Un jour où ma bitophilie me perforait de la tête à l'anus, je me suis arrêté sur un aire d'autoroute, Ventabren, près de Salon. Pour l'avoir pratiqué quelques fois auparavant, je la savais "bien garnie" et très fréquentée. Je monte de suite sur le deuxième parking, sort et en grille une en attendant. Deux ou trois mecs passent, rien de bien fringuant... et surtout trop gay pour moi. J'aime le mâle viril !
Et un homme très âgé arrive, gare sa voiture, en descend pour aller directement vers le bois qui surplombe le second parking. Il traînait la jambe, mais ne m'a pas quitté du regard. Nous étions distant l'un de l'autre d'une vingtaine de mètres. Arrivé à l'endroit où le chemin s'enfonce derrière les arbustes, il me fait face, se met la main au paquet d'un façon sans équivoque, et juste après une invitation de la tête, s'engage. Bof, que risquais-je, me dis-je alors. Et j'ai trouvé cet homme direct et franc, je lui emboîte le pas, et le retrouve dans une petite zone défrichée, de dos. Je lui donnais bien 78/80 ans. Il se retourne lorsqu'il m'entend, et avait pris soin de déballer son 3 pièces. Stupeur. Non, ce n'était pas un 3 pièces minable derrière la gare, mais un de grand standing avec vu sur le ciel ! Une énorme queue et des couilles de taureau, le tout regardant le sol. Il me salut et me demande si ça me convient. A genoux devant lui, je prends un plaisir dingue à jouer avec ses proportions hors du commun. Très propre, je m'arrache la mâchoire à le prendre en bouche et le suce en contemplant ses méga-bourses. Il se rigidifie, prend encore de l'importance, mais sans jamais vraiment bander dur, ce que je peux comprendre. Au bout d'un long moment, il me demande de lui sucer les couilles. Enormes elles aussi, je les gobe, les lèche tout en le masturbant, et d'un coup, il s'est mis à décharger, décharger, et encore décharger des larmes de foutre bien blanches. Elles ne giclées pas, mais il jouit une incroyable quantité de semence. Je repris son nœud en bouche, le nettoyais, et le lui rendis en le félicitant sur ses mensurations. Il me remercia cordialement. Tu jouis toujours autant ? demandais-je, curieux. Oui, mais pas tous les jours. Et si tu m'avais connu à vingts ans... qu'est-ce qu'elles produisaient !!!! sourit-il. J'imagine l'overdose de foutre !!!!!!
Puis nous quittâmes la place pour rejoindre nos voitures, et il me salua en me remerciant encore une fois.
J'ai pris un pied incroyable les 20 minutes que nous avons passés ensemble. J'aurais sincèrement adoré avoir un voisin comme lui. Et du coup, j'ai très souvent abordé des personnes parfois assez âgés, et nous nous sommes toujours bien amusés. Tout le monde à le droit aux plaisirs ! Et ils savent bien souvent comment en donner !