Encore merci, nos premières fois doivent se ressembler pour beaucoup de personnes.
La suite !
3 Après-midi galante
Après mon initiation forte en émotion de l’été de mes 18 ans, j’ai dû patienter longtemps avant de pouvoir renouveler l’expérience. Ce n’était pourtant pas l’envie qui me manquait. Mais c’était une traversée du désert pour un jeune homme de vingt ans. Ce n’était pas facile de faire des rencontres en ces temps où les sites internet gay n’existaient pas. Pourtant…
Je fus invité à un vernissage par le biais d’un groupe d’ami. Sur place, je discutais avec de nombreux inconnus en devisant devant les œuvres. Un homme délicat, la quarantaine et élégamment vêtu vint converser avec moi sur les tableaux. Rapidement, nous nous mîmes à refaire le parcours en dialoguant très naturellement. A la fin du vernissage, il me laissa sa carte et m’invita à le rappeler pour qu’il me montre sa collection personnelle.
J’ai toujours été attiré par les hommes mûrs et Jean-Charles ne me laissait pas indifférent. De taille moyenne, il était sobre, mais élégant, cultivé et délicat. Je le rappelais dans le courant de la semaine et pris rendez-vous pour aller le visiter le samedi. Impossible de savoir ce qui se passerait, si l’homme avait des visées coquines. C’était intimidant.
Arrivé devant une superbe maison, je sonnais et il m’accueillit tout sourire. Nous nous rendîmes dans le salon et il me fit asseoir sur un superbe canapé Chesterfield pendant qu’il allait faire du café. L’ambiance de cette maison était étonnante, avec une décoration très typée 1900, fleurie et pourtant absolument pas poussiéreuse.
Jean-Charles s’assit à côté de moi. Au détour de propos artistiques, il me complimenta sur ma plastique et particulièrement sur mon buste. À la fois gêné par ces propos incongrus et attiré par la tournure de la conversation, je me rendis vite compte de ses intentions. Ce n’était pas pour me déplaire. Il entreprit même de me toucher, d’abord le bras puis la poitrine. L’effet fut intense. Ses mots accompagnaient ses gestes et me mettaient en confiance. L’homme savait y faire. Lorsqu’il me demanda de retirer ma chemise pour admirer ma plastique, j’acceptais avec excitation, tout en feignant une nonchalance qui ne le trompait probablement pas.
Il me complimenta sur mes seins et entrepris de me les caresser. Mes tétons devinrent durs et je me cambrais pour mieux mettre en valeur ma petite poitrine. Il est vrai qu’elle me faisait complexer quand il m’arrivait de me déshabiller au sport ou à la plage, j’ai deux petits seins qui pointent. Ils ne font pas très masculins. Je découvrais que cela pouvait aussi beaucoup plaire…
Jean-Charles continua et me demanda de me dénuder intégralement. J’acceptai. De me retrouver nu, face à cet homme habillé m’excitait au plus haut point. Ma verge commençait d’ailleurs à prendre du volume sans que je ne puisse la contrôler. Et plus on tente de se maîtriser, plus les choses se compliquent.
A ce moment-là, il choisit de mettre sa main sur mon sexe et de m’embrasser délicatement. En me caressant les mamelons, il me dit : « cette belle poitrine mérite un joli soutien-gorge. Qu’en penses-tu ? » Je balbutiais une approbation humoristique. Il me soupesait les seins, coinçait mes deux mamelons entre les pouces et les index. C’était outrageusement jouissif. Il dit alors : « Tu sembles apprécier. J’ai ce qu’il te faut. Je reviens. » Il réapparut avec une boîte et en sortit un soutien-gorge noir. Il me dit : « As-tu déjà porté des sous-vêtements de dentelle ? Ce n’est pas que pour les femmes, mais aussi pour les femelles. »
Je dus reconnaître qu’effectivement, il m’était arrivé d’en emprunter à ma sœur, culotte, soutien-gorge ou maillot de bain. Je les enfilais et m’excitais énormément.
Jean-Charles passa derrière moi et m’ajusta un très petit soutien-gorge, mais suffisant pour ma petite poitrine. Régulièrement, il effleurait mes seins. « Et un porte-jarretelles, aimerais-tu en porter un ? » Il me fit enfiler des bas et m’ajusta l’ensemble. « Voici des chaussures à talons, cela ajoutera une touche encore plus érotique ». C’étaient de petites sandales vernies noires avec un talon de 5 ou 6 cm. Elles étaient trop petites, mais les brides élastiques me permirent de les enfiler sans problème.
« Tu es superbe, Marche un peu pendant que je me déshabille » J’allais au bout de la pièce et je revins vers lui, comme pour un défilé de mode. Je ne me sentais pas ridicule, mais excitante. Quand je me retournais au bout de la pièce, il était nu et bandait dur. Il fut plus directif : « Mets-toi à genou sur le canapé. » Je m’exécutais. « Cambre-toi d’avantage » Il me caressa la raie en me massant mon petit trou puis descendit sur mes bourses et me prit la verge, toujours dure.
« Tu es superbe. Tu as libéré ta féminité. Tu vas prendre un immense plaisir. »
Il passa derrière le canapé, face à moi. Je ne bougeais pas. J’attendais d’être dirigé par ce professeur si convaincant.
Mon visage était face à son sexe. Il était dur et droit et d’environ 15 cm. Il me mit la main sous le menton et dis : « Prend. » J’ouvris la bouche et il s’avança. Sa verge me remplit d’excitation. Il allait et venait lentement, son souffle fort. Parfois, il tendait une main vers mes mamelons qu’il pinçait plus fort qu’auparavant. Puis il ressortit sa verge et dit : « A ton tour, assied-toi au bord du canapé » Il se mit alors à genou face à moi et me commandât d’écarter les cuisses. Il appréciait le spectacle, c’était évident. Il s’agenouilla et commença à me sucer. La sensation était merveilleuse. J’étais là, en petite tenue ultra féminine, les jambes bien écartées. Mon sexe dans sa bouche et sa main commençait à me caresser mon intimité. Ma réaction devait l’encourager. Il me doigta jusqu’à la phalange et me dit : « Tu apprécies et sembles en vouloir plus. » Je lui murmurais que oui. Il engouffra un second doigt. C’était un peu douloureux, mais rapidement jouissif. Après quelques va-et-vient, il dit : « Je vais t’enculer ». Je n’osais rien dire. Je sentis son sexe entrer en moi. Après quelques aller et retour très lents, il me flanqua quelques coups de reins qui me firent sortir de petits cris. Il m’attrapa les anches et me dit : « je vais jouir dans ton cul » Il se plaqua contre moi en râlant puis se retira. Il s’assit à côté de moi et je me retournai. Je ne bandais plus, ses coups de boutoir avaient eu raison de mon érection. Quelle émotion. Je refusais poliment son invitation à me branler. « Rhabillons-nous alors » déclara-t-il. « Tu as été superbe. » son encouragement me fit grand plaisir. « J’ai adoré être ainsi vêtu » lui répondis-je. « Si tu veux revenir la semaine prochaine, nous pousserons un peu plus ta féminité. Tu seras rasé entièrement, devant et derrière » me dit-il. J’acceptai. En repartant, encore très excité par l’idée d’avoir son foutre en moi, il me tendit un sac. « Prends-les. Tu les enfileras ce soir et tu te donneras du plaisir en pensant à moi". Je souris. Je m’exécutais de bonne grâce le soir même.
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