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J'ai vécu ma première expérience à ma majorité sexuelle, de manière totalement inattendue. J'étais en ville, en fin d'après-midi. Je me suis arrêté dans des toilettes publiques, juste devant l'arrêt de bus. J'avais une dizaine de minutes à pied pour arriver chez moi, mais pris d'un besoin pressant, j'ai préféré vider ma vessie avant. J'entre, vais vers le pissoir le plus éloigné de l'entrée, je me mets à me soulager. Je remarque à peine qu'un type est rentré derrière moi et s'est mis à pisser tout à l'opposé. Je reste bien concentré, parce que je n'arrive pas à uriner si quelqu'un est trop proche.
Je termine et me retourne vers la sortie, il y a un lavabo pour se laver les mains juste à côté. Le type se retourne aussi, mais vers moi. Sa queue est en érection et il se branle. J'ai un petit pénis et le sien me paraît vraiment énorme! Je bande immédiatement. Il me fait signe d'aller vers l'une des cabines. On y entre ensemble. Immédiatement, j'enlève mon t-shirt et baisse pantalon et slip. Il me caresse, m 'embrasse sur la bouche, tout émerveillé qu'un jeune comme moi veuille de lui.

Il me dit de m'agenouiller et de prendre sa queue dans mes mains, puis en bouche. L'odeur est forte, mais je l'enfourne sans sourciller, comme si j'avais fait ça toute ma vie. C'est délicieux! Il se retire et asperge ma figure de sperme. Je jouis accroupi, sans même m'être touché!

On se relève, il m'essuie, je me rhabille, on sort. Il me propose d'aller boire un verre, j'accepte. On fait quelques pas et on entre dans l'un des bistrots du quartier. Il me guide jusqu'à une table éloignée, à moitié cachée par une parois.

On discute un moment. Il a 60 ans, je lui plais, il aimerait qu'on se revoie. Je ne suis pas choqué par la différence d'âge, j'accepte. Il me donne rendez-vous dans un studio qu'il possède, le lendemain, après mes cours. "J'ai très envie de t'enculer, on sera plus tranquilles".

Je rougis à ces mots, mais j'accepte le rendez-vous. Il paye, on se quitte. Je rentre chez moi. A la table familiale ce soir, j'ai toujours le goût de sa queue sur mes lèvres et je me demande si mes parents sont conscient que demain, je vais me faire enculer.

Merci pour le recit de ces début prometteurs

Merci pour le partage de ta première expérience.
Bien sur, j'attends de savoir si tu t'es rendu au deuxième rendez-vous.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, j'y suis allé, j'étais très excité! Ce n'était pas seulement l'acte sexuel, même si ça faisait un moment que j'y pensais et que je me doigtais sous la douche. Je viens d'une famille très bourgeoise, catho hyper-coincée. Une façade reluisante, mais beaucoup de secrets inavouables. J'ai été abusé sexuellement par mon grand-père et un oncle lorsque j'étais très jeune, mais ça a été l'omerta complète. Au lieu de me dégoûter, ces abus ont déclenché des comportements très séducteurs chez moi, suivis de punitions parce que j'étais jugé pervers. C'est sur ça que ma sexualité s'est développée.

J'allais dans un collège privé, en chemise blanche et pantalon noir, avec des injonctions de devenir un "vrai" homme. Me faire baiser par un homme beaucoup plus âgé que mes parents auraient méprisé en le traitant de prolo, c'était le pied! En plus, l'homosexualité était taboue dans ma famille
Il avait compris ce qui me motivait et il m'a fait vivre des moments très forts. J'avais envie d'un certain avilissement dans la sexualité et j'ai été servi. En même temps, Michel m'a appris à me respecter tout en vivant une sexualité très intense, sans chercher à me faire du mal.

Au vu de ce que tu as subi, je ne peux que te féliciter
de t'en être sorti aussi bien.

Tu attises ma curiosité sur ce deuxième rendez-vous
et les suivants.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Merci! D'un côté, je n'aime pas mettre en avant ce que j'ai subi, c'est comme une excuse pour ma sexualité qui est assez variée et parfois un peu extrême, même si je me suis bien calmé :-).

Donc ce deuxième rendez-vous...

Je suis arrivé chez Michel juste après mes cours. Il habitait sur la ligne de bus qui me menait de la maison au lycée et retour. C'était pratique. Il vivait dans un appartement au troisième étage d'un petit immeuble dont il était le propriétaire.

Il m'a ouvert et m'a regardé, puis il m'a demandé de me déshabiller sur le palier, avant d'entrer chez lui. J'étais gêné, parce qu'il y avait une autre porte sur le palier.

"T'inquiète, tu fais simplement ce que je te dis".

J'ai obéi, je me suis mis à poil, je bandais déjà.

"Tu aimes qu'on te donne des ordres?"

J'ai fait oui de la tête en rougissant, j'étais honteux d'aimer être soumis à cet homme plus âgé.

Il s'est approché de moi et m'a embrassé sur la bouche et caressé. Il m'a peloté la poitrine, en disant que j'avais de très jolis seins. A l'époque, j'était très honteux de ma poitrine de fille, je n'osais pas me mettre torse-nu, mais mes tétons étaient très sensibles, c'était très excitant!

Il a ouvert son pantalon et m'a demandé de prendre son sexe en bouche, à genoux sur le paillasson. Je l'ai sucé un moment, puis il m'a fait entrer et on est allés à la salle de bain. Il m'a fait un lavement et m'a bien doigté et lubrifié on est ensuite allés dans la chambre. Il s'est mis à poil aussi et on s'est couchés, roulé des pelles, sucés mutuellement. Ensuite il a enfilé une capote et m'a fait coucher en chien de fusil. Il s'est mis derrière moi et m'a pénétré tout en me caressant. c'était doux et progressif, j'ai joui très rapidement. Il était toujours bien raide en moi et il a fait des petits mouvements, puis plus forts et il a joui lui aussi. J'étais dépucelé!

On est restés un moment à se caresser et s'embrasser, l'excitation est revenue et il m'a prise en levrette, de manière plus intense cette fois. ça m'a fait un peu mal, mais j'ai aimé sentir son énergie de mâle dominant. J'ai dit "prise", parce que à ce moment-là, il a commencé à me parler au féminin. ça aussi, c'était très excitant! Il a joui en disant que j'allais être sa femme!

Je n'ai pas eu envie de prendre de douche, je voulais garder son odeur sur moi. Il m'a embrassé sur la bouche lorsque je suis partie, en disant que j'étais désormais sa femme et que je devais lui obéir. Eh oui, le patriarcat :-)

"Tu reviens demain", m'a-t-il ordonné.

Je suis parti, le corps encore tout excité, le cul tout chaud, même si un peu endolori, ravi de cette aventure.

Sois content que ces abus ne t'aient pas traumatisé, mais qu'il t'ait amené à découvrir le plaisir. En écrivant
cela, je ne veux absolument pas minimiser ces crimes.
La encore, tu attises ma curiosité.
Sais-tu pourquoi ? Moins de besoins ? Tu t'acceptes autrement
sans avoir la nécessité de te "dévaloriser"?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Cet homme semblait avoir de l'expérience. Sais-tu s'il
avait déjà vécu ce genre d'expérience ? Où étais-tu sa
Première jeune femme ?

Te donner ces ordres et te faire le sucer sur le palier
étaient un bon début pour connaitre ton niveau de docilité.

As-tu apprecie qu'il te fasse découvrir le plaisir d'être sucé?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Il avait beaucoup d'expérience, je n'étais pas le premier garçon qu'il femellisait. Oui, j'ai découvert énormément de choses sur la sexualité avec lui :-)

Je n'ai plus besoin de me faire du mal. Au début, j'avais envie de souffrir parce que je ressentais beaucoup de honte et de culpabilité. Petit à petit, en thérapie, j'ai appris à séparer les traumatisme du désir et du plaisir. A la fin, il ne reste que la recherche de plaisir et de connexion émotionnelle à une ou plusieurs personnes. Je ne mérite pas de me faire du mal.

Je ne peux qu'être content de lire tes réponses.
As-tu vécu en couple?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

J'ai la plupart du temps été en couple. La plus longue a duré 8 ans, de mes 20 à mes 28 ans, avec un homme plus âgé, rencontré lors d'une soirée avec mon premier amant. C'était une relation maître-esclave, qui s'est installée petit à petit. C'est aussi cet homme qui m'a initié à la zoophilie.

J'ai eu de très nombreux partenaires sexuels, hommes surtout, mais j'étais toujours dans une relation qui l'autorisait. Soit la personne avec laquelle j'étais aimait m'offrir à d'autres, soit elle acceptait que je vive de la prostitution.

Au bout de combien de temps, ton premier amant t'a-t-il
offert à d'autres ?

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Je ne me rappelle plus exactement, mais je pense que ça devait être environ un mois après notre rencontre. Il m'a emmené dans un sauna. J'étais complètement ignorant de ce que c'était. Il y avait plusieurs hommes, dont certains étaient déjà en train de baiser, regardés par les autres. Dès que je suis entré, j'ai été le centre de l'attention. J'étais très jeune, je plaisais. Certains hommes plus âgés ont commencé à se branler en me regardant. Mon amant m'a demandé de le sucer devant tout le monde, puis il a fait signe aux autres d'approcher. Je les ai branlés et sucé, mais j'en ai eu vite trop.
Mon amant m'a alors mis debout et m'a sodomisé. Penché en avant, j'ai vu les queues se rapprocher de ma bouche. J'ai de nouveau branlé et sucé certains de ces hommes, mais mon amant ne les a pas autorisés à faire plus. Il m'a emmené dans un coin et m'a pilonné assez vigoureusement. Il a jouit et ensuite il m'a demandé d'en choisir deux pour nous rejoindre dans une cabine. Ils m'ont baisé tous les deux.

J'étais étonné et un peu honteux d'avoir eu tellement de faciliter à le faire!