Une autre formule avec laquelle je reste encore sur ma faim.
Ces trois expériences n’ont, par contre, pas été au top, mais je ne désespère pas, qu’on se le dise…
Je pense que les ratages peuvent avoir leur utilité.
Une fois, branché par un mec qui soi-disant avait l’habitude, dont l’occasion s’est avérée légèrement forcée pour SA femme, et moi travesti. Mais un gros beauf débutant, avec un gros problème d’ego, qui a insisté lourdement sur les nouveaux seins qu’il avait payé à SA femme, la préparant pour de futures sorties libertines, archi nul. Puis inquiet de la voir jouer le jeu et finalement à l’aise avec moi, il a piqué sa crise limite violent, l’a baisé devant moi en disant que c’était des vrais mecs comme lui qu’il lui fallait, et ils sont partis. J’avoue avoir été refroidi pour un moment, et n’ai pas franchement cherché à rejoindre les clubs.
Bien plus tard, j’ai rencontré, dans un contexte tout autre, le public relation du Cléopâtre, une ancienne boîte près de la place d’Italie, qui m’avait proposé avec insistance de venir y faire un tour en vue d’une prestation cachetonnée. Ce n’était pas véritablement mon registre, mais why not. Me présentant une fin de nuit, je n’y ai pas apprécié non plus les quelques personnes présentes cette fois là et n’y suis plus retourné.
Pour les deux autres fois, vécues avec une même partenaire, les circonstances particulières et les partenaires masculins ne s’y prêtaient pas non plus. Je ne commettrai plus ces erreurs de casting.
Bien que nous nous soyons toujours très bien entendus tous les deux, elle fut parfois exclusive, ayant du mal à partager ses proies féminines.
Mais avec les mecs, elle n’est pas du genre à refuser. Elle est restée une bonne vieille copine de baise, que j’avais rencontré lors d’une soirée dite « clean ».Très drôle : la seule célibataire, en bonne nympho qui se respecte et pantalon rouge, allumait sauvagement tous les mâles, qui s’enfuyaient dans les allées du jardin. Sans exagérer : un renard dans un poulailler, que dis-je, une vraie tigresse !
Elle me plaisait bien dans son genre, avec ce regard qui pouvait faire peur, et j’avais franchement apprécié qu’elle glisse sa main sous ma chemise pour me pincer du premier coup mon meilleur téton. Elle n’était absolument pas défoncée, ni franchement moche. Lucide, sportive, ni drogues, ni alcool, mais très joueuse.
Malheureusement, toutes les autres filles s’estimant en grand danger s’étaient liguées pour la mettre à la porte. Burlesque !
Par chance, je la croisais quelques jours plus tard dans la rue et nous sommes fréquentés pendant de nombreuses années.
Nos deux plans HHF n’ont vraiment été juteux que pour elle, la salope !
Même s’il ne s’agit pas de grandes réussites, et en étant même un peu responsable, ça vaut le coup de les raconter.
Un pote de travail, que je devais retrouver le soir même, m’avait en rigolant demandé de le rejoindre, si possible avec une nana, et bonne de préférence. La vanne lourde entendu des centaines de fois. L’occasion était trop belle, et bien décidé à le moucher, je le pris au mot, lui demandant s’il se sentait capable d’assurer. Il fanfaronna en répondant qu’avec une vraie cochonne, il était capable de tout.
Je l’ai donc retrouvé en lui livrant une belle blonde avenante, il n’en revenait pas. Ce con lui fit la sérénade toute la soirée alors que ce n’était franchement pas nécessaire.
La copine et moi étions morts de rire, malgré de grosses allusions il ne comprenait rien, mais cela avait son charme et nous étions chauds. Puis nous nous sommes retrouvés chez lui. Comme il tournait encore autour du pot, la copine lui a sorti la bite, waow ! Un bel engin, elle m’a regardé avec un sourire en coin puis s’est déshabillée en lui demandant de la sodomiser. Je l’invitais aussi à la prendre alors qu’elle s’offrait sur son lit.
Il me fixait avec des yeux exorbités. Tandis que je m’approchais d’elle pour me faire sucer, il me chuchota : « Elle est folle ? » en agitant la main près de sa tempe, puis s’est excusé de ne pouvoir aller plus loin en ma présence. Me remémorant mon incapacité à gérer le nombre lors du fiasco de ma toute première expérience pluri (HHFF), je l’ai laissé continuer tout seul pour me faire un lavement dans sa salle de bain, et suis parti me faire voir ailleurs...
La seconde fois eut lieu quelques années après, ayant changé de région mais de retour en vacances chez notre mère, où mon frère transitait suite à une récente séparation. Comme il n’y avait vraisemblablement plus d’espoir, je lui conseillais de remonter en selle, l’incitant à se trouver un bon plan cul, plutôt que de se bourrer la gueule. Penaud, il me répondit que ça l’aiderait certainement mais qu’il n’en avait pas sous la main. Face à ce « branleur », j’ai donc pris au sérieux mon rôle d’aîné, en jouant à « Huggy les bons tuyaux de Starsky et Hutch ». Cela nous a beaucoup amusé, mais je pris la peine cette fois d’être plus clair et il semblait plutôt emballé.
Une bonne occasion pour reprendre contact, un coup de fil et toujours partante, nous voilà dînant tous les trois.
L’ambiance était prometteuse, mais nous nous retrouvions avec un souci de lieu, hors de question d’imposer le projet à la maternelle, et la coquine étant alors mariée à un prude pilote de ligne long courrier rentré la veille (ça ne pouvait pas durer, j’en ai reçu récemment la confirmation par mail groupé, vivement les prochaines vacances).
Mon frère hésita un peu puis expliquant qu’il avait les clefs de l’appartement en vente d’amis étrangers, pour lesquels il assurait les visites, nous étions sauvés.
Cette expérience entre frères fut troublante pour nous trois. Je n’ai bien sûr pas osé ni eu envie d’un partage bi, et préféra au bout d’un moment me tenir à l’écart. Le frangin s’en est alors donné à cœur joie, j’étais très content pour lui, et c’était bien l’objectif de départ.
Pour la petite histoire, nous avions tous dormi sur place, et les propriétaires ont débarqué à l’improviste, coup de bol après notre départ le lendemain, mais juste avant que mon frère ne revienne faire du ménage. Mdr les capotes dans la corbeille de la salle de bain ! Ils n’ont rien dit mais ont un peu tiré la gueule…
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