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Fany sait accueillir les hommes de sa famille pour
les détendre après une dure journée de travail.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Oui, mes parents travaillaient dur pour nourrir la famille et nous éduquer, mes soeurs et moi. Mon père avait un travail très stressant et méritait bien une fellation à son retour. J'ai donc fait une fellation quasi quotidienne à mon père durant de nombreuses années. Je n'ai pas compté, mais cela doit faire plusieurs milliers de fellations, rien que sur mon père. Je me rappelle qu'une fois je me suis plainte de ce devoir, surtout que mon père exigeait que j'avale son sperme jusqu'à la dernière goutte. Ma mère m'a donné une paire de claques bien sonores en me disant : "Espère de dégoûtant, tu ne voudrais pas qu'on demande à tes soeurs, tout de même?"

Depuis ce jour-là, je n'ai plus fait d'histoire et j'ai sucé mon père en avalant son sperme sans plus jamais rechigner. Fière de participer au bien-être de la famille. J'ai ensuite continué en me prostituant pour payer mes études et en partie celles de mes soeurs.

Je ne veux pas vous contredire, mais il s'agit d'un tout autre contexte.

Il est sans doute temps d'expliquer certaines choses. Je suis née dans une famille très catholique, extrêmement rigide et traditionnaliste et lorsque mon homosexualité a commencé à se révéler, cela a provoqué mon rejet complet de la famille. J'ai été simplement bannie, reniée et exclue. J'aurais tout donné pour changer d'orientation, mais cela était impossible. J'ai voulu mourir, mais sans aller jusqu'à faire une tentative de suicide.

C'est après de nombreuses pérégrinations que j'ai rencontré ma vraie famille, qui m'ont adoptée. A cette époque, j'étais incapable de ressentir du plaisir sexuel, tellement j'avais été traumatisée. La culpabilité et la honte m'étouffaient.

Après les formalité d'adoption devant le notaire, j'ai passé ma première soirée avec ma nouvelle famille. J'étais le plus jeune, à genoux sur un coussin. Ma mère, mon père et mes trois soeurs étaient assis sur des fauteuil et un imposant canapé. Je ne les appelait pas ainsi à cette époque, bien entendu. Ils étaient Madame, Monsieur et Mesdemoiselles.

Mon père fit tout d'abord un petit discours, où il m'accueillait au nom de la famille, en disant qu'ici je pourrais être moi-même, même s'il faudrait sans doute beaucoup d'efforts pour cela. Il me fit ouvrir une bouteille de champagne et les servir tous les cinq. Je n'avais pas droit de boire, car autre chose m'attendait. Mon père sortit sa queue de son pantalon et m'ordonna de le sucer. J'étais très gênée, mais je finis par obtempérer, pour sa plus grande satisfaction. Il finit par éjaculer dans ma bouche. J'attendis pour avaler que les autres trinquent avec leur verre de champagne. J'étais baptisée et acceptée dans la famille.

Bien sûr, la culpabilité se tenait en embuscade, la honte aussi et il m'arrivait de ne pas dormir, tellement je pensais aux feux de l'enfer.

Les vacances approchant, mon père eut une idée pour me libérer. Il décida de m'envoyer en enfer voir le diable. J'ai ainsi été livrée pieds et poings liés, entièrement nue, baillonnée et aveuglée à un inconnu, qui m'a séquestrée et dressée durant plus d'un mois, avant de me renvoyer chez moi, vêtue d'une microjupe, de lingerie, en talons aiguilles de 10 centimètres, maquillée comme une prostituée.
De jeune homme prude et honteux, j'étais devenue une démone avide de sexe, sans limites. Une nymphomane, une chienne en chaleur. Bref, vous comprenez. Complètement transformée par mon séjour en enfer, je commençai ainsi ma carrière de putain.
J'avais subi avec plaisir les pires sévices. Mon dresseur avait pris de nombreuses photos et effectué une statistique de mon activité sexuelle. J'avais été prise une ou plusieurs fois par un total de 89 mâles, de toutes nationalités, apparence physique, âge, etc.

Lors de mon retour, mon père convoqua tous les hommes de la famille. Ils étaient au nombre de 11, ce qui m'amena à atteindre le chiffre de 100 hommes.

Merci fany.

Te voila bien o-cul-pée.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

oh oui, je m'en rappelle bien. Pour gagner de l'argent, je travaillais comme femme de ménage pour plusieurs messieurs âgés et seuls. Je m'apprêtais pour être mignonne et féminine. Ces messieurs appréciaient beaucoup mon application et mon service impeccable. Je me laissais caresser par ses vieillards, dont certains avaient encore une bonne érection. Je les suçais s'ils le demandaient.

Un jour, l'un de ses hommes a reçu la visite impromptue de son fils, un banquier d'une quarantaine d'année. J'ai vu que je lui plaisais, ce qui a dissipé la gêne que le vieux monsieur ressentait en étant pris sur le fait d'employer une travestie.

- Tu as une bien jolie soubrette, papa a dit l'homme, en passant sa main sous ma jupe.
- Tu peux la baiser si tu en as envie, a répondu son paternel.

Il était évident que je n'avais pas voix au chapitre, alors j'ai accompagné l'homme dans le salon où il m'a enculée sur un fauteuil, sous les yeux de son père.

Après avoir joui, il m'a donné sa carte, disant que si je voulais, je pourrais trouver du travail dans sa banque.

Fani toujours docile et serviable.
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

oui, la docilité, la soumission, sont ancrées au plus profond de ma personnalité. Longtemps, je ne voulais pas l'accepter, j'aurais voulu être le "mâle alpha" que l'on montre souvent en exemple. J'ai fait je ne sais combien de thérapies, développement personnel, sans résultat.
J'ai mis longtemps à accepter ma nature soumise, donc je la vis maintenant de manière très libérée. En l'acceptant, j'ai arrêté de me faire du mal. J'avais du mal à me faire respecter, je pensais qu'être soumise était synonyme d'objet sexuel. Maintenant, je vise mon propre plaisir.
J'ai un réseau de plusieurs hommes avec lesquels je vis mes envies en toute liberté:
- mon grand-père Marc me rend visite de temps à autre, pour une bonne fessée et une fellation.
- mon oncle Roger aime bien m'obliger à faire du fitness en tenue très féminine et se faire sucer après la douche.
- mon oncle Thierry, lui, m'infantilise et me fait vivre la vie d'un jeune garçon soumis des années 50-60.
- mon ami Yves, lui aime me voir en jolie lingerie et hauts talons, se faire sucer très longuement et me flanquer de solides fessées à la main, au martinet, à la cravache et à la ceinture en cuir. Il aime aussi jouer longuement avec de la cire sur toutes les parties de mon corps.

Il y a beaucoup de bienveillance, et je dirais même d'amour dans ces relations, où chacun apporte à l'autre ce dont il a besoin.

Je vis maintenant selon des règles strictes de comportement, d'habillement, entourée par ces messieurs.

Serait-ce une visite de ton grand-pere?
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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Mhm, ouiii, ce gif m'excite! J'ai toujours été gérontophile! Je ne suis jamais dégoûtée par un corps âgé, bien au contraire, je trouve un homme âgé, avec un gros ventre très sexy. Je déteste les corps mal lavés, mal entretenus par contre, mais un beau vieux ventripotent, avec de bonne grosses mains ridées aux veines saillantes, ça me donne envie!

Je me rappelle très bien la première fois que j'ai fait l'amour avec mon grand-père. J'avais déjà sucé quelques queues, mais je n'avais jamais encore été sodomisée. Nous avions fait une balade en montagne et étions rentrés au chalet de mon grand-père. Ma mère était là aussi et a proposé à mon grand-père de se doucher avec moi.

Il ne savait pas encore que je n'étais plus tout-à-fait innocent. On s'est douchés et savonnés mutuellement et après avoir rincé tout le savon, j'ai commencé à le sucer, pour sa plus grande surprise!

- Tu sais faire ça? a-t-il dit tout étonné et sans doute un peu déçu de ne pas être le premier.
- Mhmmoui, ais-je répondu, la bouche pleine
- tu fais ça très bien, applique-toi! a-t-il ordonné, en appuyant sur l'arrière de ma tête pour que je le prenne plus profondément dans ma gorge.

J'ai continué un moment. Il me caressait la tête, les épaules et il s'est penché pour titiller mon petit trou.
- tu t'est déjà fait enculer, mon chéri, a-t-il demandé?
- Non, mais j'aimerais bien grand-papa.

Il m'a alors emmené dans sa chambre et a sorti un pot de vaseline du tiroir de la table de nuit. Il m'a fait mettre à quatre pattes sur le lit et m'a enduit la raie et mon petit trou copieusement, introduisant un doigt, puis deux et finalement un troisième.
- Tu as déjà joué avec ton cul, on dirait!
- Oui, maman m'a offert des plug pour Noël.
- Ma fille m'étonne, en bien!

Lorsqu'il a jugé que j'étais prête, il s'est positionné derrière moi après que je l'ai sucé pour qu'il soit à nouveau bien dur.
Il a appuyé de plus en plus fort et son gland est rentré. J'ai crié, plus de surprise que de douleur. Il était dedans! J'ai senti tout de suite que j'étais faite pour ça!

Il est rentré centimètre par centimètre, très doucement, avant de faire de doux va-et-viens dans ma chatte anale. Il me caressait le dos, les seins et mon clito de garçon, tout en me disant que j'étais sa petite salope. Il a accéléré le mouvement lorsque ma mère nous a appelés pour dire que le dîner était prêt, mais il a pris son temps et ma mère a dû rappeler deux fois.

Alors mon grand-père a éjaculé dans mon cul et j'ai joui en même temps!

On s'est embrassés et caressés, puis on a tout nettoyé avant de descendre. J'étais affamé.

- Hé bien, vous en avez mis du temps! a dit ma mère
- Grand-père était en train de m'enculer, Maman, ais-je répondu
- Mais il fallait le dire! J'aurais attendu pour faire le repas. a-t-elle répondu
- Ton fils est une bonne petite salope très docile, tu l'as bien éduqué, a dit mon grand-père
- Je n'ai pas fait grand-chose, a répondu ma mère, Fany est une vraie pute dans l'âme.

Nous sommes restés une semaine au chalet et je peux vous dire que mon cul a été bien mis à contribution. Comme j'avais encore des vacances, mon grand-père a proposé que je reste au chalet, car des amis à lui l'avaient loué pour les deux semaines suivantes. Je pourrais m'occuper du ménage, de la cuisine et bien entendu, de leur plaisir et du mien.

Ces hommes ont du bien apprécier ta présence et ta docilité.
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Oui, ils ont beaucoup apprécié! Ils étaient trois, Michel, Gérard et Charles. Il étaient un peu plus âgés que mon grand-père.

Michel est arrivé le premier. Je le connaissais un peu. Mon grand-père lui a expliqué la situation et il a été ravi. Il trouvait très excitant que ma mère encourage tout cela. Il m'a demandé de me déshabiller entièrement. Mon grand-père et ma mère sont partis en emportant toutes mes affaires, vêtements compris. J'étais à poil, sans aucune possibilité de partir du chalet!

Gérard et Charles sont arrivés et ont été ravis de la surprise. Je leur ai servi un apéritif et je suis passée sur les genoux de chacun, pour être touchée et caressée. J'étais extraordinairement excitée d'être la servante nue de ces trois hommes et je leur ai préparé un excellent repas, dont j'ai pu manger les restes en faisant la vaisselle.

nous avons passé la soirée dans le salon. Michel m'a baisée sur le canapé. Les autres n'avaient jamais eu de rapport avec un garçon et ont regardé leur ami me baiser, puis il ont accepté ma proposition de les sucer et d'avaler leur sperme. Nous sommes ensuite allés nous coucher. Ce qui est bien avec les hommes plus âgés, c'est qu'ils ont besoin de plus de repos. Avec trois jeunes hommes, j'aurais souffert.

Le lendemain, Michel s'est levé le premier et est venu dans la cuisine où je préparais le petit déjeuner. Il m'a enculée rapidement pendant que je lavais des fruits dans l'évier. Gérard est arrivé à ce moment-là et a profité de ma chatte toute chaude et lubrifiée pour la première sodomie qu'il réalisait. Charles est entré peu après, les deux autres étaient déjà attablés. Il a sortit sa queue et m'a demandé de le sucer. Il a éjaculé sur une tartine que j'ai ensuite mangé.

Ils m'ont adoptée comme leur mascotte. Il fallait faire des courses pour les prochains jours et j'ai établi une liste, vu que j'étais nue et que je ne pouvais pas sortir, mais Michel a déclaré qu'il voulait que je vienne. J'ai voyagé dans le coffre de sa grosse voiture il est allé m'acheter un microshort en jeans et un top fuchsia ainsi que des sandalettes pour que je puisse faire les courses et visiter la ville avec eux. J'étais très fière d'accompagner mes trois vieux. On a acheté d'autres vêtements, ainsi que des cordes, chaînes et autres dans une quincaillerie parce que Charles s'y connaissait en bondage et avait envie de m'initier.

Les deux semaines sont passées vite, on était plus dans un mode amical que de soumission. Plus que leur servante, j'étais leur petite chérie.

Fani impudique avec ses amants, elle aime faire des erreurs afin d'être punie......

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.......... rendue très docile, ensuite, pour leur montrer
toute sa dévotion.

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Au contraire! J'essaie de ne pas faire d'erreurs, je ne suis pas le genre de soumise qui cherche à se faire punir!
Les hommes que je côtoie sont très exigeants et bien entendu, il m'arrive de me tromper, ou d'être fatiguée et de ne pas servir avec autant de soin qu'exigé. Je suis donc punie dans ces cas-là.
Certains aiment punir, cela fait partie de leurs fantasmes et pour eux, c'est d'autant plus excitant que je n'ai rien fait pour le mériter.

J'ai actuellement un grand-père plutôt gentil, mais dans une semaine, je vais effectuer un stage d'éducation à l'ancienne, ou je serai traitée en petit garçon des années 50-60... Là mes fesses et mes cuisses vont prendre cher... Je me réjouis.

Fani est souvent sollicitée entre les hommes
de sa famille et les autres.

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