vassilia.net

Jeune, j'allais aux anciennes Halles à Paris, là se trouvait un grand choix de prostituées. Je suis monté avec des jeunes, mais souvent pressées qui ne m'apportaient rien de ce que j'attendais. Et puis un soir, dans une rue sombre je rencontrais Olga, un accent slave, elle approchait la cinquantaine :clin: . Elle fut très douce avec moi, elle n'était pas pressée et même attentive. La première fois je lui fis l'amour avec ardeur. Ensuite quand l'envie me prenait je retournais la voir. Elle m'apprit comment lécher une chatte pour que ma partenaire prit du plaisir. Je l'ai fréquenté pendant deux ans et un jour je ne la revit plus, disparue du quartier? j'y pense encore. Ses leçons m'ont servies dans ma vie sexuelle.

La jeunette, elle veut son pognon et elle fait vite car elle sait qu'elle trouvera vite fait un client.
La mature, elle est plus expérimentée, et elle profite pour bien faire son travail. Puis, une dame mure, ça attire pas autant de monde qu'une poulette de 20 piges.

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Toujours toute nue ou presque, même dehors ou au bureau.

Viens de me faire bannir d'un site de rencontres. Tas de jaloux !!!

C'est je trouve un peu comment dire... caricatural ton post, jeanne.
Les prostituées mûres ont plein d'atouts, surtout elles rassurent. Dans les clients il y a de tous les âges et de toutes préférences. Heureusement !
Et puis avec une de 20 piges, tu risques en plus qu'elle soit même pas majeure

Après Olga qui disparaissait du quartier chaud, il y eut Annie. Bien habillée, toujours plus de 50 ans, voir 60.
Elle m'initia à l'usage du godmichet sur la femme, ensuite sur moi, ce que j'appréciais particulièrement. Elle s'en rendit vite compte et me proposa à la place d'un god , la queue d'un client qui recherchait le cul d'un jeune mec. Je ne refusais pas car pour moi c'était gratuit.
Lorsque nous nous sommes retrouvés dans un autre quartier, dans l'appartement de l'homme, Annie me déshabilla et me présenta tout nu au client. Après un échauffement à 3, il me doigta le cul, et m'enfila sa bite, pas trop grosse mais bien raide, ce qui facilita ma première sodomie qui ne fut pas la dernière. Annie termina aussi son métier pour s'installer dans une ville du sud de la France pour jouir de sa retraite bien méritée.

En ce qui me concerne, celle qui m'a dépucelé officiait dans une rue perpendiculaire à la rue Saint Denis, elle avais, disons la quarantaine, et je garde un très bon souvenir de cette rencontre. Je dois préciser qu'en aucun cas je ne recherchais une femme trop jeune, pour tout dire, je crois que j'avais peur d'une certaine inexpérience et je crois surtout que j'avais besoin d'être rassuré. Mes expériences avec ces Dames n'ont pas été très nombreuses, mais toujours dans le quartier des Halles, et toujours avec des femmes plus âgées que moi. Comment l'expliquer?, ce toute façon c'est hors sujet, autant une jeune et jolie femme peut être agréable à regarder dans sa fraîcheur, autant je leur trouvais, (et je leur trouve toujours) un manque de maturité qui m'a toujours poussé vers des femmes ayant dépassé les 30-40 ans, d'autant qu'elle peuvent être infiniment attirantes.

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

Personnellement, je préférerais une femme plus âgée qui m'apportent beaucoup à un jeune canon de beauté qui s'empressera de finir le boulot.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Qu'est ce qu'elles avaient de particulier les prostituées des anciennes halles ?

Après Annie il y aura Suzanne, elle avait une toison abondante et aimait que je fouille avec ma langue dans cette toison très fournie. Je prenais plaisir à ce que ma langue s'infiltre jusqu'à son minou, et pour me montrer son accord elle écartait les jambes. Au bout d'un moment elle me demandait, que je la prenne à la levrette, je ne résistais pas longtemps à jouir, et elle me demandait de lui nettoyer la chatte, ce que je faisais avec ma langue.

Avec Pigalle c'était un des quartiers "chauds" de Paris, de la prostitution à l'ancienne, il est possible qu'il y ait eu des cas de violence également, mais dans l'ensemble, c'était plutôt bon enfant, c'est du moins comme ça que je l'ai ressenti. D'accord, c'étaient des "Putes" mais elles faisaient partie de la population des halles, comme les forts de halles, les négociants et tous ceux qui gravitaient autour, et le métier n'empêchait pas de boire un coup au comptoir avec les autres professionnels du quartier, elles avaient une sorte de statut, un genre de respect et d'amitié entre elles et les autres travailleurs de la nuit, et gare à celui qui aurait voulu en agresser une, les consœurs lui sautaient dessus à grand coup de talon aiguille, volontiers aidées par les client. Elles travaillaient beaucoup suivant les horaires des halles, ce qui fait que c'était plus "calme" à partir de la matinée pour reprendre à la nuit. Petit à petit ces Dames du terroir ont été remplacées par de nouvelles venues d'Afrique devenues par la suite une large majorité, mais ça s'est passé après le départ des halles. Il y avait aussi le coin des dominatrices, cuir noir, fouet et menottes, il en restait encore quelques unes rue des Lombards il y a quelques années

La dernière fois que je suis passé par là, elles avaient toutes quasi disparu, la mairie les a chassées des trottoirs, de même qu'elle s'emploie à supprimer petit à petit les sex-shop qui avaient fleuries. Maintenant c'est tout beau, tout clean, tout touristique, la rue Saint Denis est d'une tristesse...

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

C'était la dernière prostituées que je fréquentais dans les Halles. Elle attendait le client au bas de l'hôtel, je m'approchais, elle me sourit. Je lui demandais le prix. Je lui dis "J'ai envie de boire ton urine (cela faisait longtemps que j'avais ce fantasme que je voulais réaliser) Je m'attendais à un refus ou une augmentation de la note. Eh bien non, elle accepta en me disant"C'est comme tu veux mon chéri". Mon coeur battait fort en montant l'escalier de l'hôtel. Dans la chambre je me déshabillais. Elle me demanda comment je voulais me mettre.
Je me mis sur le dos et elle se plaça sur moi, comme pour faire un 69. Dès qu'elle approcha sa chatte de ma bouche, ma langue alla lécher son clitoris. Elle me laissa faire un moment, puis me demanda si j'étais prêt à recevoir sa pisse, je plaçais ma bouche, pour qu'aucune goutte ne s'échappe de ma bouche. Elle urina en plusieurs fois, faisant attention à ne rien salir. J'avalais tout avec une grande ivresse. Quand elle termina, je me positionnais sur elle, et la pénétra, je ne fus pas long à envoyer plusieurs giclées dans sa chatte.
Tous les mois, pendant une année je recommençais avec celle que j'appellerai "Ondine"

elles avaient,toujours quelques légumes,à partager! non je plaisante..

quand,les halles de Paris,existaient,j'étais trop jeune,ou pas argenté,mais je peux confirmer,que les prostituées,à l'époque,fin des années 60;de la rue St Denis,et rues limitrophes,que je fréquentais très assidûment(trop);étant jeune,m'ont beaucoup appris;et dirait même maternées,et il est vrai que j'étais plutôt gêné;avec une jeune,genre trentaine;qu'avec une femme plus âgée.
ah,que c'était,cool;tout mon argent,y passait!!

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ah,oui,venez....

Il m'est arrivé quelques fois de traverser la rue Blondel. Les dames, jeunes et moins jeunes se côtoyaient. C'était toujours plaisant de regarder celles qui décoraient les porches et autres entrées d'immeuble.
Dans les années 80, je me souviens avoir flashé sur l'une d'elle particulièrement à mon gout. Je n'ai pas osé lui parler. Je ne savais pas si j'avais suffisamment d'argent et ne voulait pas me prendre un râteau. Puis mes copains avaient pris un peu d'avance sur le chemin du retour.
Je suis donc reparti le pas pressé pour les rejoindre.
J'y suis retourné quelques fois encore, nous passions par la pour aller chez un marchand de disque, ouvert le dimanche, et qui vendait des 33T venant de l'export. je n'ai jamais revu cette si jolie femme, mais j'y ai pensé souvent. Comme dirait l'autre : "et mes draps s'en souviennent".

Nous faisions toujours un grand tour pour faire l'aller-retour dans cette rue. Allez savoir pourquoi? Peut-être le besoin de marcher.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Comme il disait Brassens "rue Blondel, dans un bordel" dans le Pornographe

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L'homme est-il bon ? Je réponds oui sans hésitation !
Dans le cochon tout est bon

C'est que quand elles sont parties, il y a eu pendant de longues années....le trou...des halles
(ou Brel et Jean Yanne y tournerent chacun un film)

Mais sont-elles revenues depuis ?