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 Sujet du message : Jeux dans les bois...
MessagePosté : dim. 04 févr. 2024, 18:24 
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Membre Loquace
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Enregistré le : mer. 26 janv. 2011, 11:29
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Sexe et orientation sexuelle : Passif et soumis, parfaite salope mâle.
 
La soixantaine, soumis depuis mon plus jeune âge, j’ai la chance d’avoir rencontré un dominateur plus âgé que je rencontre presque une fois par moi.
 
Parfois il aime m'emmener dans un bois avec deux copains à lui, et là ils aimaient me torturer en faisant un petit jeu. Avant de partir de la maison, le Maître prépare dans un sac avec du matériel dont il se servira une fois dans le bois. A l’arrivée, mon Maître choisit un endroit où il y a un arbre dont les premières branches ne sont pas très hautes. Une fois cet arbre trouvé, il me fait coucher sur le dos au pied de l'arbre puis, après m’avoir attachées mes chevilles bien serrées, il me hisse en l'air afin d'accrocher mes pieds à la première branche, de façon à ce que je me retrouve perpendiculaire au tronc.
 
Le Maître laisse un peu de mou sur la corde de façon à ce que ma tête repose par terre, pour que le sang ne me monte pas au cerveau. Ainsi, ma bite et mes couilles se retrouvent à la bonne hauteur. Mes mains sont attachées dans le dos. Une fois bien installé, les pieds en l'air, mon Maître et ses copains se reculent à environ trois mètres de moi et là, les jeux commencent.
 
Le Maître et ses copains ramassent trente petits cailloux chacun. Le but est de viser mes couilles en lançant un petit caillou à la fois. Chaque caillou qui touche mes couilles rapporte un point à celui qui l'a lancé. Quand un caillou me touche les couilles, cela m'arrache un cri de douleur. Alors mon Maître m'enfone un de ses slips dans la gueule. Ce slip, il l’a préparé plusieurs jours à l'avance spécialement pour moi. Ses copains rigolent de me voir souffrir et prennent beaucoup de plaisir à me voir souffrir. Une fois tous les cailloux lancés, ils comptabilisent leurs points et celui qui a le plus de point a le droit d'exiger un un gage de ma part une fois détaché de l'arbre. Ensuite ils passent à un autre jeu.
 
Après les cailloux, mon Maître sort une grosse bougie de son sac et l’allume. Il demande à un de ses copains de bien m'ouvrir le trou du cul, ceci le plus largement possible, et à l'autre copain de tenir ma bite décalottée. Une fois préparé, le cul bien ouvert, la bite décalottée, il penche la bougie, laissant la cire chaude tomber lentement sur mon trou du cul. C'est brûlant, surtout à cet endroit sensible. Le Maître compte à voix haute chaque goutte qui tombe et il en en fait couler en général une bonne centaine. Cela fait très mal mais le slip dans ma gueule m'empêche totalement de crier. Si j'ai le malheur de gémir, les tortures reprennent, encore plus dures.
 
Après le trou du cul, il approche la bougie de mon gland et recommene à faire couler la cire. Sur le gland, c’est insupportable mais à force j'ai l'habitude. Là, pareil, une centaine de gouttes sur le gland.
A la fin du supplice, le Maître retourne la bougie sur mon trou du cul, la flamme le brûlant, et il me l’enfonce dans le cul pour l’éteindre.
 
Après ces petits jeux, celui qui a gagné la première séance a le droit de choisir deux supplices. J'ai eu tellement de parties de jeux durant mes vingt-deux années au service du Maître, que je vous raconte ma toute première fois. Les copains de mon maitre, je vais les appeler Paul et Pierre. C'est Pierre qui avait gagné au lancé de cailloux dans mes couilles, donc voici ce qu'il a décidé en supplément pour moi.
 
Il demande d’abord à mon Maître de lui passer le martinet. Mon Maître va chercher celui-ci dans son sac et le tend à Pierre. Pierre demanda combien de coups il peut me donner, le Maître lui répond :
 
« Ce que tu veux, il est à toi pour deux gages »
 
 Avec un petit rire narquois, Pierre commence à me fouetter les couilles et la bite. Dès le premier coup de martinet, très fort, les lanières cinglent mes parties en m’arrachant des cris de douleur. Après le cinquième coup, les coups s’accélèrent et deviennent de plus en plus forts. Paul regarde sans en perdre une miette et compte les coups. Arrivé à cinquante, ma tête commence à tourner à force d'avoir les couilles fouettées. Mon maitre voyant que je suis mal, dit à Pierre :
 
« Ça va suffire pour les coups »
 
 Pierre lui répond :
 
«Encore vingt et j'arrête ! »
 
J'ai du mal à supporter et je lutte pour ne pas tomber dans les pommes. Je voudrais absolument que mon maitre soit fier de son soumis. Enfin le chiffre soixante-dix arrive. Sans attendre, mon Maître me détache de la branche et je me retrouve allongé sur sol, à leurs pieds, les mains dans le dos. Le Maître leur dit :
 
«  Bon, avant le second gage, il faut qu'il reprenne ses esprits, on va s'asseoir et boire une bière et  fumer une clope. Après, plus de coups pour aujourd'hui »
 
J'aurais eu la force, j'aurais voulu ramper aux pieds de mon Maître pour le remercier de sa bonté et de sa compréhension, mais je suis trop sonné. La bonté de mon Maître est si grande qu'il me laisse me reposer une bonne heure avant le second gage de Pierre commence.
 
Pierre me détacha les mains et me fait mettre à quatre pattes. Il me passe une laisse autour du cou et nous partons jusqu'à la sortie du bois où se trouve un champ avec des vaches. Pierre me fait passer la clôture en rampant dessous et lui, avec Paul et le Maître, saute par dessus. Une fois la clôture passée, Pierre reprend ma laisse et me balade dans le champ. J’ai beau regarder attentivement où je marche, je ne peux éviter plusieurs bouses de vaches et pire, à un moment je glisse et je m’étale sur une d’elles. C’est tout crottés de merde que je sors du champ.  A la fin, le Maître dit :
 
« Bon, ça suffit, la partie de jeu est terminée, je ramène ma lope à la maison et je vous dépose chez vous »
 
Il me fait monter dans le coffre de la voiture, coffre garni d’un grand drap, et après avoir raccompagné Pierre et Paul, nous rentrons dans la maison du Maître. Là, il me fait allonger sur le dos et me met des compresses sur mes couilles enflammées pour apaiser la douleur.  Ensuite, il me fait sortir, me fait enfiler une blouse, me tend un sac contenant mes vêtements et je monte dans ma voiture. Je rentre péniblement chez moi, la douleur et surtout l’odeur de la merde qui embaume la voiture me faisant  tourner la tête.

Cette relation avec ce mec dure depuis des mois, à chaque fois je suis honteux sur le moment puis ravi après, et il m'arrive souvent de me caresser en pensant à la dernière séance, et surtout il s'est noué entre nous une relation presque amicale.


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