Le Sperminateur de la rue St-Laurent
Quelle sorte d’homme se cache derrière le Sperminateur de la rue St-Laurent, derrière cette machine à foutre qui sera finalement jugé pour ses tonne de semence laissé sur les visages de beaucoup de femmes. Pour vivre tranquille et impuni pendant une décennie d’années, il faut certainement être un baiseur respectable et respecté. Pour en prendre plus, T69 s’est rendu dans la rue St-Laurent pour interroger ceux qui Sperminateur crachouille son « jus d’homme » sur tous le jours.
Nous avons d’abord interrogé d’anciens aimantes de Monsieur Sperme. Des filles qui ont couché avec lui à l’époque de Jean Charest, dans le sous-sol du magasin Beva-A. Le Sperminateur y a œuvré successivement comme conseiller et maître-flingueur de liquide séminal.
Comme me l’a expliqué un ancien amie : « Surnommé Spermatozoïde par sa mère elle souhaitait que son fils devenir pompier. Malheureusement il avait le malheur de contrôler ses envies. Une journée il s’arrivait que son pénis a spontanément craché une grosse giclée sur le visage d’une gendarmette canadienne. Malheureusement les aspirations de sa mère furent gâchées parce qu’il y a un règle canadien qui dit qu’un homme qui met son foutre sur le visage d’un agent d’ordre ne peut jamais devenir pompier ou cosmonaute. Malgré de ces limitations néanmoins il faut dire qu’il avait trouvé sa véritable vocation et aujourd’hui il a une expérience inégalable dans le domaine de repeindre les visages. Pis il s’est devenu bénévole enseignant pour enseigner des jeunes comment de lancer correctement leur matière visqueuse. Il y a parfois des visages particulièrement difficile pour ses étudiants de cracher sur mais il n’hésitait jamais à relever ses manches et à se salir les mains. »
Je me suis par la suite rendu à l’immeuble où logeait le Sperminateur à la maison Desbarats. J’ai été reçu par la concierge : « Monsieur Sperme est très affable. Un homme très bonne, avec les bêtes par exemple. Il rapportait toujours du travail « un beau échantillon de son foutre » pour sa secrétaire et la fille de sa secrétaire. »
La concierge m’a d’autre part déclaré qu’il était toujours soigné de sa personne. « Je peux vous dire, a-t-elle affirmé, qu’il s’essuyait toujours les pieds avant d’enter dans l’immeuble ou de pénétrer le vagin d’une salope. Il avait peut-être des liquides organique sur les mains, mais ses souliers sont propres. Un monsieur, je vous le dis, un vrai monsieur ! »
J’ai enfin visité le Club français s’appelle Le trou de passage où la bartendresse m’a décrit une autre facette de la personnalité de le Sperminateur : « Monsieur Sperme est un véritable boute-en-train, ici. Il est présent à toutes nos soirées audacieuses. Il participe toujours à notre Concours annuel de remplir la bouche de jus de couille. Mais jamais vulgaire ! L’homme a une distinction naturelle. »
Bref, a conclu la bartendresse, le Sperminateur est un homme « comme il ne s’en fait plus. » Qu’ajouter à cette dernière affirmation, sinon que ce serait trop beau pour être vrai !
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Modération - Janus Ce topic ressemble à s'y m'éprendre à un récit, je l'ai donc déplacé dans Histoires vassiliennes... |