Je m'appelle Mathieu, j'ai 40 ans, marié, enfants.
Mon fantasme est de trouver un couple pour réaliser ce scénario :
Nous nous sommes rencontrés, avec Paul et Monique sur un forum internet. Nous avons échangé concernant la réalisation de cette histoire, puis avons passé le pas. Paul et Monique sont retraités et aiment le sexe.
Une semaine avant la réalisation, nous nous sommes rencontrés pour faire un test MST. C'était une manière de se sentir libre, mais surtout de simplifier la réalisation, sans préservatifs.
Le jour J, j'arrivais, avec un bouquet de fleur. Paul et Monique habitent un immeuble moderne du 19e arrondissement de Paris. Il y a un ascenseur. J'avais un bouquet de fleurs.
Monique et Paul m'ont accueilli chaleureusement et ont mis les fleurs dans un vase.
Monique avait préparé de la blanquette de veau. Une bonne odeur était présente dans l'appartement quand j'arrivais. Après quelques effusions, Paul me dit (c'était prévu) qu'il fallait choisir du vin à la cave et me demanda si je voulais bien l'aider. Bien que je ne suis pas spécialiste, je l'accompagnais. Une fois dans les caves, nous pénétrâmes dans la leur et avons parcouru les différentes bouteilles présentes. Définitivement, c'est le Chardonnay le plus approprié à notre repas. Je bandais déjà.
Après avoir choisi, comme prévu, Paul ferma la porte de la cave, se mis en travers, dégrafa sa braguette et réclama "TAXE DE PASSAGE". Il sortit un sexe mou. Sans hésiter je le pris dans ma bouche. C'étais la première fois que je faisais ça, mais ça m'excitait énormément. Son sexe restait mou, j'espérais que ça ne durerait pas ...
Rapidement, je sentis un goût familier. En effet, lorsque je me masturbe, je me force à avaler mon sperme. C'est un peu rebutant au départ, mais très excitant, j'en aime le goût. En général, je me masturbe plusieurs fois de suite.
Dès que j'eu tout avalé, il remballa sans un mot. Nous remontâmes.
Monique avait fini tous les préparatifs. Nous nous sommes alors installés pour l'apéritif. Nous discutions de l'actualité, alors que je n'en pouvais plus, mon sexe étais en braise, dressé. Soudain, le moment prévu arriva. Monique renversa, en resservant Paul, de l'eau sur mon pantalon. Elle était absolument confuse et m'invita à la suivre dans la chambre pour passer un autre pantalon.
Dans la chambre, je sorti mon pantalon, et mon caleçon était déformé d'une bosse énorme. Elle me tira alors vers le lit, sur lequel elle s'assit, relevant sa robe, et dévoilant une chatte ouverte, humide et chaude. Elle ne portait pas de sous-vêtements. Elle m'attira à elle et je me retrouvais immédiatement en elle. J'étais tellement excité que je jouis immédiatement en elle. Je passais le pantalon qu'elle me donna après m'avoir essuyé avec une serviette. Nous repartîmes dans le salon. Paul bien sûr n'avait rien vu.
Le repas se poursuivit dans la bonne humeur. C'est au moment du digestif que Paul fit mine de découvrir en passant la main sur la cuisse de Monique le sperme qui avait coulé. Il fit mine de se fâcher, puis me demanda de nettoyer ça. Monique s'installa dans le canapé, jambes écartées, et je commençais à tout nettoyer avec ma langue en remontant. Paul, derrière moi, me retira doucement le pantalon qui m'avait été prêté, type survêtement. Je soulevais un genou, puis l'autre, car j'étais à genoux en train de lécher le fruit de mes exploits, pour lui permettre de le retirer. Il m'écarta alors les genoux, et je me retrouvais le trou ouvert.
Je ne me suis jamais fait enculer, ni quoi que ce soit d'approchant. J'entendais qu'il attrapait du lubrifiant, et il commençait à me masser l'anus avec ses doigts glissants. Je continuais à lécher la chatte de Monique, qui mouillait de plus en plus. Il n'y avait plus de sperme et elle prenait de plus en plus de plaisir.
Le doigts de Paul commencent à rentrer en moi et je n'aimait pas trop la sensation. C'est alors qu'il remonta et me pénétra sans ménagement. Je ne comprend pas que sa bite que j'avais sucé et qui était si molle puisse être si énorme. Aurait-il pris un cachet ? La sensation est très désagréable. Ce n'était pas douloureux, car j'étais très lubrifié, mais c'est une sensation nouvelle qui me déplaisait. J'essayais de me dégager, mais il me retenait fermement par les hanches. C'est vrai que je n'avais rien à dire, car c'est ce qu'on avait décidé. Cette sensation de corps étranger qui fouille mon intérieur était insupportable, je n'arrivais pas à le sortir, il me tenait plaqué. En même temps Monique attrapait ma tête et me serrait contre sa chatte pour que je fouille plus profond en elle. J'avais du mal à respirer et elle haletait de plus en plus fort, elle jouissait. En même temps, comme une révélation, la bite de Paul commençait à me donner du plaisir. Nous avons tous les trois joui à peu près en même temps.
Ensuite, je filais à la salle de bain pour prendre une douche. La sensation après cette première sodomie était assez étrange (j'imagine, car je ne me suis jamais fait enculer). En sortant, ils m'avaient préparé un pyjama qui sentait bon. En sortant, il m'indiquèrent d'aller dans leur chambre lire tranquillement pendant qu'ils passaient eux même à la salle de bains.
Je me sentais bien et détendu. Ça sentait la lavande.
Ils sortirent ensemble.
Monique m'expliqua alors qu'habituellement Paul s'occupe de bien faire pénétrer son suppositoire à l'Eucalyptus et que vu qu'il n'y arrivait pas par ma faute, je devais m'en charger. Elle s'installa alors, et j'introduis le suppositoire dans son anus, puis avec ma bite gonflée, je m'appliquais à bien faire pénétrer l'Eucalyptus quand Jean attrapa un autre suppositoire et me dit "Tant qu'à faire je veux bien en profiter aussi". Je sortis alors ma bite du cul de Monique et réitéra l'opération avec Jean. Qui se mit à bander.
Monique en profita alors, et le couple commença à baiser. Comme je me retrouvais bandant, je demandais l'autorisation à Monique de revenir dans son anus. Je n'avais jamais pratiqué de double-pénétration avant. Nous jouîmes tous les trois. Puis, après avoir tiré la couette sur nous, nous nous endormîmes.
Au petit matin, lorsque je me réveillais, il y avait une odeur de vieux, un peu troublante mais un peu excitante. Je ne savais plus trop. Sans un bruit, je me rhabillais et partis sans les réveiller en me promettant de revoir bientôt Paul et Monique.
|