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Suite à la lecture des profils uro des vassiliens je me suis rendu compte que les dérapages vers la scato n'était pas aussi rare que je le pensais. Je fais parti de ses gens la et je me demande quand et comment vous êtes passez de la liqueur dorée à la douceur chocolatée?
Pour ma part c'était il y a un an tout au plus, je décidais de prendre un bain mais comme souvent je m'applique à mes jeux uros juste avant. Je m'allonge et me laisse aller vidant peu à peu ma vessie pleine à craquer... je récupère un peu de champagne en bouche et m'asperge le visage, je suis enivré par mon urine, elle est douce, un peu sucrée comme je l'aime. Soudain mon amie entre et me demande ce que je fais intriguée par le temps que je passe dans la salle de bain, voyant la source se tarir elle me demande si j'ai besoin d'aide? Je lui dit que toute aide est bien venue. En jupe, elle monte dans la baignoire et me demande de rester allongé sur le dos. Elle se concentre et commence a se vider dans sa culotte qui deborde sur mon sexe et mon ventre. le bruit et l'odeur de son pipi me font bander comme jamais. elle enleve alors sa culotte et l'essore sur mon visage... le gout de son minou et de son pipi me remplisse la bouche, jaimais je ne l'avais dégustée ainsi.
Tout cela m'excite énormément et réveille en moi mes pulsions de soumis qui aime se doigter. Mais avant cela, elle me demande de bien vouloir le doigter l'anus. Je m'execute.
Je plonge mes doigts dans sa rondelle, un, puis deux, rapidement je constate qu'elle ne s'est pas lavée, les passages répétés laissent des traces plus que douteuses sur mes doigts, je le signale et me repond " Et bien nettoie si ca te dérange tant" avec un ton me défiant d'oser la nettoyer. ni une, ni deux, je leche mes doigts salis, devant elle, elle me regarde et est terriblement excitée par mon culot, elle me félicite et pour me récompenser elle décide de me sodomiser. j'aime quand son gode chatouille mon rectum et que ses reins tapent contre mes fesses, elle est vraiment douée...
mais je n'avais pas procédé au lavement... en ressortant de mon cul ouvert son gode est tout sale et me le montre en me disant de constater les dégats. Je lui dis que je peux me récupérer, je suce alors le gode bien que sali partout, jusqu'a lui rendre la couleur d'origine ( il est couleur chair), elle me felicite par un longoureux baiser et s'en va me laissant prendre mon bain...
Et vous? racontez vos écarts et vos histoires uros/scatos

(je sais que ce message pourrait et devrait sureùent etre dans la rubrique scato mais il fait suite au post des profils uro ce qui justifie que je poste ici)

Mon post aussi est à la limite uro/scato.

J'adore faire pipi dans mes vêtements, je trouve la sensation de liquide chaud très excitante. Une pratique que j'aime beaucoup est la suivante : j'enfile une culotte en lingerie fine et je bois beaucoup (thé, eau). Lorsque je suis bien plein et que l'envie devient pressante, je me couche dans la baignoire, les jambes et les fesses surélevées (en travers de la baignoire, ça le fait très bien) et j'attends. Lorsque je sens que l'explosion est proche, je relâche mes sphincters. Je commence à pisser mais vu la position, une faible quantité réussit à sortir de la vessie, la gravité ayant un certain effet .

Alors je pousse pour évacuer la pisse, ce qui a bien sûr l'effet escompté mais aussi, le plus souvent, un effet secondaire qu'on devine facilement : le sphincter anal, jaloux sans doute de la liberté accordée à son copain, se libère à son tour et ma lolotte se remplit alors de pipi et de caca. C'est très jouissif car en plus de la chaleur des matières sur la peau, il y a le sentiment d'humiliation, de honte. Quand je suis bien vidé, je m caresse à travers la culotte en la pressant bien sur moi pour me souiller pleinement.

récit très excitant à lire! Expérience qui me donne envie d'essayer!
Je m'étonne que personne n'ai répondu alors que nous ne sommes pas que deux à avoir répondu en ce sens...

J'ai longtemps érigé une frontière entre l'uro que j'ai toujours pratiqué et la scato qui me rebutait. Je me souviens parfaitement de la première fois, la fille était très joueuse, et m'avait dit : "Oh la jolie bite, je pisserais bien dessus", je me suis laissé faire, mais je suis aujourd'hui incapable de me souvenir à quelle occasion j'en ai avalé pour la première fois)
Deux fois j'ai en l'occasion de franchir le pas vers la scato. La première fois la fille ne voulait pas me pisser dessus mais voulait bien que je la regarde pisser, ce que j'ai donc fait, à la fin elle m'a dit un truc du genre :"j'ai une autre envie, tu veux vraiment voir ?" Je me suis dégonflé. Une autre fois une autre complètement délurée m'avait pissé sur le corps et un peu dans la bouche et m'a dit ensuite l'air de rien "Maintenant si tu veux, je peux faire autre chose" Je me suis encore dégonflé.
Quand j'ai tâté de la scato, cela n'avait aucun rapport avec le pipi, je jouais à des petits jeux de domination pas bien méchants (je ne suis que très légèrement maso, mais j'aime bien les jeux de rôles) avec une belle brune. Un moment elle m'a demandé que je me doigte l'anus. Je l'ai fait, je souviens du dialogue qui s'en suivit après qu'elle ait vu mes doigts un peu pollués:
- Lèche tes doigts !
- Non !
- D'accord ! Est-ce que tu es une petite salope ?
- Oui, je suis une petite salope !
- Toutes les petites salopes se lèchent les doigts quand ils sortent de leur cul, alors tu vas faire pareil !
Alors je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai léché, et j'ai été surpris de ne pas me retrouver avec quelque chose d'abominable dans la bouche. Image sans rapport mais avec un rapport quand même car il s'agit bien de suçage de doigt

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Quand on est jeune, c'est pour la vie ! (Georges Clemenceau)