Le problème avec ces pratiques ce sont les traces. Je me souviens, il y a une vingtaine d’années, pris d’une pulsion irrésistible, j’avais demandé par téléphone à ma Maitresse attitrée de m’administrer une bonne raclée, martinet et orties.

Une fois arrivé chez elle, elle fait me déshabiller et m’attache les mains à un crochet au plafond; Et la punition commence, tout d’abord une bonne raclée aux orties, je suis au bord des larmes, mes fesses brûlent. Puis elle prend le martinet et, vlan, 50 coups comme je lui avais demandé le matin. Sous l’excitation et le plaisir, je lui demande de m’en administrer autant; Quelle erreur ! Visiblement elle s’excite toute seule et les coups deviennent de plus en plus violents. J’ai vraiment mal, je la supplie (Très mollement) d’arrêter, en fait j’en redemande, et je commence à gigoter, tournant sur moi-même. Les coups pleuvent, sur les fesses, sur les jambes, sur le dos, sur le ventre.

Quand elle juge la punition suffisante, elle arrête et me détache, j’avoue à mon plu grand regret.

Pour terminer, elle me fiste profondément, je jouis, puis je retourne chez moi, satisfait.

Ce n’est que le soir que je m’aperçois des dégâts : mon corps est couvert de zébrures rouge vif, partout, et ces zébrures vont perdurer une bonne dizaine de jours. Une personne à qui je montre des photos se dit abasourdie.

Le mot de la fin : heureusement mon épouse était en voyage chez ses parents pour une quinzaine.

Par la suite, je me suis juré (et l’ai fait) de modérer ce genre de sévices.