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Ici, il s'agit d'une situation particulière. A cette époque, j'avais peur d'un petit groupe de mecs qui faisaient un peu la loi dans le quartier. Il vendaient du shit, harcelaient les passants, en les insultant. Je faisais bien attention à ne pas les croiser, mais un jour, ils m'ont coincée. Il y avait des passants dans la rue, mais personne n'est intervenu et j'ai dû les accompagner sur un terrain vague, site d'une usine désaffectée. Je pensais qu'ils allaient me tabasser - je les imaginait aimer "casser du pédé" - mais leur chef m'a dit que cela faisait longtemps qu'ils avaient tous les trois envie de faire connaissance avec moi. Il m'ont touchée, embrassée, caressée et ils m'ont baisée tous les trois. Par la suite, ils ont été mes meilleurs potes, ils me protégeaient, on allait à des concerts, des bars. On baisait souvent aussi.

L'inspection de la chatte anale de Fani
avant les saillies.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

oui, j'ai un goût prononcé pour les hommes de couleur. En partie parce que cela irritait les hommes de ma famille - je venais d'un milieu de la haute bourgeoisie catholique, raciste et colonialiste - que je me fasse baiser par d'énormes pénis noirs. Ces hommes venaient travailler en Europe et "colonisaient" mon cul.
Je crois que j'ai déjà raconté que ma mère était très engagée dans des organisation d'aide aux immigrés, fournissant nourriture, vêtements et logement. C'était sa manière à elle de faire un pied de nez à sa famille. M'offrir à ces hommes souvent méprisés et humiliés était aussi un moyen d'humilier les mâles de la famille.
La première fois, nous étions aller apporter diverses fournitures dans un appartement occupé par cinq africains, qui travaillaient de nuit dans un abattoir, à tuer, plumer, découper et emballer des milliers de poulets. L'appartement n'était pas très bien entretenu et ma mère a déclaré sans me consulter : "mon fils viendra deux fois par semaine faire le ménage".
Comme je protestais, elle m'a réprimander devant ces hommes, disant que je menais une vie très facile, alors que ces hommes menaient une existence beaucoup plus difficile et qu'il était normal que je les aide.
J'y suis donc allé une première fois après les cours, en fin d'après-midi. Omar, qui était en quelque sorte le chef de l'équipe était seul. Il m'a indiqué ce qu'il y avait à nettoyer et j'ai commencé mon travail. au bout des deux heures prévues, il m'a offert un thé et m'a proposé de rester manger avec les autres, qui n'allaient pas tarder à arriver. j'ai accepté.
On a bu le thé et il a mis une main sur ma cuisse et a sorti sa queue de son jogging. Elle était énorme! "il faut que tu suces maintenant, ma mignonne" a-t-il dit, ce que j'ai fait sans me prier, à genoux dans la cuisine.
L'un de ses compagnons est arrivé alors que j'étais encore en pleine fellation. Omar a éjaculé dans ma bouche et s'est mis à préparer le repas, pendant que le nouvel arrivant m'emmenait sous la douche pour me préparer à la sodomie.
Ils m'ont prise à tour de rôle dans la cuisine. Les autres sont arrivés en même temps et ont aussi profité de ma bouche et de mon cul.
J'ai mangé ensuite avec eux, même si Rachid a dit en plaisantant que j'avais déjà bien été nourrie avec tout le sperme que j'avais avalé. Omar a déclaré que je serais désormais leur femme et que en plus du ménage, je devrais être sexuellement à leur disposition.

Il est toujours plaisant de lire tes expériences, fani.

Là, c'était chez un ami de tes parents qui t'avait invité.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Merci ;-)

Oui, c'était un bon ami de mes parents. Il était venu passer une soirée chez nous et je m'étais montrée un peu capricieuse ce soir là. il avait dit qu'il me faudrait un bon petit dressage pour me remettre à ma place.
Mes parents avaient trouvé l'idée très bonne et m'avaient amenée chez lui avant de partir en week-end. Il devaient revenir quatre jours plus tard.
Il a passé ce temps à me dresser et m'éduquer pour mon plus grand plaisir. Il était assez porté sur les corrections et j'ai eu mon content de gifles, fessées à la main, au martinet, à la cravache et à la ceinture! c'était la première fois que je découvrais le plaisir des corrections érotiques et je trouvais cela extrêmement excitant!
Il m'a bien sûr baisée à de nombreuses reprises. Il m'a raccompagnée chez mes parents peu après leur retour et durant les semaines qui ont suivi, le résultat de mon éducation a été très visible. J'étais beaucoup plus soumise, obéissante, serviable et gentille. Au fil du temps, je suis revenue à des attitudes de défi et ma mère a demandé à cet ami s'il était possible de m'éduquer pour faire de moi une personne parfaitement soumise, de manière permanente.
C'était bien sûr possible, mais il fallait que je sois éduquée de manière très stricte durant un certain temps, durant les week-ends, les vacances et tout moment où je n'étudiais pas . Il a fallu environ deux ans d'éducation continue pour faire de moi une parfaite servante soumise.

"Son clitoris se contracte doucement à chaque coup de son pénis viril !"

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

J'ai toujours eu un caractère très féminin et admiré chez les autres cette virilité que je n'arrivais pas à ressentir chez moi et tout naturellement, imaginé ce qu'un pénis pouvait m'apporter. Mes premières fellations et pénétrations ont été quasiment publique. J'étais "la fille" d'un petit groupe de garçons. Au départ ce n'était pas sexuel, il y avait juste un côté patriarcal. Notre "chef" avait décidé que plus personne ne me serrerait la main, que je devrais faire le service des boissons et de la nourriture lors de nos rencontres, puis me déshabiller pour le faire, jusqu'à commencer à prodiguer des fellations à mes camarades.
un week-end pluvieux, j'ai dit au groupe que je pensais qu'il était temps que je commence à me faire enculer et l'on s'est retrouvés à cinq dans ma chambre pour ce dépucelage en règle. Dès la première pénétration, j'ai su que j'étais faite pour ça, à la grande surprise de ces garçons, dont les fantasmes étaient plutôt de pénétrer quelqu'un, une fille de préférence. Après cette première fois, le "chef" a décidé que je devrais désormais porter des robes lors de nos rencontres et d'une manière générale me féminiser beaucoup plus. J'ai eu le soutien de ma mère dans cette évolution vers le féminin, ainsi que du reste de ma famille.

Fani apprécie d'obéir aux envies de contraintes de ses amants
directifs et imaginatifs.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

En fait, c'est toujours moi qui ai fait preuve d'imagination et initié les divers jeux auxquels j'aime me soumettre. J'ai toujours trouvé mes parents bien trop permissifs et pas assez autoritaires et j'ai commencé assez jeune à leur dire des choses du genre "Je ne comprends pas que vous ne m'ayez pas puni pour ça", ou "En tout cas moi, à ta place, après une réponse aussi insolente, je balancerais une bonne paire de gifles, une fessée ou une correction dont je me souviendrais". Et ainsi de suite.

J'ai élaboré ensuite plein de scénarios hors ou en famille, destinés à me faire "maltraiter" comme je le souhaitais. Par exemple, mes parents partaient faire des courses et je leur proposais de m'attacher quelque part "pour que je ne fasse pas de bêtise".
Une autre fois, ils partaient en vacances et ils m'ont attachée nue dans le coffre de leur voiture, baillonnée et aveuglée, puis laissée chez un de leur amis qui m'a dressée durant les deux semaines où ils s'absentaient.

Fani ne refuse jamais les queues des
hommes de sa famille.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

Il serait plus juste de dire "Fany ne refuse jamais une queue". Ma seule limite est l'hygiène, mais le mot "non" n'a pas vraiment de signification pour moi.
Il est vrai que l'inceste avec les hommes de ma famille, vécu et assumé est extrêmement jouissif pour moi, même si je suis consciente de la perversion de cette situation.
Je me rappelle d'un week-end où mon grand-père m'a invité à l'accompagner, avec mes deux oncles, à un week-end de chasse. Je n'étais bien sûr pas armé, mais j'aimais bien être dans la nature et rester des heures à l'affut. Un ami de mon grand-père nous accompagnait. Il a dit "Mais ça sert à quoi que Stéphane nous accompagne?" Les trois autres on rit. On a passé une belle journée et ensuite on est allés au chalet de mon grand-père pour la soirée.
J'ai commencé à préparer le repas, mis la table et ensuite je suis allé prendre une douche. Je suis revenue en petite robe noir, bas, talons et mon grand-père à expliqué à quoi je servais.
Ils m'ont bien baisée tous les quatre, c'était top!

Un petit nom de fani.

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"Vaut mieux rater un baiser que baiser un raté".

C'est pas mon nom, "pute" est mon métier, mon premier en fait, avant que je ne fasse cette école hotelière puis une formation de domestique ;-)

Au début, je baisais sans penser à l'argent, jusqu'à ce qu'un mec me jette un billet par terre, pour me remercier de mes services. C'est là que j'ai commencé à me prostituer et que j'ai officialisé mon statut de "travailleuse du sexe", payé des impôts et ai bénéficié d'un suivi médical et d'une meilleure protection.