir fou? Allais-je me suicider? Et pourquoi ne pas plus simplement changer de fac, changer d'amis, changer de fréquentations?
Je ne savais plus rien.

Je ne savais plus qu'une chose: il fallait que je rentre chez moi, je doucher et me changer.

Fin de la 1ère partie.

Vanessa reviendra dans "Comment le garçon que j'étais est définitivement mort"


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