J'avais eu une seule fois une expérience uro. C'était il y a cinq ans, avec une femme rencontrée dans l'univers libertin. Nous ne nous étions rencontrés que deux fois, mais avec quelle intensité ! Des rencontres quasiment sans un mot, de la baise pure et extrêmement cérébrale, où nous passions à l'acte de fantasmes développés dans leurs moindres détail au cours de longues correspondances pornographiques. Puis, nous nous sommes perdus de vue.
Nous nous sommes retrouvés cet été, par le hasard d'un site de rencontres. Immédiatement, nous avons été happés par l'intensité de nos anciens échanges, de nos ébats brûlants. La correspondance a repris.
Nous évoquions aussi bien nos jeux passés que ceux à venir. Très vite, j'ai évoqué la douche dorée reçue cinq ans plus tôt. Je lui ai dit combien j'avais aimé sentir sa pisse projetée sur ma poitrine d'abord, puis sur mon visage et dans ma bouche. Je lui ai expliqué que depuis cette fois là, je m'étais masturbé des dizaines de fois en y repensant. Vous imaginez mon excitation lorsqu'elle m'a répondu qu'il en était de même pour elle. Dès lors, nous avons construit un nouveau jeu au cours duquel nous serions tour à tour donneur et receveur.
J'étais à Paris, et elle en province pour l'été. Il nous faudrait donc attendre la rentrée et son retour dans la capitale pour passer à l'acte. Mais le désir réciproque était trop fort, et lorsqu'un vendredi soir elle m'a dit qu'elle mourait d'envie que je vienne le lendemain, je n'ai pas hésité. Le scénario s'est rapidement dessiné, jusque dans les moindres détails.
Le samedi soir, j'ai pris la route et parcouru les deux cent cinquante kilomètres qui nous séparaient. J'étais à l'heure, à la seconde près, pour respecter le scénario. Je suis arrivé devant la maison, dont le portail était ouvert comme convenu. J'ai rentré ma voiture et refermé derrière moi. J'ai avancé dans le jardin, tourné à l'angle de la maison, et l'ai trouvée là telle qu'elle m'avait dit qu'elle serait. Pour atténuer la fraîcheur de la nuit, elle avait allumé un feu dans un braséro près du sol. Elle était allongé juse à côté, sur le dos. Entièrement nue, les jambes écartées, elle se masturbait, deux doigts enfoncés dans sa chatte. Elle me fixait du regard, avec cette impudeur totale qui nous excite tant l'un et l'autre.
Pas un mot n'a été échangé. Comme convenu, je me suis avancé jusqu'entre ses jambes. J'ai ouvert ma braguette, sorti mon sexe, et me suis soulagé sur elle. Dans cette situation très particulière, j'ai eu du mal à débloquer ma vessie, et il s'est passé une bonne dizaine de secondes avant qu'enfin je parvienne à me libérer. A l'instant où le jet d'urine a frappé son ventre, elle a hurlé comme sous une brûlure. Et elle a continué à gémir lorsque j'ai arosé tout son corps. J'ai pris mon temps pour la tremper par saccades, en remontant vers son visage. Elle était magnifiquement ruisselante, allongée ainsi dans l'herbe trempée, continuant à se branler et à se faire jouir, avec les poils de son sexe, qu'elle laisse toujours pousser librement, ruisselants de moi.
Lorsque j'ai eu fini de me répandre sur elle, j'ai rapidement retiré mes vêtements et me suis rapproché de sa tête. Je me suis agenouillé, ai soulevé sa nuque, et ai enfoncé entre ses lèvres mon sexe sur lequel perlaient encore les dernières goutes. La miction achevée, je raisissais rapidement et commençais à la baiser vigoureusement par la bouche. C'était bien alors de baise qu'il s'agissait. Pas d'étreinte romantique, mais de la baise à l'état pur, viscéral, presque animal. Il me fallait la foutre, et c'est ce qu'elle attendait également.
Après un moment, au fil des changements de positions, il s'est trouvé que les rôles se sont inversés et que c'est moi qui me suis retrouvé allongé sur le dos, dans l'herbe encore humide sur laquelle elle s'était vautrée la première. Elle s'était empalée sur ma queue. J'avais glissé mes mains sous ses fesses pour la décoller de moi et l'ouvrir à la fois, et je la pilonnais à grands coups de reins quand elle prit appui sur ma poitrine pour soulever son bassin et se libérer de la pénétration. Elle s'est redressée, et a ouvert sa chatte d'une main. Mon tour était venu de recevoir la douche dorée. Mon regard se portait tour à tour sur son visage déformé par l'excitation, et sur sa chatte où je guettais l'apparition des premières goutes dont je ne voulais rien manquer. Elle a mis encore plus longtemps que moi à se débloquer, mais enfin elle y est parvenue et j'ai vu le long jet d'urine se précipiter sur mon ventre. Merveilleuse sensation de chaleur de sa pisse qui se répandait ! De mes deux mains, je l'étalais sur tout mon corps, je la sentais qui coulait sur ma queue, sur mes couilles. Je m'en suis trempé le visage et j'ai léché mes doigts, avant de les lui faire lécher à son tour. Et lorsqu'elle a eu fini, que plus une goute ne pouvait sortir d'elle, elle s'est allongée sur moi pour mieux retenir entre nous le mélange de nos fluides.
Nos ébats se sont ensuite poursuivis, de façon plus classique, et le jeu a trouvé sa conclusion naturelle quelques minutes plus tard, lorsque j'ai éjaculé dans sa bouche, en longues saccades épaisses, avec l'abondance du plaisir longtemps contenu. Je l'ai ensuite embrassée à pleine bouche, et il était bien agréable que ma langue aille retrouver sur la sienne le goût de mon foutre.
Nous avons encore échangé quelques caresses plus ordinaires, puis je me suis levé, me suis rhabillé et ai regagné ma voiture sans me retourner pour refaire les 250 km du trajet retour. Un peu plus d'une heure s'était écoulée, et l'un comme l'autre nous n'avions pas échangé dix mots.
Pascal
_________________ "Chaque femme mérite un homme qui ruine son rouge à lèvres, mais pas son mascara" Edith Head
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