Bougez pas, sérieux j’explique.
Alors pour le "où", B_humide, tout porte à croire que la scène se passe en extérieur.
Mais la photo est truquée ! Il y a cependant un petit indice que l’on peut apercevoir tout de même autour du chocolat (on ne me la fait pas, j’ai l’oeil), qui généralement se trouve en toute SDB qui se respecte. Je n’en dis pas plus, mais dans un bac à douche, ça le fait moins bien.
Gaffe aux images tartuflettes/tartuffuck d’Eddy, à prendre avec des pincettes à sucre (ou à défaut, à tétons), notamment celle-ci, qui risque si tu n’y prends pas garde, de t’amener à vivre les mêmes déconvenues que Corleone avec son massage en Italie…
Ne va pas te faire piquer (Sauf si maso, alors là, respect, fonce !).
Pour le "quand", c’est au choix.
Toujours sur la photo, il semble bien que le chocolat coule du mitigeur.
Encore de la triche, me diras-tu ? Pas sûr. Tu peux demander l'avis de spécialistes, Martine dira probablement qu'elle n'a jamais vu son robinet verser marron, mais qu'à cela ne tienne, on peut bien sûr bidouiller une dérivation des canalisations en se raccordant sur une réserve perso (pour les tuyaux, voir Sacha Distel, ou Georline), et pour les plus écolos il suffit tout bonnement de récupérer du chocolat de pluie, donc c’est quand on veut.
A moins qu’il faille attendre la courante (le futur réseau de chocolat coulant), c'est à dire attendre que les nappes phréatiques soient épuisées, de manière à ce que l’industrie agroalimentaire récupère le coup pour écouler les excédents de lait (plusieurs forfaits arômes, dosages, mix au choix), le chocolat pur étant réservé pour la crème.
Cela dit, je partage ton enthousiasme au sujet de l'immersion:
- Un bon moyen de faire recta des crottes en(robées) chocolat
(reste plus qu’à emballer/empaler, IDK DO Noël approche !)
- Sûrement plus poli le colis dans le bain chaud qu’au lit.
- Troquer les salons de thé noirs pour croquer en salon de baignoire le show collé.
Ame sensible, hâte en fion , Jack c’est l’air (trait con sent très, pas dit stylé) :
- On se pour/porc-lèche au col athée, chocolons, chauds colons ! En bas, pine et babines, chat, calot, du chacal au cachalot, bonjour la compagnie des zoos, de la seiche au ko(a)la, ho là quel choc à l’eau !
- Et qui coince la bulle de la flatule en bout qui n’en a lu chaque hallu.
Heu… Aurais-je omis le BDSM ? Quelle vile haine tare loose, ce délit de goût éteint par dos n’ hâble.
Mon esprit vagabond ainsi relâché aura sans doute trouvé le sujet trop doux, mais comme jeu laid mérité, alors bien m’irriter. Maître chocolatier, en papilles hautes je suis à vous, écorce et âme, écorché amer, réduisez-moi en poudre, en bouillie, pour finir en tablette, ou en nœuds de pack.
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