Citation :
Il y a quelques années sur une aire de repos au bord d'une petite route se trouvait un coin chaud en lisière de forêt.
Je me garais et allais dans le sous-bois en déambulant entre les capotes laissées au sol par des sodomites indélicats. Cherchant les conducteurs des véhicules garés sur les parking, je me trouvais en face d'un homme d'une quarantaine d'année qui cherchait les sensations fortes et nouvelles des rapports homosexuels. Il n'avait pas l'air dégourdi et était grand et sec. Mais quand il a déballé sa bite j'ai vu un engin de très belle facture, long, lourd, veineux avec des couilles superbes. Je me suis donc fait plaisir à lui faire plaisir avec ma bouche et très vite il a senti la jouissance venir
Il a alors inondé l'humus de beaux centilitres de foutre concentré blanc et laiteux à souhait. Là auprès dun arbre sur lequel il s'appuyait en jouissant, il a déversé non pas une, ni deux giclées mais au moins cinq toutes aussi riches les unes que les autres. Ayant usé toutes ses cartouches en une séance, nous nous sommes séparés et plus jamais revus.
Une autre fois que je cherchais le plaisir transgressif et interdit au même endroit je tombe sur un habitué d'une trentaine d'années. Il me demande d'aller dans un autre coin de la forêt plus discret. On sent l'expérience du mec qui vient régulièrement baiser avec d'autres mecs dans ce bois de la perdition. Il est marié et me dit que personne ne comprendrait son plaisir à chérir des bites avec le trou du cul. On est bien d'accord que ce plaisir est succulent mais malheureusement encore trop mal considéré par nombre de pudibonds ignorants. C'est donc avec plaisir que nous nous roulons sur la couverture qu'il a déployée au sol et commençons à nous embrasser goulument la bouche puis les tétons. Il aime ça et sait y faire. On prend également le temps de déguster nos bites respectives. La mienne est plus grosse que la sienne et il me fait vite comprendre que cette différence de taille lui donne envie que je l'embroche avec ma queue.
Il s'allonge sur le ventre après que j'ai enfilé une capote et me facilite le passage vers sa chatte anale en ouvrant des fesses à deux mains bien pleines. Il a déjà lubrifié l'entrée et n'attend qu'une chose, comme vous qui me lisez ici. Il gémit d'avance et baille du cul pour engloutir ma bite dans ses entrailles. Ça rentre tout seul et je me couche de tout mon long sur lui. Nos peaux sont en fusion et je lui mordille les lobes d'oreilles par derrière alors que je m'enfonce dans sa grotte bouillante. La nature etouffe nos râles de plaisir dans la grandeur de sa forêt. Nous sommes animaux et nous baisons sans retenue aucune. Je vois ma bite coulisser dans ce trou accueillant. Ses cris m'excitent et après de longues minutes divines nous jouissant.
Lui d'abord. J'attendais sa libération avant d'envoyer la purée. Je jouis dans son cul et retire doucement mon membre désormais fourbu et flacide. Nous nous embrassons et nous séparons heureux et repus de sexe anal.
Encore un beau témoigange