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MessagePosté : lun. 15 juil. 2024, 19:29 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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La Gazette de la Mac Pyridine Company-2

En ce début d’été nous sommes très heureux de vous faire part de plusieurs décisions de Huguette Mac Pyridine visant à restructurer la direction Atlantique Nord Est et mer Baltique.
La compagnie va quitter sa base actuelle de Hambourg pour s’installer à Flekkefjord en Norvège, les dangers de la région liés aux gazoducs poussent la Mac Pyridine Compagnie à abandonner la pêche en mer Baltique, nos poissonneries dans ce secteur seront approvisionnées par notre premier navire marchand depuis Flekkefjord. Le bateau rebaptisé Anette sera confié au Commandant Anette Kislanick diplômée de l’école de marine de Livourne en Italie qui vient d’épouser Patricia Borniol directrice de la région.
Nos félicitations aux jeunes mariés.
La seconde nouvelle concerne l’acquisition d’un brise-glace par la compagnie, le bateau se nomme Hespéride et naviguera au nord comme au sud selon les besoins, temporairement il est sous le commandement de Mado Lavergne en plus du Fusion, nous recherchons un capitaine.
En illustration le commandant Kislanick dans la luxueuse cabine de son bateau.


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MessagePosté : jeu. 18 juil. 2024, 19:09 
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Le mensonge de Solange.


Alors, où est-ce rapport que je vous avais demandé ?
Madame Solange Poupolechcu roumaine et chargée des cours d’ingénierie navale de l’institut Ospif, jeune femme svelte et gracieuse, sursauta. Elle n'avait pas entendu arriver Denise Ospif, la Directrice.
Le corridor grouillait d'élèves et de professeurs qui se pressaient vers leurs classes. Les cours de l'après-midi allaient bientôt commencer.
Je... euh... " Madame Solange semblait bien embarrassée. En une fraction de seconde elle devait trouver une réponse valable car la Directrice n'aimait pas demander deux fois la même chose. "Je les ai mis dans votre boîte aux lettres,
peut-être que quelqu'un l'a pris ?
C'était raté, c'était la mauvaise réponse, Madame Solange le sut le moment où elle disait ces mots...
La Directrice regarda la jeune femme dans les yeux.
Madame Solange était affreusement embarrassée. La Directrice n'allait pas laisser une chose pareille sans suites...
Autour d'elles les élèves passaient mais elle ne les voyait pas : elle regardait la Directrice comme un lapin regarde un cobra...
Celle-ci parla à voix basse :
"Vous savez que je ne supporte pas les mensonges. Je pense que vous en êtes consciente que je ne sais pas laisser passer ceci..."
Rouge comme une pivoine, ses livres de constructions mécaniques serrés contra sa poitrine comme s'ils pouvaient la protéger, Madame Solange secouait doucement la tête.
"Non, Madame la Directrice, s'il vous plaît... Je... euh... Les cours vont commencer, Je regrette ce que j'ai dit... Vous aurez le rapport demain matin, première heure... Je dois aller rejoindre ma classe maintenant... S'il vous plaît..."

"Votre classe attendra. Suivez-moi".
Les larmes aux yeux, la tête baissée, Madame Solange suivit la Directrice.
Elle avait l'impression que tout le monde la regardait.
Mais à part quelques professeurs qui discutaient dans un coin, personne ne fit attention.

Madame Vivienne Ribeau professeur d’astronomie et navigation classique dit à sa collègue, d'un air entendu : "Je ne sais pas ce qu'elle a fait, mais il me semble qu'elle va passer un mauvais quart d'heure..."
"Je n'aimerais pas être dans sa peau" fit une autre.
Madame la Directrice fit entrer Madame Solange dans son bureau puis alla directement dans la pièce adjacente, la "salle de bains".

Le cœur dans la gorge, la jeune femme la suivit. Maintenant qu'elles étaient sorties du brouhaha des corridors elle était à deux doigts de la panique. Elle n'osa même plus plaider sa cause, persuadée - à juste titre d'ailleurs - qu'elle risquait seulement d'augmenter sa peine.

"Déposez vos livres sur la table. Ceci ne va pas prendre beaucoup de temps. Je ne tolérerai aucun mensonge dans l'Institut Ospif, surtout pas de la part d'un professeur. Où allons-nous sinon ?"
Madame Solange ne répondit pas, se mordant les lèvres.
Penchez-vous sur cette table, et appuyez-vous sur vos avant-bras. Mettez la tête sur vos bras."
La jeune femme s'exécuta, se pencha sur la table, son derrière en l'air.
Rapidement la Directrice lui attacha les poignets et les chevilles avec des lanières en cuir.

"Bien entendu cela sera douloureux, mais je compte sur vous pour vous dominer :
je ne veux pas entendre de cris. Compris ? Vous allez expier en silence".
D'une petite voix la femme répondit "Oui, Madame la Directrice"

La Directrice alla chercher quelques objets dans une armoire et revint avec une petite table roulante.
Le derrière de Madame Solange était moulé dans un pantalon en laine gris-foncé,
qui lui allait comme un gant. Il était si bien ajusté, que même dans cette position - la croupe en l'air - on voyait à peine les marques de sa culotte.
Un instant la Directrice avait même cru que le jeune professeur ne portait pas de dessous ! Heureusement elle se trompait.
La Directrice se plaça derrière la jeune femme, la ceintura et chercha la fermeture de son pantalon. Madame Solange se mordit les lèvres et pressa de toutes ses forces son visage contre ses poings fermés.
La Directrice trouva la boucle de la ceinture, l'ouvrit, puis tira sur la fermeture-éclair qui fit un bruit soyeux. Son doigt qui accompagna la petite languette de métal griffa légèrement le bas-ventre de la jeune femme, la faisant sursauter.
Puis la femme tira sur le pantalon, le faisant glisser jusqu'aux chevilles.
Madame Solange portait une culotte blanche, en coton épais. Les élastiques étaient larges, afin d'éviter les marques sous les vêtements ajustés.
La jeune femme gémit de honte quand la Directrice lui mit les mains sur les hanches, les glissa jusque dans la culotte, où ils continuèrent leur voyage vers le bas, entraînant la culotte. Elle laissa la culotte à mi-cuisses.
Madame Solange avait de jolies fesses, bien rondes, avec des fossettes. Dans cette position son anus et son sexe étaient visibles. La Directrice nota avec plaisir qu'elle ne voyait aucun poil: madame Solange était une personne soignée. La Directrice n'exigeait pas que ses professeurs s'épilent entièrement, mais elle trouvait qu'au moins les lèvres et l'anus devaient toujours être nets, c'est à dire parfaitement épilés. Dans le cas contraire, aucune hygiène n'était possible. Elle enfila une paire de gants médicaux en latex.

"Pour votre châtiment je vais vous faire mal, très mal même. Mais bien vite vous vous habituerez à la douleur : elle deviendra supportable. Dans une semaine cette douleur sera oubliée, mais j'espère que vous n'oublierez pas la leçon".

Elle continua d'une voix plus douce :
"Il y aura bien un élément désagréable, autre que la douleur : vous serez partiellement incontinente. Il vous faudra porter une protection. Combien de temps vous serez incontinente, je ne le sais pas, cela dépend de l'une personne à l'autre ; certaines guérissent rapidement, d'autres ont besoin de beaucoup plus de temps..."
Madame Solange ne comprenait pas ce que la Directrice lui disait. Ou mieux : son cerveau refusa de comprendre. A cet instant elle sentit que la femme lui écarta les fesses. Elle sentit le souffle de la Directrice sur son intimité ; elle aurait voulu être sous la terre, plutôt que d'être humiliée de la sorte.
Son corps se couvrit de chair de poule quand la Directrice lui appliqua une noix de vaseline sur l'anus. Madame Solange gémit de honte. Lentement la femme frotta la crème sur le renflement du sphincter, puis, sans brutalité, elle enfonça un doigt dans le conduit étroit. Madame Solange se raidit, anticipant une douleur vive, mais rien ne vint, même pas quand la Directrice ajouta un deuxième doigt. La jeune femme se décontracta et la douleur disparut complètement, laissant la place à une honte et une gêne comme elle n'avait encore jamais ressenti lorsque la directrice lui dit apprécier de la trouver non constipée. Elle se força de penser à autre chose pour ne plus sentir les doigts de sa supérieure qui lui fouillaient l'intimité mais n'y arrivait pas.
Quand le muscle fut légèrement distendu, les doigts furent remplacés par un objet froid. La jeune femme supposait - et elle avait raison - qu'il s'agissait d'un godemichet anal, de taille importante. Elle réussit à rester décontractée, et s'obligea à respirer profondément, afin de contrôler ses muscles.
La Directrice poussa légèrement et l'objet pénétra d'un tiers dans l'anneau de chair.
Madame Solange se mordit les lèvres, au bord de la panique. Cette attente était horrible : la Directrice lui avait promis de lui faire 'très mal', et elle n'avait toujours rien senti de vraiment douloureux. Au fond d'elle-même une petite voix lui dit "Qui sait, la vieille exagère et elle croit qu'elle t'a déjà fait très mal... Tu vas t'en tirer à bon compte...".
Juste à cet instant la Directrice poussa le godemichet en une poussée rectiligne jusqu'à ce que la poignée butât contre les fesses de la jeune femme.
La partie large de l'objet ouvrit le sphincter lubrifié, puis s'engouffra dans le rectum. La jeune femme sursauta sous la douleur fulgurante qui lui coupa les jambes et le souffle. Si elle n'avait pas été couchée sur la table elle serait tombée. Son bas-ventre était en feu comme si la Directrice lui avait mis une barre rougie dans le derrière.
Maintenant que la partie large du godemichet était à l'intérieur de son corps, la douleur diminuait lentement. Son anus était toujours douloureux d'avoir été forcé, mais ce qui était surtout désagréable était la sensation d'être 'pleine' qu'elle avait : l'objet remplissait son rectum entièrement et lui donnait l'affreuse impression qu'elle allait devoir vider ses intestins hic et nunc, devant son employeur.
Elle essaya de reprendre son souffle.
Son sexe était moite. Quelques gouttes d'urine lui avaient échappé et coloraient le fond de sa culotte, toujours tendue à mi-cuisses. La Directrice ne devait rien rater du spectacle.
La jeune femme essayait désespérément de penser à d'autres choses, pour ne pas craquer, pour ne pas devenir hystérique devant Madame la Directrice.
L'objet dans son derrière lui donnait l'impression d'avoir fait un acte contre nature, son cavalier étant encore fiché en elle.
Involontairement elle serra les fesses et gémit quand son anus se referma désagréablement sur le manche large du godemichet. Elle se força à se décontracter, puis sentit la douleur diminuer.
La Directrice se pencha sur elle :
"Mordez sur ceci, cela vous évitera de vous casser les dents." Elle lui mit un morceau de caoutchouc en bouche. L'objet était froid et sentait fort le caoutchouc vulcanisé. Elle mordit et sentit que le caoutchouc absorbait la pression des dents. Par un trou dans le protège-dents, elle pouvait même respirer. Elle ne comprenait pas très bien pourquoi elle devait se protéger les dents, la punition était terminée, non ?
La Directrice reprit place derrière la jeune femme. Elle regarda avec plaisir ses fesses blanches où on voyait encore vaguement les contours du bikini. Au milieu de la peau laiteuse qui n'avait encore jamais vu le soleil, le rond du godemichet ressortait comme un œil obscène. De cet œil sortait un fin tuyau de caoutchouc, relié à une poire.
La Directrice pompa quelques fois. Madame Solange sursauta à nouveau : en pompant, la Directrice gonflait le godemichet à l'intérieur du corps ; une valve empêchait l'air de ressortir. La jeune femme eut l'affreuse sensation que 'la chose' dans son rectum devenait énorme ; en plus, la partie moins large qui était dans son sphincter, la distendait douloureusement, comme si la Directrice lui avait inséré plusieurs doigts à la fois dans son petit trou.
Elle secoua son derrière, comme pour chasser l'intrus. La Directrice lui donna une claque retentissante.
"Ne vous agitez pas. Je vais vous gonfler le rectum. Puis, je vais retirer cet objet, et votre punition - du moins sa partie active - sera terminée".
Elle pompa à nouveau quelques fois.
Madame Solange ouvrit les genoux autant qu'elle le put et bascula son bassin afin de donner le plus de place possible au godemichet qui devenait énorme. La bave coulait de sa bouche, entre les dents qui mordaient sur le protège-dents.
Nouveaux coups de pompe. La jeune femme chercha désespérément à réduire l'énorme pression qui grandissait dans son ventre. Sans s'en rendre compte, elle urina, gagnant un peu de place dans son bas-ventre ; mais deux coups de pompe plus tard, la sensation de pression extrême fut à nouveau là.

La douleur irradiait dans son ventre, lancinante puis augmentait jusqu'à la douleur d'une crampe intestinale quand la Directrice actionna encore la pompe.
La Directrice vérifia les lanières qui tenaient la jeune femme, puis s'arc-bouta derrière elle. Elle prit la poignée du godemichet solidement dans sa main droite, respira quelques fois profondément puis dit d'une voix douce qui contrastait avec ce qu'elle allait faire :
"Madame Solange, n'oubliez jamais : vous ne me mentirez point." Et elle se mit à tirer sur le manche du godemichet. La jeune femme sentit l'énorme objet gonflé bouger dans son rectum, puis buter avec sa partie large contre le rétrécissement de l'anus. En un éclair elle comprit ce que la Directrice allait faire et paniqua. Elle secoua la tête, incapable de parler. Les lanières claquèrent sur la table quand elle tira dessus désespérément. Mais elles ne lâchèrent pas...
La Directrice augmenta la pression sur le manche. Elle vit l'anneau de chair s'ouvrir un peu sous sa traction. Elle tira encore : la parie large du godemichet se força un passage dans le conduit étroit du muscle anal, l'ouvrant peu à peu.
La jeune femme n'arrêta pas de gémir, les yeux lui sortaient de la tête. Elle n'avait jamais eu si mal de sa vie. Le diamètre du sphincter augmentait toujours sous la pression du godemichet. Il atteignit la plus grande ouverture qu'il ait jamais connu, mais c'était encore bien trop petit pour laisser passer la partie large du godemichet.
La Directrice relâcha la poignée et le godemichet fut aspiré à l'intérieur ; puis elle tira à nouveau, ouvrant l'orifice anal encore un peu plus. Elle relâcha encore et recommença son manège. Après quelques minutes de labeur, le godemichet - toujours gonflé au maximum - passa le muscle anal avec un 'plop' horrible. Madame Solange sentit palpiter son sphincter affreusement distendu, qui restait ouvert. Par l'orifice béant - on aurait pu y enfoncer la main - la Directrice vit les parois sombres du rectum. Le sphincter ressemblait à un gros élastique dentelé, mauve-sombre. Quelques filets de sang indiquaient les endroits où le muscle avait été déchiré.
Même après que la Directrice eut asséné quelques claques sur les fesses blanches, l'anus restait ouvert. C'était exactement ce qu'elle voulait : le jeune professeur serait incontinent pendant plusieurs jours ; aller aux toilettes lui serait encore douloureux pendant au moins une quinzaine. Si le muscle s'était aussitôt refermé, la Directrice aurait dû recommencer son traitement.
La femme prit un mouchoir en papier et essuya le sexe et l'intérieur des cuisses. La culotte était trempée, le pantalon aussi. Comme cela les collègues et les élèves sauraient que Madame Solange avait péché et avait été punie ; c'était bon pour la discipline, donc bon pour la réputation de l'Institut.
La Directrice défit les sangles qui maintenaient les jambes écartées et mit en place une couche-culotte jetable.
Puis, pour plus de sécurité, elle mit à la jeune femme une culotte en plastique à pressions par-dessus la couche. Elle releva la culotte de coton trempée et remit le pantalon en place. La couche se voyait nettement sous le pantalon ajusté. Quand la jeune femme se redressa, aidée par la Directrice, un horrible gargouillis intestinal se fit entendre : les intestins malmenés commençaient déjà à se venger...
"Vous viendrez me voir deux fois par jour, à huit heures et à vingt heures, afin qu'on vous change. Maintenant, allez rejoindre vos élèves."
Moins de dix minutes s'étaient écoulées depuis que Madame Solange avait franchi la porte de cette 'salle de bains', mais elle n'oublierait jamais ce qui s'y était passé ...

Comme Solange ne fut point incontinente Denise la dilata encore quatre fois en deux jours…Les quatre sessions de travail anal infligées à Solange sont illustrées si-

Depuis Madame Solange Poupolechcu a beaucoup travaillée seule la capacité de son rectum et est très fière d’être devenue membre de l’Universal Anal Gaping Club de Gilbert Ospif et Philéas Mac Pyridine, elle participera cet été aux olympiades de la dilatation anale à Paris avant de prendre son poste comme commandant de L’HESPERIDE à Flekkefjord, un poste préférable à celui d'enseignante pour une menteuse selon les dires de Denise .

Charlene Ospif.

Les quatre sessions de travail anal infligées à Solange sont illustrées si-dessous.


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MessagePosté : dim. 28 juil. 2024, 17:40 
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-8

Denise Ospif et Huguette Mac Pyridine respectivement PDG et DG de la compagnie et avec les encouragements de Gilbert Ospif et Philéas Mac Pyridine fondateurs de Universal anal gaping club ,tiennent à mettre à l’honneur le Commandant Solange Poupolechcu ancienne professeur d’ingénierie navale de l’institut Ospif pour sa prise de fonction sur L’HESPERIDES (le nouveau brise-glace de la Mac Pyridine company) et sa quatrième place aux olympiades de la dilatation anale à Paris 2024 chez les féminines.


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MessagePosté : dim. 04 août 2024, 17:28 
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Annie comment ? ou la sieste de Amanda Gadouchen

"Elle a l'air d'un ange" murmura Laetitia Bouftard, attendrie.

Valérie Perrier avait entraîné la nouvelle assistante dans la 'salle de bains' de madame la Directrice, parce que c'était l'heure du 'change', et que la nouvelle devait apprendre comment faire.
Amanda Gadouchen (Aujourd’hui Capitaine du CAROLINA à Mar Del Plata) , l'élève en sieste-punition qui dormait les poings fermés, ressemblait effectivement à un ange, ses longs cheveux blonds encadrant un visage fin.
"Qu'est-ce qu'elle a fait?"
"Je crois qu'elle s'était endormie en classe, alors la Directrice l'a obligée à faire la sieste, tous les jours pendant une semaine..."
"Elle ne va pas se réveiller?" Valérie n'en menait pas large : imaginez que la jeune fille se réveille pendant qu'on lui change sa couche !
"Ne t'en fais pas, elle a eu un léger sédatif, il paraît qu'elle était assez agitée..."
Les mains d'Amanda étaient attachées avec des lanières en toile, l'empêchant d'aller plus bas que sa poitrine. De cette façon elle ne risquait pas de se débarrasser de sa couche.
"Regarde !" Valérie rabaissa les couvertures. Amanda portait un t-shirt et une grosse couche-culotte qu'on distinguait à travers la culotte en plastique translucide.
Laetitia en resta la bouche bée. Elle n'avait jamais vu une jeune femme qui portait une couche-culotte.
"Eh bien, dis donc, quel gros paquet !"
Bien que Amanda dorme profondément, les femmes se parlaient en chuchotant.
"Cela fait partie du traitement de Madame la Directrice. Hier Amanda a même eu un laxatif… Tu t'imagines que ce n'était pas la joie, quand il a fallu la changer !"
La jeune fille était mignonne et il y avait une discordance entre la couche-culotte et les seins fermes qui pointaient sous le coton du t-shirt.
Les jambes qui sortaient de la couche-culotte étaient fermes et bien galbées.
"Bon, maintenant regarde comment je fais. La prochaine fois ce sera ton tour."
Valérie ouvrit les boutons-pressions de la culotte en plastique et rabattit le pan vers l'avant. La couche semblait trempée, gonflée entre les cuisses. Sur le bas du ventre elle formait une grosse bosse obscène.
L'assistante défit les bandes autocollantes qui tenaient la couche en place.
"Oh !" Laetitia n'avait pas pu empêcher ce cri en voyant le sexe entièrement épilé de la jeune fille. "Elle est rasée !"
"C'est à dire qu'elle a été épilée à la crème, au début de son traitement.
C'est bien plus hygiénique, plus facile à laver, aussi..."
La couche dépliée était jaunie par l'urine.
"Tu vois, la cellulose absorbe le pipi et la surface reste plus ou moins sèche. Quand je repense aux couches en coton que nous devions employer dans le temps ! Les filles avaient recta le minou et les fesses rouges, malgré des kilos de crème. Maintenant l'érythème, connais-pas !"
"Regarde, je vais te montrer un truc. Pour qu'elle ne mouille pas sa couche dès que tu as fini de la lui mettre - c'est tellement agréable une couche sèche, qu'elles s'empressent de la mouiller aussitôt ! - il faut qu'elle fasse pipi maintenant..."
Valérie posa sa main gauche sur le mont de Vénus et tira légèrement sur le sexe, écartant les lèvres. Puis du bout de l'index de la main droite, elle titilla la petite ouverture de l'urètre. Quelques secondes plus tard, la jeune fille poussa un soupir dans son sommeil, et se mit à uriner, inondant la main de Valérie. Le liquide coula sur la couche et fut bientôt absorbé.
"Tu as vu ? Maintenant elle a la vessie vide, et on peut changer sa couche !"
Laetitia était perplexe. Jamais elle n'aurait pensé que son travail d'assistante pédagogique à l'Institut Ospif exigerait qu'elle farfouille entre les jambes des élèves pour leur faire faire pipi ! Au fond cela ne lui déplaisait pas. Elle avait toujours été très curieuse de nature et tout ce qui avait trait au corps humain l'intéressait.
Valérie regarda sa collègue de biais.
"Tu m'es sympathique, je vais encore te montrer quelque chose. Mais ne le dis à personne, sinon on se ferait virer !"
Elle se pencha sur le ventre de la jeune fille et frotta son nez contre les lèvres. Amanda gémit dans son sommeil. Laetitia n'en crut pas ses yeux !
D'un air espiègle, Valérie regarda Laetitia, puis replongea. Cette fois-ci elle darda une langue pointue et lécha la vulve de tout son long. Amanda semblait apprécier l'hommage, car instinctivement elle ouvrit les cuisses et cambra son bassin, allant à l'encontre de la langue de Valérie. Toujours sans se réveiller...
"N'est-ce pas fantastique ? Quand elle se réveillera, elle ne se rappellera plus de rien, sauf d'avoir fait un rêve merveilleux..."
Laetitia en avait la tête qui tournait et quand Valérie se redressa pour lui laisser la place, elle se pencha docilement vers le renflement de chair glabre.
"Tu verras, c'est très troublant..."
Le sexe réveillé par les caresses de Valérie avait une senteur de femme mure, malgré le jeune âge d'Amanda. Laetitia ferma les yeux et pointa sa langue. Prudemment elle avança, puis sentit la chair chaude palpiter sous sa langue.
Valérie sourit en voyant la scène. Elle se rappela sa 'première fois', quand madame la Directrice elle-même lui avait appris ces caresses.
Doucement elle glissa une main sous la jupe de sa collègue, trouva l'intérieur de la cuisse, et remonta. Comme elle l'avait pensé, Laetitia était moite, son petit jeu ne l'avait pas laissée indifférente. Doucement elle lui massa le sexe à travers la culotte. Laetitia respira bruyamment, la bouche collée au sexe d'Amanda. D'elle-même elle ouvrit un peu les genoux, pour permettre à Valérie de mieux accéder à ses trésors.
Valerie décida de monter encore d'un cran :
"Retourne-la sur le dos... Comme ça... Bien. Maintenant écarte-lui les fesses... Tu vois son petit trou ? Mignon, non ?"
Laetitia ne pensait plus, en proie à une sorte de délire sexuel. Le visage encore humide de la vulve de la jeune fille, le sexe en feu sous les doigts habiles de sa collègue, elle était comme ivre.
"Fais-lui un anulingus..."
"Un, un... Annie comment ?"
"Anulingus. Lèche-la entre ses fesses, tu verras, c'est divin !"
Laetitia hésita à peine puis se pencha sur la jeune fille et lui ouvrit le fessier. L'anus n'était pas plus qu'une fente, mais quand elle écarta la chair autour de l'orifice secret, l'anneau apparut comme un œil de cyclope ridé.
Laetitia se rendit à peine compte que Valérie était en train de lui remonter la jupe, et ensuite qu'elle lui baissait sa petite culotte. Elle grogna de plaisir sous cette attention de sa collègue et se mit à lécher timidement le muscle circulaire de l'étudiante punie.
A ce moment-là, Valérie enfouit son visage entre les fesses de sa collègue et entreprit de lui faire ce qu'elle était en train de faire à la jeune femme endormie...
Laetitia cru qu'elle allait jouir à l'instant, tant la sensation était forte.
Personne n'avait jamais touché à cet endroit, à fortiori pas avec la bouche!
Pour retarder son orgasme elle se concentra sur le fessier d'Amanda et lécha de plus belle, en synchronisation avec les mouvements de Valérie entre ses cuisses.
Frénétiquement elle lécha, suça et pénétra l'ouverture anale, la frotta avec son nez. Elle darda la langue aussi loin qu'elle le put, puis allait et venait dans le sphincter. Amanda, toujours profondément endormie, gémit de bien-être et souleva son derrière.
Laetitia se sentit s'envoler. Pour ne pas crier, elle enfouit son visage profondément entre les fesses de la jeune femme, grognant son plaisir.
Valérie s'en rendit compte et accéléra son rythme. Quand elle pinça doucement le clitoris entre les lèvres trempées, elle sut que Laetitia n'allait pas pouvoir résister.
Le corps de Laetitia fut secoué d'une une série de spasmes, pour enfin se contracter comme un ressort qu'on remonte. Valérie n'avait pas lâché prise et ne s'arrêta qu'au moment où Laetitia émit des petits jappements de chiot blessé : elle était à bout.
Il fallut à Laetitia plus d'un quart d'heure pour reprendre ses esprits. Ce fut Valérie qui changea Amanda et qui remit les couvertures en place.
L'adolescente ne s'était pas réveillée.

Par la suite Laetitia Bouftard et Valérie Perrier reproduisirent de nombreuses fois ces pratiques sur les étudiantes en sieste punition, mais un jour elles furent découvertes par Denise et punies.
Elles perdirent leurs postes à l’institut mais étant assez bonnes en navigation appliquée, Denise après avoir consulté Huguette demanda à Patricia Borniol de leurs offrir des commandements de navires à Flekkefjord.


Charlene Ospif.


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MessagePosté : jeu. 15 août 2024, 11:41 
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Le capitaine Laetitia Bouftard punie par Denise, vient de prendre le commandement du PATHWAY son bateau flambant neuf à
Flekkefjord..
Une bien étrange première partie de punition qui éveille une grande inquiétude à Laetitia quand à la second partie.


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MessagePosté : jeu. 15 août 2024, 11:46 
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Le capitaine Valérie Perrier punie par Denise, vient de prendre le commandement du CHARISMA Son bateau flambant neuf à
Flekkefjord...
Tout comme sa compagne Laetitia Boufetard elle est très inquiète car quelle sera la seconde partie de la punition?
Certainement autre chose que la réception joyeuse que lui avait préparé son équipage.


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MessagePosté : dim. 08 sept. 2024, 17:33 
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Punie!-(Première partie)

Je suis devant l'énorme porte du bureau de la Directrice de l’institut Ospif, Il y seulement trois ans j’étais encore l’assistante de Denise Ospif. Aujourd’hui, depuis l’ascension de Madame à la tête de la compagnie Mac Pyridine, c’est Charlotte Guélains qui en est la directrice, mais je n’ai pas rendez-vous avec l’ancienne professeur de mathématiques.
Je me prénomme Valérie mon nom de famille est Perrier, je suis le capitaine du CHARISMA le plus beau bateau de la flotte Mac pyridine à Flekkefjord.

J’ai été chassée de l’institut avec ma compagne, également assistante de madame Ospif, pour avoir enfreint les règles de bienséance avec les élèves punies par la directrice. A ce renvoi devait s’ajouter une punition et cela fait trois ans que nous attendons dans une angoisse permanente, Laetitia ne supporte plus cette pression alors que nous devons prendre la mer presque tous les jours. Il y a un mois j’ai donc pris la plume pour écrire à Denise Ospif et la supplier d’en finir avec ce suspens tout en lui demandant de doubler ma punition et d’épargner ma compagne plus fragile.

Denise a répondu qu’elle envoyait Mado Lavergne sur le PULSION pour me mener à l’institut Ospif de Port Louis devant la porte de son ancien bureau. Madame disait dans sa réponse que j’étais toujours une sotte, elle avait fait un trait sur cette affaire, il aurait fallu ne plus en parler, elle avait fait une exception, mais puisque je réclamais je serais deux fois punie conformément à ma demande, je devais avoir une compagne de calvaire qui me ferait quitter mon amour actuel suite à ma future transformation. Que voulait-elle dire ?
Je suis devant la porte le cœur battant.

Si je n’avais pas écrit j’aurai pu y échapper, mais il faut croire que tôt ou tard, nous devons toutes y passer.
Je frappe, un fol espoir qu'il n'y aura pas de réponse me traverse.
Hélas, juste au moment au moment où je voulais m'encourir j'entends la voix de la Directrice : "Entrez !".
La porte est lourde mais tourne silencieusement sur ses gonds. Le bureau est vaste, tout en boiseries sombres.
Puis je la vois. La Directrice est assise derrière un énorme bureau-ministre.
Une lampe à halogène design éclaire le dossier qu'elle est en train de lire.
J'ai le temps de regarder autour de moi avant qu'elle daigne se rendre compte de ma présence. Je connais cette pièce par cœur, J'y suis souvent venue comme assistante. Toutes les élèves de l'Institut Ospif connaissent le bureau de la Directrice : toutes celles qui sont passées par ici pour être punie, l'ont décrit dans le détail. Cette pièce-ci, passe encore. C'est ici qu'on entend la sentence. Mais la pièce à côté, ça c'est l'enfer. "Ma salle de bains" comme l'appelle la Directrice.
Elle enfonce quelques touches sur son interphone et fait venir deux assistantes, "... pour préparer une pénitente...".
J'en ai froid dans le dos : la 'pénitente', c'est moi...

La préparation dont elle parle est une mise en condition, afin de multiplier l'effet de la punition. Sous la conduite des assistantes la fille doit d'habitude se dévêtir ; ensuite elle est attachée en position.
Puis commence l'attente humiliante ; quand enfin Madame la Directrice arrive, la fille n'en mène pas large.
On m'a dit que je serai cravachée. Je suis donc à peu près sûre que les assistantes vont me mettre à nu. Mon esprit glisse sur ces pensées qui me donnent la chair de poule. J'ai toujours détesté me dévêtir en présence d'autres personnes.
Lorsque j’étais assistante avec Laetitia nous nous amusions avec les punies quand elle était attachée, nue comme un ver, contre le grand "X". C'était presque aussi horrible que la cravache elle même pour les jeunes femmes.
J'ai le temps d'admirer le coin-salon où une installation stéréo dernier cri contraste avec le canapé désuet recouvert de velours rouge. Puis les assistantes sont arrivées...Mado Lavergne et…Oh non ! Natalie Borniol elle-même.

En reconnaissant Natalie je ne peux m’empêcher d’uriner, le pire va arriver. Toutes deux m'ont l'air tout sauf joyeuses. Nous savons toutes qu'elles essayent de filer en douce le vendredi après-midi, pour commencer leur week-end tôt, mais cette dernière corvée va les retarder d'au moins une heure. Je crains que la Directrice les ait spécialement choisies ce vendredi pour bien leur montrer qui décide quand le travail est fini.

Malheureusement cela s'annonce mal pour moi : rien qu'à la façon brutale où elles me prennent par les bras pour aller dans la 'salle de bains', je sens qu'elles veulent se venger sur moi, faute de pouvoir protester auprès de leur employeur.
J'étais morte de peur en frappant à la porte, maintenant je suis paniquée.

La 'salle de bains' est énorme et résonne drôlement, à cause du carrelage qui monte même sur les murs. Dans de grandes armoires vitrées des ustensiles médicaux brillent comme dans une vitrine de Noël. Dans le coin opposé se trouve le lit cage dans lequel Laetitia et moi abusions de Amanda Gadouchen. Au mur pend une veste en toile blanche, bardée de lanières : la camisole de force.
Près de la porte d'entrée il y a un petit bureau et deux chaises ; au centre de la pièce trône une table d'examen hyper moderne, équipé de divers appareils électroniques, et d'un énorme scialytique.
Je vois tout cela en quelques secondes, le temps que les assistantes mettent leurs tabliers blancs.
Puis elles viennent vers moi.

Une boule se noue dans mon estomac, je respire difficilement. "C'est ici que les Athéniens atteignirent..." me passe dans la tête. Nous y voilà. J'essaie de sourire pour les amadouer, mais à force de serrer la mâchoire pour ne pas montrer ma trouille, je sens mes dents se découvrir en un affreux rictus.

C'est le commandant Mado Lavergne qui prend la direction des opérations :
"Alors Capitaine Perrier, on se débrouille pour écoper d'une punition le vendredi après-midi ?
T'aurais pas pu faire ça un autre jour, dis ??
Je baisse les yeux. Mieux vaut ne pas répondre, car dans l'état où elles se trouvent, n'importe quelle réponse serait mauvaise.

"Tu t'appelles comment ?" C’est Natalie Borniol qui vient de parler d’une voix ferme, elle sait parfaitement qui je suis alors à qui s’adresse la question ?
"Cassandre, madame"
"Ah ! Cassandre Lemercier ! C’est toi qui a été nommée Capitaine à Flekkefjord sur le NORMAND FERKING ? Tu fais partie de la punition du Capitaine Perrier "

Je ne suis pas surprise par la réaction suscitée par ce prénom peu commun chez Mado qui trouve nécessaire de déclamer le début du poème de Ronsard,
'Ode à Cassandre’ :
"Mignonne allons voir si la rose, qui ce matin avait éclose sa robe de pourpre au soleil..."
Méchamment elle ajoute à voix basse "Tu vas voir comme on va faire éclore ta rose, ma mignonne..."

"Les mains sur la tête. On va te fouiller."
Je savais que cette fouille n'avait comme but que de briser la résistance de Cassandre, en l'humiliant d'une façon ignoble. Je ne sais pas si la Directrice approuverait la pratique, je crois qu'elle apprécie surtout que la pénitente 'préparée' soit calme et qu'elle accepte - ou du moins semble accepter - sa punition avec résignation.

Tout cela je le savais en regardant Cassandre, je fus surprise au moment où Madame Borniol se colla à mon dos avec fermeté.
Je me sens mal à l'aise. Cette femme a des formes plutôt amples et j'ai l'impression qu'on me pousse des coussinets chauds dans les dos et contre les fesses. Sans me voir dans un miroir je sais que je dois être pâle comme un linge.
Mado Lavergne s'approche de moi, je sens son haleine pas très fraîche. Elle me regarde droit dans les yeux.

"Regarde-moi, mignonne. Ne ferme pas les yeux... Je veux y voir ce que tu ressens... Je veux être sûre que ma 'préparation' porte ses fruits... Et je veux aussi garder en tête le souvenir d'une petite salope officier punie qui a gâché le début de mon week-end..."
J'avale ma salive avec peine, j'ai l'impression que ma gorge est fermée.
J'essaye de me détendre, pour subir ce qui va suivre sans me donner en spectacle. Je ne peux m'empêcher d'ouvrir la bouche en grand quand je sens ses mains sur mes hanches. A travers le tissu de ma jupe, elle me pince la peau.
Natalie mets ses bras autour de moi, pour m'immobiliser ; elle les croise sur mon ventre et serre fort, me coupant le souffle. En même temps elle avance une jambe, poussant mon ventre obscènement en avant vers Mado Lavergne.

Visiblement dans son élément, Natalie Borniol laisse glisser ses mains sur mes hanches, comme un amoureux le ferait. C'est très gênant, beaucoup plus que je ne l'aurais cru. J'avais pensé qu'elle me ferait mal, et jusqu'à certain point on peut combattre la douleur, mais ce traitement-ci est pervers.
Ses mains glissent sur le devant de mes cuisses, puis à nouveau vers mes fesses. Là, elles agrippent les hanches de Mado et la tire très fort vers moi, me transformant en une sorte de sandwich. On est à peu près de la même taille et je sens qu'elle pousse avec son os pubien contre le mien.
Bon, il m'est arrivé de danser avec une copine, danser disons 'assez intimement' même, et nous avons alors appuyé nos ventres l'un contre l'autre, mais ici, dans cette 'salle de bains' fortement éclairée, cet attouchement sans chaleur est horrible. Je sens mon sexe se contracter involontairement, comme pour échapper à ce contact.
Des larmes me viennent et à travers celle-ci j’entrevois Cassandre Lemercier en couche et sanglée sur une table au fond de la pièce. Pourquoi est-elle ici avec moi ? Pourquoi est-elle une partie de ma punition et pourquoi est-elle punie ?
dans le cul

Des mains repartent sur l'extérieur de mes cuisses, puis descendent. Son ventre perd le contact pendant quelques instants, le temps que ses mains trouvent l'ourlet de ma jupe et glissent en dessous. Aussitôt son ventre se recolle au mien.
Les bras au-dessus de la tête je sens ma transpiration, j'ai l'impression que la peur et la honte font dégouliner mes aisselles, ajoutant à mon trouble.
Ses mains agiles frôlent l'intérieur de mes cuisses, me donnant des frissons
- c'est un endroit qui est très sensible chez moi.
Lentement, pour me faire souffrir à petit feu, ses mains remontent entre mes jambes. Soudain je sens avec désarroi que j'ai une forte envie de faire pipi !
Quelle horreur ! je suppose que c'est la trouille qui remplit ma vessie. Pourvu que cette séance ne dure pas trop longtemps...
Je mors mes lèvres pour ne pas crier quand une main se pose à plat sur mon sexe. Elle me regarde avec une vilaine grimace de triomphe.
"Tu aimes ça capitaine, hein, dis ? Allez, avoue que tu aimes ?"

Non, je n'aime absolument pas son petit jeu. Je préférerais être cent mille lieux sous la terre. La chaleur de sa main traverse le coton pourtant épais de ma culotte de gym.
Sa collègue ne veut pas être en reste : une main remonte vers ma poitrine, l'autre descend sur mon ventre et glisse dans ma jupe. Pourvu qu'elle ne se mette pas à pousser sur ma vessie ! Heureusement elle se contente de faire comme si elle me 'fouillait' pour s'assurer que je n'ai pas d'objets cachés sur le corps.

Sournoisement Mado Lavergne masse mon sexe à travers ma culotte, sa main bien à plat, un doigt recourbé suivant la vallée de ma fente.
"C'est qui qui a une culotte sale ? Dis ?"
D'une pâleur extrême je me sens virer au rouge cardinal. Ah la vache.
N'importe qui mouillerait après un traitement pareil. Pas difficile d'humilier quelqu'un de cette façon.

« Garde les yeux ouverts Valérie, Cassandre regarde. Tu sais qu’elle va être ta sœur de transformation ? »
Natalie rit poliment de la blague de sa collègue.

"On dirait que cela gêne le Capitaine Perrier qu'on parle de sa culotte, as-tu entendu, Natalie ?"
"Oui, j'ai entendu... Elle a peut-être quelque chose à nous cacher ?"
"Nous allons le savoir bientôt. Enlève tes chaussures et monte sur la chaise !"
- Mais où est Madame Ospif ?
-Elle est repartie à Homer, c’est moi qui suis chargée des punitions à la Mac Pyridine compagnie vous n’êtes plus des élèves de l’institut Ospif, nous allons passer deux mois ensembles toi, moi, Cassandre et la nouvelle assistante médicale à Flekkefjord.
-Je craignais le pire, il était arrivé, les punitions de Natalie Borniol étaient d’ordre médical.

A regret elle retire sa main de mon sexe et m'indique une chaise près du mur.
Les mains toujours sur la tête, je grimpe dessus. Son visage est à hauteur de mon ventre.

"Déshabille-toi. D'abord la blouse."
Un à un je défais les boutons. J'essaie de gagner du temps. J’espère toujours que tôt ou tard la Directrice viendra et alors je serai débarrassée de ces deux peaux de vaches. "Avance, on n'a pas que ça à faire !"
J'enlève ma blouse, puis ma jupe, ne gardant que mon soutien-gorge blanc et ma culotte de gymnastique bleue.

"Le soutien-gorge."
"T'étais pas au premier rang, hein, quand on a distribué les doudounes ?"
Fièrement elle tire ses épaules en arrière, faisant saillir une poitrine trop importante pour son torse. Il est vrai que j'ai la poitrine plutôt modeste.
Le regard gourmand fixé sur mon ventre, elle dit enfin ce que je craignais depuis que je suis montée sur cette chaise :
"La culotte, maintenant..."

Rapidement, le regard droit devant moi, j'enlève le sous-vêtement.
"Alors, montre-nous si elle est propre !"
J'ai l'impression de m'enfoncer vers le centre de la terre. J'ai un petit espoir que j'ai mal entendu, qu'elle ne va pas insister si je fais comme si je n'avais pas compris.
"Alors, ça vient ? Tu vas nous montrer ta culotte. Maintenant, mignonne Valérie."
Je tends la culotte devant moi sans la regarder.
A ce moment au fond de la pièce Cassandre pousse un cri de désespoir.
« Elles vont me punir plus fort encore pourtant je n’ai rien fait de mal »

Mado Lavergne respire bruyamment, je vois qu'elle est en colère, elle s’approche de Cassandre lui envoie son poing dans le ventre juste au-dessus de l’os pubien.
« Tu peux te lâcher maintenant que la glycérine a fait son effet et que tu n’as pas réussi à te retenir, un peu plus de merde ou un peu moins c’est la même odeur, si tu es punie aujourd’hui c’est justement parce que tu n’as jamais été punie, on ne peut devenir capitaine sans savoir ce que c’est d’être punie, comment fera tu avec ton équipage pour maintenir l’ordre ? »
Je sais maintenant pourquoi Cassandre est ici et j’en tombe presque de ma chaise Natalie Borniol, cette salope, me retient en me tordant le bras et en me pinçant le triceps.
Ça fait mal, très mal. Des larmes brouillent ma vue. A grand peine j'arrive à respirer. Heureusement que je n'ai pas fait pipi, il s'en est fallu de peu.

"Tu vois qu'on peut faire très mal sans laisser de marques... Maintenant, fais ce qu'on t'a dit."

Respirant toujours lourdement, je déplie la culotte pour la monter. Bien entendu, il y a une marque blanchâtre qui ressort clairement sur le coton bleu foncé. La marque est plus grande que je ne l'avais craint, à cause de ses attouchements, bien entendu. Elle avait bien préparé son coup, elle savait d'avance ce qui allait se passer.

"Tu vois quelle sale souillonne tu fais, exactement comme ta future copine avec sa couche pleine de merde ? " Mado Lavergne semble de plus en plus se prendre à son jeu. Frapper d'abord Cassandre, puis de m'humilier en suite a fait tomber sa colère. Les assistantes s'amusent comme des petites folles, c'est certain.
"Mets-la sur ta tête. Non ! L'intérieur contre ton nez, que tu te rendes compte qu'elle sale fille tu fais !"
Comme un automate j'obéis. Comme prévu, ma culotte dégage une odeur assez corsée. J'essaie de ne plus penser, plus sentir, plus entendre. Mais mon calvaire ne fait que commencer. Je ne me suis encore jamais sentie si nue que debout sur cette chaise. Instinctivement je serre les cuisses, pour surtout ne lui donner aucun prétexte pour m'humilier encore plus.
Mado va chercher une deuxième chaise qu'elle met à côté de l'autre.

"Ton pied gauche sur cette chaise !"
J'obéis à contrecœur. Je dois ouvrir fortement les jambes. Je ne peux m'empêcher de sangloter, je ne me suis jamais sentie si misérable.
Je vois les deux femmes chipoter avec des élastiques et de fins bâtonnets, comme on emploie pour faire des brochettes. Elles se tournent vers moi.
"Penche-toi, qu'on puisse te garnir les seins."
Je me penche, manquant perdre mon équilibre à cause de mes jambes écartées sur les deux chaises.
Les pointes de mes seins sommeillent, et cela n'a pas l'air de plaire à mes bourreaux Mado pince sournoisement une pointe, me faisant gémir ; Natalie n'hésite pas et prends l'autre sein dans sa bouche. Mes jambes se mettent à trembler. C'est la première fois qu'on me suce les seins et cette sensation est affreusement troublante - je sens à nouveau que j'ai très envie de faire pipi. Je ne peux m'empêcher de haleter. C'est humiliant, et j'ai honte, mais d'un autre côté mon corps réagit - je sens la pointe se gonfler, gonfler... - et cela ajoute à mon trouble. Comme avant, quand Mado avait sa main entre mes jambes, ces femmes sont en train de m'exciter par pur sadisme. Je sens mon sexe qui réagit - bon Dieu que je dois faire pipi ! J'essaie de contracter mes cuisses pour mieux me contrôler, mais avec les jambes écartées, ce n'est pas du tout évident.
Les pointes de mes seins semblent suffisamment gonflées pour ses dames. Elles s'approchent, chacun avec une pince-maison’ : elles ont réuni deux bâtonnets avec deux élastiques. Natalie observe comment MADO écarte les deux bâtonnets
et y glisse le doigt, les tenant écartés. Puis elle s'approche de mon sein. Je gémis, comme si je n’avais mal rien que de voir quel instrument de torture elle va employer. Habilement elle tire la pointe érigée dans la pince, puis retire son doigt. La pince se referme sur la pointe. "Ouch !" C'est comme quand on pince les seins avec ses doigts assez forts, avec la différence que la douleur ne part pas, mais continue. La pince tient toute seule, parallèle à mon torse.
Je me contorsionne pour rejeter la pince, mais je n'y arrive pas. Natalie fait la même chose de l'autre côté. Je souffle fort, pour ne pas gémir. Ce n'est pas à hurler de mal, mais douloureux quand même; les bouts de me seins ne sont plus
irrigués et rapidement ils deviennent mauves.

Je frémis quand j'entends Mado enfiler des gants de latex - ces gants me rappellent toujours des séances plutôt désagréables chez le médecin.
Son horrible sourire canaille aux coins de la bouche elle s'approche de moi.
"La Directrice a dit 'une fouille complète'... Natalie, tu t'occupes du verso, moi je 'ferai' le recto..."
La sensation du caoutchouc froid sur mon sexe est une des sensations les plus désagréables que je connaisse. Mado Lavergne dû le remarquer, car elle attend avant de commencer, jusqu'à ce qu'elle voie à nouveau briller des larmes à mes yeux. Alors elle se plante devant moi, le visage tout près de mon minou.
Je m'arrête de respirer. Involontairement je serre les fesses, geste dérisoire. Elle ouvre ma fente de deux doigts, puis de l'autre main, cherche le clitoris. Je manque de hurler. C'est douloureux et surtout ignoble, cet attouchement. Clinique, rien de sexy. Elle n'y va pas de main morte : brutalement elle frotte l'organe ultrasensible, déclenchant des crampes douloureuses dans mon bas-ventre. Je halète comme un coureur de fond. Des éclairs parcourent mon ventre. Je bouge mon bassin fébrilement pour essayer d'échapper à ses doigts, mais elle ne lâche pas prise. Je ne peux m'empêcher de crier doucement. Cela semble la stimuler car elle se met à me frotter le petit bouton frénétiquement, comme si elle voulait me faire jouir - je me demande si après ce viol brutal je ne pourrai encore jamais jouir ? Sans arrêter son manège, elle enfonce deux ou trois doigts de son autre main dans mon vagin. Avec un 'han' triomphateur ils disparaissent dans mon intimité. C'en est trop, je perds les pédales, tout tourne autour de moi. Dans un brouillard j'entends le ricanement de Mado ' La capitaine est trempée comme une fontaine, la salope !' Puis je sens une chaleur se dégager entre mes jambes. J'entends encore Natalie s'exclamer 'Fais gaffe, elle te pisse dessus !' puis je tombe en avant, sur Mado Lavergne.
Tournant la tête honteuse je rencontre le regard apeuré et paniqué de Cassandre qui ne connait rien de toutes ses pratiques n’ayant jamais fréquentée ni le bureau ni la salle de bain de Denise Ospif.
Mado a lâché prise, je la renverse et tombe sur elle, de tout mon long l’horrible massage brutal de mon clitoris s'est arrêté, mais la chaleur entre mes jambes persiste. Je me rends compte que je vide ma vessie : la stimulation brutale a eu raison de mes sphincters, je fais pipi sous moi. Je sens Mado gigoter pour se dégager, mais je suis trop lourde pour elle.

"Elle me mouille, Natalie, elle me pisse dessus, Natalie fais quelque chose !"

Mais Natalie non plus n'arrive pas à me faire bouger. Assommée par le traitement que ces femmes m'ont fait subir, mon corps savoure l'absence de ces mains fouineuses entre mes jambes. Même si je voulais je ne pourrais pas bouger, je suis anéantie, incapable de réagir, la douleur du viol résonne encore dans mes entrailles.

Mado s'en rend compte et tire profit de la situation. Elle ouvre ses jambes entre les miennes et croche ses pieds derrière les miens. De cette façon elle peut me tenir les jambes largement ouvertes et m'empêcher de les fermer. Elle glisse un bras sous mon épaule droite et se met à me serrer dans un Kata Gatame une prise de judo, m'immobilisant tout à fait.
"Natalie, je la tiens. Je suis trempée, c'est comme si moi j'avais fait pipi, elle va me le payer cher. Natalie je veux que tu lui fouilles le rectum, comme moi je l'aurais fait qu'elle ne puisse plus s'asseoir pendant une semaine. Natalie, tu m'entends?"

"Tiens la bien. Je m'en occupe, c’est ce que je dois faire pendant deux mois à ces deux dames, je devais commencer que lundi, mais celle-ci je vais lui gâter son week-end. Elle a un beau petit trou rond..."
Mado a arrêté de se trémousser sous moi, je respire difficilement, tant elle me serre la poitrine, mes jambes sont comme dans des étaux. Soudain je sens qu'on m'écarte les fesses. Je me débats, mais Mado Lavergne est bien plus forte que moi et je dois laisser faire la chargée des punitions médicales. J'essaie de me relaxer au maximum pour ne pas trop souffrir, mais la peur me bloque les muscles, les
contractant. Elle me glisse un doigt dans le derrière. Ce n'est pas douloureux, juste désagréable, humiliant. Je m'efforce de respirer à fond et je bascule mon bassin afin d'offrir le moins de résistance possible, et de faire le plus de place possible.
Un deuxième doigt rejoint le premier. Elle a dû les enduire d'une crème quelconque car les doigts glissent sans heurts. Je gémis de honte quand je sens son souffle sur mes fesses, j'ai le sexe béant, horriblement sensible à cause du traitement qu'il a subi, au point où je sens même la respiration de Natalie sur mes chairs intimes.
« La prochaine fois lavement surabondant et laxatif la veille, je sens de la matière, je vais avoir de la crotte plein les doigts et je n’ai même pas enfilé de gants »
Je sais que Natalie veut me rendre honteuse, mais je ne pense qu’à me concentrer pour relâcher mes sphincters et limiter les dégâts,
Après le troisième doigt je me sens remplie au maximum, mon corps est recouvert de transpiration. Il y a une sensation de brûlure quand ses doigts forcent le passage chaque fois qu'elle les enfonce dans mon rectum. Quand elle les retire j'ai l'impression que la muqueuse reste collée à ses doigts et sort de mon corps 'C'est ainsi qu'on attrape des hémorroïdes'.
Dans un brouillard de douleur j’entends Cassandre qui pleure, ce n’est pas elle qui souffre mais elle est terrorisée par la suite que devrait prendre les événements pour son derrière très probablement vierge.

Je suis à demie inconsciente. Natalie continue sa 'fouille'. Je me rends compte que j'aurai droit à un fisting anal comme Laetitia appelle cela en rougissant lorsque je lui demande de rentrer sa petite main dans mon rectum. Je ne peux m'empêcher de crier quand la douleur dans mon anus monte d'un cran ; Natalie a de grosses paluches d’homme, c’est différent et douloureux, et maintenant elle joint son pouce et son petit doigt aux autres en respirant lourdement elle essaye de faire rentrer son poing dans mon derrière.
J'ai le cul en feu, comme si on y avait coulé de la lave en fusion. J'ai un éblouissement quand elle se laisse tomber sur moi de tout son poids, encouragée par Mado Lavergne Son poing entre d'un coup dans mon rectum, je sens quelque chose qui se déchire, puis la douleur diminue. A nouveau je fais pipi sous moi, mais je m'en fiche, je suis dans un état second. Je sens que Natalie
prend son rôle très au sérieux et me malaxe le ventre de l'intérieur, la main ouverte dans mon rectum. Quand elle se met à frapper mes fesses de sa main libre pour me faire contracter les muscles de mon ventre autour de sa main, une douce torpeur m'envahit et je m'enfonce dans de l'ouate vers un monde où il n'y a plus de douleur...
- fin de la première partie –

En illustration Valérie Pérrier fistée par Natalie Borniol et maintenue par Mado Lavergne, sur le plan du dessous nous voyons Cassandre Lemercier sanglée sur la table d’examen de la salle de bain.

Par Charlène Ospif d’après le récit de Valérie Perrier


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Localisation : France
La Gazette de la Mac Pyridine Company-3

la compagnie vous présente la nouvelle assistante médicale embauchée par Huguette Mac Pyridine pour la base de Flekkefjord et la direction Nord Atlantique et Baltique, Priscilla Kelle est connue du vieux couple Mac Pyridine, elle est payée par madame Hélène pour administrer les lavements punitifs qu’elle impose à Philéas avant sa fouille mensuelle du rectum et colon sigmoïde.


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