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Je laisse la question de la sémantique au topic approprié et je vais parler au sens large.

Je m'adresse principalement aux Travesties et Transexuelles ici présente :
quel fut pour vous le déclic ? Le truc, l'action, le moment qui vous a convaincu que vous n'étiez pas née dans le bon corps ?
Entre le fétichisme pour la lingerie, les jeux sexuels (vous avez peut-être commencez comme cela d'ailleurs) qu'est ce qui a fait que vous vous êtes dit : oui je suis une femme en moi-même.
Est ce le fait de porter systématiquement des vetements féminins parce que ça vous plaisait, ou est-ce arriver lorsque vous avez couché pour la première fois avec un homme ? (je m'adresse là aux hommes voulant/jouant à êtres des femmes, mais je sais que l'autre possibilité existe)
Ou bien est-ce que ce fut plus lentement, une réflexion qui c'est fait petit à petit ? mais dans ces cas la quelles furent les étapes de ce cheminement ?

Pour ma part je ne sais pas, je pense avoir un fétichisme pour la lingerie feminine, et les quelques fois où j'en ai porte ça ne m'a pas déplus. Mais je voyais ça plus comme une curiosité, un passage et après plus rien, mais plus ça va plus je garde la lingerie longtemps et je m'imagine d'autres scènes, des jeux sexuels d'inversion des rôles, mais aussi pourquoi pas un jour éventuellement coucher avec un homme. Je voudrais pouvoir déterminer s'il ne s'agit que de fantasme, de jeu, ou bien d'un voyage plus profond.

Qu'est-ce qui a été le déclic ?
en fait, je ne sais plus.
est-ce un fétichisme des dessous et des chaussures? peut-être.
est-ce que c'est antérieur à l'adolescence ? le désir de vouloir faire comme les filles, me maquiller comme elle ?
vraiment difficile à dire.

je ne me sens pas véritablement femme au fond de moi. mais peut-être parce qu'il y a une frustration, un interdit, une impossibilité d'être moi-même à plein temps, tout ça imposé par le société, les amis, la famille.

Le regard des autres et les règles d'une société qu'une femme doit s'habiller et se comporter comme une femme et un homme doit s'habiller et se comporter comme un homme.
cela dit, quand une femme s'habille comme un homme, c'est tendance, c'est "fashion". quand un homme s'habille comme une femme, c'est un pervers.

en ce qui me concerne, j'ai commencé (comme beaucoup) à prendre les affaires de ma mère. puis avec l'autonomie financière, j'ai acheté ma propre garde-robe.
Mais à chaque fois, je me disais, je n'irais pas jusqu'à acheter une perruque, puis des faux seins, puis me faire épiler...

J'ai fait mes premières sorties en fille, en public, en plein jour. avec plus ou moins de bonheur...

et puis, je me disais que j'étais hétéro. que je n'étais attiré que par les femmes. j'ai acheté un gode et j'ai rencontré (2 fois) des travestis comme moi. la 2me fois, j'ai fait ma première fellation, on a fait l'amour. enfin, j'étais actif. j'aurai tellement voulu que ma partenaire me prenne.

tout ça pour dire, qu'au fil du temps, j'allais de plus en plus loin dans ma "féminité" et ma bisexualité.

Paradoxalement, mon besoin de travestissement se faisait par période. des moment où je n'avais aucune envie, et des moment de frénésie.

mais il y a la vie d'a coté : la famille, les amis, le travail. Et tot ou tard ces deux vies allaient se croiser.

j'en étais arrivé à une croisée des chemins : continuer dans cette voie, faire mon coming-out et perdre beaucoup
ou me ranger des chaussures et bas coutures pour prendre une vie pépère avec famille, amis, etc.

J'ai choisi. La 2ème voie.
je me suis marié, j'ai des enfants. Ma femme ne sait rien de mon passé .
j'ai arrêté de me travestir. mais j'ai toujours envie de recommencer. d'ailleurs quand je peux, je ressors mes dessous et mes talons hauts pour quelques minutes.

j'ai découvert mon coté bi mais je n'ai pas pu aller très loin dans cette découverte.
ou pas voulu. par crainte de tomber sur quelqu'un de mal intentionné, peur des maladies.

mon coté fétichiste, s'est transformé au fil du temps recherche de la féminité, d'être le plus crédible possible en fille. J'y arrivais presque. Mais il restais encore pas mal d'effort à faire. j'aurais du me faire des ami(e)s dans le milieu pour aller plus loin car les très rares personnes à qui je m'étais ouverte n'ont pas voulu connaitre mon alter ego féminin.

LE déclic chez moi ??

je dirais 17 ans 1/2 je partais rejoindre une école d'arme après mon engagement. Gare du Nord un sex shop une devanture avec un livre une femme trans et un étrange trouble.. revue transexual climax...


puis un mariage un enfant et le deuxième déclic.

Un cession de spéléo avortée avec la pluie un refuge en catastrophe chez un moniteur. La découverte de ma bisexualité et le plaisir d'être une femme lorsqu'il m'a transformée maquillé et aimée.. Depuis le rejet de nombreuse année avant de voir la femme en moi ressurgir avec force il y a 7 ans.

Au fil du temps la recherche éperdue d'une féminité accrue, avec comme dilemme aller plus loin au stoper le temps que c'est encore possible ??

merci de vos réponses
@ mlle_heleneD : je comprends ce que tu dis par frénesie, j'ai un peu la meme attitude, parfois je n'y pense pas, parfois un peu, je regarde des video et c'est suffisant mais parfois c'est plus fort que moi j'ai envie de dire et je rachete (parce que la honte et la peur qu'on l'on découvre ce coté là durant les périodes calmes je jette tout ou presque) de la lingerie. AU départ c'était aussi de la lingerie, jsute de la lingerie, puis par jeu et curiosité des vetements, du maquillage.
J'en conclus que si je suis un parcours similaire au tien et que donc il y a de ortes chances que j'ai un coté travesti-jeu-voir poussé, plutot qu'un simple fetichisme.

@ mlle_heleneD : Tu soulèves un problème intéressant. La difficulté de vivre au quotidien en tant que celle que l'on est par rapport à son entourage, son milieu, sa vie professionnelle, le fait de se sentir femme sans être attirée par les hommes tout en étant attirée par "ses semblables" travestis, transsexuelles, et bien sûr par les femmes... Les amalgames, les connotations que l'on aura à devoir affronter, genre "tu t'habilles en filles c'est que tu es gay, homo refoulé, pervers, etc..." (car hélas, dans la tête de beaucoup de gens, l'homosexualité s'apparente encore à une perversion), on va s'entendre conseiller de consulter un psy, on va se faire rejeter par certaines femmes, on va se faire "classifier" par certains travestis, transgenres, transsexuelles, bigenres avec qui l'on dialoguera sur la Toile. Soumise ? Dominatrice ? Passive ? Active ? Et s'apercevoir par là que même au sein de cette communauté dont l'esprit devrait être ouvert, où devrait exister une forme de solidarité, l'étiquetage va bon train et si tu n'entres pas dans un tiroir prédéfini, on te jette. Tu vas tomber sur des queutardes pour qui le seul enjeu est ton cul, tu vas faire des cams où on va te soumettre à un véritable examen clinique avant de t'envoyer ch..er parce que ton corps ne correspond pas aux canons du trans tel qu'on en voit sur les sites spécialisés de la Toile.

Il y a aussi la question du contexte défavorable : on choisit de moins en moins sa vie, on choisit encore moins le milieu d'où on vient, il y a un monde entre pouvoir vivre sa vie de femme dans l'anonymat de certaines grandes villes où il sera facile de se rencontrer entre semblables, et essayer de la vivre, cette vie de femme, dans le trou-du-cul-du-monde où on vit plus par nécessité que par choix, et où les amitiés en jupe sont rarissimes parce que tout le monde se connaît et que les différences, on les paie plein pot, moqueries, quolibets, exclusion. De ces coins où selon les accidents de la vie, on va risquer de se trouver un jour acculé(e) à un terrible isolement. L'appartenance à certaines catégories socio-culturelles particulièrement conservatrices, comme le monde ouvrier, le milieu rural, la petite fonction publique, va malheureusement contraindre certaines d'entre nous à renoncer à leur vie de femme, car dans ces milieux, la différence ne pardonne pas, et le manque d'argent va faire que l'on pourra moins sortir, se déplacer, rencontrer de nos semblables ailleurs où l'herbe est plus mauve.

Enfin il y a l'imagerie fesse, night-clubs glauques, rencontres clandés dans les chiottes d'aires de repos, qui va peut-être coller aux fantasmes de certaines d'entre nous, mais dont toutes les autres vont souffrir car c'est d'abord ça qui est présent dans l'esprit des gens. Les travelos, les trans, ça s'habille en pute et ça va pomper le père de famille dans les tinettes des squares.

Bon, je fais partie de celles/ceux qui vivent dans des petits bleds où vivre sa vie de femme est quasi impossible, hors-milieu, hors-contexte, pas de lieu, pas d'assos, univers globalement macho. Ma vie de nana je la vis chez moi de façon très insatisfaisante, j'évite certains sites web où je n'ai plus envie de me taper des cams de gros malades, je n'ai pas un corps de bombe sexuelle, je ne suis plus toute jeune et ma féminité j'aimerais bien la vivre autrement, au-delà, et m'y épanouir avec d'autres personnes qui ont envie de ce dont j'ai envie. Mais ce n'est vraiment pas facile et je te comprends, mlle_heleneD, et je compatis tristement !

Merci LesAngesOntUnSexe.
en ce moment, je suis en pleine crise. je meurs d'envie de me travestir sans pouvoir le faire !!!
Et pire encore, je voudrais en parler à ma femme, crever l'abcès mais je ne peux pas. Elle n'apprécierait pas.

En êtes-vous absolument sûr que votre femme n'appréciera pas ?
On a parfois des surprises, même venant de personnes qu'on connait depuis tant de temps...
Sinon, faites-le pour voir si ça vous convient réellement, dans un club, un salon ou autre...

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Maître à mes heures

Vous évoquez des choses bien difficiles à vivre.

La société, malgré ce mariage pour tous voté, ne va pas changer très rapidement et croiser une homme habillé en femme ou une femme aux traits d'homme dans la rue, va toujours attirer certaines réflexions. Mais j'ai pu constater qu'il y a plus de couples homosexuels H ou F qui se prennent par la main, montrent leur amour aux grands jours. Alors ne désespérez pas.

Une femme qui se promène dans la rue avec son collier autour du cou pour montrer son statut de soumise auprès de son Homme attire aussi des regards, des réflexions. Mais, nous concernant, rien de bien méchant. Et comme on y prêtes pas plus attention que cela.........

Peut-être faudra-t-il plus de "courageux" (rien de négatifs dans ce mot pour ceux qui n'osent pas) pour se montrer comme ils sont, afin de faire changer les mentalités.

Bon courage à vous et faites vous plaisir quand vous le pouvez.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Bonsoir,
Super tout ce qu'a exprimer "LesAngesOntUnSexe" . Je partage vraiment ce que tu as décrit, je me reconnais c'est extraordinaire.
Je comprends bien sur aussi "Mlle_HéléneD".

Mon déclic je ne saurais vraiment dire quand a-t-il eu lieu, mais au dire de ma maman je s'espionnais quand elle se changeait, se maquillais, j'enfilais ses chaussures, de temps en temps je me maquillais m'habiller en fille avec se que je trouvais, car pas de soeur à la maison mais deux frères. tout cela je ne m'en souviens pas car trop petit(e), mais le pire dans tout cela c'est que dans ma famille (cousins, cousines) ou me surnommait "la petite fille".
Surement pour cela que je n'ai jamais assumer cette envie d'être une fille au yeux de tous. pourtant en grandissant, l'envie n'ai jamais parti.
Au yeux de tous j'étais le petit garçon sage et réservé, qui jouait seul dans son coin (souvent avec les poupées de mes cousines, mais seul)
Plus tard à l'adolescent j'ai commencé a trouver (empreinter) quelques habits féminin à ma taille chez mes cousines chez des amies.
J'avais à l'époque visage fin donc je sortais ainsi vêtue.
Mais le temps faisant, j'ai aussi assumé mon propre rôle d'homme, marié maintenant depuis bien longtemps avec toujours cette ENORME envie d'être la femme que je ne serais surement jamais.
Bien sur je me suis fait gaulé bêtement, et j'ai tout avoué à ma femme (la seule à savoir à ce jour). Cela à était très dur pour elle, on a parlait beaucoup parlé. Depuis c'est pas que je suis la femme épanouie que j'aimerais être mais je n'est pas à me plaindre vraiment.
Je suis épilée, j'ai ma garde robe, je suis souvent en femme à la maison. Je ne sorts pas en femme avec elle, mais comme je suis souvent en déplacement pour mon travail, j'ai tout ce qu'il faut pour me satisfaire le soir à l'hôtel, même faire la route ainsi vêtue. Faire des emplettes pour garnir ma garde robe.
Mais pour reprendre les propos de "LesAngesOntUnSexe" je ne m'habille pas vulgaire, ni pute. Les vrais soucis sont mon visage plutôt masculin même avec maquillage et la voix grrrrrrrrrrrr dur ça.

Pour finir Ne Nous Laissons Pas Abattre.

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On ne nait pas femme, on le devient (Simone de Beauvoir)

Je vais peut-être faire un peu d’angélisme mais c’est ma nature, ne m’en voulez pas.

Notre monde (je n’aime pas dire la société, je ne sais pas ce que c’est) tolère de moins en moins les crapuleries financières et politiques et accepte de plus en plus le droit d’être ce que l’on est.

Fondamentalement, je ne pense pas que l’égalité, encore moins la fraternité n’avancent mais la liberté oui.

Je suis quasi certain que rapidement nous allons voir des changements.

L’attente peut sembler longue, surtout si on souffre.

Ce site et ses membres s’enrichissent de ces échanges et justement peut permettre de sortir d’un environnement très « fermé », on n’est pas tous à Paris avec des dizaines de clubs.

Merci en tous cas pour ces interventions très « rafraichissantes »

En période de croissance, il y a plein d'argent, on peut se vautrer dedans, donc on n'est pas à un détournement près.
Hélas, nous sommes en période de crise et pour bcp de personnes, l'argent manque.
De ce fait, si d'autres abusent et détournent cet argent qui manque tant, ça devient insupportable.

Quand il y a crise, les gens se replient, désertent les boulevards du conformisme et cherchent l'évasion autrement.
Et une façon de s'évader, c'est justement ce qui nous unifie sur Vassilia.
Mis à part des pb d'ordre "moraux" (et la morale peut être très élastique), nous ne faisons finalement de mal à personne, ne détournons pas l'argent qui manque, et ne piétinons pas les platebandes des autres.

Donc oui, qqpart, nous avons un peu plus de liberté...

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Maître à mes heures

Bonjour à tous et toutes.
Le déclic pour moi a été assez inattendu. Mon épouse a récupéré un jour une perruque. Par jeu je l'ai mise, et elle est restée stupéfaite de voir mon visage devenir féminin, et dans la foulée m'a maquillée. Le résultat a été une soirée très très coquine.
Puis nous avons perfectionné avec des bas, des frou frou, chaussures etc etc les achats étant faits ensemble, car dans ce domaine je suis un peu à la ramasse pour les tailles, assortiments .
La limite a été de ne pas sortir en fille et ne jamais le dévoiler ou se faire remarquer par des voisins ou autres.
C'est une grande chance de pouvoir partager avec mon épouse ce qui est devenu ma seconde vie. Dés que je peux je suis en nana à la maison, et madame adore se faire servir mais aussi câliner par sa copine. Mon côté féminin m'a amené à adorer les jeux de sodomie et je suis comblée.
Bien sur, des fantasmes, sortir en fille, rencontrer une autre copine. Peut être un jour, en attendany cela alimente le rêve et donne encore plus de sel.

Merci pour vos témoignages instructifs et intéressants.

En ce qui me concerne , je pense que le déclic est venu suite à une soirée déguisée classique , ce jour là je me suis déguisé en femme , j'avais simplement investi dans une perruque et des escarpins taille 42 , le reste je l'avais emprunté à ma compagne parmi ses tenues sages mais féminines , j'ai épaté tout le monde et j'ai pris conscience que j'adorais .

A compter de ce jour c'est devenu une obsession de me travestir pour le plaisir de mettre des bas , un porte-jarretelle , des tenues de plus en plus osées mais je ne voulais pas et je ne veux toujours pas que ma femme le sache , c'est mon jardin secret , pourquoi ? parce que je veux rester hétéro avec ma femme .
les changements qu'elle a constaté c'est que pour être crédible en travesti je m'épile presque entièrement et ouf!! çà ne la dérange pas .

Nous avons tous une part de féminité en nous et j'ai énormément de plaisir à faire valoir ma féminité , je suis très narcissique , j'adore me regarder en trav , me prendre en photo , ect ... alors qu'en homme je me trouve très banal

Je ne suis pas homo , je ne vais pas dans les établissements gay mais quand je suis travesti implicitement j'ai envie d'être désirée , faire des coquineries avec les hommes comme une femme très lubrique .

J'estime avoir une sexualité très complète en étant bien équilibré dans ma tête et mon corps

J'aime être un travesti qui baise avec des hommes mais je n'ai surtout pas envie de devenir une trans parce que j'aime aussi faire l'amour avec ma compagne .

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Qui ne s'est jamais laissé enchaîner ne saura jamais ce qu'est la liberté .

Serge Gainsbourg

Pour ma part, j'avais 6 ans. Mes parents m'ont un jour fait porter un de ces collants en laine que les fillettes mettaient (et mettent encore, il me semble) pour se garder au chaud pendant les journées froides d'hiver. Je me souviens d'avoir beaucoup pleuré parce que mes parents m'obligeaient à porter des vêtements de fille. Et puis... Au fil de la journée, c'est devenu agréable. Je pense que le déclic vient de là. L'envie en elle-même s'est faite sentir à l'âge de 10 ans. Je suis allée dans le placard de ma mère et je lui ai piqué une culotte et une paire de collants. Depuis ce jour-là, je ne rêve que d'une chose chaque jour : le moment où je serai à nouveau femme. J'ai 52 ans aujourd'hui... La chance que j'ai ? Etre mariée à une femme extraordinaire qui sait tout et accepte. D'ailleurs, je sors fréquemment, je rencontre et je reçois aussi (même si c'est moins facile parce que mon deuxième fils (17ans) ne sait rien de ma sexualité). Néanmoins, je suis heureuse ! Ca n'a pas été facile de tout avouer à mon épouse mais l'amour est fort. Très fort. Et si il est sincère, nos chéries peuvent tout entendre. Après tout... Pour le meilleur et pour le pire... Non ?

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On n'obtient, dans la vie, que ce qu'on va chercher...