J'ai eu ma première expérience d'exhib' aujourd'hui !
Je devais normalement avoir mon premier plan cul avec un mec mais celui ci ayant annulé alors que j'avais déjà fait le déplacement, je suis donc reparti déçu en prenant l'autoroute du retour...
J'avais tellement attendu ce moment de sexe que j'étais assez frustré.
Il y avait derrière le siège arrière mon sac avec tous mes accessoires, ainsi que mes fringues de nana, car j'avais décidé de me féminiser pour cette première fois.
Et j'avais terriblement envie de me retrouver avec ma jupe au ras des fesses !
Je me suis arrêté à la première aire et j'ai attendu un long moment. J'avais dans l'idée de passer à l'arrière de la voiture pour me changer mais il allait bien falloir que je ressorte pour conduire... Et il y avait un routier dans son tracteur juste en face de moi.
J'ai finalement cédé à ma pulsion en me disant que c'était dingue. Vite changé, j'ai enfilé mes sandales de pouffe et zou, me voici debout à côté de ma voiture. Heureusement, la seule voiture qui est là se trouve de l'autre côté et le conducteur qui est au téléphone ne voit rien. Par contre le routier ne peut pas me louper, ainsi que peut être ceux qui sont dans les autres camions alignés. J'évite de regarder dans sa direction, pas le courage, mais je décide au moment de passer à la place conducteur de me pencher pour faire semblant de chercher quelque chose et offrir ainsi le spectacle de mes fesses.
Je repars très vite, pas envie de m'éterniser ! Aucun plaisir à conduire habillé en femme par contre. Le fait de me montrer aux routiers m'a excité, il faut absolument que je recommence. L'aire suivante me semble ne jamais arriver. Enfin, en voici une, assez petite toute en longueur. Que des camions. Je me gare au plus loin, près de la sortie, loin des WC donc, car un camion italien est en train de tourner, le conducteur ne dort donc pas, je veux qu'il me mate !
Je recommence mon petit jeu de passer à l'arrière, de me pencher, de montrer mon cul. Je remonte à l'avant, attendant je ne sais quoi.
Et puis l'idée folle. J'ai envie de m'éloigner de la voiture, d'aller au WC qui sont très loin de ma voiture mais autour duquel les camions sont garés et où j'ai même aperçu des routiers discuter...
J'essaye de me raisonner. Mais il faut que je le fasse, coûte que coûte ! Je ne veux plus réfléchir, je sors naturellement de la voiture et me dirige vers les WC, sur le macadam. C'est long. Mais je prends mon pied à m'exposer ainsi, le bruit des talons sur le sol, ma démarche à cause des hauts talons, ma jupe à ras des fesses
Je suis mi déçu mi rassuré de voir qu'il n'y a personne aux alentours des toilettes ou qui se lave les mains. Mais un toilette sur trois est occupé, la porte me résiste. Je sais pas trop quoi faire, j'attends un peu pour croiser le mec mais ça dure ! Bon, tant pis, je repars ! Je contourne le bâtiment des WC pour passer cette fois devant tous les camions garés sur l'autre route. Impossible de me louper !
Au niveau de la voiture, je prends tout mon temps, me repenche, le camion italien tourne toujours.
Je me mets à l'arrière et j'attends, on sait jamais... Je décide d'ouvrir les vitres et je me mets en position pour me goder, jambes écartées, un pied dépassant un peu de la voiture. j'adore faire ça,sentir l'air frais et être quand même caché, tout en pouvant être surpris ! Je ne vais pas jusqu’au bout car je remarque que mon énorme gode noir est un peu sale, normal, j'avais pas fait de lavement avant, pfff, je dois arrêter car j'ai rien pour essuyer et j'ai horreur de me branler avec un gode souillé.
Je m'apprête donc à reprendre la route et une nouvelle pulsion me tenaille. Pourquoi ne pas aller laver mon gode aux lavabos des WC ? Et en profiter pour fixer sa ventouse sur une porte ? J’essaye de me raisonner, je suis déjà sorti une fois, je me vois mal réitérer mon exploit !
Bref. Je franchi le pas, évidemment. Et me revoici arpentant le macadam en direction des WC, mon énorme gode à la main, sans me presser. Gros coup de kiff
Là bas, il n'y a toujours personne, je nettoie le gode (putain, je crois pas à ce que je suis en train de faire !!!) et retente d'ouvrir la porte, toujours fermée. Je sais pas ce que fait le gars mais il le fait bien
Par contre, les toilettes handicapés sont occupés eux aussi. Je prends donc la cabine restante, juste à côté d'une autre, et je fixe mon gode sur le carrelage. Je m'empale comme il faut et trouve mon rythme, c'est génial dans cette tenue et à cet endroit. Je me retiens absolument pas sur mes soupirs, ça plus le bruit de succion de la ventouse, ça ne fait aucun doute sur mes activités !
J'entends un camion s'arrêter juste devant le bâtiment, il va sans doute débarquer ici pour trouver une place de libre. Je fais quoi ? J'entrouve la porte et il me surprend ? Trop risqué au niveau de sa réaction. Je décide d'écarter un peu plus mes jambes et de laisser largement dépasser un pied, chaussures de pouffe + orteils vernis, le message est clair ! Je l'entends arriver et je continue à me défoncer un peu plus, faisant même claquer mes fesses contre le carrelage, ne me retenant plus du tout avec mes "Mmmm, ouais !". Je vois son ombre, il passe bien devant, s'arrête puis repart. c'est trop bon en ce qui me concerne
Bon, par contre, je n'arrive pas à jouir, je me dépêche donc de sortir, de laver le gode, en espérant croiser le mec. Il redémarre au moment où je sors des toilettes. Je longe sa cabine, j’accélère le pas, je veux le dépasser. Il s'arrête. N'y tenant plus, je relève carrément ma mini jupe, dévoilant complétement mon cul et mon string. Je marche lentement et je tiens exprès le gode par la base dans la main droite, le laissant pendre et le rendant bien visible. J'y crois pas encore une fois que je suis réellement en train de faire ça ! Comment c'est bon, je suis dans une autre dimension. Il redémarre et me dépasse lentement, j'essaye de croiser son regard mais impossible. Au niveau de ma voiture, je prends mon temps, montre bien mon gode, mon cul à mon routier italien. Je décide de me rhabiller en homme et je reprends la route avec une sensation unique.
Comme quoi c'est souvent quand c'est pas prémédité que c'est le meilleur
J'étais d'ailleurs bien moins stressé qu'avec mon rendez-vous râté...
Mais je regrette quand même de ne pas avoir sucé ma première queue, en plus, j'étais tellement chaud bouillant sur l'aire que j'étais prêt à tout