C'est le problème des choses qui nous plaisent énormément.
On pense ne plus pouvoir s'en passer alors qu'il le faut si
c'est contraignant.
Il y a longtemps, il m'est arrivé de faire cela avec une jeune
femme inconnue qui habitait les Alpes-Maritimes. Moi en Ile de
France. Timide, docile, voir soumise. J'étais jeune et ne
connaissais pas grand-chose au monde de la Domination. Je
savais la faire rester au téléphone et se caressait sur mes
paroles et les siennes.
C'était l'époque des plateformes téléphoniques et des réseaux.
On se retrouvait dessus et on pouvait passer dans des "salons privés"
pour discuter à deux ou trois. Il suffisait de demander aux modos présents.
Cette jeune femme de 19-20 ans aimer le plaisir charnel mais sa timidité
l'empêchait de se laisser aller avec des garçons. Ce qu'elle me disait.
Il fallait quelques (longues) minutes de conversations sur tout et rien
pour dévier vers le sexe. Elle hésitait à chaque fois mais quand son
excitation prenait le pas, je pouvais lui parler de ce que j'aimerais lui
faire, ce qu'elle aimerait que je lui fasse ou me faire.
Dans ces moments-la, mon plaisir était plus cérébral que physique.
Son souffle plus saccadé me prévenait du plaisir qu'elle prenait à
entendre des paroles plus que cochonnes. Elle jouissait en se frottant
le clitoris.
De très bons moments à chaque fois.
Il y avait aussi les numéros de téléphone ou des femmes racontaient
des histoires érotiques, voire plus.