Citation :
Un des messages de ce reportage était justement que la transition était accessoire, le plus important étant le "sexe social".
Ces 2 témoignages étaient remarquables, surtout la prof. Je suis tout à fait d'accord en ce qui concerne le "sexe social" et ne suis pas du tout certain qu'une libéralisation à ce niveau amènerait des désordres à l'ordre public.
Ce sera probablement encore long, mais sauf problème sociétal nouveau, je pense que ces discriminations vont disparaître, mariage homo, adoption, transition complète ou pre-op... Après tout chacun reconnait à peu près qu'on peut faire ce qu'on veut avec son cul, mais ce n'est pas encore rentré dans les faits.
Citation :
Le côté anti-glamour correspond à une réalité car ce n'est pas glamour, c'est la vraie vie avec les souffrances, les suicides, les discriminations... à des années lumière des phantasmes "bite+seins les deux en un".
Oui, mais pas que ! Il y a des trans qui sont jolies sans être vedettes de porno, alors montrer des gens qui ont attendu des décennies et des decennies pour entamer leur transition, n'est montrer qu'une partie de l'ensemble, d'autant que plus l'âge avance, moins les résultats sont satisfaisants. Seules la dernière intervenante, et dans une certaine mesure l'architecte, avaient du charme.
Et effectivement Moati n'a rien compris, même si son reportage était intéressant.
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que si on veut subir une transition il vaut mieux aller en Thaïlande voir un chirurgien qui fait cette opération une fois par jour qu'en France où il ne la fait qu'une ou deux fois par an 
et que de toute façon un des problèmes majeurs à gérer n'est pas la transition en elle-même mais la possibilité d'avoir des papiers en rapport avec son genre, faute de quoi, pas de papiers, pas de crédits, pas de boulot...
