Bonsoir à tout le monde,
premier "vrai" message en ce qui me concerne, afin de relater une modeste expérience et en profiter pour parler de mes envies et aspirations.
Ma compagne d'alors (cela remonte à un peu plus de deux ans) m'ayant fait part de son goût pour les sex-toys, nous nous étions rendus dans un petit sex-shop de la rue de Sèze (Paris, 8ème arrondissement pour ceux qui ne connaissent pas), histoire d'en acquérir deux : un de modeste diamètre, l'autre en tous point conforme à un membre de, ma foi, plutôt beau calibre.
Désireux de l'essayer, nous avons commencé à batifoler aussitôt rentrés chez moi : elle nue sur le dos, attendant mes caresses, moi, prêt à jouer avec le tout nouvel ustensile, commençant à lentement lui caresser de manière alternative l'entre-jambe, les seins, le ventre, le visage...
Puis, pris soudain d'une envie devant ce gode restituant à merveille la dimension d'une vraie queue et cédant à ma pulsion, je me mis à le lécher de haut en bas puis de bas en haut, avant de lentement laper le gland pour finir par l'avaler devant ma compagne (appelons-la A.) dont je n'avais aucune idée de la réaction.
Résultat ? Je ne l'avais encore jamais vue comme ça !
De me voir ainsi goûter ce qui (dans nos esprits et sur le moment, en tous cas) s'apparentait à un véritable sexe masculin la mit dans des états que je naurais pas soupçonné ! M'encourageant alors à ne plus me retenir et laisser libre cours à mes envies.
"Tu aimes que je suce une queue ? Tu aimes me voir faire ça ? Ca te plaît ? Ca t'excite ? Ca te fait mouiller ?" lui ai-je demandé. Ce à quoi elle n'est parvenue qu'à repondre plusieurs "Oui" en souffles saccadés, tant l'excitation (et la mienne du coup, tant la voir ainsi me faisait bouillir) était forte.
"Imagine que ce soit la queue d'un homme avec nous, ça te plaîrait de me voir faire ça ?"
"Oui, oh oui, je le veux !".
Difficile de décrire la sensation ressentie, tant l'idée d'avoir un vrai sexe en bouche menaçait de me faire jouir, tout tabou abandonné et moi, pour la première fois, osant avouer ces envies devant quelqu'un.
Je lui plaçais ensuite le gode entre les cuisses, faisant comme si c'était sa queue et commençant à le lécher, donner de petits coups de langue avant d'à nouveau l'enfourner, le gober, le prendre dans ma bouche, faisant aller et venir ma tête dessus tandis que A. me tenait les cheveux en me forçant à l'avaler toujours plus ! L'impression, même fugitive, de tailler ma première pipe, goûter ma première queue, enfin sauter le pas : divin ressenti !
"Si un autre homme était avec nous, que voudrais-tu que je lui fasse ?" lui demandais-je à nouveau.
"Que tu prennes sa queue en bouche et le suces jusqu'au bout. Je serais derrière toi, te ferais mettre à genoux, jusqu'à ce qu'il jouisse.".
D'entendre ces mots (que j'avais toujours rêvé entendre de la part d'une partenaire) ont presque failli, à eux seuls, me faire venir et j'ai su que je venais, même de manière fort modeste, de passer un cap.
Rien que pour ces moments, je me souviendrai toujours d'elle...
La prochaine étape nous verrait tenter ma première sodomie par le gode, ce qui est une autre histoire...
et ça sent le vécu comme rarement. J'attends la suite avec impatience 