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Collision !
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Auteur :  bibi [ dim. 27 févr. 2011, 16:20 ]
Sujet du message :  Collision !

Salut les coquins !
Depuis quelques mois, un goût d'inachevé me traîne en bouche... il m'en manquait un bout.
Oh, je vois votre œil lubrique s'éclairer de là ! Quoi ? Lui, un bout lui manque ?
Ce n'est pas d'un tel bout, chaud, lisse, percé en son sommet, prévu pour explorer toutes sortes de cavités, dont je parle là. Il s'agit d'un bout d'histoire.
He, restez ! C'est pas pour autant négatif, ou encore frustrant.
La saga Une soirée réussie est constituée de 11 bouts.
Ces longs mois d'hiver m'ont bien occupé, mais j'ai trouvé un peu de temps pour réanimer Danièle, et la faire revenir au devant de la scène.
Voilà, vous savez tout. Je vous livre mon "bout", faites-en bonne usage !
Bisous de partout !
:lip: :biz: :lip:

12 : Collision !

Une fois tous remis de nos batifolages, Danièle a préféré rentrer pour dormir seule, nous laissant “terminer tranquilles”. Il est vrai qu’elle vient de passer une semaine en stage, le trajet en train, une nuit à faire l’amour, la journée à la montagne et... un trio assez intense pour terminer la soirée. Même à 24 ans, nous ne sommes pas des machines, et un peu de repos ne lui nuira pas.
Cette dernière partie, Hervé m’entraîne sous la douche. Propre, nous grillons une cigarette, parlant principalement de ce que nous venons de vivre, et inexorablement du fabuleux corps de Dan. “Où as-tu trouvé une bombe pareille ?” Je lui répète que cela tient souvent à très peu, et qu’être seulement au bon endroit au bon moment suffit.
Mais si baiser est bon, manger n’est pas non plus dépourvu d’intérêt, nous sommes affamés. A poil tous les deux, nous nous trouvons à manger : un bout de saucisson, trois feuilles de salade, un gorgeon de Gigondas, et nous voilà rapidement attablés à refaire le monde en reprenant des forces. Je lui propose l’hospitalité pour la nuit, qu’il accepte volontiers, me rappelant la façon triomphante qu’il a de se réveiller. Je le taquine en lui disant qu’il m’a déjà tout donné, et qu’à son âge... Mais il me rétorque qu’il lui est aussi aisé de garder le bras tendu que moi la bouche ouverte, en me précisant qu’il compte bien encore goûter un de mes deux orifices avant de s’endormir. C’est ainsi qu’au dessert, c’est un Oscar tout propre qui vient s’installer à la place de mon assiette, bien au bord de la table, ses belles couilles tombant naturellement... dans ma main. “Fais-moi bien bander, que tu la sentes bien dure entre tes miches.”
Impossible de me lasser d’une telle pièce, mes lèvres l’engloutissent en le décalottant, le goût suave de son gland s’ajoute alors au tanin du Gigondas. Avec beaucoup de délicatesse, je lui aspire son beau gros bout, en fais le tour de ma langue, joue des dents pour l’aguicher, invitant ainsi son sang à lui redonner du volume. Ses testicules ne sont pas épargnés, puissamment aspirés et tétés, malaxés dans ma main qui se fait douce. Lorsque sa belle queue est assez rigide, je la fais disparaître tout au fond de ma gorge à plusieurs reprises, fortement encouragé par Hervé qui me vante encore sa rigidité grandissante, et les vertus bénéfiques d’un tel comportement en terme de sodomie. Je suis somme toute crevé, alors je l’attrape par la queue en lui demandant de venir me la mettre en douceur.
Le lit ouvert, je m’allonge en chien de fusil, un peu soumis, sachant très bien ce qu’il désire. Il s’allonge à son tour, se loge derrière moi en me levant haut la jambe, et son sexe épais me pénètre en quelques doux coups de reins, ranimant instinctivement la flamme, le désir d’être bien rempli. “Prends-moi tout doucement et dépose ton foutre en moi, s'il te plaît. Ce soir, j’ai juste besoin que tu jouisses fort dans mon ventre.” Avec lui, c’est “à la carte”. En merveilleux amant, lentement, il me baise comme je le désire, m’envoyant son bout dilaté exactement là où je l’attends, comme s’il me ressentait. 20, ou peut-être 25 minutes plus tard, après m’avoir fait flirter quelques fois avec l’orgasme, son pieu bandé à mort distend mon trou, et alors que son gland se met à palpiter tel un puissant cœur, une douce chaleur envahit mes reins. Tout au fond de mon rectum, il pulse ses larmes blanches avec une étonnante efficacité, me faisant même me demander où cet homme stocke toute cette semence. Ses couilles blotties dans ma main passée entre mes jambes pour le rassurer, Oscar tout au fond de moi, sans un mot, juste bercé de bien-être, je m’endors apaisé.
Son réveil fut triomphant, et qu’espérer de mieux que son sperme nourrissant précédant le café du matin ? Sur le chemin du travail, je le déposais près de chez lui. Mais malgré tout, un certain trouble m’agaçait, une sorte de gêne permanente, une boule d’angoisse : j’avais mêlé ma copine à ma bisexualité, je m’en sentais fautif, coupable de quelque chose. Danièle avait beaucoup insisté, curieuse... Il me tardait de connaître sa réaction une fois le calme revenu.
19h00. Elle m’a demandé de venir la retrouver chez elle après mon travail. Douché, tout frais, je trépigne dans l’ascenseur. Les portes s’ouvrent enfin, et Dan m’attend dans l’embrasure de sa porte, un grand sourire aux lèvres. Un long baiser d’accueil me rassure un peu, puis elle m’invite à rentrer. En me servant un verre, elle me demande comment s’est terminée notre soirée avec Hervé. Je lui explique notre frugal repas, mais ce n’est pas ce qui l’intéresse. Je lui explique que, trop crevé pour rentrer, il a dormi chez moi. “Et naturellement, tu es encore passé à la casserole ? Il est du genre costaud, ton copain. J’avoue que ca n’a pas été désagréable du tout. Sa grosse quéquette entre mes fesses m’a vraiment fait décoller !” s’exclame-t-elle. Une pincée de jalousie demeure dans sa voix, c’est manifeste. Ensuite, elle me confie qu’elle n’en pouvait plus, trop fatiguée par cette semaine de stage à l’extérieur. Puis en me fixant, elle me demande abruptement lequel des deux sexes je préfère, sans détour. Je suis bien dans l’incapacité de lui répondre, mais tente de lui donner quelques éléments : j’aime les femmes dans leur globalité et sans aucune limitation; je peux les embrasser à pleine bouche, les prendre et de partout et par tous les orifices, aimant autant leur sexe que leur poitrine ou leur bouche. Une femme est un festin complet auquel je fais honneur. Avec les hommes, seul leur sexe m’intéresse, et ce qu’il m’apporte comme plaisir en tant que passif, uniquement passif. Je suce leur queue, boit leur semence, leur offre mes fesses volontiers, mais ne pourrai jamais les embrasser ni les étreindre. Mais que m’enfermer dans une seule sexualité ne m’est pas envisageable; vivre avec un mec, impossible, mais dire qu’à partir de maintenant, je n’en sucerai plus la queue d’un serait mentir. Un homme n’est pour moi qu’un dessert, un petit plus, un trou normand, mais en aucun cas il ne pourra se substituer à un vrai repas.
Sans un commentaire, elle se rapproche de moi et me roule une pelle d’anthologie en posant sa main sur mon intimité pour me masser le sexe au travers de mon pantalon. Aussitôt ma main saisit un de ses si beaux seins. Ma paume sent son mamelon déjà dur, elle est déjà prête. “Tu m’as beaucoup impressionné hier soir. me confie-elle en quittant mes lèvres. Tu étais tellement à ton aise avec son sexe, pour le sucer ou te laisser prendre, qu’à un moment j’ai pensé que tu avais plus de désir pour lui que pour moi. Je te parais sûrement maladroite, mais je tenais à ce que l’on en parle entre quatre yeux. Tu es… si différent des autres hommes, tellement sensible… Je crois que je suis en train…” Mes lèvres viennent volontairement lui couper la parole, incapable de vouloir entendre le reste de ses mots. Dilemme, le cul toujours entre deux chaises, deux hémisphères : un féminin, un masculin ! Mais pourquoi la vie m’a fait un tel cadeau empoisonné ? Je réalise à cet instant être prisonnier, enfermé dans une cage dont je n’ai pas la clef. Ce sont les êtres que je rencontre au gré de mes pérégrinations qui finalement me divertissent, me sortent de ma prison le temps de quelques rapports, quelques orgasmes, me laissant entrevoir l’illusoire lumière le temps d’une… éjaculation, que ce soit la mienne dans le corps d’une femme, ou celle d’un de mes amants en moi.
Cette créature de rêve au corps de déesse, à l’intelligence cristalline, à la peau satinée, véritable reine de Saba, vient en quelques secondes de m’ouvrir l’esprit. Ses seins de part et d’autre de mon visage, enivré de ses odeurs corporelles si fines, je la serre dans mes bras avec force. Tels des wagonnets d’une mine, mes pensées parcourent tous les méandres de mon cerveau. D’un coup et d’un seul, les vannes contenant le lac de mes larmes s’ouvrent, incapable de retenir plus longtemps l’énorme pression qui m’oppresse finalement… depuis toujours. Je me sens sale, ridicule et indésirable, submergé par le spectre de toutes mes conquêtes, hanté de démons. Pire que tout, je viens de perdre… Danièle, et cette idée m’est insupportable.
“Pleure, vas-y, pleure… chuchote-t-elle en m’étreignant. Je comprends ce que tu ressens. Ca ne va rien changer, je vais t’aider à retrouver ta place. Mais là, ce soir… pleure, vide-toi.” Ses lèvres se posent sur ma tête et y déposent d’affectueux baisers, me ceinturant fermement dans ses bras. Je ne sais combien de temps je reste ainsi. Un certain temps, ça c’est sûr. Puis lentement, je me redresse et ose enfin affronter son regard, ma main se pose alors délicatement sur sa joue : “D’où viens-tu, Dan ? De quelle planète ? Comment vois-tu tout aussi clairement ?” “Je ne sais pas quoi te répondre, mais une chose est certaine : tu es quelqu’un d’exceptionnel. Reste ainsi, tendre et passionné. Je me sens si bien avec toi, si femme… Mon seul désir est que tu sois libre, mais que tu comprennes ce qui anime tes désirs, tes sentiments.”
Sur le cul, tant physiquement que moralement, je reste interdit devant sa grande sagesse. Sans un bruit, elle se lève et disparaît, me laissant seul avec moi-même. Digérer, j’en ai des moulons à digérer. Néanmoins, je réalise la puissance de ses mots, et son impensable soutien : quel bout de femme, quelle arme ! La tête en arrière, je grille une cigarette, espérant arrêter le mixer qui dans ma tête pulvérise mon esprit. Les yeux clos, je tente de revenir à la surface, quand soudain la présence de Dan se fait sentir, venant me chevaucher sur le canapé. Lorsque j’ouvre les yeux et me redresse, elle est nue, son pubis contre le mien. Alors que j’écrase cette satanée clope, sa bouche vient chercher la mienne. Ouvrant mes lèvres pour répondre à son baiser, cette joueuse partage la gorgée de Whisky qu’elle contient en enroulant sa langue à la mienne avec fougue, frottant contre moi sans équivoque son sexe et son opulente poitrine. Mes mains pétrissent ses fesses avec fermeté pendant que mon bassin répond au sien. Dans ma tête, tout se bouscule, mais il me faut traiter les priorités, les urgences, et là…
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Ses lèvres glissent et me dévorent les joues, le cou tandis que mes doigts investissent son entrejambe trempé avec vélocité. Ma reine néanmoins glisse au sol et déboucle prestement mon pantalon pour en libérer mon sexe à demi bandé. De ses mains sur mes hanches, elle m’arrache mes vêtements et déjà sa bouche m’engloutit, m’aspirant avec force. Sa langue s’enroule autour de mon gland tel un cyclone entre de soutenus va-et-vient sur ma hampe et quelques morsures perverses. Rapidement, ma queue se retrouve bandée à rompre, et ce sont mes couilles qu’elle choie, les aspirant, les mordillant, les léchant comme des boules de glace, descendant même me darder l’anus de sa douce langue avant d’y planter son majeur. Celui-ci coulisse librement, au même rythme que ma hampe de nouveau entre ses lèvres, pompée avec énergie. Mes mains se perdent dans ses longs cheveux et inconsciemment accentuent l’intensité de sa fellation, la rendant plus mécanique que sensuelle. Un deuxième doigt me fouille d’ailleurs maintenant, comme pour me communiquer le sentiment d’efficacité. Danièle fond sur ma verge avec la célérité d’un aigle, la parcourant de la base du gland jusqu’à sa naissance. Mon souffle se raccourcit, et je ne fais rien pour lutter contre cet orgasme qui me submerge violemment. A l’image de mes larmes quelques minutes plus tôt, c’est au tour de mon sexe d’expulser son trop plein de pression en de de violentes ondes, de véritables secousses telluriques. Elle s’applique avec une précision chirurgicale pour que chaque jet lui parvienne alors que sa bouche revient à la naissance de mon gland, ses lèvres ceinturant alors fermement la couronne pour aspirer mon nœud, décuplant ainsi mon plaisir. Aspiré, vidé de toutes substances séminales et cérébrales, Dan m’a véritablement terrassé, et le peu de vigilance qu’il me reste se retire sur la pointe des pieds; sans pouvoir lutter, je m’endors.
Enroulée dans une couverture, la tête sur ma cuisse, sa main tenant précieusement ma verge, c’est ainsi que je la découvre en me réveillant à la lueur du jour naissant. Mon cœur s’emplit d’une joie incommensurable à la voir si belle, si pure et si… attachée à moi. Je revis les moments intenses d’hier soir, entends ses si sages paroles, et ne peux qu’être épris d’une si belle personne. Danièle est la clef de voûte scellant… les deux parties de mon moi profond, si opposées et pourtant si présentes, mes deux sexualités.
Ma main écarte délicatement les pans de la couverture pour admirer son corps. Le galbe parfait de ses hanches, son ventre plat plongeant vers sa si soignée toison d’amour, ses jambes longues et finement dessinées se terminant par une croupe divine… comment ne pas être sous le charme ! La chaleur de sa main répond à la somatisation de mes envies, mon sexe se gorge lentement de vie. Avec une lenteur toute calculée pour ne pas la réveiller, je me laisse glisser entre le dossier du canapé et ses fesses que j’embrasse immédiatement. Par réflexe, ma belle remue légèrement, repliant inconsciemment sa jambe, comme pour mieux s’ouvrir, s’offrir. A quelques centimètres de mes yeux s’étale la vallée des merveilles, où tant de choses sont à admirer, et tant de subtiles senteurs s’en dégagent. Ses lèvres délicatement ourlées, tenues fermées par sa posture, sont teintées d’une incroyable quantité de couleurs, du rose tendre au brun, allant jusqu’à s’iriser vers son ouverture. Cette peau, si souple et si douce, contraste avec la granulosité de celle des bords de sa vulve, plus rugueuses… sorte de contrées sauvages. Et puis cette adorable petite grève, le Raphé, terre de “l’entre deux”, lisse et brillante jusqu’aux premières pentes d’une dépression conique. Le cône se plisse à mesure qu’il se resserre pour former sa si souple rondelle étoilée. Emerveillé, j’admire ce soleil, cette porte à doubles battants. Un court instant, l’image du pieu d’Hervé se superpose à cette si douce vision, et il m’est difficile d’imaginer cette anus distendu pour l’y faire passer quelque chose d’aussi gros… sans traumatisme.
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Ma langue s’approche de son doux sexe et effleure ses douces lèvres, timidement, juste en écrêtant ses plis les plus proéminents. Mon haleine me renvoie son odeur intime; un deuxième passage plus en rase-mottes permet à ma langue de s’imprégner de son goût merveilleux. Ma main, impatiente, se sent obligée de venir se poser sur la peau de pêche de sa fesse, juste pour lui permettre de s’ouvrir un peu plus. Une légère pression sur ma verge tendue entre les doigts de Dan m’avertit de son réveil imminent; j’embrasse alors amoureusement ma belle sur les lèvres, parcourant calmement de la langue l’intérieur de son intimité jusqu’à son petit clitoris. Un léger tressaillement se fait sentir, un être s’éveille, sa main caresse alors lentement ma hampe. Déjà sa liqueur perle aux portes de son antre, aussitôt lapée par de nouvelles investigations; de sa grotte d’amour à son clitoris gonflé, ma langue la dévore, mes lèvres l’aspirent, lui arrachant des petits cris, parfois de longs feulements qu’elle tente d’étouffer en léchant mon gland gorgé. Son étoile mérite tout autant mon affection, et je m’emploie à le réveiller également. Il se dilate et palpite sous la pression, ouvre ses volets après sa courte nuit de repos. Son goût âcre et ses arômes musqués diffèrent complètement de son voisin, mais sa complexité musculaire, ainsi que sa tonicité lors de mes intrusions linguales ne me laissent pas indifférent, notamment en sentant la bouche de sa propriétaire emprisonner ma verge de plus en plus activement. Fort emballés de ce petit déjeuner improvisé, mes doigts viennent dérider son petit trou pour que ma langue humide y plonge largement, assisté dans mon entreprise par la propulsion de son bassin venant à ma rencontre. Il est sucé, léché, mouillé, et dilaté lorsqu’elle me demande de “l’enculer sans attendre”, menaçant de me la mordre si je n’accède pas immédiatement à sa requête.
Elle pose un genou posé au sol, allongée à plat ventre sur l’assise du canapé, les fesses bien écartées, je viens la couvrir de mon corps. Mes mains emprisonnent ses seins alors qu’elle guide ma queue douloureuse instantanément vers l’entrée de son si joli cul. “Encule-moi, j’aime sentir ta queue me remplir le ventre. Viens en moi mon amour. Je suis à toi, prends-moi, fais-moi jouir comme tu le fais si bien.” Il y a quelques heures, je la perdais, j’étais anéanti, affectivement ruiné. “Mon amour.” Ces deux mots additionnés libèrent tant d’énergie en moi que je ne peux que lui obéir. “Je vais t’aimer, Dan, passionnément, profondément, éperdument, intensément.” crié-je en ponctuant chaque mot d’un puissant coup de reins; son corps ne m’offrant aucune résistance. Sa croupe monte vers moi, m’aidant ainsi à la pénétrer encore plus profond, encouragé par ses appels à la débauche, criant les bienfaits de ma bite, que je la fais tellement jouir, et qu’elle me désire de partout en elle.
En quelques minutes, nous parvenons à nous emboîter avec une violence et une célérité quasi destructrice, et pourtant, il nous est impossible de nous calmer. Mes mains sont perforées par ses mamelons érigés, son cul m’aspire le vit et se contracte pour me garder tout au fond de ses entrailles, et tout ce qu’elle attend de moi se résume à des “encore, oui, encore plus fort” irrésistibles. Mes lourdes bourses se transforment en pilons, et frappent ses lèvres vaginales maintenant béantes et trempées, traumatisent également son clitoris aussi affolé que le reste de son organisme. Sa tête tournée vers moi cherche ma bouche, me mord violemment les lèvres lorsqu’elle les trouve, rit en même temps qu’elle pleure, puis soudain, ses mains attrapent mes hanches et m’immobilise ntfermement en elle. Secouée de puissants spasmes, broyant ma hampe, elle hurle puissamment sa jouissance alors qu’une série de véritables geysers inonde mes jambes et mes testicules. Puis… Knock Out.
Le souffle coupé, Dan gît quasi inconsciente, incapable du moindre mouvement. Immobile au fond de ses reins, à son écoute, je comprends la violence de son orgasme ravageur, déposant sur sa joue mille baisers, lui chuchotant que je suis très fier de ce qu’elle est, que je suis raide dingue d’elle. Les yeux clos, hors d’haleine, son cœur emballé résonnant contre ma poitrine, d’une voix saccadée et à peine audible, elle murmure : “ Tu es fou… de me faire… autant jouir… mon amour.” Ma déesse sombre dans un sommeil réparateur, recouverte de mon corps, devenu paire d’ailes protégeant mon ange : “Dors, mon amour, dors. Je t’aime.”

Auteur :  jeanne exhib 83 [ dim. 27 févr. 2011, 20:38 ]
Sujet du message :  Re: Collision !

Que c'est bien écrit, c'est tellement intense que je crois que j'ai joui presque autant que Danièle. :lol:

Du très bon encore, merci bibi pour cette histoire. :lip:

Auteur :  georline [ lun. 28 févr. 2011, 00:30 ]
Sujet du message :  Re: Collision !

Merci Bibi, tu as raison, cette fin? convient à merveille aux 11 précédents chapitres. Comme toujours c'est furieusement bien écrit, irrésistiblement bandant, et avec un sens de l'image qui m'étonne toujours :love:
Mon cochon, qu'est-ce que tu as comme talent. :clap:
:biz:

Auteur :  bibi [ lun. 28 févr. 2011, 09:56 ]
Sujet du message :  Re: Collision !

Merci, vos compliments me vont droit au cœur.
Le 12ème volet sera-t-il le dernier ? Pas certain : Danièle me déclare sa flamme au cours de cet épisode. Hors, dans le premier, je rencontre Patrick, rencontre chronologiquement ultérieure, si vous me suivez, puisque Dan, c'est dans le troisième.
Il serait donc nécessaire d'unir tout cela, qu'en pensez-vous ?
Mais si ça vous saoule... je ne veux pas vous forcer. :mdr2:
:biz: :lip:

Auteur :  Dudule la tarentule [ lun. 28 févr. 2011, 17:37 ]
Sujet du message :  Re: Collision !

J'aime tout !

J'ai juste une petite question: c'était Hervé ou Oscar ? :lol:
Citation :
Hervé m’entraîne sous la douche.(...) C’est ainsi qu’au dessert, c’est un Oscar tout propre qui vient s’installer à la place de mon assiette,

Auteur :  Golum [ lun. 28 févr. 2011, 23:50 ]
Sujet du message :  Re: Collision !

Oscar, c'est le monstre qui séjourne entre les jambes d'Hervé :clin:

Auteur :  bibi [ mar. 01 mars 2011, 11:05 ]
Sujet du message :  Re: Collision !

Citation :
Oscar, c'est le monstre qui séjourne entre les jambes d'Hervé :clin:
Absolument. Il méritait un Oscar lorsque je l'ai vu pour la première fois, et le sobriquet lui colle à la peau... comme une bite au cul !

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