Bonjour,
Je continue a me dévoiler a vous avec l'histoire de ma découverte du plaisir anal. Je précise que ceci n'est pas une fiction.
La première fois.
Mon premier rapport fut avec un ami d'enfance, j'étais dans l'année de mes 15ans, lui avait bientôt 16ans. En une semaine, nous étions passé du galochage en règle, a la fellation. Il avait déjà eu une expérience, et maitrisait assez bien le sujet. Nous nous voyons souvent, et je dormais chez lui fréquemment. Un soir, alors que je faisais semblant de bouder sur son lit après avoir perdu une partie de jeux vidéo, il se plaça derrière moi, en cuillère, dans un câlin plutôt tendre. Mais rapidement sa main descendit sur mon sexe qu'il commença a masturber. Plus grand et plus musclé que moi, sentir son corps contre le mien dans cette position me rassurait et m'excitait terriblement. Je crois que c'est a ce moment que je compris que j'aimais être dominé..
Je lui ai simplement demandé si il n'avait pas envie de "plus". Un instant, il cru que j'avais envie d'une fellation, comme souvent. Mais je pris sa main que je guida sur mes fesses... j'étais sûr et j'en mourais d'envie. Il n'avait jamais pris personne je crois. Il essaya de faire rentrer un doigt, comme ca, mais mon petit trou était trop sec. Il mouilla son doigt et il se fraya un chemin, enfin! Quel plaisir intense. Une chaleur me parcourut de ma tête, jusqu'au plus profond de mon être. Après quelques va et vient, il me chuchota " Tu veux...vraiment ?" En guise de réponse je l'embrassa a pleine bouche. Je pris son chibre de la même façon, en prenant soin de l'humidifier complétement, puis je me remis en cuillère en le guidant. Un bras autour de mon torse, une main sur ma hanche, il poussa sa verge dans mon petit trou qui n'avait connu qu'un doigt quelques minutes plus tôt. Je poussa un cris de douleur... mais je poussais aussi mon cul contre lui pour qu'il rentre plus loin.
Quel plaisir de se sentir remplis de la sorte. Il était bien membré mais tout était rentré. Je me sentais comblé et.. complet. Cela ne dura pas très longtemps et il éjacula a l’intérieur en me pénétrant a fond. Le sentir venir, ajouté a l'excitation et a sa main qui me tenait la verge a ce moment là, je suis venus quelques seconde après, dans la plus grosse éjaculation que j'avais connus jusque là. J'étais jeune, lui aussi, mais je sais que nous avons pris des risques a ce moment là. D'ailleurs, je n'agirais plus jamais de la sorte, et c'est l'unique personne a avoir éjaculé en moi.
Par la suite, nous avons recommencé, sur plus d'un an. Sans jamais changer les rôles. Comme dit plus haut, je me sentais rassuré par sa carrure, et j'aimais me sentir fragile et dominé. Notre relation était cachée, par peur du jugement des autres. Dans un petit village, les jeunes ne se font pas de cadeaux et cela serait revenus rapidement aux oreilles de nos parents. Mais le fait de se cacher rajoutait une part d'excitation.. On profitait des beaux jours pour s'éloigner du village. Se faire prendre dehors, en pleine forêt, c'est un souvenir inoubliable.
Puis je suis parti au lycée.. où j’ai rencontré une fille avec laquelle je resta quelques années. Puis une autre, et une troisième... Je découvris alors le corps des femmes, la satisfaction de leur donner du plaisir mais aussi celui de pénétrer quelqu'un a mon tour. Bien sûr, je pratiquais la sodomie sur les charmants postérieurs de ces demoiselles, quand elles le désiraient. Toujours avec beaucoup de douceur et de préparation. Mon préliminaire préféré étant l'anulingus.. Pendant des années, ma part d’attirance pour les hommes s’atténua, j'y pensais parfois mais sans jamais franchir le pas.
Alors que j'étais en faculté, je fis la rencontre d'une fille de 5ans mon ainée, en couple avec un homme plus âgé qu'elle, de quelques années. Elle me présenta a celui ci comme étant son ...ami gay. La situation était coquasse, elle m'expliqua que ce dernier était extrêmement jaloux et qu'elle préférait lui dire cela pour éviter des disputes. Nous n'étions qu'amis pendant plusieurs mois, allant aux soirées etc. Puis, nous sommes partis a l'étranger, tout les deux. Loin de lui, nous nous rapprochions... A notre retour, elle dormit plusieurs fois chez moi. Puis nous en sommes venus a coucher ensembles, ce manège dura plusieurs années. Il n'arrivait pas a la satisfaire disait -elle. Et j'étais plus ouvert sur beaucoup de choses. C'est avec elle que je découvris les pratiques SM du plus soft.. au fist en passant par l'uro, en soumis, évidemment.
Sachant que j'avais des penchants bisexuels, elle me demanda si je n'avais pas un manque a ce niveau, et proposa de me satisfaire. C'est toujours dans l’angle de la domination que nous abordions le sujet. Lui offrir mon cul était pour elle la plus belle offrande que je pouvais faire. Là, nous n'étions plus dans l’approximation adolescente : gants, lubrifiant, parfois menotté... je tâchais d’être la meilleure des lopettes. Elle allât progressivement, un doigt, deux trois, quatre.. Je resta quelques semaines a ce plafond, mon corps n'arrivant pas a en accepter d'avantage, et ce malgré ses fines mains.C'était devenu un but, une idée tenace : je devais pouvoir prendre plus. Sans lui dire, je commanda un gode sur le net et lus plusieurs forums traitant de la préparation a la sodomie et au fist. Surement d'ailleurs suis-je passé sur l'ancienne version de Vassilia a ce moment là. Je me godais et me doigtais chaque jour, parfois plusieurs fois. Je testa un gel lubrifiant "effet chaud" qui fit des merveilles.
Le jour J, j’invitai cella que j'appelais alors ma Maitresse a venir passer la soirée chez moi. Tout le nécessaire était a portée de main: une grande serviette, des gants, le gode, et le fameux lubrifiant effet chaud, et quelques bougies pour l’ambiance. Une demi heure avant son arrivée je procéda a un lavement méthodique et pris une douche très chaude. Je lui ouvris la porte comme elle voulait : toujours en sous vêtements. Ce soir là, je portais une culotte féminine en dentelle noir et verte qui laissait entrevoir mon sexe de façon grossière. Mais elle appréciait cela: que je me conduise en chienne mais sans me travestir complètement. Cette façon de faire m'humiliait davantage, c'était l'effet recherché.
Elle insista pour que j'assiste a son passage aux toilettes et urina sans me laisser toucher...elle ne me laissa que sentir que ses doigts humides. Puis elle me fit mettre en position sur le lit. A quatre pattes, les poignets menottés, le cul bien tendu en arrière, les jambes écartées. Me sentir vulnérable avec un homme plus musclé que moi était une chose, me sentir vulnérable devant une femme de la moitié de mon poids était encore plus excitant. Elle me lubrifia abondamment l'anus et me masturba, serrant fermement mes couilles de soumis..J'étais prêt, mentalement et physiquement. Mon anus s'ouvrait sous l'effet de la chaleur et du passage de ses doigts. Je les sentais entrer en moi, l'un après l'autre: la première phalange de son index, puis son majeur, son annulaire. Elle rentra un peu plus pour faire rentrer son auriculaire. Puis vint son pouce. Sa main continua de m'ouvrir au passage de ses métacarpes. Elle s’avança en moi, encore. Je tremblais de désir et d’excitation. Ma verge laissait échapper un peu de son jus.. Je me souviens de ce qu'elle me disait "C'est bien ma lopette, tu le prends bien, tu fais très plaisir a ta Maitresse... Tu es une gentille petite pute"
Puis lentement elle ferma le poing en moi, et elle le fit tourner, me "labourant" littéralement. Je crois que ce fut l'expérience la plus "mystique" que je n'ai jamais vécu au lit. Un orgasme d'une intensité irréelle, presque insupportable. Mon corps entier tressaillait. Je fus a deux doigts -c'est le cas de le dire- de m'évanouir. J'éjacula en plusieurs grosses saccades sans même qu'elle ne me masturbe. Mes jambes ne me tenant plus, elle se retira et je me laissa basculer sur le coté.
"Tu t'es très bien comporté, cela a fort excitée ta Maitresse tu sais, alors maintenant tu dois lui faire plaisir", toujours menotté, je lui fis un cuni pour la faire jouir a son tour.
De ma première sodo, a mon premier fist, vous connaissez mon histoire ..de cul.