Début des années 80, trois, quatre fois par an, pour assouvir mes envies quand mes pulsions d’ être partouzé à la chaîne devenaient irrésistibles, je fréquentais un sex shop bien particulier le long d' une route à la frontière.
Deux salles de ciné : une hétéro en bas et l’ autre homo en haut, au bout d' un long couloir où il y a des toilettes et surtout trois petits salons privés équipés
d’ un écran, d’ une table basse et d’ un grand divan en simili.
L' après midi en semaine, vers 15h, c' est la garantie d' y trouver des hommes assez âgés et souvent des retraités.
Je rentre dans le shop et vais choisir une cassette vidéo de deux heures avec des mecs imberbes et des scènes uros ; je paie puis je monte vers le petit salon privé.
Déjà dans l' escalier, je bande rien qu’ à l' idée de ce que je vais vivre et lorsque j' ouvre la porte de la salle homo, mon excitation monte à son comble.
Dans la pénombre, je vois bien qu’ une dizaine de sièges sont occupés !
Je reste debout dans un coin où la lumière de l' écran m' éclaire et je baisse mon short de manière à permettre aux spectateurs de bien voir ma queue toute raide et lisse.
Je me caresse langoureusement quelques instants tout en leur montrant ostensiblement que je tiens une cassette et une clef dans l' autre main ; de cette manière, quand je sortirai, ils sauront que j’ irai dans un des petits salons privés.
Quand je suis certain qu’ ils m’ ont bien vu, je sors de la salle et passe aux toilettes ; sur le mur, je colle un post - it que j’ ai préparé avec mon annonce :
Vraie salope avide de bites offre sa bouche et son trou de cul épilé à tous.
Je suis dans un petit salon et je laisse la porte ouverte.
Venez nombreux, ensemble pour me baiser à la chaîne et vous faire sucer.
Je vais dans la petite pièce où cinq ou six hommes peuvent être à l’ aise, mets la cassette dans le lecteur et me déshabille complètement avant d’ entrebâiller la porte.
Puis je mets des pinces à mes tétons épilés et tout dardés, un cockring autour de ma bite et de mes couilles et je m’ allonge dans un pose lascive et obscène sur le divan : j’ ai le cul tourné vers la porte semi ouverte, mes cuisses sont ouvertes, une jambe relevée sur le dossier, d’ une main je caresse mon sexe raide et de
l’ autre je fais coulisser un petit gode dans ma vulve anale déjà toute mouillée pour la préparer à la sodomie.
Il ne faut pas longtemps avant que j’ entende les premiers pas hésitants dans le couloir.
La porte des wc grince mais d’ autres pas se font entendre et une tête apparaît très vite dans l’ ouverture de la porte.
Un type âgé me sourit avec un regard gourmand ; sa braguette est ouverte et laisse passer une queue à moitié raide qui paraît de belles dimensions avec un gland violacé et tout gonflé.
Je lui fais un petit signe de la tête pour l’ inviter à rentrer, il n’ hésite pas, entre et veut refermer la porte mais je lui dis de la laisser ouverte.
Il vient vers moi et sans attendre, je me redresse, l’ attire vers mon visage et embouche le bonbon mauve qui pointe vers moi.
Il gémit et son dard gonfle et durcit instantanément dans ma bouche.
Pendant que je le pompe, il baisse son pantalon et son slip et bien qu’ il soit poilu, je le suce avec plaisir car j’ ai trop envie de bite et de sperme.
Mais un deuxième se pointe déjà et entre directement dans le salon.
Celui là m’ a déjà baisé une ou deux fois dans ce même endroit …
Il se déshabille complètement et je lâche le premier pour me ruer sur sa belle queue toute lisse comme la mienne, me mettant en levrette sur le divan et tendant ma croupe au premier qui s’ agenouille derrière moi sans même se mettre nu.
Sa bite toute raide et dure vient chercher ma rondelle en glissant dans mon sillon et j’ ouvre bien ma fente en écartant mes fesses et en me cambrant.
Ouuui, il trouve l’ ouverture et m’ encule tout de suite, à fond, sans caresse, sans douceur, engloutissant sa queue toute entière d’ une seule poussée en me tirant pas les hanches.
Ma chatte est bien trempée de foutre par mon excitation et c’ est avec bonheur que je le sens me transpercer et remplir totalement mon boyau.
La saillie est sauvage, animale et j’ adore ça.
Je l’ entends dire :
- Aaah, quel bon cul de salope …
L’ autre attrape les pinces de mes mamelons durcis et les tords un peu puis tire dessus pour que ma bouche pompe son dard qui goûte bon la bite et un peu le pipi frais et je le suce avec bonheur.
Ça commence bien : une bonne bite bien dure bourre mon cul et une autre toute belle et lisse coulisse entre mes lèvres.
Celui qui me sodomise retire sa bite complètement de mon fondement puis m’ encule à nouveau … j’ aime ça et sortant la bonne queue que je suçais de ma bouche, je lui crie :
- Oui, vas y, encore, sors et encule moi encore, bourre moi à fond, j’ aime ça…,
j’ aime ta grosse queue …
Il se déchaîne, me pistonne, possède mon ventre dans lequel je sens son pal glisser en faisant un bruit de mouille.
Il va au plus profond, ses couilles cognent les miennes, son ventre claque mes fesses.
Je reprends l’ autre en bouche remarquant que deux nouveaux types sont entrés dans la petite pièce et se foutent à poil en me matant avec désir et c’ est ce qui déclenche mon premier orgasme anal.
Je jouis du cul, secoué par une vague de plaisir qui m’ explose le ventre et je me donne à fond.
J’ ondule du bassin, frétille du cul, me trémousse les fesses pour sentir à profondément l’ engin qui me démonte le fion, me déchire le cul et je jouis.
L’ autre tient ma tête pour imposer le rythme de la pipe que je lui fais et il me baise littéralement la bouche tandis que je tords mes seins tout sensibles.
Deux minutes, plus tard, le jus jaillit !
Un sirop lourd gicle par saccades dans ma gorge tandis que dans mon fourreau, je sens que la bite de celui qui m’ encule s’ agite des spasmes de l’ éjaculation.
Je la serre bien fort avec mon anus pour la tenir captive pendant qu’ il décharge et je tute le gland que j’ ai en bouche pour en aspirer tout le jus crémeux et le boire.
Son sperme est bon et je me régale.
L’ autre termine de m’ inonder les entrailles et quand il décule, je fais ce que j’ adore : je prends sa bite déjà molle mais encore grosse en bouche pour la lécher dans les moindres recoins.
Mais je suis encore occupé que déjà l’ un des nouveaux venus me fait basculer et pointe son pieu vers ma rosette béante et dégoulinante.
Il a une grosse bite et je me laisse aller, lui offre mon trou de cul tout en m’ emparant de la queue du quatrième que j’ attire vers ma bouche.
Celui que je viens de sucer se rhabille, me promet de revenir me baiser plus tard et dit qu’ il va envoyer les autres qui sont dans la salle.
J’ ai la bouche pleine mais je sors vite ma sucette pour lui soupirer que Mmmmmoui !
Les deux qui me baisent font durer le plaisir, alternent mes deux trous à bite, me prennent dans tous les sens, en levrette puis couché sur le dos, … c’ est bon, ils sont endurants, ont des bonnes bites bien dures, je jouis, encore et encore du cul en feulant …
Deux autres rentrent et se mélangent illico avec nous.
Ça y est, mon cerveau éclate, j’ ai ce que je voulais : je passe de l’ un à l’ autre, ils engouffrent leur bite l’ un dans mon cul, l’ autre dans ma bouche, m’ échangent, me baisent, me traitent de salope, de pute, de truie, de trou à bite …
Ils m’ utilisent dans tous les sens, se succèdent dans mes deux trous, se bousculent dans mes orifices, je suis devenu leur objet sexuel …,
j’ aime ça et je dis :
- Encore, encore, baisez moi, inondez moi … je suis votre femelle, votre chienne, votre bac à sperme …
Ça dure, … il y en a d’ autres.
Je suis devenu une femelle, une vulve des pieds à la tête, avide de sexes de mâles.
Mes seins jouissent de plaisir douloureux à force d’ avoir les tétons pincés, tordus, étirés … ma chatte brûle depuis les bords du trou jusqu’ aux plus profond du tunnel, des parois de chair tendre … une bite énorme m’ a explosé la rondelle dans un éclair de douleur jouissive … ma bouche me fait un peu mal à force de sucer, pomper, lécher, téter, avaler … mais reste vorace de queues et de semence.
Je bois la liqueur de leurs couilles et mon cul déborde de sperme qui coule sur mes fesses, mes cuisses …
Je ne contrôle plus rien mais c’ est ce que je voulais …
Je suce des bites, des couilles poilues ou non, … je mange les rondelles qu’ ont pose sur mes lèvres, y plonge la langue … j’ accepte des langues dans ma bouche et fourre la mienne dans des bouches.
Je suis là, nu, retourné dans tous les sens par des mains qui se saisissent de moi.
Je suis le jouet sexuel de ce groupe d’ inconnus qui m’ utilisent pour assouvir leurs envies sans se soucier de moi, décharger et vider leurs couilles dans mes trous en m’ humiliant, en m’ insultant, en m’ avilissant.
Ils parlent de moi comme d’ une pute à l’ abattage, comme d’ une femelle qu’ ils font tourner, comme d’ un vide couilles dont ils se servent et c’ est ce qui me fait jouir sans arrêt au niveau cérébral.
Combien ont-ils été dans ma bouche ? Combien se sont vidés dans mon anus devenu vagin ? Combien de doses de sperme en moi ?
Je ne sais mais au bout de deux heures, la vidéo s’ arrête et je suis comblé, satisfait, apaisé dans mes pulsions, mes envies de bites.
Je laisse le dernier qui m’ encule se terminer et se soulager dans ma chatte et branle vite et fort la bite que je suce pour le finir et le vider.
C’ est fini, je fais signe que c’ est assez ; ils s’ en vont et je me rhabille, adorant sentir mon gluant de sperme.
Je sors du sex shop et lorsque je dépose la clef et la cassette au type du comptoir et il me sourit et me dit avec un air comblé qu’ il a joui deux fois en moi, une fois dans chaque trou !
Voilà, j’ ai eu … mes doses pour un bout de temps.
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