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 Sujet du message : L'instrument de Sidné
MessagePosté : mar. 14 déc. 2010, 10:51 
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Membre Bavard
Membre Bavard
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Enregistré le : mar. 14 déc. 2010, 09:19
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Sexe et orientation sexuelle : Bi & Bitophile
Bonjour tout le monde !
Content de retrouver nos marques, j'espère que tous ces tracas sont bien derrière nous.
J'ai écris quelques histoire à temps perdu.
En voici une qui va relancer un vieux débat sur le membre des noirs.
Mon expérience personnel a mis en évidence certaines confirmations. Coluche disait : "Y'en a des... et puis, y'en a des... balèzes comme ça !"
Les noirs ne sont pas tous hyper membrés, mais il y a une certaine propension à ce qu'il le soit. J'ai également remarqué que leurs bourses sont généralement moins volumineuses que chez les blancs, et leurs oreilles plutôt petites, avec des mains fines et longues.
Mais quel musculature ! Bon, j'arrête là, voici la romance, mélange de vécu et d'imaginaire.
Bonne lecture !
Bises à vous.
:biz:

Sidné première !

Grand, élancé, le crâne rasé, il se tient devant les casiers de CD de cette grande boutique de la FNAC. Bizarrement, il n’y a pas grand monde pour un vendredi après-midi. Et justement, c’est exactement à l’endroit où se trouve l’objet de ma recherche que se tient ce géant noir, harmonieux mélange de Seal et de Harry Roselmack, tout aussi élégamment vêtu d’ailleurs. Je suis à la recherche d’un morceau précis, Rockall de Mezzoforte. Cette musique ne quitte plus ma tête depuis que ma radio l’a distillé il y a quelques jours.
Je demande pardon le temps de saisir quelques disques. Il s’excuse, me disant qu’absorbé par ses recherches, il ne s’était pas aperçu de ma présence et recule d’un pas pour me permettre d’accéder aux casiers. Il fait bien 2 mètres de haut (son entrejambe arrive à mon nombril), son visage est “ouvert”, son regard chaleureux, ses dents d’une blancheur étonnament contrastante ! “Je n’en ai pas pour longtemps, je suis simplement à la recherche d’un bon morceau !” lui dis-je. Me voyant brasser du Mezzoforte, la discussion s’engage naturellement. Mon morceau trouvé, je prétends être presque comblé. “Presque ?” se risque-t-il ! Je lui explique qu’il ne me reste plus qu’à traverser la ville sous la pluie, mettre le CD dans ma chaîne stéréo, puis à me verser un alcool un peu fort et enfin, m’immerger dans un bain chaud pour pouvoir l’apprécier ! “ J’ai trouvé mon bonheur aussi, et si Bang & Olufsen vous convient, j’habite à deux rue de là. J’ai un Jack Daniel’s... de l’eau chaude. Si ça vous dit, c’est bien volontiers.” me lance-t-il le plus sérieusement du monde. Il n’a pas l’air d’être menaçant, plutôt charmant, j’accepte. Et nos CD réglés, nous voilà dans la rue à discuter. Il me dit être musicien professionnel, qu’il se prénomme Sidné alors que nous parcourons les quelques centaines de mètres qui nous séparent de chez lui.
Bel appartement Hausmannien, très lumineux, luxueux, témoignant d’un certain standing. Outre un magnifique piano à queue, il y a un saxo posé sur un support, ainsi qu’une magnifique guitare ovation, et un splendide violoncelle, donnant à ce vaste espace une certaine majesté. Le tout emplit partiellement le salon. Il m’invite à m’asseoir dans le canapé en cuir, prend deux verres dans un meuble bar, nous sert deux copieux Jack qu’il dépose sur la table basse. Tout est hyper propre, harmonieux, rien n’irrite le regard, y compris la chaîne B & O qui remplace avantageusement une toile de maître contre le mûr. D’un effleurement, le tiroir s’ouvre, mon disque est placé au centre et revenant s’asseoir, de la télécommande, il envoie... la musique. “Tchin ! A la musique !” trinque-t-il en souriant. Un son exquis nous parvient des différentes enceintes placées dans toutes la pièce. Je le remercie pour son invitation, lui confiant ne pas avoir une si bonne chaîne. “J’aime les bonnes choses, les bons moments, et tu m’es fort sympathique. Ca me fait plaisir !” me dit-il, plaçant sa main sur son “intimité”, afin de bien me faire comprendre que son invitation n’est pas tout à fait anodine.
Je lui réponds qu’il m’est très sympathique également. Je sais que quelque chose va se passer, mais comme toujours dans ces cas-là, il y a comme une gêne, une appréhension. Je décide néanmoins de me jeter à l’eau et lui confie alors aimer aussi les bonnes choses... mais être assez timide. Ce n’est pas vrai du tout, mais il en impose, tant par son physique que par son assurance, et puis j’ai envie que les choses viennent de lui. “J’ai envie de toi dès que je t’ai vu à la FNAC. Je t’ai trouvé souriant, cool, et lorsque tu souris, j’imagine tes dents...” lâche-t-il le plus naturellement. Il a jeté les dés, et tout est clair.
Sans se démonter, Sidné déboucle posément sa ceinture, dégrafe son pantalon tout en me regardant, les jambes bien écartées. J’avale un peu de bourbon, repose mon verre, et m’approche de lui. Les pans de son pantalon sont ouverts, son caleçon est à quelques centimètres de moi, ma main se pose enfin sur sa cuisse et remonte vers son entrejambe pour le caresser tendrement par-dessus ses vêtements pendant qu’il déboutonne sa chemise. Mes doigts passent alors sur son ventre musclé, s’insinuent sous l’élastique de son sous-vêtement et plongent à la découverte de son intimité. Sa chaude verge est rangée bien droite entre ses jambes. Sa base est très large et lorsque mon poignet arrive au niveau de son pubis, mes doigts tendus ne sont pas encore arrivés à son gland ! “Impressionnant !” ne puis-je retenir alors. Soulevant ses fesses, il descend lentement son pantalon et son caleçon sur ses interminables et non moins puissantes jambes, dévoilant son impressionnante verge d’ébène qui repose sur de belles et lourdes bourses. Le stéréotype même du noir monté comme un âne est là, sous mes yeux. Cette verge est monumentale, large, lourde, étrangement veinée, luisante comme s’il l’avait cirée, le gland emmailloté dans un long prépuce.

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J’en tombe à genoux devant lui, mes yeux rivés sur cet imposant morceau. Soudain pressé je lui arrache ses bottes et son pantalon, puis passe entre ses jambes, soulève cette masse chaude et pose mes lèvres sur son gland encore calotté. Ma bouche s’ouvre à l’extrême pour l’enfourner tel quel tant ma gourmandise est grande et qu’il me tarde d’en sentir le goût, la texture, la chaleur. Complètement molle, sa queue fait déjà largement 20 centimètres, et son fort diamètre me remplit bien la gueule. Je la ressort et la lèche de sa base jusqu’au prépuce, lui commente mon immense plaisir, et doucement enfonce ma langue par l’extrémité de son “col roulé”, de la pointe, tourne entre la peau et le gland, joue avec le méat. De mes doigts, je tire lentement sur sa verge pour en libérer son bout pourpre. “Tu es grand de partout, carrément hors gabarit ! J’ai peur !” lui dis-je en plaisantant. “N’aie pas peur, suce-moi, j’adore ça. Prends-moi bien au chaud dans ta bouche. Je savais que tu aimerais ça. Je l’ai compris de suite. Suce-moi tout doucement” Et comment résister ! Ma langue parcourt son gland sur toute la couronne, puis lèche le frein. Lentement, sa queue gonfle entre mes doigts, doigts qui d’ailleurs n’en font pas le tour tant il est... éléphantesque ! Ma bouche le déguste pleinement, l’avalant au maximum, c’est-à-dire à peine plus du tiers. Ses grosses couilles dans une main, je le branle de l’autre tout en le pompant avec régularité; c’est l’avantage qu’offrent les grandes bites sur les petites, on peut tout faire en même temps, sans se gêner. Son sang finit par remplir complètement ses corps caverneux, donnant son plein volume à cette magnifique arme. Sidné m’encourage à le pomper encore plus fort, prétendant que cela fait longtemps qu’on ne l’a pas aussi bien sucé, et que j’en tirerais une bonne récompense si je continue ainsi.
Je descends goûter à ses grosses burnes, et les aspire avidement. Elles sont proportionnelles à sa massue, de gros kiwis bien lourds, mais pas insensibles à l’entendre gémir lorsque je m’occupe d’elles. “Hummmm, sentir ton gros paquet contre mes fesses doit être un pur bonheur !” argumentais-je avant de retourner le sucer, le lécher, m’extasier de tant d’opulence. Ses grosses veines qui parcourt sa hampe rajoutent un peu de bestialité à la chose, la rendant plus vivante. Je me désosse la mâchoire à sucer son mandrin, mais il commence à se tortiller, n’hésitant pas à me guider dans ma fellation : il sait ce qu’il aime et veut. “Montre-moi ton corps, j’ai envie de te voir nu, s'il te plaît.” Je m’exécute, retirant tous mes vêtements alors qu’il se lève et se tient debout à mes côtés. Une fois nu, il pose une main sur mes fesses, de l’autre prend mes couilles et ma queue à moitié bandée et m’attire contre lui. Son puissant corps chaud se plaque contre moi, sa queue bandée se plaque à l’horizontale contre mon ventre, ses couilles contre mon bassin. “Tu as un joli corps, une peau douce, et tu suces comme un Dieu !” me flatte-t-il en insinuant son majeur entre mes fesses. “Me cacherais-tu encore quelques talents ?” Je l’invite à le découvrir lui même, à explorer les serrures à l’aide de sa belle clef, mais... tout en douceur. “Tu voudrais que je te prenne ? Tu penses que je ne suis pas trop large pour toi ?” s’inquiète-t-il en plaçant son doigt contre mon anus. “Si tu as du temps, du gel, de la patience et de la patience, c’est avec plaisir que je relève le défi !”

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“On en parle dans le jacuzzi ? dit-il en m’invitant à le suivre. Sidné est ce que l’on appelle “une armoire à glace”. Son immense corps est sculpté tel un athlète, une pure beauté, les épaules très larges, un bassin étroit, un cul rebondi, des cuisses de coureur de fond. Mes 1,80 mètres me rendent presque chétif à côté d’un tel corps. Nous arrivons dans une salle d’eau spacieuse toute blanche, la baignoire à remous y siège en plein milieu, un grand plan de travail reçoit deux vasques modernes et se termine par une vaste douche vitrée dans un angle. Juste en face, le mur est un immense miroir. Ce miroir abrite de grands placards, desquels ce géant sort de grandes serviettes et deux peignoirs de bain. De très discrètes baffles distillent toujours la musique de mon CD, le rêve absolu.
Il me propose d’entrer dans l’eau après avoir mis en route les multiples jets et remous. La température est idéale, 29° C, et lorsque j’ai pris place dans la banquette massante, mon hôte me demande si je ne manque de rien. “Si, l’essentiel : toi, et d’un puissant orgasme !”. Saisissant un tube de lubrifiant qu’il dépose sur le rebord de la baignoire, il me rétorque espérer répondre à ma requête au cours de la soirée, tout en pénétrant... dans le jacuzzi. Sa longue trompe débandante touche l’eau bien avant ses fesses, et lorsqu’il est installé, nous sommes en vis-à-vis. Je me laisse couler et ne peux résister à l’envie de le sucer sous l’eau. Je n’ai jamais essayé, et c’est l’occasion rêvée. J’attrape sa longue verge et la guide à ma bouche. Mes lèvres descendent sur sa hampe et effectuent quelques va-et-vient alors que sa main trouve sans difficultés le chemin de mes fesses pour pénétrer ma rondelle au milieu de gargouillis que font les bulles. Je récidive à quelques reprises ma pipe aquatique, et déjà sa queue se raffermit. La chaleur de l’eau détend la peau de ses bourses qui prennent de la longueur. Je lui demande de s’asseoir sur le rebord pour pouvoir le pomper plus activement, et m’enfonce cette puissante barre au plus profond. Son gland est énorme, bien dessiné, et le sucer est presque douloureux au bout de quelques minutes. De sa main dans mes cheveux, il m’encourage avec des mots assez crus, me guidant pour une succion optimale, pas trop rapide et me demande de le branler en même temps bien à la base. Je m’exécute avec application depuis de longues minutes lorsqu’il me demande s’il peut jouir dans ma bouche. J’adore le sperme, et sucer une telle queue sans aucune récompense serait un réel péché ! Comprenant que mon silence vaut un oui, Sidné s’abandonne. Il se raidit, ses abdos se contractent, son souffle devient plus court, m’annonçant l’imminence de la décharge. Ses couilles trouvent place dans ma main, je focalise toute mon attention sur son gland que je cajole, arrondissant mon mouvement pour l’exciter un max. “Ooooh, je vais jouir, ne t’arrête surtout pas !” Et comment ! Encore trois ou quatre mouvements, sa hampe se tend, son gland gonfle d’un coup et une incroyable quantité de foutre m’inonde la bouche. Son sperme ne gicle pas puissamment, mais s’écoule avec un débit peu commun. J’avale avec ivresse son jus alors que d’autres coulées se succèdent, toutes aussi abondantes, enivrantes. Tout est disproportionné chez cet étalon, ses réservoirs également ! Son délicieux miel coule dans ma gorge alors que son goût investit ma bouche et que son gland commence à se détendre. Avec affection, je le garde profondément en bouche, massant ses belles couilles alors qu’il se remet de sa jouissance.
Nous nous remettons en position relax au milieu des bulles alors qu’il me remercie pour cette délicieuse pipe, et m’assure être rapidement opérationnel pour visiter mes reins. “J’ai hâte que tu me prennes. J’adore être bien rempli, quand on m’investit doucement et longtemps. Tu prendras ton temps ?” dis-je en caressant sous l’eau son long sexe encore tuméfié. “Wouahhh, tu es véritablement monstrueux ! Je vais te sentir passer, mais c’est ça qui est bon.” Il m’attrape la jambe et me tire vers lui, plaçant mes fesses sur ses cuisses musclées. Je place mes jambes sur le rebord du jacuzzi de part et d’autre de son torse alors que son pouce pénètre mon anus de nouveau et que son autre main attrape ma verge. “Je vais te baiser tout en douceur, et tant que tu le voudras. Ce coup-là est pour toi.” Alors qu’il me fouille de son pouce pour bien m’assouplir, je sens sa queue déjà gonflante sous mes fesses, et ferme les yeux pour mieux m’en imprégner, impatient et en même temps un peu craintif compte tenu de la taille de “la chose”. J’en ai pas mal vu en 10 ans, certes, mais de ce diamètre...
Rapidement, il me demande de lui présenter ma croupe pour bien me lubrifier. Je me dresse hors bain, me penche en avant pour qu’il s’occupe bien de mon petit trou, qu’il graisse généreusement, tant aux abords qu’à l’intérieur. Cela fait, je reviens m’allonger dans l’eau, chaud comme la braise : “Encule-moi maintenant, j’en ai trop envie !” intimais-je en me replaçant sur ses cuisses. Il me tire par les hanches vers lui alors que je replace mes jambes en l’air, pose son gland gonflé sur ma rosette, puis imprime une lente traction. Le gros bout de chair viole mon sphincter millimètre par millimètre pour se frayer un chemin entre mes reins. Cette exquise sensation est euphorisante, dynamisante, et je l’invite à me pénétrer lentement, je veux le sentir m’envahir. Rapidement mon sphincter se referme derrière sa couronne, et déjà son gland me comble. Bien sûr, il me demande s’il peut continuer, et ses mains de nouveau me tractent, repoussant mes chairs de son imposant pieu au passage du bourrelet que constitue son long prépuce une fois décalotté. La musique qui couvre à peine les bruits de l’eau, la douce caresse des buses de massage, la température idéale de l’eau, la douceur de Sidné, la phénoménale puissance de son sexe, tout cela forme un délicieux cocktail (mot étrange du reste, puisque cock = queue, zizi, sexe, et tail = queue (anatomie)). “Oh que c’est bon de se faire prendre par une queue pareille ! Prends ton temps, ovalise-moi tout doucement, mais ne t’arrête pas, s’il te plaît, prends-moi, oh oui, encule-moi millimètre par millimètre.”
En relâchant de temps en temps la pression, il m’empale graduellement sur sa hampe. Cette sodomie en eau chaude est une première pour moi, tout comme une si grosse et si épaisse queue. Patrick, mon amant 10 ans plus tôt, a jusqu’à aujourd’hui détenu la première place au Hit Parade des gros calibres. En ce moment même, le titre est remis en question par ce colosse, sa bite faisant bien 7 cm au plus large, c’est à dire en plein milieu de sa hampe lorsqu’il bande. Certes, mon sphincter se détend, tout mon mental est rivé sur sa verge, un peu comme s’il pénétrait mon esprit. Sans trop le montrer, j’effectue un incontournable travail de respiration pour me détendre d’avantage, et cela lui permet de progresser sans réel encombre. “Ce que tu es grooooos ! Attends, reste un peu comme ça, que je m’élargisse. Mais que c’est bon, tu m’encules bien. J’aurais dû l’acheter plus tôt, ce CD !” lançais-je avec ironie. “Ton petit cul est en train de m’avaler, hummm, c’est bon d’être serré comme ça ! Tu me fais bander dur ! Mais viens sur moi, ce sera plus facile pour toi.” me dit-il alors qu’il est déjà bien engagé dans mon fondement, arrivant à la partie la plus renflée de sa matraque.

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Toujours avec beaucoup de grâce et d’élégance, il avance son bassin en me demandant de venir le chevaucher. Je referme mes jambes derrière son dos alors qu’il s’allonge d’avantage, gardant juste sa tête hors de l’eau, et que ses mains passent sous mes fesses. Afin de ne pas basculer, je passe mes bras derrière son cou et commence à faire de petits mouvements, m’enculant chaque fois un peu plus. Ca fait bien 10 minutes que nous avons commencé, mes muscles sont chauds, je peux maintenant partir à la conquête de ses couilles, c’est-à-dire descendre le long de son mât de cocagne. Soufflant comme une locomotive, chaque aller-retour l’enfonce en moi, me faisant frissonner de plaisir. Ses bras musclés n’ont aucun mal à me hisser afin de mieux redescendre. “Oui, rentre en moi. Déforme-moi, baise-moi, fais-moi jouir !” Je prends de l’aisance et Sid’ accompagne lentement mes descentes de légers coups de reins. J’ai très chaud, je commence à entrer en transe, sa monstrueuse barre me fascine, me transcendant complètement. “Viens au fond de moi, je la veux toute, plante-la moi !” . Alors que je force pour me l’enfoncer complètement, il envoie également son bassin à ma rencontre. Mon ventre est soudain gonflé, son gland semble être dans mon diaphragme, mon estomac dans ma gorge,. C’est comme si mes couilles étaient expulsées de leurs bourses, alors qu’enfin mes fesses rencontrent son bassin. “Tu y es, ooooh, tu y es, ne bouge plus, laisse-moi m’habituer à ta grosse queue. Tu vas me faire hurler de plaisir, je le sens. J’ai déjà des étoiles dans la tête. Que c’est bon !”
Il me prend dans ses bras puissants pour me plaquer contre son torse. Ses pectoraux développés contre les poils de ma toison sont autant en contraste que la couleur de nos peaux. Il commence alors à aller et venir entre mes reins. Chaque mouvement m’arrache de véritables décharges nerveuses, me donnant la chair de poule. Mon sexe aussi long que mou roule contre ses abdos, et mes testicules flottent au gré des courants générés par ses gestes autant que des remous du jacuzzi. Mais cette masse énorme qui me pénètre, coulissant de plus en plus, pilonnant mes intestins à grands coups de gland, devient un plaisir “profond” à tous les sens du terme. Je l’accompagne, jouant sur les deux tiers de sa colonne, mes doigts s’agrippent à son dos, mon menton sur les trapèzes de ses épaules, criant qu’il me fait tant de bien que je ne veux pas qu’il s’arrête, jamais, je veux être son cul, son havre de paix, sa terre d’asile, pourvu qu’il me baise encore et toujours, jusqu’à ce que j’explose, me désintègre !
Et ça, il s’y emploie, à me baiser, me demandant si j’allais l’oublier, sa queue, si je la trouve à mon goût, si j’ai aimé son foutre. Son rythme s’endiable, et les vagues menacent de sortir de la baignoire. Il me demande de me tourner, mais je ne veux pas qu’il sorte de mon anus, l’eau s’y engouffrerait et l’affaire tournerait alors scato en quelques va-et-vient. Nous réussissons rapidement et je peux enfin saisir ses couilles à pleine main alors que je m’empale puissamment, mais cela ne résout pas le problème de l’eau, nous devons rapidement nous calmer, pourtant, j’en veux encore ! Sidné me dit que nous pourrions continuer dans le lit, ce serait beaucoup plus agréable. Mais il faut absolument qu’il sorte de moi hors de l’eau, et nous devons nous synchroniser : je me redresse alors qu’il se soulève afin de remonter vers la surface. Le miroir me renvoie alors l’image impressionnante de sa queue plantée en moi, mes couilles au-dessus des siennes. Et lorsqu’il redescend, la vue de son énorme sexe sortant de mes fesses, conjugué à la sensation de relâchement, me donne l’impression que l’on me vide. L’air frais qui s’engouffre entre mes fesses, mon cul béant... Hors de l’eau, j’écarte mes fesses et j’aperçois dans le miroir l’énorme vide que mon amant laisse en sortant de moi. “Tu cicatriseras vite !” ironise Sid’.
Séché et en peignoir de bain, il me propose un petit Jack avant de continuer, histoire de nous griser un peu. J’attrape le gel et le glisse dans ma poche en lui disant que je compte beaucoup remettre le couvert ! Nous en profitons pour changer de disque et en placer plusieurs afin d’être plus tranquilles.
Il me pose des questions intimes, me trouvant “doué”, je lui raconte dans les grandes lignes mes frasques, lui demande les siennes, ce qui finalement nous met encore plus à l’aise. L’alcool nous euphorise un peu, nous requinque également, mais je suis aussi impatient qu’une pucelle. “Viens visiter la chambre, je veux encore t’entendre crier, ça m’excite. Tu me fais bander, ton cul est une merveille.”
La nuit est bien tombée entre-temps, et par les deux grandes portes-fenêtres, nous apercevons les arbres de la place deux étages plus bas. La chambre est spacieuse, une cheminée en marbre trône face au lit, ornée d’une grande glace qui agrandit la pièce. Je lui confie adorer voir mes ébats, que le visuel renforce les sensations ressenties, et du lit, la vue sera, elle, imprenable. Ce à quoi il me répond l’avoir fait placer à cet effet ! Une très grande double porte cache un immense placard. Nous abandonnons nos peignoirs sur un des fauteuils, nous nous admirons, nus, aux pieds du lit. La douce lumière que diffusent plusieurs lampes dans la pièce est très sensuelle, et son corps brille comme seule la peau des noirs le peut. Sa longue trompe descend vraiment bas sur sa cuisse, je le félicite au passage pour la beauté de son corps.

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Il m’attire virilement contre lui, prend mes fesses à pleines mains, les pétrit, les malaxe, les écarte pendant que de mes mains je me saisis de ses bourses pendantes. “Tu n’as pas complètement cicatrisé. Je te propose de poursuivre l’intervention. Il faut battre le fer pendant qu’il est... chaud !” Alors qu’il m’installe à quatre pattes sur le lit tête contre lui, et qu’il me lubrifie à l’aide du gel, je m’emploie à aspirer son délicieux vit. Je le décalotte et le suce bruyamment, l’envoyant le plus loin possible dans ma gorge avant qu’il ne soit trop monstrueux, ce qui ne dure pas longtemps. Puis de mon autre main, je l’empoigne par la base, l’admire, le lèche, m’en bats le visage comme s’il s’agissait d’un gros gourdin, savourant avec un réel plaisir le bruit mat que cela génère à l’impact, ce qui amuse beaucoup son porteur. Puis je le pompe énergiquement, le tenant fermement par la base et les couilles, sous ses encouragements, conscient de vivre un grand moment d’exception, et ne sachant pas si nous nous reverrons. Je veux qu’il bande et qu’il me baise, lui laisser un bon souvenir de ma bouche et de mes fesses.
Sa hampe ressemble maintenant au Zeppelin, bien à l’horizontale, son bout marron pourpre laisse échapper un peu de mouille, il est temps qu’il me sodomise. Je l’enduis à mon tour d’une bonne dose de gel et le masturbe “grassement” pour éviter tout échauffement. “ Prends-moi vite, mes fesses ont faim de ta grosse queue, viens !” m’entends-je l’implorer comme un junky réclamerait sa dose d’héro. Et contre toute attente, il veut me prendre debout. Non, pas debout accoudé à une table ou contre un mur, mais il désire que je l’enlace de mes jambes alors qu’il me porte en me tenant à son cou ! Debout sur le lit, il me ceinture de ses puissants bras sous mes fesses alors que je m’agrippe à lui. Mes jambes s’enroulent dans son dos, et sa main guide sa grosse queue pour la placer à l’entrée de mon anus. “Viens, descends, empale-toi à ton rythme, tu vas voir comme c’est bon !” me glisse-t-il, sûr de lui comme depuis le début. Il relâche son maintien tout en tenant sa queue, et voilà que je le sens me pénétrer de nouveau, lentement. Un peu comme la cuillère s’enfonce dans le miel, sa puissante arme s’engage dans mon anus. Lorsque les premiers centimètres sont bien engagés, ses larges mains m’écartent largement les fesses. Suspendu à son cou, je lui raconte combien sa queue est bonne, comment j’aime qu’il m’encule, qu’il est le premier à me faire ce genre d’acrobatie. “Tu aimes le cul, hein ? Tu vas jouir, tu vas aimer ma queue sur ses 25 cm ! Viens, descends, oui, encore, mets-la bien au chaud.” Par petites contractions, la gravité opère, inexorablement. Tel un chêne centenaire, Sidné reste imperturbablement droit, la queue raide, mes fesses dans ses mains. Seuls ses bras noueux se contractent afin de me rehausser, puis leur relâchement me l’envoie encore plus profond. Rapidement, mon sphincter se retrouve à la base de sa verge. Je décolle alors un peu mon torse du sien, et nous commençons à nous emboîter frénétiquement. Il est impossible de définir ce que je ressens, plaisir et douleur, opulence et grosseur, puissance et amplitude, tous ces mots s’associent pour me faire vibrer autant que trembler, coulisser autant que me contracter. “Ooooh, tu n’es pas humain ! Ce n’est pas possible d’avoir une aussi grosse bite !”. Sa réponse n’est que physique, il me lime, et moi, je me jette fanatiquement du haut de sa verge jusqu’à ses couilles. Cette chute est contrôlée, et le frottement qu’elle occasionne m’irradie les reins de bonheur. Mais il faut tout de même varier les postures, le plaisir est une quête permanente. Délicatement, il se dégage, s’allonge sur le dos. Je le chevauche instantanément en lui tournant le dos, et le guide entre mes reins alors qu’il m’écarte les fesses, ses pouces posés sur mon sphincter. La voie est ouverte, son mandrin m’investit sans peine alors que je visionne dans le miroir le film que je suis en train de vivre. Une amie me disait un jour que la sensation d’être “over quota” était indescriptible avec certains noirs. Et ce soir... j’en prends plein la rondelle !
Il se tortille alors que je me déchaîne sur son mât, mais rapidement demande à voir mon visage. Lorsque je me rassois sur lui, il me saisit aux hanches et me lime puissamment, me la faisant sentir sur toute la longueur, ses couilles sautant contre mes fesses à chaque coup de reins. Le souffle coupé, la bouche ouverte, je lui crie mon plaisir, mais il faut que l’on fasse une pause lubrification tant son joujou est gros. D’autorité, il me met sur le ventre. Le gel froid coule dans mon anus hyper dilaté, puis je le vois s’enduire son muscle dans le reflet que nous renvoie la glace. “J’aime te baiser, j’aime ta façon de participer, je vais te pilonner tant que tu le voudras. Si tu as mal, dis-le moi, je m’arrêterai de suite. Tu aimes comme je te prends ? Tu l’aimes ma bonne queue ? Tu la sens bien ? Laisse-toi aller, laisse-toi faire, je m’occupe de tout.” Ceci dit, il me place sur le côté, s’allonge contre moi, s’engage et reprend un lent mouvement alternatif entre mes globes. Mon ventre est empli d’une douce sensation, mes organes se sont adaptés au sien, et la douce chaleur que me procure son membre glissant de nouveau à merveille me transporte. Je saisis ses testicules et les pétris en ahanant d’extase, en le comblant de superlatifs. Graduellement, il intensifie son martèlement, mais n’hésite pas à s’immobiliser tout au fond de mon cul pour gonfler son gros bout, style “Who’s the boss ?”. Il sait ce qu’il a entre les jambes, et comment on s’en sert !
La tête toute remuée, probablement par l’hyperventilation lorsqu’il accélère, et aussi parce que je crie bien plus que je ne respire, je me retrouve à quatre pattes sur le lit, face à la glace, Sidné debout derrière moi pliant les jambes pour me repointer. Ses coups se font plus fermes, et toujours cette pression montante dans mes entrailles qui me rappelle que je suis un homme, et que même si ma queue est à demi-molle, j’ai tout de même de bonnes réserves de sperme à évacuer. Je n’en peux plus, je vais décoller, ou mourir, je ne sais d’ailleurs plus grand chose tant je divague. Son bras passe sous mon torse, et me voilà couché la tête au bord du lit, survolé par mon colosse qui m’enfonce son pieu en de longs coups de sagaie africaine. “Oui, vas-y, je sens que tu vas jouir, lâche prise ! Tu sens ma queue écraser ta prostate, hein, jouis, oui, vas-y !”. me susurre-t-il à l’oreille. Ses coups assénés avec une minutie toute chirurgicale m’envoient des vagues de chaleur, des ondes de bonheur, provoquent des cris à la limite du supportable. Soudain, venu du fond de mon cortex, une boule de feu descend le long de ma colonne, déclenchant des dizaines de spasmes dans mes reins et mon ventre, ainsi qu’une étrange chaleur dans ma verge écrasée sur le lit. Mes vésicules séminales se vident alors que mon anus se serre sur la matraque responsable de cet état, me la faisant sentir encore plus grosse. Je feule en répétant sans cesse que je jouis, que c’est un Dieu, que je me vide. Mon amant m’en cule à chaque spasme tout au long de mon orgasme avant de rester planté au plus profond de mon rectum. “Jouis, c’est trop bon de t’entendre. Laisse-toi aller, décroche, tu es si confortable.” dit-il d’une voix suave, respectueuse. Mon anus brûlant est serré autour de la base de sa hampe. Vidé, je sens qu’effectivement, je décroche, que mes forces m’abandonnent, me quittent, ainsi que ma conscience...
Il s’est passé quelques longues minutes lorsque je reviens à la réalité. Sid’ est toujours aussi raide et planté en moi. Seul mon sphincter s’est entre-temps détendu, relâchant la pression autour de son vit. “Je suis désolé, j’ai perdu connaissance, je crois.” lui dis-je. “Je ne pouvais pas espérer meilleur compliment ! Tu veux me sucer pour me finir ?” me répond-il alors. J’envoie ma main entre nos deux corps, l’obligeant à reculer un peu, sa présence devenant presque douloureuse. Mes doigts se referment alors sur sa hampe bouillante, et je le guide lentement hors de moi sans le lâcher. “Quel vide tu laisses derrière toi ! Tu es toujours aussi dur !” m’étonnais-je. Il m’est effectivement impossible de le laisser dans cet état. Je me laisse tomber à genoux aux pieds du lit pour l’attirer vers moi, plaçant ses jambes de part et d’autre afin d’avoir son énorme sexe sous mes yeux. Je commence par lui brouter le scrotum, puis lui lèche ses couilles avant de les lui sucer longuement. “Achève-moi, pompe-moi que je te donne ma crème !” J’attrape cette queue qui m’a tant fait vibrer et commence à la sucer, insistant sur son bout gonflé. Sa verge a un goût de sperme, il a vraiment dû se retenir et beaucoup mouiller, et puis certains hommes mouillent beaucoup, quoi qu’il en soit. Mais j’ai la ferme intention de la vider de son jus. Mes forces reviennent et ma bouche devient furieuse, aidée de mes deux mains qui le branlent fermement. Deux tiers pour elles, un tiers pour ma bouche, nous nous partageons avidement le butin. Ma langue s’enroule autour de son gland le temps de courtes pauses, mes dents le mordillent et déjà je reprends de plus belle. Dans un cri rauque, ses abdos se plissent, ses couilles se placent sous la base de sa queue, son bassin s’élève, et dans une grande secousse remontant le long de son vit, un volcan de foutre remplit ma bouche. Son éjaculation est particulière : pas de pression, mais une très grosse quantité qui arrive en une seule vague ! J’avale son doux nectar et déjà une autre éruption fait son apparition, toute aussi copieuse, suivie d’encore trois autres. Sa grosse queue vaincue reste encore longtemps dans ma bouche, débandant sous mes délicates et discrètes caresses de la langue. Le goût de sa semence me comble, et je viens de vivre l’orgasme anal le plus intense de toute ma vie, grâce à cette queue de centaure.
Lentement, je dépose sa longue verge sur son ventre avant de retourner embrasser ses belles bourses, puis enfin me relève, les reins en feu, repu de sexe pour quelques heures... peut-être ! Mon cul est un hall de gare, ouvert, distendu, et ce n’est pas si désagréable que cela. Nous filons sous la douche, puis, toujours nus, nous allons au salon boire un verre. Je lui demande si je peux fumer une cigarette en admirant son corps d’esthète, ou s’il me met dehors de suite, ayant pris sont pied. “Tu n’as plus envie de sexe ?” me sourit-il. La réponse a le mérite d’être claire. Il va falloir que mon anus se fasse une raison !

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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : sam. 18 déc. 2010, 15:41 
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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : sam. 25 déc. 2010, 06:10 
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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : sam. 25 déc. 2010, 09:23 
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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : sam. 25 déc. 2010, 10:34 
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Très excitant en effet, bravo! :slt:


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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : mer. 29 déc. 2010, 13:26 
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Sidné deuxième !

Le Jack nous apporta un bon réconfort, mais nos estomac réclamaient quelque chose de plus consistant. Après le salon, la salle de bain et la chambre, c’est la cuisine qu’il m’invita à visiter. Mon hôte nous prépara une délicieuse omelette, accompagnée de deux feuilles de salade, il ne nous en fallait pas plus pour recharger nos batteries. Une fois restaurés, en buvant un petit café, Sid’ me demande si j’accepterais de rester pour la nuit, me demandant si à mon âge je n’ai plus peur du noir. Cet homme séduisant est décidément plein de ressources, et en plus, il déborde d’hormones et d’humour. J’apprécie son hospitalité, lui confiant être sous le charme de ses organes génitaux, et que rien ne me ferait plus plaisir que de le sentir encore aller et venir en moi, ou le sucer, le déguster. Et c’est ainsi que quelques minutes plus tard, nous sommes au lit et que ma bouche joue avec son gland calotté, mes doigts palpant ses bourses. Il ne lui faut que quelques minutes pour passer de l’état de long sexe mou à celui de démonte-pneus en acier trempé, et ainsi me disloquer la mâchoire. Il m’encourage, me répétant que je m’occupe bien de lui, qu’il va ensuite longuement m’enculer, tout doucement comme j’aime, et se vider dans mon petit cul en me faisant hurler de bonheur. Et il en est capable. Avec cet homme, c’est 100 % garanti, sans prétention aucune.
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Ma salive ruisselle sur son gros vit alors que ma main le branle régulièrement. De l’autre côté de ma personne, je contracte régulièrement mon sphincter anal pour bien me préparer à sa venue imminente, et être le plus souple possible. Son gland turgescent me livre quelques perle de pré-sperme qui lui donne un petit goût sucré fort agréable. La pointe de ma langue plonge de temps en temps dans son large méat, si fendu et ouvert qu’il a la forme d’un mini vagin rempli de mouille. “Que ta grosse queue est agréable à sucer. Elle me rend dingue ! Je ne sais pas où je la préfère.” Pendant que je continue de la sucer, Sidné attrape le tube de gel sur la table de nuit et le plaçant directement sur mon anus en dépose une bonne quantité directement dans mon rectum et au pourtour de mon anus. Puis de son majeur, il me doigte délicatement. Rapidement, c’est avec deux doigts qu’il m’entreprend, taraudant bien mon orifice. Mais ses doigts ne me suffisent plus, je lui demande de me “ la mettre” tout de suite, de ne plus me faire attendre. Assis contre la tête de lit, il me fait reculer à quatre pattes entre ses jambes écartées, mes talons de chaque côté de ses fesses, je peux ainsi venir m’asseoir directement sur son gland. Alors que d’une main il écarte mes fesses pour bien voir mon œillet, à l’aide de son gland il étale un peu le lubrifiant, et le place dans mon orifice impatient. Aussitôt, poussant fort pour bien m’ouvrir sur son pieu, je m’assieds lentement pour me faire pénétrer lentement. “Descends, encule-toi à ta vitesse ! Ton petit cul est trop bon, tu me serres fort la bite, c’est du bonheur.”. Cette pénétration m’arrache des gémissements, des frissons me parcourent, alors qu’une des mains de mon amant se pose sur mon sexe et commence à me branler, l’autre me prenant fermement les couilles. C’est si bon d’être sollicité de tous les côtés, écartelé. Il ne me manque qu’une autre bite ou une petite chatte mouillée pour combler ma bouche.
Atteint d’un excès de frénésie, je vais et viens sur sa bite pourtant engagée que de moitié entre mes reins, râlant à chaque descente tant elle me ramone, mais si excité par la main qui enserre ma queue durcissante que je demande à Sid’ de me tirer pour bien me la mettre. Mon cul est chaud, j’ai envie qu’il me possède pleinement et vais de toutes façons m’adapter à son sexe. Je veux qu’il me transperce, qu’il se fasse une place dans mon ventre et l’y accueillir jusqu’à ce qu’il vide ses grosses couilles pleines de son divin foutre brûlant. Sa main lâche mes testicules pour venir saisir ma hanche. “Tu aimes ma queue autant que moi ton cul, on va partir ensemble !” me dit-il en m’aidant à m’enfoncer sa poutre entre mes fesses, la partie la plus épaisse de sa hampe. Et putain qu’elle est grosse, cette queue ! Mais qu’elle est bonne, génératrice de sensations exceptionnelles, et je suis très fier d’être son partenaire dans un assaut de cette amplitude. J’attrape à mon tour ses couilles, et commence à danser, m’efforçant à venir coller mes fesses contre son pubis en marquant bien l’arrêt au point bas. Coulissant timidement de quelques centimètres au début, je n’hésite pas à me relever toujours un peu plus haut, criant que je veux qu’il me défonce, qu’il me la plante jusque dans la gorge et qu’il jouisse des litres de foutre ! Sa main serre ma queue raide et longue, et plus je coulisse haut, plus il me branle fermement, et... plus j’en veux.
Me voilà parti à sauter sur son mât, exploitant 20 bons centimètres de sa hampe, l’implorant de jouir au plus vite, sentant mon foutre ronger la vanne qui le retient dans mon ventre. Sa main sur ma hanche se fait plus ferme en me tirant fort vers lui, je comprends qu’il va me bénir le cul lorsqu’il me bloque puissamment contre son ventre. Son gland gonfle tant que j’en ressens l’empreinte repousser mon rectum pendant qu’il grogne quelque chose d’inaudible, sa queue propulsant sa semence comme un cœur pour m’asperger les entrailles et me remplir le ventre. Sa jouissance déclenche la mienne, mon sperme fuse de ma bite tendue dans un désordre total, à moins que ce ne soit son foutre qui me traverse tant il est immense en moi et que mon esprit est confus. Ravagé, hystérique et hors d’haleine, je jouis, intensément et l’incroyable tonicité de mon boyau lamine son membre démesuré.
Doucement sa main me libère. Je m’affale sur le lit, le cul transpercé par mon héros, mon superman, aussi muet et immobile que moi, épuisé par nos orgasmes. Une vingtaine de minutes plus tard, avec beaucoup de minutie, je ressors le sexe débandé de Sidné de mes entrailles et me faufile dans les draps. Ses derniers mots sont pour dire que je suis complètement déjanté, mais terriblement attachant. Ma main passe entre ses jambes pour attraper sa verge alors qu’il éteint la lumière. “Jamais personne ne m’a donné un tel plaisir. Jamais. Ni homme, ni femme. Merci infiniment. Je n’aurai plus peur maintenant que je sais ce qu’est le noir.” lui confie-je alors que les dernières décharges d’énergie rebondissent de part et d’autre de mon cortex. Tilt. Game over.
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Lorsque j’ouvre les yeux, le lit est vide, le jour levé, et Mezzoforte parvient à mes oreilles. La première chose qui me vient à l’esprit en me remémorant la dernière scène est de contracter mon ventre pour sonder d’éventuels maux, mais c’est à peine si je ressens mon anus. RAS, j’ai conservé mon intégrité. La nuit aura été réparatrice, et l’expérience m’a très souvent démontré mes prédispositions pour ce genre de prouesses. Sautant hors du lit, j’enfile un peignoir et retrouve mon géant noir tout sourire dans la cuisine, le café fumant sur la table, me demandant si j’ai bien dormi. Je lui réponds que lorsque je suis si bien bercé, je trouve facilement le sommeil. L’en remerciant chaleureusement, nous prenons un copieux petit déjeuner.
D’humeur joyeuse, tous deux de nature enjouée, notre discussion démarre sur la musique. Violoncelliste autant que pianiste, de formation classique, il a ces dix dernières années joué dans plusieurs orchestres philharmoniques, dirigé par d’éminents chefs d’orchestre. Et c’est avec un réel plaisir que Sid’, colosse noir drapé de blanc immaculé, se livre à un concert privé, n’hésitant pas à changer d’instruments selon le morceau choisi, les maîtrisant tous parfaitement, jouant principalement du classique, mais aussi des airs plus contemporains, enchaînant même de vieux blues sur sa guitare. Pendant presque deux heures, il m’en met plein les oreilles, terminant sur un morceau de saxo torride, assis face à moi sur le tabouret de son piano. Ses jambes largement écartées dévoilent son long sexe pendant, véritable point d’exclamation noir sur fond de toile blanche. C’est précisément à cet instant que mon esprit cesse d’être captivé par la musique. Soudain, c’est de sa queue dont j’ai envie. Cet être exceptionnellement doué me fascine. Le goût de son sperme m’envahit instantanément la bouche, m’obligeant à me mettre en quête de sa semence. “Ne bouge surtout pas !” lui intimais-je alors qu’il vient de terminer sa prestation. “Tu es magnifique, j’ai trop envie de toi, là, tout de suite. Laisse-moi te sucer.” continuais-je en me jetant entre ses jambes à même le plancher.
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Mes jambes trouvent place sous le tabouret, aussi naturellement que mes mains se placent sur ses genoux. Ma bouche aspire cette épaisse colonne de chair luisante, celle-là même qui cette nuit naviguait délicieusement entre mes reins. Comme un rêve éveillé, mon esprit ne souffre d’aucun parasitage : ni faim, ni soif, pas de contraintes horaires, thermiques, sonores, posturales, rien. Au contraire, il est entièrement focalisé sur une action précise, en l’occurrence, sucer avidement la queue de mon amant afin de lui ravir son divin foutre, et de m’en... sustenter !
Loin de s’en offusquer, il se laisse déguster avec quelques souffles exprimant son approbation, sa participation. Son boa prend de la consistance en s’insinuant profondément dans ma bouche. Une nuit de sommeil ne m’a pas donné de super pouvoir, mais une évidente frénésie me porte, ce qui me permet de me surpasser, de profiter pleinement de cette grosse queue. Son goût un peu fort, musqué, divinement mâle, titille mes papilles lorsque ma langue visite la couronne de son champignon fendu. Ses lourdes couilles ne sont pas épargnées non plus, trouvant asile régulièrement entre une langue hystérique et un palais friand de mille saveurs. Je les aspire, lui tète la peau des bourses, darde son scrotum de la langue, puis renfonce son pieu brûlant aux confins de mes amygdales, engageant ce puissant gland le plus loin possible dans mon arrière-gorge, à m’en couper le souffle. Ma salive s’épaissit, devient gluante, et ma main en enduit sa lourde hampe dans un énergique branle. Et ça lui convient bien si j’en juge par ses encouragements et son érection !
“Tu vas me faire jouir à cent à l’heure si tu continue ainsi !” gémit mon homme. Car c’est MON homme, là, dans ce salon en ce samedi matin. Je LE veux, je veux qu’IL vide ses grosses burnes dans MA bouche et déguster chacun de SES spermatozoïdes avec un rare plaisir. Ma succion devient terrible, mon branle intense, une main serrant ses testicules, ne lui laissant d’autre choix que de jouir, et vite. Il souffle, son ventre se tend plusieurs fois de suite, se creuse, s’arrondit, comme si un être l’habitait. En fait, il y en a juste plusieurs... millions. “Oh oui !” se contente-t-il d’exprimer alors que son foutre parcourt les quelques 25 cm qui le séparent de mes lèvres, générant un puissant spasme en chemin. Chaude et copieuse, sa semence se mélange à mon épaisse salive, trouve précipitamment place en me gonflant les joues, en passant sous ma langue, déchargeant au contact ses subtils arômes sur mes papilles ravies. Un coup de langue remonte le long de son frein, puis mes joues se creusent pour propulser son sperme dans ma gorge et ainsi permettre à la nouvelle salve de venir intensifier ma soif de jus. Lorsqu’elle me submerge, j’en grogne de plaisir, m’en repaît, mais fort de mon expérience, l’avale car déjà son ventre se creuse de nouveau, m’annonçant le départ de nouvelles troupes. La nuit lui aura était profitable, remettant à niveau ses vésicules séminales rien que pour moi. Mon geste porte également ses fruits car ce ne sont pas moins de cinq lourdes et chaudes décharges que mon beau et puissant black dépose dans ma bouche. Je garde la dernière pour jouer avec son gland tendrement alors que la gravité le rattrape, rendant ses testicules de nouveau pesants dans ma main protectrice. Sortant sa longue trompe débandante d’entre mes lèvres pour savourer ses dernières gouttes de foutre, je lui répète être sous le charme de ses attributs sexuels, de son foutre, et de ce qu’ils provoquent en moi.
Alors qu’il reprend lentement ses esprits, je nettoie sa belle queue amoureusement. Satisfait d’avoir obtenu ma récompense, je l’abandonne pour aller me servir un café, et sors sur la terrasse fumer une cigarette en profitant du soleil matinal. Juste avant de passer la porte, je le regarde se remettre de son orgasme, et lui dis qu’après mon estomac, ce sera au tour de mes reins de réclamer leur dû. Le bruit de la douche me permet de rapidement le localiser lorsque je reviens. Naturellement, il m’invite à le rejoindre, et la douceur de l’eau me fait le plus grand bien. De sa propre initiative, il me savonne tout le corps, insistant bien sur mes fesses et mes organes génitaux. Alors que ses doigts me pénètrent délicatement l’anus, sa main me malaxe les couilles et me branle lentement. Mes mains ne restent pas inactive, et bien qu’il ait joui un quart d’heure plus tôt, sa queue semble déjà vigoureuse, lourdement dressée à l’horizontale. Afin de bien me faire comprendre qu’il se sent “d’attaque”, il retire ses doigts, me plaque contre lui en coinçant son mandrin entre mes jambes. “Tu as envie de moi ? Tu veux me faire joui aussi fort que cette nuit ? Attends un peu.” Rincé, je sors de la douche et me sèche rapidement, puis me penche de façon provocante sur la paillasse, la tête entre les deux lavabos. “Attrape n’importe quoi de lubrifiant et mets-la moi tout de suite ! J’ai besoin de sensations.” Il envoie sa main dans un tiroir pour en ressortir je ne sais quel tube, m’en enduit les fesses que je tiens bien ouvertes avant de s’en graisser la colonne. Son bout gonflé se pointe à l’entrée de mes reins et déjà il s’enfonce en moi. Sa barre chaude et dure me perfore avec insistance alors que je force pour lui faciliter l’entrée. “Oui, viens en moi, encule-moi fort, j’ai trop envie de sentir ta queue immense en moi !” crie-je alors qu’il fait une courte pause. Déterminées, mes mains l’agrippent aux hanches et l’attirent en moi, sa queue alors me brûle, violant mes entrailles, mais je le veux tout entier en moi. “Oh oui, encore, casse-moi les fesses, je veux que tu m’encules fort ! Lime-moi.” Mon souffle est court, la partie la plus large de sa hampe me donne le “La” en me déformant terriblement la rondelle, mais finit par passer sans dommages. Déjà des perles de sueur envahissent mon front, mais encore quelques coups de reins et mon noir adoré écrase ses bourses contre mes fesses. “Oooooh, tu es si gros, j’ai le cul rempli, mais c’est si bon. Prends-moi, j’ai envie de hurler de jouissance, s’il te plaît. Vide-toi en moi !” crie-je, déjà à moitié en transe.
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Mais Sid’ n’est pas un bourrin, un de ces minables “casseurs de cul”. Il m’est arrivé quelques fois d’expulser des hommes d’entre mes fesses pour “violence avec préméditation”. Et aussi surprenant que ce soit, ce n’étaient pas les mieux montés, mais plutôt ceux qui s’imaginent l’être et qui plus est, prétendent savoir s’en servir. Baiser, enculer, ou encore sauter quelqu’un, est à la portée de presque tout le monde, activement autant que passivement. Ce qui donne finalement tout son sens à l’accouplement est la sensibilité et l’affinité des différents protagonistes. C’est à mon humble avis à ce titre que les femmes prétendent ne pas attacher trop d’importance à la grosseur ou la longueur du sexe de leurs amants, privilégiant “leur taux d’implication” à l’acte, la sincérité des sentiments et, on ne le dira jamais assez, les préliminaires !
La différence est que pour moi, l’aspect quantitatif prédomine, et que la vue, le contact de grosses pièces me drogue, booste mes désirs, optimise mes performances. Et bien qu’étant un homme, d’ailleurs fier de le revendiquer, je fonctionne avant tout au feeling, donnant le meilleur que mon partenaire soit masculin ou féminin, si je ressens une certaine complicité. Cette complicité, dans de très rares cas, tourne à la complémentarité. L’homme qui se trouve en ce moment même dans mon dos, son intimité plantée en moi jusqu’à mon nombril, est de la trempe des partenaires sexuels hors du commun, ceux qui permettent à la magie chimique et organique d’opérer pour faire d’un acte... un voyage.
Sorte de sexualité étrangement dénuée de toutes polarités, abstraite de tous jugements, ne laissant aucune place à quelques étiquettes, titres, ou rôles que ce soit. Et c’est précisément libres de toute entrave que nos corps fusionnent, s’assemblent, telles des notes sur une partition. Véritable Maîtr’onome, il investit mon corps avec régularité, sans hésitation, prenant autant qu’il me donne. Ses coups de queue pénètrent mon esprit, sa hampe est ma moelle épinière; tout mon être vibre de ses assauts longs et appuyés, mon ampoule rectale se referme telle une bouche autour de son gland énorme chaque fois qu’il vient se perdre au fond de moi. “Ne bouge plus ! Reste au fond de moi un moment.” m’exclamais-je alors que je lui griffe les hanches. Ses lourds testicules blottis contre les miens, sa sagaie explosant mon rectum il se penche sur moi, écrasant le bas de mes reins de ses abdominaux. Sa chaleur dans mon dos contraste tant avec le froid de la paillasse ! Je contracte mes muscles cycliquement pour lui transmettre mes sensations intimes. “Hummmm ! Je n’ai presque jamais pu pénétrer quelqu’un aussi profondément, c’est divin. Tu es si souple !” me chuchote-t-il tendrement, contractant sa lourde massue pour bien répondre à mes appels. Après quelques dizaines de secondes, Sid’ recule doucement son arme sans décoller son ventre de mon dos. D’un geste gracieux, il prend appui d’un genou sur la paillasse, ce qui lui offre la possibilité de me sodomiser doucement en gardant son corps contre moi, ne basculant ainsi que son bassin d’avant en arrière.
“Ca que c’est bon ! Oooh, tu me prends si bien, je crois que je vais jouir !” Sa bite laboure ma prostate en me laminant délicieusement le rectum, je sens la pression monter rapidement. Mon souffle est court, je glousse de plaisir, jouissant déjà cérébralement. Mais il m’ordonne de l’attendre encore quelques minutes, qu’il veut jouir aussi et se répandre en moi comme je le lui avais demandé. Ma main passe entre nos jambes pour retrouver ses burnes chaudes et les serrer tendrement. “Oui, continue de me baiser, je t’attends. Viens, viens en moi, vide-toi, je veux tout ton jus, verse ta crème, oh ouiiii, viiiiiiiite !” Saoul de sexe, ivre de sa queue, de sa parfaite maîtrise, je crie ma jouissance en déversant mon foutre je ne sais où, et d’ailleurs, quelle importance ? M’assénant deux ou trois longs coups de reins, je le sens jouir tout au fond de moi. Une marée brûlante submerge mes entrailles, sensations inexplicables pour qui ne les a jamais vécues.
Les jambes encore en coton, je le fais sortir de moi. Alors qu’il reste planté là, je me laisse tomber à terre entre ses jambes; ma main saisit sa lourde massue pour la porter à mes lèvres pour en découvrir toutes les saveurs. Mes fesses baignent dans mon propre sperme, alors que de mon ventre distendu, l’exquise sensation de celui de mon amant commençant à s’écouler vient sceller la fin de cette délicieuse sodomie.
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Modifié en dernier par bibi le ven. 31 déc. 2010, 09:04, modifié 1 fois.

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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : mer. 29 déc. 2010, 14:00 
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:pipi: oui, je sais, j'en ai pas, mais c'est tout comme!!! :clap: :clin:

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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : lun. 03 janv. 2011, 23:34 
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 Sujet du message : Re: L'instrument de Sidné
MessagePosté : ven. 07 janv. 2011, 14:59 
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Bibi j'adore ce que tu écris et réellement c'est bandant. Ta manière de raconter toutes ces aventures est un régal. C'est rare pour ce genre de récit, mais je n'hésite jamais à te relire :love:

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln

alors qu'est ce qu'on attend ? :D


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