Bonjour,
Nouveau venu sur ce forum et ayant bien profité de quelques lectures, je vous propose une histoire qui date maintenant de quelques années. Si mes envies et fantasmes ont changés depuis, cette petite histoire simple continue de m'exciter.
L'amie de mon amie
Il y a quelques années, je sortais avec Sophie. J’habitais une chambre de bonne tandis qu’elle partageait un petit 2 pièces agréable avec son amie d’enfance, Cathy. Très souvent, je dormais chez elles ; Sophie et moi dormions au salon, Cathy restant dans la chambre des filles.
Un beau et surtout chaud matin d’été, Cathy petit déjeunait comme d’habitude à deux mètres de mon lit. Comme d’habitude pas tout à fait car elle n’avait que ses sous-vêtements sur elle alors qu’elle faisait toujours attention à me cacher son corps sur lequel je fantasmais. Ayant ouvert les yeux, je fus surpris et surtout réjouis par ce spectacle inattendu : la fille sur laquelle je fantasmais le plus en culotte et soutien gorge devant moi… Bien entendu, je n’ai pas montré que j’étais réveillé et les paupières quasiment fermées, je matais tout mon soûl : des superbes cuisses bien dégagés par une culotte échancrée et surtout la poitrine, que je ne faisait que deviner à travers la dentelle blanche du soutien-gorge et qui me rendait fou - j’adore les seins. Voir Cathy en petite tenue m’excitait énormément bien que je ne sois pas « du matin ». Quand Cathy s’est levée un moment pour aller chercher je ne sais quoi à la cuisine, j’ai pu la mater de dos et les yeux grands ouverts : mon regard glissais de ses épaules rondes à la cambrure de ses reins pour finalement s’arrêter à l’endroit où le dos ressemble à la lune. Je profitais de sa sortie pour glisser ma main droite sous les draps et me caresser discrètement. Quelle torture ! Je ne devais pas réveiller Sophie, pas alerter Cathy, alors que mon sexe était tendu comme jamais. Je me caressais donc très délicatement quand Cathy est revenue et j’ai pu à travers mes paupières mi-closes l’admirer de face (quand elle était assise, j’avais une vue de coté). Alors que je pensais être au summum de l’excitation, je m’aperçus qu’il n’en était rien : mon sexe me donnait l’impression de grossir et durcir encore et encore. Voir Cathy en petite culotte, face à moi : ses jambes, son ventre blanc semblant doux comme un nuage, sa gorge tressautant à chaque pas. Elle s’est rassise, a réajusté sa bretelle qui, tombante, m’a permis d’apercevoir un petit bout de son sein gauche, et a fini de déjeuner. Imaginez la difficulté (et le plaisir) de jongler entre un calme apparent (j’étais sensé dormir) et le bouillonnement intérieur que je vivais…
Au bout de quelques minutes elle s’est de nouveau levée et peu après j’ai entendu la porte d’entrée se fermer.
J’allais me lever à mon tour quand j’ai senti une petite main toute douce m’attraper le sexe tandis que dans mon oreille tombait ces mots provenant de la bouche de Sophie : « elle est bandante ma copine, hein ? »
Surpris je me tourne alors vers Sophie et tout en voulant l’embrasser je lui dit : « bonjour ma chérie » mais elle refuse mon bisou : « tsss tsss tss, ne fait pas l’hypocrite petit cochon et ne me parles pas de chérie alors que tu es en train de bander pour ma copine. » Elle a toujours la main sur ma queue et me branle tout doucement en me faisant mettre sur le dos ; elle met sa tête sur mon épaule et me dit «Fermes les yeux et imagines Cathy comme tu viens de la voir » A ces mots, j’ai tendance à vouloir accélérer le rythme de la masturbation mais Sophie retire sa main de mon sexe en me grondant : « Ne sois pas pressé comme ça, c’est moi qui te branle comme je veux et toi tu n’as rien à faire à part m’écouter et imaginer…
Donc Cathy est là, en face de toi, en sous-vêtement, t’aimerais en voir plus, non ? »
Je grommelle un « oui » en gémissant de plaisir
« Je n’ai pas bien entendu, fais moi une réponse plus claire !
-oui, je veux la voir à poil (cette fois j’ai presque crié)
-tu sais que moi je la vois souvent toute nue et qu’on dort dans le même lit toute les deux (pendant ce temps la main de Sophie continue de jouer avec ma queue en me laissant au bord de l’explosion - elle me connaît très bien et sais alterner les mouvements et le rythme et me faire éjaculer que quand elle le veut)
Ses seins sont un peu plus petit que les miens (85 C), très rond ; une aréole assez petite mais très foncé avec au milieu des tétons qui ne demande qu’à se dresser. Quand à sa chatte, c’est un joli triangle très noir qu’elle entretient régulièrement. Tu la vois ?
-ouiiii, elle est là en face de moi, elle m’excite (je parle en criant, je ne sais plus très bien où j’en suis, la tête me tourne de plaisir, la main de Sophie continue son va et vient et ses caresses diverses)
-t’aimerais la sauter ?
-OUI, JE VEUX BAISER TA COPINE !!!!
-appelles là, elle va venir
je me mets alors à crier le nom de Cathy
-tu vois, elle t’as entendue, elle s’avance et s’approche du lit. Elle attrape ta queue, te branle un peu, te caresse délicatement les couilles puis se met à cheval sur toi, promène ton gland le long de sa chatte (Sophie fait en même temps tous les mouvements qu’elle décrit). Elle mouille la salope, elle veut sentir ton sexe en elle. Tout à coup elle s’enfonce en poussant un cri puis se met à onduler du bassin
-Cathy, Cathy, oui, oui, c’est bon » (le fait de prononcer le prénom de Cathy pendant que Sophie me chevauche m’excite à chaque fois au plus haut point)
Sophie accélère la cadence et je me retrouve à éjaculer une quantité énorme de sperme en criant le nom de Cathy puis je sers très fort mon amour contre moi.
Au bout d’une éternité nous nous décollons l’un de l’autre et Sophie me dit peu après avec un regard malicieux : « cela m’a excité au moins autant que toi, il va falloir faire quelque chose!»
Les jours suivants, nous déclinâmes le principe (il faisait toujours aussi chaud et Cathy était la seule à travailler, nous avions tout notre temps).
Le matin donc, pendant que Cathy déjeunait je la matais discrètement tandis que Sophie me touchait la queue en faisant très attention à ne pas se faire lever par sa copine. Une fois Cathy partie, nous nous câlinions en parlant d’elle. Moi, je racontais ce que j’avais vu juste avant, et surtout Sophie me décrivait sa copine sous toute les coutures. Pendant que nous nous caressions et nous branlions mutuellement, elle me décrivait Cathy, superbe, sortant d’une douche fraîche avec des seins fermes aux tétons dressés, des gouttelettes accrochés à sa toison brune. Elle me racontait que, parfois, la nuit, alors qu’elles dormaient ensemble, leurs fesses venaient à se toucher au hasard (?) des mouvements nocturnes. Alors que je caressais et suçotais ses seins, elle me décrivit la scène où, pour la première fois, elle avait eu vraiment envie de sa copine quand elles s’étaient croisées, nues toutes les deux, dans la salle de bain et qu’accidentellement (d’après Sophie !) leurs seins s’étaient touchés. Sophie m’a dit avoir eu alors une folle envie de serrer sa copine dans ses bras et de lui sucer les tétons. Elle m’avoua que, couchées toutes les deux, Cathy endormie, elle se caressait délicatement en fantasmant sur sa copine. Elle m’a dit qu’une fois, réveillée au milieu de la nuit, elle s’est rendue compte que c’était Cathy qui se branlait là, haletante, juste à coté d’elle, et qu’elle n’osait pas bouger mais qu’elle mouillait comme une folle en imaginant que c’était elle qui doigtait sa copine, que sa main se promenait sur le clito gonflé de Cathy tandis que celle-ci lui enfonçait ses doigts dans la chatte et dans l’anus…
Nous nous amusions (et excitions) énormément avec tout cela, imaginant des tas de scénario, que ce soit Cathy et moi, Sophie et Cathy ou tout les trois ensembles. Plusieurs fois, après le feu de l’action, nous avons discuté de ce qu’on pourrait faire vraiment avec Cathy, la grande peur de Sophie étant de gâcher son amitié. Nous n’avions pas avancé quand les circonstances nous ont aidé à modifier la donne.
Le vendredi de cette belle période, tout avait commencé comme décrit ci-dessus ; mais alors que pris dans nos ébats, au sommet de l’excitation, je criais le nom de Cathy qui me faisait tant envie tout en prenant Sophie dans une levrette fougueuse, voila la porte qui s’ouvre et j’entends : « ooops, pardon » et la porte qui se referme immédiatement.
Outre une chute vertigineuse de mon excitation, cela a provoqué une crise de fou rire après laquelle Sophie me dit : « merde, j’ai complètement oublié, elle bosse pas aujourd’hui, elle a du juste sortir faire une course. On n’a pas l’air con maintenant… »
Après s’être levé, on croise Cathy qui nous dit toute gênée : « je suis désolée mais j’ai cru que vous m’appeliez ».Je lui répond en rigolant que ce n’est pas grave du tout en me disant : « visiblement elle n’a rien calculé. »
La journée se passe normalement et nous nous retrouvons le soir pour l’apéro puis le repas.
Alors que je faisais la vaisselle, j’entends tout d’un coup Cathy qui éclate de rire. Je fini de ranger et revient au salon et là, Cathy me dit en souriant : « alors, y parait que je te fais fantasmer ? »
Sophie lui avait donc lâché le morceau, ce qui expliquait probablement le rire de tout à l’heure. Je ne me démonte pas et lui répond tranquillement « oui, énormément. J’espère que cela ne te dérange pas ?
-non, c’est plutôt valorisant » répond-elle. La discussion suit son cours autour de mes fantasmes (pas tous, cela prendrait trop de temps !) et j’essayais de ne pas trop montrer la tension grandissante qui m’habitait. Au bout d’un moment, je lui dit : « tu sais, il n’y a pas que moi ici qui a envie de ton corps » Surprise, elle se tourne alors vers Sophie qui lui dit, légèrement rougissante « ben oui, tu es très attirante » La conversation se retrouve donc sur les envies saphiques de Sophie puis de Cathy qui nous déclare avoir déjà eu envie de certaines filles (sans préciser si Sophie en faisait partie) mais qu’elle n’osait pas vraiment essayer.
Parler de sexe avec des filles m’excite déjà beaucoup mais discuter de mes fantasmes avec une des filles dont j’ai le plus envie, l’entendre à son tour raconter ses désirs sexuels… Bref, toute cette discussion décontractée mais intéressante et sérieuse avait un effet du tonnerre et je devais me retenir pour ne pas me branler. Je m’efforçais également de garder une voie normale à chaque fois que je parlais et c’est donc le plus calmement possible que je dit à Cathy que je trouve dommage de se priver de plaisir et de tendresse.
Elle me dit : « c’est ce que je me dis mais… oh et puis merde ! » elle se tourne alors vers Sophie et lui fait un petit bécot timide sur le coin des lèvres. Sophie, après un instant d’hésitation lui répond par un baiser plus appuyé. Moi je me fais tout petit (façon de parler !). Les deux filles se laissent aller : les bisous deviennent de plus en plus sauvages, les lèvres se promènent sur tout le visage, descendant aux épaules dénudées. D’abord timides, les mains commencent à glisser sous les débardeurs. Les poitrines sont appuyées l’une contre l’autre, Sophie fait descendre sa main dans la jupe de Cathy pour caresser ses fesses. Cathy la déboutonne, permettant à Sophie de passer sous sa culotte de dentelle rouge, et place ses mains sur les seins de Sophie, sous le débardeur.
Et ça se caresse et ça s’embrasse. Moi je meurs d’envie de sortir ma queue mais je n’ose pas bouger de peur d’interrompre le spectacle ; j’ai quand même la main dans la poche et je me masturbe à travers le tissu. Cathy se lève pour enlever sa jupe, Sophie se met alors à genoux devant elle et l’embrasse sur le ventre et la culotte. Elle se redresse pour enlever son short, les deux filles sont debout collées l’une à l’autre, en culotte et débardeur. Les mains se baladent sur tous le corps, les débardeurs remontent, laissant apparaître les soutiens gorges des deux filles. Moi j’ai craqué et le sexe dans la main, je me branle en essayant de ne pas jouir trop vite. Tout en se pelotant, elles se rassoient sur le canapé. Cathy se décide à dégrafer le soutif de Sophie puis à lui enlever tout le haut. La poitrine de ma chérie apparaît alors, splendide, les tétons tendus, vite cachée par les mains de Cathy qui semble fascinée par ces seins. Sophie met alors sa main dans la culotte de Cathy et lui caresse le sexe. C’en est trop pour moi qui éjacule en essayant de ne pas en mettre partout. Cela me calme mais pas longtemps. Quand Cathy descend la petite culotte de Sophie pour laisser apparaître son minou (que je connais pourtant bien), ma queue est de nouveau dure et ma main au travail. Sophie s’allonge, elle est maintenant à poil, sur le dos, les jambes légèrement écartées. Cathy a encore ses sous-vêtements et son débardeur. Elle se penche sur Sophie, l’embrasse à pleine bouche puis descend tout doucement vers les tétons qu’elle se met à suçoter avidement. Sophie déshabille Cathy, il ne lui reste que sa culotte. Les seins de Cathy frottent contre le ventre de ma chérie puis Cathy continue sa descente jusqu’au sexe de Sophie qui a maintenant les jambes grandes écartées. Cathy commence un cunni qui agite ma copine comme une possédée. Elle appuie fort sur la tête de Cathy glissée entre ses cuisses. Cathy ne laisse pas ses doigts inactifs et les promène de la chatte à l’anus. Au bout de quelques minutes, Sophie se cambre, rouge comme une pivoine et hurle « je jouis, je jouis ». Cathy remonte alors pour embrasser ma copine qui la serre très fort dans ses bras. Elles ne bougent plus pendant quelques minutes puis, Sophie recommence à caresser Cathy. Ses mains descendent rapidement sur les fesses de sa copine et après quelques mouvements se décident (enfin !) à retirer la culotte de Cathy qui, lancée à travers la pièce, m’atterrit dessus. Les deux filles sont nues, collées l’une à l’autre et continue de se frotter, s’embrasser et se caresser de partout. Moi je respire très fort le petit bout de tissu qui a recueilli la mouille d’Cathy avant de me branler avec. Le contact de la culotte sur ma bite a un effet foudroyant et j’éjacule de nouveau au bout de quelques secondes. J’oublie alors où je suis ; ivre de plaisir, les yeux fermés, la main tenant toujours la culotte, je laisse mon cœur récupérer un rythme plus calme.
Au bout d’un temps indéterminé, j’émerge. Le spectacle qui s’offre à moi va, encore une fois, me faire repartir malgré la sensation d’être complètement vidé : les filles ont chacune la tête d’un coté du canapé, Sophie sur le dos, Cathy de coté, face à moi. Leurs jambes sont entremêlées de telle sorte que leurs minous puisse se frotter l’un contre l’autre ; j’imagine les deux clitos gonflés se touchant au milieu de ces quatre cuisses, je vois maintenant bien les toisons de chacune, le triangle noir et fournie de Cathy contrastant avec la chatte rousse et clairsemée de Sophie. Après avoir gémi de plaisir toutes les deux, elles se redressent, s’assoient face à moi, les jambes écartées, me permettant de ne pas rater grand-chose de leurs intimités. Elles sont calmes, souriantes, ayant chacune une main sur la cuisse de sa voisine, mains qui simultanément vont s’approcher du sexe de l’autre pour le caresser tranquillement. Mais alors que Sophie reste très zen , Cathy commence à se tortiller, le visage rougissant ; elle prend la main de sa copine pour lui faire accélérer le rythme puis elle me regarde, les yeux pétillants de plaisir, et me tend la main. Répondant immédiatement à l’invitation, je me lève pour rejoindre les deux copines et nous voila reparti pour une sarabande à trois qui se renouvela pendant tout le temps où je sortis avec Sophie.
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