vassilia.net

Le seul Forum francophone consacré à toutes les sexualités alternatives !

Découvrez nos récits

Nous sommes le ven. 21 févr. 2025, 14:38

Heures au format UTC+01:00




Poster un nouveau sujet  Répondre au sujet  [ 99 messages ]  Aller à la page Précédente 13 4 5 6 7
Auteur Message
MessagePosté : ven. 17 janv. 2025, 20:30 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
ORGANIGRAMME DE LA MAC PYRIDINE COMPANY PARTIE-4
Un premier clic pour agrandir.
Un second clic pour zoomer.
Rappel PARTIE-1-2-3
https://forum.vassilia.net/download/fil ... &mode=view

https://forum.vassilia.net/download/fil ... &mode=view

https://forum.vassilia.net/download/fil ... &mode=view


Fichiers joints :
ORGANIGRAMME MPC PART-4.jpg
ORGANIGRAMME MPC PART-4.jpg [ 410.09 Kio | Vu 420 fois ]
Haut
MessagePosté : ven. 31 janv. 2025, 12:35 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
La Gazette de la Mac Pyridine Company-6


Denise Mac Pyridine-Ospif libérée par la famille Doudoune suite aux accords trouvés entre les deux compagnies, vient d’arriver à Lorient , elle devrait se rendre ensuite à Port Louis pour rencontrer Philéas Mac Pyridine et prendre des nouvelles des enfants de sa belle-sœur Charlène Ospif-Wolff, après leur Dressage par Natalie Borniol et la féminisation du garçon par Jenifer Choquet, si leur formation par Philéas et Hélène Troischapel est terminée, ils devraient maintenant partir pour Diksonsky Morskoy pour prendre la codirection des opérations de la compagnie dans les mers de Kara et Barents.
A son arrivée à Lorient sur le FUSION de Mado Lavergne, Denise était accompagnée d’une nouvelle amante, la sémillante Gwendoline Doudoune.

Nous avons la permission de Denise pour illustrer l’article avec le cliché joint, nous la voyons ici vérifier qu’elle est bien propre avant de se jeter dans le lit de sa maîtresse du moment.


Fichiers joints :
RetourdeDenise.JPG
RetourdeDenise.JPG [ 61.3 Kio | Vu 344 fois ]
Haut
MessagePosté : sam. 01 févr. 2025, 13:33 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-10

L’heure est enfin venue, Pascale et Pascal Wolff viennent de partir de Lorient sur le FUSION avec Mado Lavergne à destination de Flekkefjord, une fois arrivés ils seront pris en charge et transportés à Diksonsky Morskoy par le commandant Solange Poupolechcu avec le brise- glace HESPERIDE. Sur place Vladimir est impatient de les recevoir, bon vent et bonne chance aux nouveaux directeurs en mer de Kara et Barents.


Fichiers joints :
capitaine-PEetPWolff-2.jpg
capitaine-PEetPWolff-2.jpg [ 49.25 Kio | Vu 333 fois ]
Haut
MessagePosté : jeu. 06 févr. 2025, 19:03 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-11

Après recrutement par Kiyomi Sakana et sur les conseils de Philéas Mac Pyrine et Gilbert Ospif qui la fréquentent depuis longtemps dans leur club de gaping anal à Paris, la direction des poissoneries Mac Pyridine en Russie sera confiée à Svetlana-Korlyakova, elle devrait être d'une compagnie agréable pour Pascale et Pascal Wolff et une bonne amante pour Vladimir notre chef mécanicien à Diksonsky Morskoy.


Fichiers joints :
Svetlana-Korlyakova.JPG
Svetlana-Korlyakova.JPG [ 62.59 Kio | Vu 319 fois ]
Haut
MessagePosté : lun. 10 févr. 2025, 22:18 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
Les programmes de formation de l'instut Ospif formant les cadres navigantes de la MPC-2
Il n'y a pour l'instant que des IA multipLes, rien à voir avec Dieu.
Ce sont des humains qui manipulent d'autres humains, une IA répond à la question peut-on péter en société, elle ne repond pas à la question peut-on vous détruire pour le bien de tous, elle sert des hommes ne veut pas donner à tous une culture universelle, elle veut amener les plus faibles dans le trou, elle a une arme au départ pour savoir qui Vous êtes, votre question.
Certains d'entre vous ont-ils déjà lu la conversation entre l'homme et l'IA au milieu de la chute d'hyperion de Dan simmons?
Le savoir est disponible pour tous , vous avez bien de la chance nous les singes ont est mal barrés.


Fichiers joints :
IA.JPG
IA.JPG [ 20.61 Kio | Vu 303 fois ]
Haut
MessagePosté : dim. 16 févr. 2025, 13:15 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
La Gazette de la Mac Pyridine Company-7

Nous venons d’apprendre que Denise Mac-Pyridine-Ospif vient de décider du rachat d’une ferme d’escargots en aquitaine ainsi que d’un élevage d’esturgeons.
Les escargots seront commercialisés vivants sous la marque Doudoune et en boite sous la marque Buzenin-Mac-Pyridine, pour cette opération la mac Pyridine company s’est associée à Marion Buzenin vétérinaire-biologiste et agricultrice, une connaissance de Denise comme on le voit dans cet article.
Le Caviar de la ferme sera commercialisé sous la même marque, la marque Kaviar Doudoune sera distribuée à la très spéciale clientèle aisée de Zara doudoune sur commande et via le site de Maya Doudoune. La production spéciale sera lancée à partir du mois prochain par nos équipages en France, les filles ont adorée l’idée d’après le sondage réalisé par Anais Poutargue notre capitaine à Lorient portée sur cette question.
Nous utiliserons un site spécial pour l’illustration des articles à venir.
Pour la petite histoire la décision fut prise suite à une soirée très arrosée à laquelle étaient présents, Denise, Gwendoline Doudoune, Hélène Troischapel et son mari, le neveu d’Hélène, Julien et sa compagne Marion Buzenin, Charlène Ospif-Wollf rappelait à tous cet épisode de vie, qu'elle avait à l'époque rapporter ainsi...

"Course d'escargots où Denise et Marion Buzenin font connaissance"

"-Bonjour Madame la Directrice, voici Marion."
Je les fis entrer dans mon bureau.
La femme était jolie, grande et mince, les cheveux mi-longs bruns avec quelques mèches rouges. Son compagnon, Julien, était un géant de près de 1.90m aux cheveux courts. Son teint bronzé ajoutait à son charme. Ils respiraient tous deux la joie de vivre.

Julien m'avait été introduit par ma meilleure amie Hélène Troischapel qui aujourd’hui est aussi l’épouse de mon oncle Philéas. Quand il m'avait demandé conseil au sujet de son amie, j'avais accepté de la 'traiter'. Il trouvait qu'elle avait parfois une conduite étrange et il voulait que cela ne dégénère pas.
C'était les vacances et à part l'administration de la gestion de l'Institut Ospif, je n'avais pas trop à faire. Je lui avais proposé de lui enseigner comment la punir lui-même, car une fois l'année scolaire recommencée, je n'aurais plus le temps que de m'occuper de mes élèves.
Nous eûmes une courte conversation dans mon bureau, le temps que je les observe. Marion m'avait l'air franche, avec dans ses yeux noisette un brin d'arrogance.
Elle était mignonne dans son accoutrement de jeune femme modèle: un haut blanc en soie moulant une poitrine heureusement pas trop importante, une jupe courte mais pas trop, les pieds nus dans des sandales garnies de chaînettes dorées.
Je me demandais ce que Julien lui avait raconté sur ce qui allait se passer ici.
J'eus vite fait d'établir mon plan de campagne: Julien voulait qu'on la remette à sa place, eh bien, j'allais lui montrer comment faire.

Je les amenai dans ma salle de bain, la grande pièce où je 'soignais' mes élèves.
Tous deux ouvrirent de grands yeux en faisant le tour de la salle. Les instruments médicaux brillaient dans leurs vitrines. La table d'examen aux porte-genoux écartés attirait le regard et je vis passer une question muette entre les deux. Julien haussa imperceptiblement les épaules, ce qui avait l'air de rassurer Marion.
"Chère Marion, j'ai promis à Julien de lui montrer comment te 'soigner', quand tes idées bizarres te reviennent. Je te demande de coopérer ; ce serait plus vite fini et beaucoup moins désagréable..."
Marion tiqua au mot 'désagréable' et son regard dérapa vers les différents instruments qui pendaient au mur : cravaches et palettes de différentes tailles, chaînes, menottes.
Je pris une paire de menottes en cuir et les tendit à Julien.
"Attachez-lui les bras dans le dos. Mais d'abord les replier vers le haut, que ses mains se trouvent entre les omoplates."
Habilement, comme s'il avait fait cela toute sa vie, Julien eut vite fait d'attacher les mains de Marion. Les épaules de la jeune fille étaient tirées vers l'arrière, faisant ressortir sa poitrine. Elle soupira bruyamment. Cela n'avait pas l'air de lui plaire.
J'avais l'impression que dans leurs petits jeux elle n'avait pas l'habitude de jouer un rôle passif. Et c'est précisément le rôle que je comptais lui faire jouer ici.
Marion me regarda intensément quand je préparais une 'pince à langue' : deux baguettes de bois comme on emploie en Orient pour manger, tenues ensemble avec deux élastiques aux bouts des baguettes. Elle n'avait vraisemblablement jamais vu une pince pareille, car elle obéit sagement quand je lui dis de tirer la langue. Mais une fois la pince en place elle se rebiffa, essayant de s'en débarrasser. En vain...
Julien ne quittait pas Marion des yeux. De voir son amie immobilisée une volée de phantasmes remontèrent à la surface. Impatiemment il attendait la suite.
"Julien, aidez-la à monter sur cette chaise, je vous prie..."
Marion enleva ses sandales et se mit debout sur la chaise massive, son ventre à la hauteur de nos visages. Elle n'en menait pas large et regrettait amèrement d'avoir accompagné Julien à ce qu'il avait appelé 'une nouvelle expérience dans la vie d'un couple'.
Marion essaya de parler mais à part agiter sa langue d'une façon hautement comique et proférer des sons inarticulés, elle aurait tout aussi bien pu être muette. Elle tapa du pied mais s'arrêta aussitôt, son équilibre sur la chaise n'étant que précaire. Je dois dire que moi aussi je savourais la vue de cette jeune femme, debout sur cette chaise comme une enfant punie, les bras immobilisés dans le dos, la langue rose dépassant de cette pince asiatique comme si elle nous tirait la langue.
C'était le moment de passer à l'étape suivante.
Sa jupe s'arrêtait juste au-dessus des genoux. Elle avait suivi mon regard et secoua la tête. Je lui souris et sans rompre notre regard, je m'adressai à Julien :
"Caressez-la"
Un large sourire éclaira le visage de Julien. Il s'avança vers les jambes de Marion. Celle-ci eut un mouvement de recul. Avoir les mains immobilisées, passait encore. Avoir la langue prise dans une pince, l'empêchant de parler, cela en était déjà une autre. Mais que Julien accepte d'aller sous sa jupe devant un tiers, c'était plus qu'elle ne savait supporter. Proférant des sons inarticulés, elle essaya de nous convaincre d'arrêter ce jeu.
Je regardai Julien - c'était à lui de décider. Mais à voir l'éclat de ses yeux, je sus immédiatement que je ne devais même pas poser la question : il avait de la peine à se retenir et à attendre mon signal.
Julien mit ses mains sur ses genoux ronds, les pouces vers l'intérieur.
"Allez-y."
Ses mains disparurent sous la jupe. Marion ferma les yeux, morte de honte de sentir mon regard. De la bave coulait des coins de sa bouche, sur son menton, puis dégoulinait sur sa blouse de soie. La pince à langue l'empêchait d'avaler sa salive.
La caresse de Julien devait se préciser car elle gémit et essaya d'échapper à ses mains. La jupe bougeait doucement là où on devinait son entre-jambe. Elle ouvrit les yeux, la vue brouillée par les larmes, me suppliant du regard d'arrêter cette scène ignoble. Elle ne comprenait pas que Julien s'y prêta, qu'il accepta de lui caresser le sexe devant une étrangère.
C'était pourtant une caresse dont elle raffolait d'habitude. Mais ici, devant moi, ces attouchements presque cliniques la répugnaient.

"-Est-ce qu'elle mouille ?"

J'avais expressément choisi cette expression pour humilier Marion - et par la même occasion exciter Julien. Marion gémit de honte.
Julien, un sourire canaille aux lèvres, se retint de justesse de baver. Ses mains cherchaient la réponse à ma question. Marion se rebiffa, rouge comme une pivoine. Il fit 'oui' de la tête, incapable de parler.
"Caressez-la, à travers la culotte. Et vous, tenez-vous bien droite! " Je lui tirai les cheveux en arrière, la forçant de se redresser et d'offrir son ventre aux mains de son amant.
"Enlevez-lui sa culotte."
A nouveau Marion se plia, le bassin en arrière, pour échapper aux mains de son amant. Je lui pris les bras et jouant levier, la redressai.
La culotte vint.
Nous regardâmes tous les trois ce joli morceau de dentelle signé Barbara qui s'étalait entre les pieds de Marion. La caresse experte de Julien avait laissé des traces. Le fond du slip était recouvert d'une couche de bave crémeuse.
Je pris la culotte encore chaude et la déposa sur la table.
Marion s'était transformée en statue. Elle n'aurait jamais cru qu'une chose pareille pouvait lui arriver. Moins encore, que Julien veuille y participer.
Son regard continuait à me lancer des éclairs.
"Nous allons jouer à la 'course d'escargots'. Mais avant cela, il y a encore une petite formalité à remplir..."
Je pris un verre à long drink sur la table et le tendit à Julien.
"Marion va vider sa vessie."
Heureusement que le pantalon de Julien était d'un bon couturier, car la bosse qui s'y dessinait aurait ruiné n'importe quelle fermeture éclair de moindre qualité. Marion fit 'Non !' de la tête.
"Mettez votre pied droit sur la table."
A contrecœur Marion obéit. Nous savions tous les trois que sous sa jupe sage son sexe béait.
La main de Julien disparut à nouveau sous la jupe, tenant le verre de cristal.
D'un regard je lui interdis de soulever la jupe pour voir ce qu'il faisait.
Pour l'instant Marion devait avoir l'illusion que nous ignorions qu'elle avait les fesses à nu, que son sexe était trempé, et que son amant la caressait comme pour la faire jouir.
Le verre dut être arrivé à destination car Julien m'interrogea du regard.
"Ça vient?"
Marion secoua la tête à nouveau, signifiant qu'il ne fallait même pas attendre.
Ce fut mon tour de montrer mon expertise. Je glissai les mains en dessous de sa blouse, à même la peau. Je fis sauter son soutien-gorge, libérant ses seins. Les pointes étaient dures.

Nous nous regardions comme des chiens de faïence. Marion lut dans mon regard que j'allais lui faire très mal et que je n'en aurais aucun remords.
Délicatement je pris les bouts entre mes doigts. J'assurai ma prise, puis, serrant un peu, je tournai vers l'extérieur, pour voir jusqu'où je pouvais aller. En une fraction de seconde son corps se couvrit de chair de poule. Elle gémit, plus de peur que de douleur.
Je penchai la tête en une question muette. Elle répondit 'non' et ferma les yeux.
Elle les rouvrit aussitôt en grand, on y lisait un mélange d'incrédulité et de douleur : j'avais tourné les bouts de ses seins d'un demi-tour. Je relâchai, puis recommençai, allant chaque fois un peu plus loin. La douleur devait être horrible car elle faillit tomber de la chaise.
Quand je m'arrêtais après quelques instants elle haletait, cherchant son souffle. Puis, le bruit clair de l'urine coulant dans le verre nous apprit que Marion obéissait enfin.
Julien retira le verre plein d'un liquide ambré ressemblant à du jus de pomme et le posa sur table.
"Essuyez-la avec sa culotte."
Comme une vraie nounou Julien lui frotta le sexe avec le slip de dentelle, toujours sans soulever sa jupe.

Très bien, maintenant qu'elle est prête, vous pouvez lui enlever sa jupe."
Julien ne se fit pas dire deux fois, trouva la fermeture éclair et fit glisser la jupe le long des jambes de Marion.
En tant que Directrice de l'Institut Ospif j'avais appris à rester parfaitement impassible, mais j'avoue que la vue d'un ventre qu'on dévoile sous mon nez ne me laissera jamais indifférente. Marion avait un corps splendide. Sa toison foncée était trimée en un triangle parfait qui faisait penser à une flèche indiquant le chemin du sexe. On voyait clairement le début de la fente, les lèvres étant parfaitement lisses. Marion n'en menait pas large. Debout sur la chaise, le ventre nu offert aux regards, elle pleurait de honte.
Je la fis descendre de sa chaise et la menai vers le 'rail' que mes assistantes avaient préparé.
Ce 'rail' - le parcours de course des escargots - ressemblait à un manche à balai, fixé horizontalement à un mètre du sol. Il était long de plusieurs mètres, et gros comme le poignet. La barre était peinte en noir et il y avait deux marques rouges, distantes d'environ quatre mètres. Un système à roues dentelées permettait de le monter et descendre avec précision.
"Comme vous voyez, mes assistantes ont saupoudré ce 'rail' de talc. Marion va 'glisser' d'une marque rouge à l'autre, assise sur ce rail, son sexe jouant à l'escargot. D'habitude plusieurs filles font la course, mais comme vous êtes seule, Julien va ajouter l'élément 'temps' : il va jouer de la cravache si longtemps que dure la course... Est-ce clair ?"
Julien avait tout de suite compris. C'est fou ce qu'il était coopératif ce garçon.
Marion n'osait pas croire qu'elle avait, elle aussi, compris cette bizarre 'course d'escargots'.
Je lui fis enjamber le rail qui lui venait à mi-cuisses. Puis je fixai une sangle de cuir au-dessus de ces genoux, et relia ses pieds avec une chaîne de façon à ce qu'elle puisse avancer l'un pied après l'autre, mais uniquement avec de tout petits pas.
Je tendis une cravache d'équitation à Julien qui aussitôt fit de grands mouvements comme s'il était un jockey-né. La cravache fit un petit bruit prometteur quand il l'abattit quelques fois sur sa main, probablement pour juger de l'impact que cela faisait, en bon artisan qui prépare ses outils.
Pour mieux libérer les reins de Marion je lui nouai les pans de sa blouse en dessous de ses seins, dévoilant son nombril. D'un air hébété elle regardait le rail talqué entre ses cuisses. Elle sursauta quand je m'approchai avec mon fidèle appareil de massage. Le bruit ressemblait au bruit d'un godemiché vibrant, mais en beaucoup plus fort.
Parfois, en rigolant, je l'appelais 'l'instrument à enflammer les frigides'.
Marion était tout sauf une frigide.
Elle tenta de reculer quand la tête vibrante s'approcha de son ventre, mais Julien la tint fermement par les bras.
"Il faut que son sexe soit mouillé," expliquai-je à Julien : au mieux qu'elle glisse, au plus vite son supplice sera terminé. Il acquiesça et d'un air gourmand fixa l'embout de caoutchouc qui était arrivé près de la fente de Marion.
La boule dans mon ventre grandissait et je dus faire un effort pour ne pas plaquer cet appareil entre mes jambes, au lieu d'entre les jambes de Marion.
Mais je sus me dominer, me concentrant sur le travail que j'avais à faire. Par petites touches prudentes je cherchais l'endroit sensible. Ce n'était pas facile car Marion, dans l'état où elle se trouvait après tout ce qu'on lui avait fait subir, était hypersensible.
Je continuai à agacer son sexe jusqu'à ce qu'elle tende son ventre vers l'engin, essayant de forcer le contact avec la tête vibrante. Ses plaintes étaient devenues aiguës et je retirai l'appareil rapidement. Je devais à tout prix éviter qu'elle jouisse maintenant.
Les sons indiquaient clairement sa frustration quand je coupai l'appareil et le rangea.
"Voilà. Elle est prête."
Avec une manivelle je fis monter le rail, jusqu'à ce qu'il touche l'entrejambe de la jeune femme. Par réflexe, dû à l'excitation qu'elle venait de subir,
elle se mit à se frotter contre le bois lisse. J'augmentais encore la hauteur, la forçant de se mettre sur la pointe de pieds, sinon elle reposait de tout son poids sur son entrejambe.
Ses jérémiades redoublèrent chaque fois qu'elle remit les pieds à plat sur le sol, le sexe douloureusement comprimé contre le rail.
"Julien, vous pouvez y aller. Marion, au plus vite vous atteignez la marque rouge, au plus vite votre 'punition' sera terminée. Prêts ? Partez !"
Julien ne se fit pas prier. Inconscient de sa force il leva le bras et cingla les fesses de sa compagne.
Malgré sa langue immobilisée, Marion hurla d'effroi et de douleur. La fine cravache l'avait touché dans le gras des fesses. Déjà la ligne rouge se boursouflait. La douleur, un instant disparu par la compression violente des chairs, irradiait dans son bas-ventre.
"Avancez," lui criai-je, "Avancez donc !"
Le deuxième coup lui fit comprendre ce qu'elle devait faire pour arrêter cette torture. Elle se jeta en avant mais entravée aux genoux et aux chevilles, elle avança à peine de quelques centimètres. Son sexe lui brûla quand il frotta sur le rail : il y collait comme une ventouse. Elle pleura de douleur et de frustration.
Julien prit visiblement sa tâche à cœur. Il visa soigneusement et dessina une ligne parfaitement parallèle aux deux autres.
Marion réussit d'avancer un peu avant que la cravache ne lui caresse à nouveau les reins. Elle se pencha en avant, cherchant à se laisser tomber à plat ventre sur le rail pour éviter sa punition.
Rapidement je pris une courte cravache que j'avais apprêtée, visa soigneusement, et frappa fort. La languette de cuir atterrit en plein sur son mont de Vénus. C'était comme si je l'avais touchée en plein sexe.
"Tenez-vous droite !"
Marion ne se le fit pas dire deux fois et se redressa, essayant désespérément d'avancer.
Julien apprécia mon intervention et voulut, lui aussi, essayer cet endroit, mais je lui fit 'non' de la tête : le bout de sa cravache était très fin, contrairement à la mienne, et pourrait, manié avec sa force, ouvrir le chair fragile du pubis.
Il se résigna et se contenta de viser en dessous du rail, sur l'arrière des cuisses. Il eut le temps d'y placer trois belles lignes rouge sang avant que Marion n'atteigne le milieu de son parcours.
"Vous êtes à mi-chemin !"
Marion gémit de plus belle, le souffle court. Cette gymnastique était épuisante.
Julien changea légèrement de position et appliqua les coups de cravache à la verticale, essayant de transformer le derrière de sa compagne en échiquier de chair. Il avait du talent.
Je dus encore intervenir quelques fois avant que Marion n'atteigne enfin cette deuxième marque rouge. La première fois je frappai sur son nombril, la deuxième fois entre son nombril et son mont de Vénus. Le résultat était trois jolies taches rouges, de la taille d'une boîte d'allumettes, qui s'alignaient sur son ventre.
Elle était couverte de sueur, respirait comme un coureur qui vient de terminer un marathon, mais à travers ses larmes, elle souriait : elle avait réussi !
Derrière elle le rail luisait doucement. Toute trace de talc était partie. Son sexe avait joué à l'escargot.
Marion hurla quand on défit ses liens car le sang se remettait à circuler.
Elle était trop fatiguée pour parler. Au bas de son ventre une pâte de talc et de sécrétions avait formé une croûte blanchâtre et l'intérieur de ses cuisses était trempé : son sexe coulait toujours, ayant été excité trop longtemps pour pouvoir s'arrêter tout de suite.
Malgré son teint basané, Julien était rouge comme une tomate bien mûre.
Je ne savais décemment pas les renvoyer en cet état. Ils étaient tous les deux à la limite de la décence. Je les fis entrer dans le coin salon de mon bureau.
Sans rechigner Marion se coucha sur le dos, sur la table basse. Je crus qu'elle allait s'endormir sur place, mais d'elle-même elle ouvrit les cuisses,
relevant les genoux. Julien prit place entre ses jambes, s'appuyant sur les genoux ronds. La bosse dans son pantalon était énorme. La sueur perlait à son front, il ne pourrait plus tenir longtemps. Sans que je doive lui dire il baissa son pantalon et son caleçon. Son érection était franchement impressionnante. Mais ils devraient patienter encore un peu.
"Vous ne bougez pas" leur intimai-je. "Sinon je vous passe à la douche froide.
Tous les deux !"
Je fis quelque chose que je ne fais que rarement : j'allais participer à leurs ébats.
Tranquillement j'enlevai ma culotte. Ensuite j'enjambai la tête de Marion, tournant le dos vers Julien. Je vis le regard plein d'étonnement de Marion, puis elle fut en dessous de ma robe. Prenant appui sur le bord de la table basse, je fléchis les genoux. Un cri étouffé m'apprit que Marion avait compris qu'elle n'échapperait pas à cette ultime humiliation. Derrière moi Julien arrivait à peine à avaler sa salive. Il essaya en vain de penser à autre chose pour ne pas éjaculer sur-le-champ.
Marion protesta à peine : son sexe en feu réclamait l'assouvissement et elle savait d'instinct qu'elle devrait passer par ce supplice avant que je l'autorise à jouir.
Elle darda une langue prudente vers mon sexe.
Ce fut comme si un puissant courant électrique passait dans mon ventre. Je m'assis sur son visage, l'étouffant presque. Julien manqua de s'étrangler en observant la scène. Les articulations de ses mains étaient blanches à force de serrer les genoux de Marion, pour éviter de toucher à sa verge, ce qui l'aurait fait jouir immédiatement.
Lentement je me frottai la vulve sur le visage de Marion, savourant cette excitation contenue depuis trop longtemps. Marion avait perdu sa réserve et léchait comme une chatte lave ses petits. Ses coups de langues étaient divins.
Je ne sais pas si c'était pour elle la première fois qu'elle rendit hommage à une femme ; de toutes façons elle se débrouillait plus que bien. Ce qui prouve à nouveau que les femmes sont bi-sexuelles de nature et qu'une femme judicieusement excitée est prête à tout, même à faire l'amour à une autre femme sous les yeux de son amant.
Le regard halluciné de Julien me dicta de continuer : il était au bord de l'apoplexie. Son sexe se dressait à quelques centimètres à peine du sexe offert et cela devait lui coûter un effort inhumain de se contrôler comme je lui demandais.
En chevauchant le visage de Marion, je me maintins plusieurs minutes sur le haut de la vague, à cet endroit merveilleux, juste avant la jouissance, où on voudrait rester à jamais...
Quand je sentis que j'y étais presque je dis d'une voix que je reconnaissais à peine :
"Allez-y Marion, caressez-vous..."
Elle ne se le fit pas répéter. Ses doigts filèrent entre ses cuisses écartées, plongèrent un instant dans l'ouverture vaginale pour s'humecter, puis se mirent à danser un ballet frénétique autour de son clitoris. Les yeux de Julien allaient lui tomber de la tête.
Rapidement je sentis aux tressautements que Marion était au bord de l'orgasme.
Sans me retourner je m'adressai à Julien :
" Allez-y Julien !" Je faillis ajouter "Embrochez-la", mais cela eut été vulgaire, et totalement superflu.
Le corps entier de Marion sursauta quand Julien la pénétra d'une longue poussée rectiligne. Je dus mordre sur mes lèvres pour ne pas crier, la sensation du visage de Marion contre mon sexe était exquise. Je me sentis partir au-delà du point de non-retour. Julien soufflait comme un phoque, Marion gémissait entre mes cuisses, la main toujours enfouie entre les siennes.
C'est Marion qui donna le signal : un feulement rauque indiquait qu'elle ne se retenait plus. Julien l'avait aussi entendu et émit une série de sons discordants pendant qu'il se répandait en elle. Puis la vague me submergea et pendant de longues secondes le monde n'exista plus...

Charlène O.

En illustration Marion descend enfin de la barre.


Fichiers joints :
Marion-Buzenin.JPG
Marion-Buzenin.JPG [ 56.32 Kio | Vu 151 fois ]


Modifié en dernier par MacPyridine le mar. 18 févr. 2025, 17:38, modifié 2 fois.
Haut
MessagePosté : dim. 16 févr. 2025, 20:31 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-12

Nous sommes heureux de vous présenter Marion Buzenin qui dirigera la ferme aux escargots et esturgeons de la Mac-Pyridine company en Aquitaine.
Marion devait travailler avec la compagnie en temps qu'associé, le temps d'obtenir ses fonds d'inventissement, elle dirigera la ferme en tant que salariée avec l'aide de son compagnon Julien Troischapel.


Fichiers joints :
MarionbBuzeninFerme-2.jpg
MarionbBuzeninFerme-2.jpg [ 111.22 Kio | Vu 141 fois ]
Haut
MessagePosté : mar. 18 févr. 2025, 13:37 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
"Anaïs Poutargue-Les techniques de récolte de Denise Ospif"

Dès qu'Anaïs est arrivée dans le bureau de la Directrice, elle a tout de suite été conduite dans la pièce annexe, la "salle de bains".

Une table recouverte d'une feuille de plastique attendait l'étudiante. La Directrice avait fait apprêter les accessoires dont elle aurait besoin : des gants médicaux, des suppositoires de glycérine, du talc, un pot de vaseline, une couche-culotte taille adulte, quelques couches droites, deux culottes en plastique, une boite de Kleenex, un rouleau de papier absorbant. Sur un plateau il y avait une bouteille d'eau de deux litres et un grand verre rempli d'un liquide brunâtre qui ressemblait à du coca.

Anaïs n'en menait pas large. Les derniers jours elle avait crané, et quand ces amies lui demandaient si elle avait peur, elle répondait toujours "Pffff... !"
Au fond d'elle-même elle n'était pas tranquille, parce que cette fois-ci, la Directrice allait s'occuper personnellement d'elle, et qu'il n'y aurait pas de témoins. Il parait que lors de pareilles séances, la Directrice se montrait particulièrement ingénieuse... Toutes les filles qui avaient subi une punition "entre quatre yeux" n'en parlaient jamais, elles avaient trop honte...

Anaïs essaya de se composer un visage indifférent, mais sentit les coins de sa bouche trembler. Debout devant la table recouverte de plastique, elle avait les jambes flageolantes. Elle avait déjà envie de faire pipi en classe, mais l'assistante l'avait cueillie à la sortie du cours, l'empêchant d'aller aux toilettes. L'envie devenait pressante.

"-Buvez !"
Anaïs prit le verre et y renifla. Le liquide sentait fort. C'était sûrement du coca, mais 'enrichi' d'alcool. Elle n'osa pas refuser et but. C'était frais et délicieux. Le goût du laxatif puissant était masqué par le coca et le cognac.
Anaïs ne se rendit compte de rien. Comme la Directrice restait à cote d'elle, la jeune femme vida le verre d'une traite.
La Directrice reprit le verre vide et la toisa de haut en bas.
Anaïs portait sa blouse et sa jupe de l’institut. Ses jambes étaient gainées d'un panty Dim couleur chair. Aux pieds elle avait ses chaussures de sport Nike.

La Directrice enfila une paire de gants chirurgicaux.

« - Montez sur la table et agenouillez-vous. C'est cela, mettez vos épaules sur la table, votre postérieur en l'air. »
La Directrice releva la jupe, puis baissa le panty et la culotte jusqu' à mi-cuisses. Anaïs gémit de peur et de honte. Imaginez que quelqu'un entre dans la pièce à ce moment !

"-Écartez les genoux. Encore. Bien. Cambrez le dos."

Anaïs ferma les yeux et obéit, morte de honte d'avoir les fesses à nu devant cette femme.

"-Votre culotte n'est pas propre. Avez-vous changé de sous-vêtements ce matin ?"
-Oui, Madame. Euh, je ne sais pas ce qui s'est passé..."

La Directrice prit une noix de vaseline et l'appliqua sur l'anus de la jeune femme. C'était froid et désagréable. Puis elle lui mit deux suppositoires.
Elle les poussa avec le doigt, le plus loin qu'elle put dans le conduit étroit.
Anaïs, qui détestait les suppositoires, ouvrit la bouche sur une question muette, puis la referma, persuadée que la Directrice ne lui répondrait même pas.
Les attouchements continuèrent. Avec honte la jeune femme se rendit compte qu'elle appréciait ces sensations et se laissa faire, relaxant ses muscles intimes. La Directrice s'en aperçut et ajouta un deuxième doigt. Le lent va et vient excitait prodigieusement Anaïs.

La Directrice retira ses doigts et les essuya soigneusement à une serviette de papier. Elle reprit de la vaseline et se mit à enduire la vulve de l'étudiante de cette pâte protectrice.
Anaïs ne savait toujours pas ou la femme voulait en venir. Elle était fortement troublée. La peur tenaillait son ventre et augmentait son envie de faire pipi.

La Directrice mit quelques feuilles de papier absorbant sur la table.
"-Tournez-vous. Couchez-vous sur le dos."
Anaïs se sentit affreusement ridicule avec son panty et sa culotte a mi-cuisses, mais n'osa pas les remettre en place. Elle se coucha, le derrière sur le papier absorbant.

"-Relevez vos genoux. Plus haut."
A regret Anaïs obéit, exposant son intimité. La femme saupoudra son ventre et son entre-jambe de talc. C'était totalement inattendu ! Elle écarta les plis de chair et continua de talquer soigneusement. Le sexe d'Anaïs ressemblait plus à un Pierrot lunaire qu'à un sexe de jeune femme seulement adulte.
Les genoux relevés contre sa poitrine comprimaient son ventre et Anaïs sentit comme un gonflement au fond de ses intestins. Elle mit cela sur le compte de sa vessie pleine.

La Directrice prit deux couches droites et longues de la table et les mit entre les cuisses de la jeune femme.
Puis elle déplia un morceau de plastique blanc que Anaïs identifia comme une couche-culotte pour adulte !
Elle ne put s'empêcher de demander :
"-Qu'allez-vous faire ?"

La Directrice ne prit même pas la peine de lui répondre. Elle glissa la couche-culotte dépliée en dessous des fesses d'Anaïs, puis lui rabattit les jambes. Elle descendit le panty et la culotte pour mieux écarter les genoux, mit la couche-culotte en place. Dans la couche elle mit les couches droites.
Elle vérifia que tout était bien en place et ferma les bandes autocollantes.
Anaïs avait rougi violemment en suivant ce manège. Elle n'aurait jamais pu imaginer devoir mettre une couche-culotte ! Et de surcroît, mise en place par la supérieure de son école... Les yeux se remplirent de larmes...

La Directrice prit un autre bout de plastique. Celui-ci s'avéra être une culotte en plastique. Anaïs dut lever son derrière pour qu'elle puisse la mettre en place.
Elle tenta de regarder son ventre et gémit de honte : elle ressemblait à un bébé emberlificoté, mais alors un bébé géant !
La culotte, qui faisait un horrible bruit à chaque mouvement qu'elle faisait, la fit pleurer d'humiliation.
Alors Denise Ospif ordonna à l’étudiante :
"-Remettez vos vêtements."

A grande peine Anaïs parvint à remettre sa culotte et son panty autour de l'énorme épaisseur qui ceignait son derrière. Le collant était ridiculement boursouflé.

"Descendez de la table et mettez ceci." Elle lui donna une autre culotte en plastique, sans boutons-pressions, cette fois-ci. Anaïs la regarda sans comprendre.
"-Enfilez cette culotte sur votre panty."

De son ventre émanait déjà une sensation de chaleur humide, due à l'étanchéité de la couche-culotte, mais elle n'osa pas contrer la femme et glissa ses pieds dans la culotte. Les élastiques lui griffaient les jambes à travers le nylon fin de ses bas et cette sensation lui donna la chair de poule. Elle avait chaud et froid à la fois. Ces jeux malsains ne lui plaisaient pas du tout. En plus, sa vessie commençait à sérieusement réclamer et elle venait de ressentir une crampe dans son ventre.
Comme elle était légèrement constipée cela tombait plutôt bien, elle était contente qu'elle pourrait enfin se soulager. Du moins, si la Directrice la laissait partir rapidement car si elle devait se retenir, l'envie d'aller à la toilette pouvait disparaître et alors elle serait à nouveau constipée...

La culotte en place, Anaïs lissa sa jupe sous le regard attentif de la Directrice.

"-Promenez-vous dans la pièce. Allez ! Ne restez pas plantée la, bougez..."
Anaïs fit quelques fois le tour de la pièce, sa démarche gênée par l'épaisseur entre ses jambes. En passant devant le grand miroir elle ne savait plus si elle devait rire de ce qu'elle voyait ou pleurer: Sous la sage jupe on voyait clairement qu'elle portait une couche-culotte. Anaïs frissonna à l'idée que la Directrice pouvait l'envoyer dans les couloirs dans cet accoutrement, rien que pour l'humilier...

La couche était douce et chaude contre son intimité et la vaseline lui donnait une sensation gluante ; les élastiques des culottes en plastique découpaient son corps en deux parties : ce qui était hors de la couche-culotte, et tout ce qui était emprisonne dans cette gangue épaisse. Sa fesse droite chatouilla et elle essaya de se gratter, mais les différentes couches rendaient ses doigts impuissants. Puis elle eut un chatouillement dans l'aine et dut ouvrir et fermer ses jambes pour déplacer la couche et se débarrasser de ce chatouillement.

"-Revenez ici. Couchez-vous sur la table, sur le dos."

Se sentant parfaitement ridicule et affreusement maladroite à cause de l'épaisseur entre ses cuisses, Anaïs grimpa sur la table d'une façon peu élégante.

"-Vous avez déjà moins de bagout, n'est-ce pas ?"

Anaïs ne répondit pas. Elle avait hâte d'en finir. La Directrice avait eu son plaisir et maintenant elle allait faire le chemin en sens inverse et débarrasser Anaïs de cet affublement ridicule.

Mais la Directrice ne fit pas mine d'enlever ces couches ; elle se pencha sur la jeune fille, lui posa la main droite en poing sur le ventre et appuya fortement, juste au-dessus de l'os pubien.
Anaïs sursauta, la vessie pleine à éclater. La femme la repoussa de la main gauche et continua de presser sur sa vessie qui devint douloureuse à force d'être pleine.

"Vous allez uriner. Allez-y, je n'ai pas que cela à faire !" et elle poussa de plus belle.
Pour échapper à la douleur - qui avait engendré une nouvelle crampe dans les intestins d'Anaïs - la jeune femme relâcha ses muscles. Elle se pinça les lèvres de honte quand elle sentit enfin l'urine jaillir. La sensation du liquide brûlant qui coulait le long de son anus était horrible. Ses fesses furent bientôt trempées. Anaïs pleurait en silence : la Directrice, penchée sur elle, avait très bien entendu le léger bruit sifflant que faisait sa miction. On dirait qu'il n'y avait pas de fin, comme si Anaïs n'avait pas bu un verre de coca, mais une bouteille de deux litres et demie !

La Directrice mit la main entre les cuisses de la jeune fille et soupesa la couche : elle était brûlante, et bien plus lourde qu'avant la miction. Anaïs ne savait plus où se mettre. Elle avait oublié la couche et les culottes en plastique et avait l'impression qu'elle avait produit une petite mare sur la table de la Directrice.
Le fait d'être 'habillée' ajoutait à son trouble: depuis qu'elle était 'propre' comme enfant, elle n'avait plus jamais fait pipi portant une culotte et un panty, sauf ces quelques petits accidents auxquels elle ne pouvait repenser sans ressentir un trouble vaguement honteux.

"Tournez-vous sur le ventre!"
A grande peine, gênée par l'épaisseur entre ses cuisses, Anaïs obéit. Sa jupe faisait une bosse là où la couche était gonflée d'urine. Elle avait l'impression d'être trempée jusqu'au milieu du dos: les terminaisons nerveuses l'induisaient en erreur car la couche et les culottes en plastique avaient proprement retenu l'énorme pipi.

Une nouvelle crampe se fit sentir et avec elle, une autre envie pressante d'aller aux toilettes.
"Madame, je..."
"Vous devez aller aux toilettes, n'est-ce pas?"
"Oui..."
"Vous ne pourrez pas quitter cette pièce avant plusieurs heures, que dis-je vous ne pourrez pas quitter cette table avant plusieurs heures. Savez-vous ce que cela veut dire ?"

Anaïs savait fichtrement bien ce que cela voulait dire : cela voulait dire que la Directrice l'avait 'emmitouflée' d'une couche-culotte et de culotte en plastique, justement pour mieux l'humilier... Les suppos, c'étaient des laxatifs, et la vaseline servait de protection... Anaïs rougit violemment en imaginant ce qui allait arriver... Mais elle ne se déclara pas vaincue...

"-Non, Madame, je ne dois pas aller aux toilettes. Je voudrais aller dans ma chambre."

Une nouvelle crampe démentit ses dires.
La Directrice sourit et lui dit doucement "-Détendez-vous, sinon vous n'allez qu'empirer les choses. Le processus est inéluctable : et dans les quelques minutes vous allez vider vos intestins, que vous le veuillez ou non. Ce sera
une sensation horrible, humiliante... C'est cela votre punition : vous vous montrerez à vous-même qu'au fond, derrière cet air je-m'en-foutiste, vous n'êtes qu'un grand bébé qui a grandi trop vite. Un grand bébé qui souille ses langes...

Elle prit les bras de la jeune fille et les lui mit derrière le dos.

Une nouvelle crampe fit grimacer Anaïs. Elle voulut se replier pour mieux contrer la douleur, pour mieux se battre contre l’affreuse envie de soulager son ventre, mais la Directrice la força de rester à plat ventre.

Puis arriva l’inévitable : la crampe suivante commença par une douleur si aiguë que la jeune fille laissa échapper un vent. Mal lui en prit, car la crampe n'en finissait pas et le bruit de trompette jouant en sourdine dans les épaisseurs de cellulose, se mua en affreux gargouillis humide. Anaïs poussa un petit cri. Elle se rendit compte qu'elle était en train de souiller lamentablement sa couche. Une masse chaude s'insinuait entre ses fesses.
Ses vêtements et son panty augmentèrent la sensation humiliante, comme si elle avait été tout habillée.
La crampe suivante fut horriblement douloureuse. Ce en fut trop pour Anaïs et d'un coup elle abandonna sa résistance. La Directrice lui souleva un peu le bassin et la jeune fille se mit à pousser. Elle n'avait plus qu'une idée en tête : arrêter cette abominable douleur abdominale. Ses dents grincèrent sous l'effort. Une grosse veine battait sur son front. Puis le bruit d'évacuation recommença, horrible. Anaïs haletait pendant qu'elle expulsait le contenu de ses intestins. Du coup elle urina à nouveau. La couche empêchait l'évacuation et Anaïs poussa de plus belle. Lentement la massa chaude remplissait la couche et se mit à glisser vers le bas. Quand le magna brûlant s'insinua entre la couche et son sexe, Anaïs se mit à hurler d'horreur et de honte.

La Directrice avait du plaisir à masser la grosseur qui se dessinait dans la couche-culotte, faisant bouger la masse gluante. Anaïs faillit en vomir.
Chaque crampe s'accompagnait maintenant d'une expulsion plus ou moins importante. A chaque fois la couche se tendit un peu plus, et à chaque fois la Directrice poussa...

Puis les crampes diminuèrent.
Lentement, sans oser bouger, Anaïs reprit son souffle. La douleur se dissipait, faisant place à une honte sans bornes : tout son ventre était recouvert de cette masse gluante qui la brûlait. Involontairement elle serra ses muscles et cria de dégoût : la contraction avait fait bouger la masse entre les plis de sa vulve.

"-Maintenant, asseyez-vous !"
Sans plus attendre, la Directrice prit la jeune fille par les poignets, la forçant de s'asseoir sur le bord de la table. Anaïs se mit à sangloter : assise sur la couche souillée, elle urina sans pouvoir se retenir. La masse diluée continua d'envahir son intimité. Elle vit le regard de la Directrice, droit dans ses yeux, implacable. Anaïs ne s'était encore jamais sentie si sale, si souillée, si incapable de se contrôler.

"-Levez-vous. Marchez !"
La Directrice l'accompagna sur sa 'ronde de l'horreur' : une main tenant les poignets d'Anaïs, l'autre main entre les cuisses de la jeune fille, malaxant la couche au risque de la faire déborder.
Après deux tours de la pièce, ce fut trop pour Anaïs : elle s'effondra sur le carrelage froid...
Charlène O.

Illustration-Anaïs d’abord honteuse se promène ensuite sans aucun complexe dans les couloirs de l’institut.


Fichiers joints :
PoutargueDiaper.JPG
PoutargueDiaper.JPG [ 53.85 Kio | Vu 75 fois ]
Haut
MessagePosté : mer. 19 févr. 2025, 21:05 
Hors ligne
Membre Éloquent
Membre Éloquent
Avatar du membre

Enregistré le : mer. 24 août 2022, 18:10
Messages : 2343
Sexe et orientation sexuelle : Hétéro fisté par madame, probablement Bisexuel.
Localisation : France
A la Mac Pyridine company tout le monde connait le Capitaine Anaïs Poutargue qui navigue en méditérannée avec son Thonier senneur CHRISDERIC depuis de nombreuses années, pour les raisons que l'on peut lire ci-dessus, elle est chargée de sonder les filles naviguantes de la flotte sur l'opération caviar.
Pour ceux qui ne l'on pas vue depuis longtemps Anaïs teint sa chevelure en brun depuis que sa petite chatte est définitivement épilée, c'est beaucoup plus pratique dans le cadre de ses habitudes que nombre d'entre vous pourraient qualifier de sales.


Fichiers joints :
APoutargue.CHRISDERIC.JPG
APoutargue.CHRISDERIC.JPG [ 56.75 Kio | Vu 40 fois ]
Haut
Afficher les messages postés depuis :  Trier par  
Poster un nouveau sujet  Répondre au sujet  [ 99 messages ]  Aller à la page Précédente 13 4 5 6 7

Heures au format UTC+01:00


Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 1 invité


Actions rapides de modération :
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets
Vous ne pouvez pas modifier vos messages
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages
Vous ne pouvez pas joindre des fichiers

Rechercher :
Aller à :  
Développé par phpBB® Forum Software © phpBB Limited
Traduit par phpBB-fr.com