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L'instrument de Sidné https://forum.vassilia.net/viewtopic.php?f=35&t=189 |
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Auteur : | Dudule la tarentule [ sam. 18 déc. 2010, 15:41 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
Seulement 19 lecteurs ?! Savent pas ce qu'ils ratent J'ai beaucoup aimé le relire |
Auteur : | crip [ sam. 25 déc. 2010, 06:10 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
+1 !!! Franchement bandante...et ce n'est pas du pipeau Vraiment d'enfer !! |
Auteur : | Sissi [ sam. 25 déc. 2010, 09:23 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
Vouiii, comme d'hab, merci Bibi !!!!!!!!!!! |
Auteur : | Connétable [ sam. 25 déc. 2010, 10:34 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
Très excitant en effet, bravo! |
Auteur : | bibi [ mer. 29 déc. 2010, 13:26 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
Sidné deuxième ! Le Jack nous apporta un bon réconfort, mais nos estomac réclamaient quelque chose de plus consistant. Après le salon, la salle de bain et la chambre, c’est la cuisine qu’il m’invita à visiter. Mon hôte nous prépara une délicieuse omelette, accompagnée de deux feuilles de salade, il ne nous en fallait pas plus pour recharger nos batteries. Une fois restaurés, en buvant un petit café, Sid’ me demande si j’accepterais de rester pour la nuit, me demandant si à mon âge je n’ai plus peur du noir. Cet homme séduisant est décidément plein de ressources, et en plus, il déborde d’hormones et d’humour. J’apprécie son hospitalité, lui confiant être sous le charme de ses organes génitaux, et que rien ne me ferait plus plaisir que de le sentir encore aller et venir en moi, ou le sucer, le déguster. Et c’est ainsi que quelques minutes plus tard, nous sommes au lit et que ma bouche joue avec son gland calotté, mes doigts palpant ses bourses. Il ne lui faut que quelques minutes pour passer de l’état de long sexe mou à celui de démonte-pneus en acier trempé, et ainsi me disloquer la mâchoire. Il m’encourage, me répétant que je m’occupe bien de lui, qu’il va ensuite longuement m’enculer, tout doucement comme j’aime, et se vider dans mon petit cul en me faisant hurler de bonheur. Et il en est capable. Avec cet homme, c’est 100 % garanti, sans prétention aucune. Ma salive ruisselle sur son gros vit alors que ma main le branle régulièrement. De l’autre côté de ma personne, je contracte régulièrement mon sphincter anal pour bien me préparer à sa venue imminente, et être le plus souple possible. Son gland turgescent me livre quelques perle de pré-sperme qui lui donne un petit goût sucré fort agréable. La pointe de ma langue plonge de temps en temps dans son large méat, si fendu et ouvert qu’il a la forme d’un mini vagin rempli de mouille. “Que ta grosse queue est agréable à sucer. Elle me rend dingue ! Je ne sais pas où je la préfère.” Pendant que je continue de la sucer, Sidné attrape le tube de gel sur la table de nuit et le plaçant directement sur mon anus en dépose une bonne quantité directement dans mon rectum et au pourtour de mon anus. Puis de son majeur, il me doigte délicatement. Rapidement, c’est avec deux doigts qu’il m’entreprend, taraudant bien mon orifice. Mais ses doigts ne me suffisent plus, je lui demande de me “ la mettre” tout de suite, de ne plus me faire attendre. Assis contre la tête de lit, il me fait reculer à quatre pattes entre ses jambes écartées, mes talons de chaque côté de ses fesses, je peux ainsi venir m’asseoir directement sur son gland. Alors que d’une main il écarte mes fesses pour bien voir mon œillet, à l’aide de son gland il étale un peu le lubrifiant, et le place dans mon orifice impatient. Aussitôt, poussant fort pour bien m’ouvrir sur son pieu, je m’assieds lentement pour me faire pénétrer lentement. “Descends, encule-toi à ta vitesse ! Ton petit cul est trop bon, tu me serres fort la bite, c’est du bonheur.”. Cette pénétration m’arrache des gémissements, des frissons me parcourent, alors qu’une des mains de mon amant se pose sur mon sexe et commence à me branler, l’autre me prenant fermement les couilles. C’est si bon d’être sollicité de tous les côtés, écartelé. Il ne me manque qu’une autre bite ou une petite chatte mouillée pour combler ma bouche. Atteint d’un excès de frénésie, je vais et viens sur sa bite pourtant engagée que de moitié entre mes reins, râlant à chaque descente tant elle me ramone, mais si excité par la main qui enserre ma queue durcissante que je demande à Sid’ de me tirer pour bien me la mettre. Mon cul est chaud, j’ai envie qu’il me possède pleinement et vais de toutes façons m’adapter à son sexe. Je veux qu’il me transperce, qu’il se fasse une place dans mon ventre et l’y accueillir jusqu’à ce qu’il vide ses grosses couilles pleines de son divin foutre brûlant. Sa main lâche mes testicules pour venir saisir ma hanche. “Tu aimes ma queue autant que moi ton cul, on va partir ensemble !” me dit-il en m’aidant à m’enfoncer sa poutre entre mes fesses, la partie la plus épaisse de sa hampe. Et putain qu’elle est grosse, cette queue ! Mais qu’elle est bonne, génératrice de sensations exceptionnelles, et je suis très fier d’être son partenaire dans un assaut de cette amplitude. J’attrape à mon tour ses couilles, et commence à danser, m’efforçant à venir coller mes fesses contre son pubis en marquant bien l’arrêt au point bas. Coulissant timidement de quelques centimètres au début, je n’hésite pas à me relever toujours un peu plus haut, criant que je veux qu’il me défonce, qu’il me la plante jusque dans la gorge et qu’il jouisse des litres de foutre ! Sa main serre ma queue raide et longue, et plus je coulisse haut, plus il me branle fermement, et... plus j’en veux. Me voilà parti à sauter sur son mât, exploitant 20 bons centimètres de sa hampe, l’implorant de jouir au plus vite, sentant mon foutre ronger la vanne qui le retient dans mon ventre. Sa main sur ma hanche se fait plus ferme en me tirant fort vers lui, je comprends qu’il va me bénir le cul lorsqu’il me bloque puissamment contre son ventre. Son gland gonfle tant que j’en ressens l’empreinte repousser mon rectum pendant qu’il grogne quelque chose d’inaudible, sa queue propulsant sa semence comme un cœur pour m’asperger les entrailles et me remplir le ventre. Sa jouissance déclenche la mienne, mon sperme fuse de ma bite tendue dans un désordre total, à moins que ce ne soit son foutre qui me traverse tant il est immense en moi et que mon esprit est confus. Ravagé, hystérique et hors d’haleine, je jouis, intensément et l’incroyable tonicité de mon boyau lamine son membre démesuré. Doucement sa main me libère. Je m’affale sur le lit, le cul transpercé par mon héros, mon superman, aussi muet et immobile que moi, épuisé par nos orgasmes. Une vingtaine de minutes plus tard, avec beaucoup de minutie, je ressors le sexe débandé de Sidné de mes entrailles et me faufile dans les draps. Ses derniers mots sont pour dire que je suis complètement déjanté, mais terriblement attachant. Ma main passe entre ses jambes pour attraper sa verge alors qu’il éteint la lumière. “Jamais personne ne m’a donné un tel plaisir. Jamais. Ni homme, ni femme. Merci infiniment. Je n’aurai plus peur maintenant que je sais ce qu’est le noir.” lui confie-je alors que les dernières décharges d’énergie rebondissent de part et d’autre de mon cortex. Tilt. Game over. Lorsque j’ouvre les yeux, le lit est vide, le jour levé, et Mezzoforte parvient à mes oreilles. La première chose qui me vient à l’esprit en me remémorant la dernière scène est de contracter mon ventre pour sonder d’éventuels maux, mais c’est à peine si je ressens mon anus. RAS, j’ai conservé mon intégrité. La nuit aura été réparatrice, et l’expérience m’a très souvent démontré mes prédispositions pour ce genre de prouesses. Sautant hors du lit, j’enfile un peignoir et retrouve mon géant noir tout sourire dans la cuisine, le café fumant sur la table, me demandant si j’ai bien dormi. Je lui réponds que lorsque je suis si bien bercé, je trouve facilement le sommeil. L’en remerciant chaleureusement, nous prenons un copieux petit déjeuner. D’humeur joyeuse, tous deux de nature enjouée, notre discussion démarre sur la musique. Violoncelliste autant que pianiste, de formation classique, il a ces dix dernières années joué dans plusieurs orchestres philharmoniques, dirigé par d’éminents chefs d’orchestre. Et c’est avec un réel plaisir que Sid’, colosse noir drapé de blanc immaculé, se livre à un concert privé, n’hésitant pas à changer d’instruments selon le morceau choisi, les maîtrisant tous parfaitement, jouant principalement du classique, mais aussi des airs plus contemporains, enchaînant même de vieux blues sur sa guitare. Pendant presque deux heures, il m’en met plein les oreilles, terminant sur un morceau de saxo torride, assis face à moi sur le tabouret de son piano. Ses jambes largement écartées dévoilent son long sexe pendant, véritable point d’exclamation noir sur fond de toile blanche. C’est précisément à cet instant que mon esprit cesse d’être captivé par la musique. Soudain, c’est de sa queue dont j’ai envie. Cet être exceptionnellement doué me fascine. Le goût de son sperme m’envahit instantanément la bouche, m’obligeant à me mettre en quête de sa semence. “Ne bouge surtout pas !” lui intimais-je alors qu’il vient de terminer sa prestation. “Tu es magnifique, j’ai trop envie de toi, là, tout de suite. Laisse-moi te sucer.” continuais-je en me jetant entre ses jambes à même le plancher. Mes jambes trouvent place sous le tabouret, aussi naturellement que mes mains se placent sur ses genoux. Ma bouche aspire cette épaisse colonne de chair luisante, celle-là même qui cette nuit naviguait délicieusement entre mes reins. Comme un rêve éveillé, mon esprit ne souffre d’aucun parasitage : ni faim, ni soif, pas de contraintes horaires, thermiques, sonores, posturales, rien. Au contraire, il est entièrement focalisé sur une action précise, en l’occurrence, sucer avidement la queue de mon amant afin de lui ravir son divin foutre, et de m’en... sustenter ! Loin de s’en offusquer, il se laisse déguster avec quelques souffles exprimant son approbation, sa participation. Son boa prend de la consistance en s’insinuant profondément dans ma bouche. Une nuit de sommeil ne m’a pas donné de super pouvoir, mais une évidente frénésie me porte, ce qui me permet de me surpasser, de profiter pleinement de cette grosse queue. Son goût un peu fort, musqué, divinement mâle, titille mes papilles lorsque ma langue visite la couronne de son champignon fendu. Ses lourdes couilles ne sont pas épargnées non plus, trouvant asile régulièrement entre une langue hystérique et un palais friand de mille saveurs. Je les aspire, lui tète la peau des bourses, darde son scrotum de la langue, puis renfonce son pieu brûlant aux confins de mes amygdales, engageant ce puissant gland le plus loin possible dans mon arrière-gorge, à m’en couper le souffle. Ma salive s’épaissit, devient gluante, et ma main en enduit sa lourde hampe dans un énergique branle. Et ça lui convient bien si j’en juge par ses encouragements et son érection ! “Tu vas me faire jouir à cent à l’heure si tu continue ainsi !” gémit mon homme. Car c’est MON homme, là, dans ce salon en ce samedi matin. Je LE veux, je veux qu’IL vide ses grosses burnes dans MA bouche et déguster chacun de SES spermatozoïdes avec un rare plaisir. Ma succion devient terrible, mon branle intense, une main serrant ses testicules, ne lui laissant d’autre choix que de jouir, et vite. Il souffle, son ventre se tend plusieurs fois de suite, se creuse, s’arrondit, comme si un être l’habitait. En fait, il y en a juste plusieurs... millions. “Oh oui !” se contente-t-il d’exprimer alors que son foutre parcourt les quelques 25 cm qui le séparent de mes lèvres, générant un puissant spasme en chemin. Chaude et copieuse, sa semence se mélange à mon épaisse salive, trouve précipitamment place en me gonflant les joues, en passant sous ma langue, déchargeant au contact ses subtils arômes sur mes papilles ravies. Un coup de langue remonte le long de son frein, puis mes joues se creusent pour propulser son sperme dans ma gorge et ainsi permettre à la nouvelle salve de venir intensifier ma soif de jus. Lorsqu’elle me submerge, j’en grogne de plaisir, m’en repaît, mais fort de mon expérience, l’avale car déjà son ventre se creuse de nouveau, m’annonçant le départ de nouvelles troupes. La nuit lui aura était profitable, remettant à niveau ses vésicules séminales rien que pour moi. Mon geste porte également ses fruits car ce ne sont pas moins de cinq lourdes et chaudes décharges que mon beau et puissant black dépose dans ma bouche. Je garde la dernière pour jouer avec son gland tendrement alors que la gravité le rattrape, rendant ses testicules de nouveau pesants dans ma main protectrice. Sortant sa longue trompe débandante d’entre mes lèvres pour savourer ses dernières gouttes de foutre, je lui répète être sous le charme de ses attributs sexuels, de son foutre, et de ce qu’ils provoquent en moi. Alors qu’il reprend lentement ses esprits, je nettoie sa belle queue amoureusement. Satisfait d’avoir obtenu ma récompense, je l’abandonne pour aller me servir un café, et sors sur la terrasse fumer une cigarette en profitant du soleil matinal. Juste avant de passer la porte, je le regarde se remettre de son orgasme, et lui dis qu’après mon estomac, ce sera au tour de mes reins de réclamer leur dû. Le bruit de la douche me permet de rapidement le localiser lorsque je reviens. Naturellement, il m’invite à le rejoindre, et la douceur de l’eau me fait le plus grand bien. De sa propre initiative, il me savonne tout le corps, insistant bien sur mes fesses et mes organes génitaux. Alors que ses doigts me pénètrent délicatement l’anus, sa main me malaxe les couilles et me branle lentement. Mes mains ne restent pas inactive, et bien qu’il ait joui un quart d’heure plus tôt, sa queue semble déjà vigoureuse, lourdement dressée à l’horizontale. Afin de bien me faire comprendre qu’il se sent “d’attaque”, il retire ses doigts, me plaque contre lui en coinçant son mandrin entre mes jambes. “Tu as envie de moi ? Tu veux me faire joui aussi fort que cette nuit ? Attends un peu.” Rincé, je sors de la douche et me sèche rapidement, puis me penche de façon provocante sur la paillasse, la tête entre les deux lavabos. “Attrape n’importe quoi de lubrifiant et mets-la moi tout de suite ! J’ai besoin de sensations.” Il envoie sa main dans un tiroir pour en ressortir je ne sais quel tube, m’en enduit les fesses que je tiens bien ouvertes avant de s’en graisser la colonne. Son bout gonflé se pointe à l’entrée de mes reins et déjà il s’enfonce en moi. Sa barre chaude et dure me perfore avec insistance alors que je force pour lui faciliter l’entrée. “Oui, viens en moi, encule-moi fort, j’ai trop envie de sentir ta queue immense en moi !” crie-je alors qu’il fait une courte pause. Déterminées, mes mains l’agrippent aux hanches et l’attirent en moi, sa queue alors me brûle, violant mes entrailles, mais je le veux tout entier en moi. “Oh oui, encore, casse-moi les fesses, je veux que tu m’encules fort ! Lime-moi.” Mon souffle est court, la partie la plus large de sa hampe me donne le “La” en me déformant terriblement la rondelle, mais finit par passer sans dommages. Déjà des perles de sueur envahissent mon front, mais encore quelques coups de reins et mon noir adoré écrase ses bourses contre mes fesses. “Oooooh, tu es si gros, j’ai le cul rempli, mais c’est si bon. Prends-moi, j’ai envie de hurler de jouissance, s’il te plaît. Vide-toi en moi !” crie-je, déjà à moitié en transe. Mais Sid’ n’est pas un bourrin, un de ces minables “casseurs de cul”. Il m’est arrivé quelques fois d’expulser des hommes d’entre mes fesses pour “violence avec préméditation”. Et aussi surprenant que ce soit, ce n’étaient pas les mieux montés, mais plutôt ceux qui s’imaginent l’être et qui plus est, prétendent savoir s’en servir. Baiser, enculer, ou encore sauter quelqu’un, est à la portée de presque tout le monde, activement autant que passivement. Ce qui donne finalement tout son sens à l’accouplement est la sensibilité et l’affinité des différents protagonistes. C’est à mon humble avis à ce titre que les femmes prétendent ne pas attacher trop d’importance à la grosseur ou la longueur du sexe de leurs amants, privilégiant “leur taux d’implication” à l’acte, la sincérité des sentiments et, on ne le dira jamais assez, les préliminaires ! La différence est que pour moi, l’aspect quantitatif prédomine, et que la vue, le contact de grosses pièces me drogue, booste mes désirs, optimise mes performances. Et bien qu’étant un homme, d’ailleurs fier de le revendiquer, je fonctionne avant tout au feeling, donnant le meilleur que mon partenaire soit masculin ou féminin, si je ressens une certaine complicité. Cette complicité, dans de très rares cas, tourne à la complémentarité. L’homme qui se trouve en ce moment même dans mon dos, son intimité plantée en moi jusqu’à mon nombril, est de la trempe des partenaires sexuels hors du commun, ceux qui permettent à la magie chimique et organique d’opérer pour faire d’un acte... un voyage. Sorte de sexualité étrangement dénuée de toutes polarités, abstraite de tous jugements, ne laissant aucune place à quelques étiquettes, titres, ou rôles que ce soit. Et c’est précisément libres de toute entrave que nos corps fusionnent, s’assemblent, telles des notes sur une partition. Véritable Maîtr’onome, il investit mon corps avec régularité, sans hésitation, prenant autant qu’il me donne. Ses coups de queue pénètrent mon esprit, sa hampe est ma moelle épinière; tout mon être vibre de ses assauts longs et appuyés, mon ampoule rectale se referme telle une bouche autour de son gland énorme chaque fois qu’il vient se perdre au fond de moi. “Ne bouge plus ! Reste au fond de moi un moment.” m’exclamais-je alors que je lui griffe les hanches. Ses lourds testicules blottis contre les miens, sa sagaie explosant mon rectum il se penche sur moi, écrasant le bas de mes reins de ses abdominaux. Sa chaleur dans mon dos contraste tant avec le froid de la paillasse ! Je contracte mes muscles cycliquement pour lui transmettre mes sensations intimes. “Hummmm ! Je n’ai presque jamais pu pénétrer quelqu’un aussi profondément, c’est divin. Tu es si souple !” me chuchote-t-il tendrement, contractant sa lourde massue pour bien répondre à mes appels. Après quelques dizaines de secondes, Sid’ recule doucement son arme sans décoller son ventre de mon dos. D’un geste gracieux, il prend appui d’un genou sur la paillasse, ce qui lui offre la possibilité de me sodomiser doucement en gardant son corps contre moi, ne basculant ainsi que son bassin d’avant en arrière. “Ca que c’est bon ! Oooh, tu me prends si bien, je crois que je vais jouir !” Sa bite laboure ma prostate en me laminant délicieusement le rectum, je sens la pression monter rapidement. Mon souffle est court, je glousse de plaisir, jouissant déjà cérébralement. Mais il m’ordonne de l’attendre encore quelques minutes, qu’il veut jouir aussi et se répandre en moi comme je le lui avais demandé. Ma main passe entre nos jambes pour retrouver ses burnes chaudes et les serrer tendrement. “Oui, continue de me baiser, je t’attends. Viens, viens en moi, vide-toi, je veux tout ton jus, verse ta crème, oh ouiiii, viiiiiiiite !” Saoul de sexe, ivre de sa queue, de sa parfaite maîtrise, je crie ma jouissance en déversant mon foutre je ne sais où, et d’ailleurs, quelle importance ? M’assénant deux ou trois longs coups de reins, je le sens jouir tout au fond de moi. Une marée brûlante submerge mes entrailles, sensations inexplicables pour qui ne les a jamais vécues. Les jambes encore en coton, je le fais sortir de moi. Alors qu’il reste planté là, je me laisse tomber à terre entre ses jambes; ma main saisit sa lourde massue pour la porter à mes lèvres pour en découvrir toutes les saveurs. Mes fesses baignent dans mon propre sperme, alors que de mon ventre distendu, l’exquise sensation de celui de mon amant commençant à s’écouler vient sceller la fin de cette délicieuse sodomie. |
Auteur : | Sissi [ mer. 29 déc. 2010, 14:00 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
oui, je sais, j'en ai pas, mais c'est tout comme!!! :clin: |
Auteur : | vanille [ lun. 03 janv. 2011, 23:34 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
j'ai adoré relire cette histoire. La 2e partie est magnifique merci a toi |
Auteur : | georline [ ven. 07 janv. 2011, 14:59 ] |
Sujet du message : | Re: L'instrument de Sidné |
Bibi j'adore ce que tu écris et réellement c'est bandant. Ta manière de raconter toutes ces aventures est un régal. C'est rare pour ce genre de récit, mais je n'hésite jamais à te relire |
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