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MessagePosté : dim. 14 avr. 2024, 15:01 
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Sexe et orientation sexuelle : Hétéro enculé par madame, probablement Bisexuel.
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Company mis à l'honneur-4

Les Noces de Pascales Fuji-Lachaise

Nous pouvons vous faire part aujourd’hui du mariage de Pascale Fuji actuelle responsable marketing et presse de MPC avec Éric Lachaise Officier de marine, il est le frère de Martine autrefois étudiante à l’institut de marine Ospif formant les navigants de la Mac Pyridine Compagnie.
Le Mariage a été gardé secret un an afin de préserver la tranquillité des jeunes mariés, la mère de Éric Lachaise ainsi que sa fille auraient pu gâcher le bonheur du couple en apprenant subitement les épousailles. Après l’histoire que vous savez (postée le 18 Octobre 2023) et dont Pascale avait été témoin, à juste titre les deux femmes se seraient senties humiliées. Aussi pour adoucir l’ambiance Denise vient de demander à Lili Choquet d’attribuer un poste de Capitaine à Martine Lachaise sur un de nos navires à Mar-Del-Plata, après tout Martine a son diplôme de l’institut Ospif. Denise est de plus très excitée à l’idée de revoir sans doute la maman de Martine et Éric.


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MessagePosté : dim. 14 avr. 2024, 20:08 
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Company mis à l'honneur-5

Les Noces de Marie Louise Mac Pyridine

Mariée il y a environ un an avec Jean-Fistamat Ospif cousin de Gilbert Ospif alors que la rubrique n’existait pas dans notre journal, nous souhaitons aujourd’hui lui rendre hommage. Pour plus de simplicité, elle a pris de nos jours le surnom de Marie Louise Fistamat son véritable état civil étant Marie Louise Ospif-Mac Pyridine.
Marie Louise bien qu’ayant déménager à Port Louis depuis Homer est restée secrétaire de Denise et s’occupe toujours pour elle des conserveries.
Nous connaissons bien les pratiques des hommes de la famille Ospif, et au lendemain du mariage Marie Louise qui savait à quoi s’attendre s’est inscrite au Universal Anal Gaping Club : l’UAGC fondé par Gilbert Ospif et Philéas Mac Pyridine, elle prend le TGV tous les trois jours pour aller s’amuser et se former au club à Paris, Marie Louise qui comme beaucoup s’est inscrite au club avec des orifices très peu étirés affiche après un an de pratiques avec filles et garçons des béances importantes. Il est à prendre en compte que Marie Louise a également largement participé à l’élargissement de nombres d’autres membres.

En illustration Jean-fistamat Ospif et son épouse Marie Louise.


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MessagePosté : dim. 21 avr. 2024, 17:41 
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Les programmes de formation de l'instut Ospif formant les cadres navigantes de la MPC-1

0999999 =1 et le problème à quatres mains.

Quand un nombre en notation décimale est multiplié par 10, les chiffres ne changent pas, mais le séparateur des unités est décalé d'un cran vers la droite. Ainsi, 10 × 0,999… = 9,999…. La suite demande un peu d’algèbre.
X= 0.999….
10X=9.999…
9X=9 (10X-X)
X=1
0.9999=1
La chute de tous les systèmes informatiques à moyen terme.
Sur une calculatrice par l’élévation au carré entre 0 et 1 c’est rapidement visible on engendre un problème menant à l'erreur.

Mais si on élève deux au carré on obtient quatre et c’est un autre problème qui fait beaucoup plus mal au cul.


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MessagePosté : mer. 01 mai 2024, 12:32 
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Avertissements, blâmes et châtiments à la MPC-1

Nathalie Bayef et Martine Yusman se trouvèrent comme pétrifiées lorsqu’elles eurent vent de la une de la gazette de la compagnie faisant état de la nomination de Dorothée Duchâtelet à la tête de la MPC en Europe centrale. Ce sont elles les petites filles de Maryvonne et Jacqueline Mac Pyridine, diplômées de l’institut Ospif, qui avaient été nommées à ce poste il y a moins d’un an !
Que se passait-il questionnait la gazette ? Huguette Mac Pyridine Chief Exécutive de la compagnie accompagnée de Natalie Borniol apportait la réponse à Lorient transportée sur la vedette rapide du commandant suppléant Mado Lavergne. La présence sur le bateau de Natalie chargée des punitions était un très mauvais présage.

Il est reproché à Nathalie et Martine d’avoir laissé rentrer deux hommes dans le béguinage de Denise à Port-Louis alors que celui-ci est exclusivement réservé aux femmes et aux personnels transgenres de la compagnie.
Les deux hommes étaient Philéas Mac Pyridine et son compère Gilbert Ospif, Nathalie et Martine pensait que l’affaire resterait secrète mais s’était sans compter sur madame Ghélains directrice actuelle de l’institut Ospif et grande amie de Denise qui par jalousie dénonça les actes contraires à la charte de la compagnie après que les deux veilles crapules eurent refusés ses avances une semaine plutôt.
Huguette était venue présenter la décision prise par Denise : Les deux jeunes directrices devaient quitter la compagnie ou accepter leurs mutations comme capitaines de navires à notre base de Mar Del Plata après avoir subits les punitions et châtiments d’usage pour une telle faute.
La punition serait administrée en deux phases. Natalie Borniol se chargerait de la première partie à Lorient, Denise administrerait la seconde à Homer après rapatriement des jeunes femmes sur la vedette du commandant Mado Lavergne.


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MessagePosté : sam. 04 mai 2024, 17:25 
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Après le mariage de son frère avec Pascale Fuji-Lachaise actuelle responsable marketing de la MPC, le capitaine Martine Lachaise est enfin arrivée à Mar del plata pour prendre ses fonctions sur son navire, le DON FRANCO.


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MessagePosté : lun. 06 mai 2024, 19:59 
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Remise des chatiments infligés par Denise et Natalie Borniol suite à ses graves manquements à Lorient, Martine Yusman est arrivée à Mar del plata pour prendre le commandement de son bateau CAPESANTE, une nouvelle acquisition de la Mac Pyridine company.


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MessagePosté : ven. 17 mai 2024, 18:32 
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Nathalie Bayef restée plus longtemps en convalescence à Homer que Martine Yusman, vient d’arriver à Mar Del Plata. Nathalie ayant fait preuve d’arrogance durant sa punition, Denise a demandé à Natalie Borniol de renforcer les dilatations anales prévues. Des pratiques qui ont nécessité par la suite les soins particuliers dispensés par Jenifer Choquet chargée habituellement de la féminisation des garçons de la compagnie. On dit que Nathalie comme les hommes de la compagnie a maintenant une grosse anale.

Voici le Capitaine Nathalie Bayef et son bateau LUIGI qui n’est encore pas sorti de radoub avant d’entamer la prochaine campagne de pêche à la coquille saint jacques en antarctique.


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MessagePosté : sam. 18 mai 2024, 15:46 
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Dr Martine Fuchs (Interne en médecine devenue journaliste)

Suite à l’épisode ci-dessous, elle abandonna le journalisme pour finir ses études médicales, à la fin de celles-ci, c’est-à-dire il y a quelques mois, elle a postulé au poste de responsable médical de la compagnie à Mar Del Plata, Denise va probablement lui donner sa chance, il faut dire qu’elle a déjà une connaissance de ses futures patientes, des jeunes officiers de marine qu’elle a rencontré un après-midi attaché à un pilier la culotte en bas des jambes. Dans un premier temps les ricanements vont aller bon train, mais comme toutes auront besoin de ses services…

L'Institut Ospif reçut un jour la visite d'une journaliste de la télévision, section des programmes éducatifs.
Martine Fuchs, journaliste et présentatrice bien connue, venait inspecter les lieux pour voir s'il était opportun de consacrer une émission à l'Institut.
C'était une femme d'une trentaine d'années. Petite de taille, elle avait les formes plutôt amples. Ses cheveux foncés lui descendaient jusqu'aux reins, lui donnant un faux air de Madone.
La visite ne se déroula pas tout à fait comme prévu.
Comme beaucoup de gens de la télévision, connus ou se croyant connus, Martine Fuchs s'était conduite avec arrogance, à la limite de l'impolitesse, traitant les professeurs et les élèves comme des arriérés.
La Directrice n'avait pas aimé ses manières, c'était bien clair. Madame Fuchs n'était absolument pas un exemple à suivre pour ses élèves!
Elle décida de leur offrir un spectacle, au dépens de cette petite pimbêche arriviste.
Elle avait invité Martine Fuchs à partager le repas du midi.
Le réfectoire, où élèves et profs prenaient leurs repas, faisait aussi salle de théâtre et comportait une estrade.
Après le repas de midi, préparé et servi par la classe qui avait "Cuisine" comme branche principale cette semaine, la Directrice prit Martine Fuchs par la main et entraîna sur l'estrade. Poliment les élèves se mirent à applaudir.
Quand la Directrice se mit à parler dans le micro, tout le monde se tût.
"Chers collègues, chers élèves, nous allons maintenant, pour clore la visite de Madame Fuchs, lui faire une démonstration de nos méthodes pédagogiques.
Le sujet en sera l'emprise de la volonté sur le corps humain, un des principes de base d'éducation que nous employons dans cet Institut depuis de nombreuses années."
Elle montra de la main un pilier qui bordait l'estrade :
"Puis-je vous demander de vous mettre avec le dos contre ce pilier ? Merci."
Deux morceaux de bois, on aurait dit des manches à balai, sortaient du pilier à la hauteur des aisselles de Martine Fuchs, de part et d'autre du centre du pilier.
Une des assistantes de la Directrice aida la jeune femme a mettre ses bras autour des morceaux de bois, puis, d'un geste naturel, lui prit les poignets, les ramena derrière le pilier où elle les attacha ensemble avec des menottes.
Les morceaux de manches à balai soutenaient Martine Fuchs aux aisselles, l'empêchant de se laisser glisser le long du pilier si elle en avait eu l'envie.
Jouant toujours son jeu de présentatrice, la jeune femme fit mine d'être étonnée, puis de rire de cette mise en scène qui devait être une bonne blague.
"Vous attachez vraiment vos élèves ainsi?" demanda-t-elle dès que l'assistante lui avait agrafé un micro sur le devant de son chemisier.
"Bien sûr," répondit la Directrice, "elles doivent être préparées à tout!"
L'assistante se baissa et écarta légèrement les pieds de Martine Fuchs. Avec des menottes et une chaîne passant derrière le pilier, elle tira les pieds en arrière, puis les attacha ensemble, forçant la jeune femme à avancer le bassin. Martine Fuchs pendait plus au moins, retenue par les bras et les pieds au pilier. Très peu élégant comme pose.
"On se croirait au tournage d'un film un peu, euh, spécial ! " elle tenta de rire.
"Vous avez raison, si vous regardez bien, il y a deux caméras vidéo dirigées sur vous!"
Martine Fuchs reconnut immédiatement les voyants lumineux rouges, indiquant qu'elles fonctionnaient toutes les deux. Une caméra était presque à ras du sol, l'autre sur un statif qui pouvait monter et descendre.
Pascale Fuji devenue récemment madame Fuji-Lachaise, responsable aujourd’hui du Marketing et des relations avec la presse pour compagnie actionna des commandes et un énorme écran de télévision s'éclaira, permettant aux personnes dans la salle de suivre toute la scène de très près.
L'écran était divisé en deux parties, chaque partie transmettant les images d'une caméra.

Des lampes de théâtre éclairaient la scène comme en plein jour. Il faut avouer que la jeune femme en chemisier rose saumon et pantalon assorti savait se mettre en valeur. On voyait très bien qu'elle avait l'habitude d'être sous la lumière vive des projecteurs. Les longs cheveux encadrant un visage de Madone, mais elle veilla à ce que leur ombre ne cache pas son visage. Le soutien-gorge acheté une taille trop petite, faisait ressortit une lourde poitrine.
Pour se donner une contenance, la journaliste mima une prisonnière qui essaye de se défaire de ses menottes, mais bien entendu en vain.
L'assistante de la Directrice termina la mise en place en actionnant une manivelle sur l'arrière du pilier, faisant sortir un coussinet en cuir à la hauteur des reins de la jeune femme. Le coussinet la poussait en avant, la forçant à se cambrer encore plus. Martine Fuchs fit une grimace. La pose était désagréable : sa poitrine et son ventre étaient grotesquement en avant, ces épaules et ses pieds en arrière. A travers les vêtements tendus on voyait nettement le contour de son soutien-gorge et le renflement de son sexe. Sur l'écran le mont de Vénus était devenu une montagne.
"Voilà, tout est prêt pour notre démonstration ! " Le silence revint dans la salle.
"Chère Madame Fuchs, vous avez un beau pantalon..."
Martine Fuchs remercia, sans bien comprendre où la directrice voulait en venir.
"Madame Fuchs, vous arrive-t-il de vous oublier dans votre pantalon?"
"Pardon?"
On aurait pu entendre voler une mouche.
"Vous avez très bien entendu, mais je simplifierai la question: est-ce que vous faites pipi dans votre culotte de temps en temps?"
Quelques rires dans la salle furent vite étouffés quand la Directrice se retourna.
"Ben, je.. euh... non, non, cela ne m'est plus arrivé depuis que j'étais enfant, je suppose..."
"Vous supposez? Et si nous vous demandions maintenant de le faire, hic et nunc, devant l'ensemble des profs et des étudiantes ?"
Martine Fuchs était devenue pourpre. Elle n'aimait la tournure que prenait cette 'démonstration'.
"Je crois que vous faites bien de me détacher, maintenant. Je ne comprends pas très bien vos principes éducatifs, mais ça n'a pas beaucoup d'importance, je ne comptais quand même pas faire une émission sur cette école..."
"Mais chère Madame Fuchs, je suis en train de donner cours, et vous êtes mon sujet. Je ne vais pas m'arrêter au beau milieu de mon exposé !"
Brouhaha dans le réfectoire.
La jeune femme n'était pas encore vraiment inquiète, mais sa voix fut ferme quand elle s'adressa à la Directrice :
"Madame Ospif, je vous somme de me libérer immédiatement. Sinon je me verrai obligée de porter plainte..."

La Directrice l'interrompit et s'adressa à la salle :
"Mesdames, mesdemoiselles ! Notre sujet oppose sa volonté à la mienne. Je pourrais la supplier d'obéir, je pourrais exiger qu'elle obéisse, qu'elle ne le ferait pas. Il nous faut donc trouver un moyen qui surpasse sa volonté de s'abstenir d'uriner dans ses vêtements. Psychologiquement Madame Fuchs se bloque entièrement : elle ne peut même pas envisager de se souiller en public,
son éducation le lui interdit, c'est un tabou culturel. Il nous faudra donc employer un subterfuge physique. Autrement dit, nous allons obliger son corps à faire ce que nous voulons, outrepassant la volonté de son esprit. Nous pourrions, par exemple, employer des électrodes et faire passer un courant dans le sphincter de sa vessie. Cette valve répondrait aux impulsions électriques comme elle répond aux impulsions de Madame Fuchs quand celle-ci va à la toilette ; mais comme le courant électrique circulant dans les électrodes est bien plus important, nous n'aurions aucune peine à vaincre ses impulsions..."

Elle pausa un instant en regardant ses étudiantes.
"Nous allons employer un moyen plus radical : nous allons lui ôter toute volonté pendant quelques secondes, le temps qu'il faut pour que son sphincter se relâche. Pour couper sa volonté, nous allons utiliser ceci..."
Et elle brandit un sac en plastique transparent, fermé par une cordelette, comme on reçoit dans certaines boutiques à la mode.
La Directrice s'approcha de Martine Fuchs qui tirait sur ses menottes, blanche comme un linge. Elle avait tout de suite compris ce que la Directrice voulait faire.
"Non, non ! Vous n'allez pas faire ça ! Non, madame ! Je vous en prie..."
Mais déjà la Directrice avait enfilé le sac sur la tête de la jeune femme.
Celle-ci secouait la tête pour tenter de rejeter le sac, mais sans succès.
Il y avait de la buée dans le sac, mais comme il était encore ouvert autour du cou de Martine Fuchs, elle pouvait respirer normalement.
"Arrêtez, s'il vous plaît! Assez ! Je ferai ce que vous voulez, mais enlevez ce sac, c'est dangereux !"
On sentait l'excitation monter dans la salle. Les yeux brillaient dans la pénombre et des mains disparurent discrètement sous les jupes.
"Quelques secondes d'inconscience suffiront; longtemps avant que le manque d'oxygène ne devienne dangereux, son corps se sera retiré dans une inconscience 'économique' qui réduira toutes les fonctions vitales qui consomment beaucoup d'énergie: l'état de veille, le tonus des muscles et bien entendu, le tonus des sphincters..."
Martine Fuchs se débattit de plus belle.
La Directrice prit la fine ficelle qui servait à fermer le sac et se mit à côté de la jeune femme, afin que tous puissent voir, y compris les deux caméras vidéo.
Puis elle tira sur la ficelle.
En panique, Martine Fuchs, la bouche grande ouverte, aspira l'air qui se trouvait encore dans le sac. Bientôt le plastique collait à sa peau comme si elle avait été emballée sous vide, et une partie du sac fut à l'intérieur de sa bouche. Les yeux lui sortaient de la tête, son corps entier se mit à trembler. Elle avait l'impression de vivre un cauchemar, secoua la tête pour se réveiller. La panique apparut dans ses yeux. Le plastique du sac suivait les contours de son visage comme un masque maléfique. Elle se débattit de plus belle, brûlant le peu d'oxygène qui lui restait. Son corps fut secoué de soubresauts, son bassin basculait frénétiquement.
Après d'interminables secondes, ses mouvements se ralentirent, son visage prit un teint bleuâtre et ses yeux se révulsèrent. Elle glissa un peu le long du poteau, quasiment inconsciente.
"Notre sujet a perdu conscience. Maintenant regardez bien son pantalon..."
Dans le silence et l'obscurité de la salle, on pouvait entendre quelques gémissements...
Soudain, le corps de Martine Fuchs s'affaissa comme un pantin, retenu par les manches à balai sous les aisselles. Au même moment une tache humide apparut sur son pantalon, entre les cuisses écartées : son sphincter était en train de lâcher !
L'écran géant reproduit fidèlement la scène, en gros plan.
Les gémissements dans la salle se firent plus forts et plus nombreux.
La tâche s'agrandit rapidement, souillant l'intérieur des cuisses, remontant sur le renflement du sexe. Le tissu trempé moulait le sexe avec une précision anatomique. Un filet atteignit bientôt les genoux. D'un geste rapide, la Directrice défit la fermeture du sac et l'enleva. Elle asséna quelques claques à la jeune femme, faisant danser sa tête de gauche à droite.
Martine Fuchs ouvrit les yeux, et d'un air hébété regarda la Directrice.
"Que... qu'est-ce qui se passe ?"
L'urine coulait toujours. Le pantalon, trempé, n'absorbait plus et le liquide coulait librement par terre.
Martine Fuchs regarda sous elle et n'en crut pas ses yeux.
"C'est quoi ça ? Ce n’est pas moi, je vous jure, ce n’est pas moi. C'est une mise en scène !"
Mais la salle se mit à rire et à applaudir et la jeune femme dut se rendre à évidence : elle avait fait pipi dans son pantalon.
Morte de honte elle ferma les yeux, espérant qu'elle se réveillerait de ce cauchemar, que son pantalon serait sec quand elle ouvrirait à nouveau les yeux.
Mais il n'était pas sec.
Maintenant elle sentit que l'urine avait coulé tout au long de ses jambes, jusque dans ses bottillons. Le tissus serrant du pantalon avait absorbé le liquide, formant une tâche foncée sur le bas ventre, comme si quelqu'un avait voulu lui dessiner un sexe poilu par-dessus son pantalon.
La Directrice attendit encore de longues minutes, la laissant mijoter dans son jus... ce qui était vraiment le cas de le dire.
Puis elle s'adressa à la salle, où l'excitation avait abouti à un demi-silence plus serein:
"Je crois que cet exposé était on ne peut plus clair..."
Martine Fuchs l'interrompit:
"Madame Ospif , je vous traînerai en justice pour coups et blessures et pour tentative d'assassinat. Vous pouvez fermer votre foutu Institut. Je vous casserai. Je poursuivrai aussi tous les professeurs et toutes les étudiantes qui sont dans cette salle pour non-assistance à personne en danger de mort.
Je..."
Une claque rejeta sa tête de côté et coupa net sa diatribe.
"Vous n'allez rien du tout. D'ailleurs notre exposé n'est pas encore fini. Il y a une suite. Mais puisque vous ne pouvez pas vous empêcher d'élever la voix,
nous allons vous bâillonner. Vos cris nuisent à la qualité de notre enregistrement vidéo."
Sur un signe de tête, l'assistante de la Directrice lui mit une balle de caoutchouc dans la bouche. Une lanière la tint en place.
La Directrice, impassible après cet intermède, reprit pour son auditoire :
"Je suis certaine que vous avez bien suivi la première partie de cet exposé.
La deuxième partie vous intéressera sûrement aussi. Nous allons forcer Madame Fuchs à vaincre un deuxième tabou, encore plus fort que le premier : atteindre le plaisir sexuel en public. En d'autres mots, nous allons induire un orgasme contre son gré..."
La jeune femme tenta vainement de parler ; la balle rouge ne laissait passer que des sons discordants. Déjà de la bave coulait des deux côtés de sa bouche,
sur son chemisier : la balle l'empêchait d'avaler sa salive.
On aurait pu voler une mouche dans la salle. Tous les yeux étaient rivés sur le pantalon souillé.
L'assistante s'agenouilla à côté de Martine Fuchs. Depuis cette position elle pouvait s'occuper du ventre de la jeune femme sans cacher la vue.
Lentement elle défit le gros ceinturon.
Froissements de tissu dans l'obscurité de la salle.
Ensuite l'assistante baissa la fermeture éclair et écarta les pans du pantalon. La caméra vidéo suivit chaque mouvement.
La culotte Sloggie était trempée et légèrement jaunâtre.
Martine Fuchs avait fermé les yeux. De grosses larmes coulaient sur son visage, se mélangeant sur son chemisier avec la bave qui coulait sans cesse de sa bouche bâillonnée.
D'un geste sec l'assistante baissa le pantalon sur les genoux de Madame Fuchs.
Dans la salle quelqu'un applaudit spontanément. Un regard de la Directrice arrêta net ce bruit incongru.
Martine Fuchs avait de belles jambes bronzées. Tout l'intérieur était mouillé et les gouttes brillaient sous la lumière des spots de télévision. Elle tremblait visiblement, n'arrivait plus à se contrôler.
Quand l'assistante abaissa le slip puis le fit glisser le long des jambes, Martine Fuchs ne put se retenir et se remit à uriner en jets tremblotants, morte de honte.
Cette fois-ci la Directrice ne fit pas arrêter les applaudissements.
L'urine continuait à couler, quoi que la jeune femme fasse - elle eut peur que son évanouissement ait fait des dégâts et qu'elle était devenue incontinente.
Le buisson du sexe était trimé en un triangle parfait. Plus bas, les petites lèvres dépassaient d'entre les grandes lèvres entièrement rasées. Sur l'écran géant de télévision on vit briller quelques gouttes d'urine sur les lèvres gonflées.
La Directrice prit la parole, s'adressant à la salle :
"Pour cette démonstration il faut que le sujet soit conscient, l'effet est alors bien plus spectaculaire. Nous pourrions, bien sûr, induire un orgasme sur une personne inconsciente - vu qu'il s'agit de réflexes nerveux - mais en la maintenant éveillée, cette jeune femme va involontairement nous apporter son aide. Elle va finir par nous supplier de la stimuler, pour atteindre ce qu'on appelle 'la petite mort'..."
Nouveaux applaudissements excités dans la salle. Ce sont des exposés pareils qui font la réputation d'une école, la Directrice le savait bien...
Elle brandit un objet relié à un câble électrique.
"La plupart d'entre vous connaissent bien cet instrument. C'est un appareil de massage médical. Il sert à soulager les douleurs musculaires et articulaires.
Il sert aussi à exciter certains endroits spécialement réceptifs du corps humain..."
Elle passa l'objet - un cylindre ressemblant à une moulinette électrique à potage, terminé par un embout de caoutchouc de la taille d'un bout de nez, - à son assistante, qui brancha le courant.
Le bruit était à peine imperceptible dans la salle mais plusieurs élèves - et quelques profs - étaient persuadés qu'elles l'entendaient... Certaines allaient à s'imaginer qu'elles sentaient les vibrations à travers leurs chaises...
Martine Fuchs se pencha aussi loin que ses bras entravés lui permirent et vit l'embout orange approcher son ventre.
Elle cria quand l'assistante l'appliqua fermement sur l'os pubien. Les vibrations se propagèrent dans tout le bas-ventre de la jeune femme,
enflammant son sexe. Transmise par les grands os du bassin, les vibrations étaient désagréablement amplifiées.
D'un geste, la Directrice lui fit signe d'attendre. Puis elle attacha une lanière de cuire autour du front de Martine Fuchs, la passant derrière le poteau. De cette façon la jeune femme avait la tête bien droite, et on pouvait parfaitement observer ses mimiques. Une des caméras vidéo se fixa dessus en gros plan.
L'assistante farfouillait entre les cuisses de la jeune femme, lui écartant les fesses de la main gauche. De la main droite elle appliqua l'embout vibrant sur l'anus. Martine Fuchs sursauta comme si elle avait été piquée par une abeille. Ses yeux s'agrandirent quand elle sentit la pression augmenter sur son sphincter. Puis l'anneau fut forcé et l'embout s'enfonça dans le rectum.
Elle sursauta à nouveau, plus de peur que de douleur.
Les genoux de Martine Fuchs se mirent à trembler frénétiquement.
La caméra qui était au ras du sol prit un gros plan du sexe de la jeune femme et enregistra le filet de bave qui coulait du vagin.
L'assistante l'avait vu aussi. En plus, l'odeur caractéristique qui émanait du sexe lui avait appris que la jeune femme était excitée malgré elle. Les lèvres étaient gonflées et d'une couleur rosée elles étaient devenues presque mauves.
Martine Fuchs sentait le sol se dérober sous elle. Heureusement qu'elle était attachée ou elle serait tombée. Elle essaya de secouer la tête en un 'non' désespéré et ne réussit qu'à bouger les yeux. Après quelques instants la Denise estima que ses élèves avaient suffisamment pu s'imprégner de la scène et fit un signe discret à son assistante.
Aussitôt celle-ci appliqua l'embout vibrant entre les lèvres et donnait de petits coups à l'endroit le plus sensible du sexe. A chaque contact c'était comme si du courant électrique passait dans son clitoris. L'organe, gorgé de sang, envoyait des impulsions délicieuses dans la moelle épinière. Avec horreur Martine Fuchs s'aperçut qu'elle oscillait son bassin à l'encontre de cet appareil diabolique sans qu'elle puisse s'en empêcher. Elle haletait, la bouche grande ouverte, les yeux fermés. Rien que de voir ces grimaces sur cette tête immobilisée par la courroie de cuir, plusieurs filles se mirent à gémir, les mains enfouies entre leurs jambes ou celles de leurs amies.
On vit lentement monter le plaisir, se disputant à la honte de se montrer ainsi en spectacle, à l'affreuse gêne d'exhiber ses jouissances intimes devant une salle pleine d’étudiantes seulement majeures.
Soudain Martine Fuch s'immobilisa, comme tétanisée, le corps tendu comme un arc, autant que ces liens le lui permettaient. Son bassin se mit à donner de furieux coups de butor vers un partenaire invisible, se cognant contre l'appareil de massage. La bave coulant du menton de la journaliste avait formé deux longues traces sur le chemisier rose.

Au moment où la jeune femme atteint le paroxysme, les élèves virent nettement les yeux se révulser - du moins celles qui avaient encore les yeux ouverts,
car plusieurs d'entre elles s'étaient réfugiées sur leur île personnelle, ivres de plaisir. Ce n'était pas sans raison qu'on avait mis la salle dans l'obscurité...
La scène était d'un érotisme rare : la jeune femme immobilisée contre le poteau, dénudée à partir de la ceinture, était secouée de spasmes qui n'en finissaient pas. Même la Directrice et ses assistantes eurent beaucoup de peine à se dominer.
La journaliste reçut à son départ une copie d'un des enregistrements vidéo. A l'opposé de ce qu'elle avait juré, elle ne porta pas plainte...
par Charlene O.


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La Gazette de la Mac Pyridine Company-1

Rappel de la situation à Port-Louis.

Les paroles de Philéas Mac Pyridine.
Actuellement en charge de la conciergerie de l’institut à Port-Louis et en attente des enfants de la plus jeune Sœur de Gilbert Ospif que je dois formater, j’étais seul sur les remparts lorsque cette femme bénéficiant du logement et autres avantages attribuées par Denise me racontât son histoire comme elle l’avait fait bien des années auparavant à la toute nouvelle patronne de la compagnie. Je sors de son lit et je pense que nous avons été mis en présence à dessein et dans la perspective de l’éducation des jeunes adultes que je dois former, beaucoup de signes m’indique que la tâche et ma mission ne seront pas simple ,je viens d’apprendre que Jenifer Choquet et Nathalie Borniol arrivaient demain de Homer transportées par Mado Lavergne sur le FUSION afin de me donner quelques conseils sur les mesures à prendre de manière à apprivoiser et dresser Pascal et Pascaline Wolff avec l’appui et les compétences de madame Hélène Troischapel.



Pascale Wolff vient d’arriver à Port Louis pour être présentée par son oncle Gilbert Ospif à Philéas Mac Pyridine.


Alors que Philéas servait un verre de bienvenue à ses visiteurs dans ses appartements de la conciergerie, Pascaline retira sa jupe d’été, sa petite culotte et s’installa sur le canapé jambes écartées.

« Alors ! messieurs mon oncle et Mac Pyridine, que dirait Dorothée Duchâtelet si elle nous voyait tous les trois ainsi ? Je pourrais lui dire que j’étais à peine arrivée que déjà vous avez essayés de profiter de vos positions …

Suite à l’affaire Yusman et Bayef Gilbert et Philéas s’avaient que la jeune femme essayait de leur jouer un sale tour tout en sabotant leur autorité par un chantage.

« - Attention jeune dame ici nous ne sommes pas dans les béguinages de Denise !
-Oui ! mais ce n’étais pas une raison pour me tripoter, c’est uniquement mon frère que vous devrez former à vos pratiques immondes.
-Nous n’avons rien fait, mais je vois ou vous voulez en venir petite salope…
-Quittez la conciergerie monsieur Mac Pyridine si vous ne voulez pas d’ennuis, ce sont maintenant mes appartements, nous nous
reverrons en cours, n’est-ce pas ! »

Pascale Wolff venait de déclarer la guerre à Philéas qui alla s’installer chez Hélène Troischapel.

Ce même jour Pascal Wolff aurait dû être également présenté à Philéas, mais moins malin que sa sœur il avait été intercepté par Natalie Borniol.

Philéas devina ce soir là pourquoi Denise avaient choisis ces deux enfants terribles pour devenirs co-directeurs de notre nouvelle base de Diksonsky Morskoy en mer de Kara.


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MessagePosté : jeu. 23 mai 2024, 17:50 
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-6

Après sa rencontre avec Pascale Wolff Philéas contacta Denise qui était dans le sud de l’Argentine pour rencontrer la nièce de Kyomi Sakana, et lui faire signer son contrat.

Philéas relata les faits à Denise et lui demanda de nommer Hélène Troischapel-Demi aujourd’hui sa maitresse préceptrice de tous les enfants apparentés aux familles Mac Pyridine, Borniol, Choquet et Ospif.

Madame Troischapel est nommée Préceptrice des enfants apparentés aux familles Mac-Pyridine, Borniol, Choquet et Ospif.

Madame Troischapel devient ainsi membre de la compagnie, Philéas mac Pyridine ayant été insuffisamment féminisé par Anania ne pourra donc plus la fréquenter, il devra quitter sa demeure ou se remarier avec elle.

Nous vous annonçons ce jour le mariage de Philéas Mac Pyridine et Hélène Troischapel. (Voici leurs portraits)


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MessagePosté : dim. 26 mai 2024, 16:55 
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Les matelots et personnels de la Mac Pyridine Compagny mis à l'honneur-7

Kyomi Sakana encore en retard pour nommer une directrice de région a pensé à sa jeune cousine Adriana Heinze pour occuper le poste de Directrice des poissonneries en Amérique du Sud. Adriana étant la parente De Kyomi, Denise a voulu se rendre sur place en Argentine pour vérifier les compétences de la jeune femme et lever le mystère sur son nom de famille, elle apprit que la tante de Kyomi avait épousé le fils d’un allemand qui avait immigré au début des années trente pour échapper à la honte du nazisme, tout comme les Sakana avait fui vers l’Amérique un japon va-t’en guerre. La migration des Mac Pyridine et Borniol était beaucoup plus ancienne, mais ici tout le monde se comprenait. En ce qui concerne les compétences d’Adriana, comme on le voit sur le cliché joint, Denise est revenue subjuguée en tous points.

Adriana Heinze est nommée Directrice des poissonneries pour L’Amérique du Sud.


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MessagePosté : dim. 09 juin 2024, 17:31 
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Avertissements, blâmes et châtiments à la MPC-2

Depuis son enfance Charlène Wolff-Ospif connaissait parfaitement sa belle-sœur. Certains soirs Charlène relataient dans son journal les pratiques dont elle avait été témoin à l’institut alors qu’encore trop jeune pour s’assoir dans l’amphithéâtre elle se cachait derrière les épais rideaux noirs qui réchauffaient les murs de la citadelle à Port-Louis.
Lorsque son frère lui fit part des projets de Denise pour ses enfants, Charlène eu un Hoquet de surprise et immédiatement et malgré elle une nausée qu’elle eut du mal à maitriser.

« -Ont-ils accepté ?
-L’offre est très avantageuse, alors oui bien entendu ils ont accepté
-Pascal a-t-il compris l’obligation de féminisation ?
-Je crois, mais je pense qu’il croit pouvoir y échapper et se moquer du monde comme toujours
- Je suppose que Jennifer sera chargée du traitement hormonal mais qui va prendre en charge l’élargissement de son …petit trou ?
- Comme je ne peux m’en charger moi même vu nos liens de parenté, Denise a demandé à Philéas.
Philéas n’est pas très à l’aise avec l’affaire, il dit qu’il est vieux et que le jeune homme pourrait faire une sorte de blocage, il pense profiter du flou à L’UAGC à Paris pour embrouiller Pascal dans des sessions collectives ainsi le travail ne se ferait pas que dans des séances intimes à Port Louis. On verra… »

Charlène ne se faisait que peu de soucis pour sa fille Pascale, Denise avait sans doute été le même genre de petite punaise à son âge, Pascale allait réussir et avait un grand avenir dans la compagnie.
Mais, Pascal s’était déjà révolté et avait insulté Jennifer Choquet lorsqu’elle lui avait demandé de se déshabiller et de monter sur la chaise Gynécologique pour un premier examen avant féminisation .Il avait aussi bousculé Natalie Borniol qui était présente au cas où les choses se passerait mal, et les choses s’étaient mal passées, après avoir dit à Natalie qu’il savait qui elle était et qu’il contait bien l’attraper par les oreilles et lui fourrer le fion, il avait attrapé violemment le bras de celle-ci et pendant qu’il tirait pour l’attirer vers lui, le maitre d’arme de la compagnie avait réagi…le son et la lumière avaient alors quitté l’étage supérieur du jeune Pascal Wollf.
Pascal s’était réveillé attaché à un Chevalet, après une semaine passée en compagnie de Natalie, et quelques visites humiliantes de sa sœur prise comme témoin, il avait bien changé, le huitième jour Natalie lui enfilait son premier petit soutien gorge alors que son traitement hormonal n’avait pas encore débuté. Aujourd’hui il était présenté à Philéas qui avait récupéré ses appartements après que Pascale effrayée eu vu le traitement réservé aux fortes têtes en formation devant servir la compagnie.
Maintenant que le plus difficile était fait Charlène était rassurée pour son fils adoré Il allait s’adapter et devenir co-dirigeant de la base en mer de Kara.


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MessagePosté : ven. 14 juin 2024, 14:38 
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La sieste

Amanda découvre que toutes les siestes ne sont pas pareilles...
La nuit passée Amanda avait lu dans son lit en écoutant la radio, jusqu'à deux heures du matin. Et ce matin elle s'était assoupie en classe...

Madame Ghélains (De nos jours, directrice de l’institut) avait vu les cernes sous ses yeux et l'avait envoyée chez la Directrice, "pour une bonne sieste".

Gênée, la jeune fille avait frappé à la porte du bureau, espérant que la Directrice ne soit pas là, où qu'elle soit fort prise. Hélas, Madame la Directrice était bien là, et elle avait immédiatement envoyé Amanda dans ce qu'elle s'obstinait à appeler 'sa salle de bains'. Amanda Gadouchen avait dû attendre près de vingt minutes avant que la Directrice ne s'occupe d'elle.

En attendant, elle avait ouvert de grands yeux en découvrant cette énorme pièce entièrement blanche.
Dans le coin il y avait un lit cage comme on voit dans les hôpitaux. C'est la seule chose qu'Amanda parvenait à associer à une sieste.
Avec la table d'examen et les armoires remplies d'objets médicaux nickelés, on ne se serait pas cru dans une salle de bain, mais dans une salle d'opération d'un hôpital.
"Enlevez votre blouse, votre jupe et vos chaussures."

Amanda sursauta, elle n'avait pas entendu entrer la Directrice. Elle mit ses habits sur un serviteur muet, glissa ses chaussures sur l'étagère. Puis elle croisa les mains sur son bas-ventre, par pudeur.
La Directrice abattit une paroi de barreaux du lit cage.
"Couchez-vous. Vous avez mauvaise mine... Madame Ghélains a tout à fait raison de vous faire faire une sieste. Vous verrez, vous vous sentirez bien mieux après. A quelle heure avez-vous été vous coucher ?"
"Euh, je ne sais plus très bien..." Elle grimpa dans le lit.
"Donc très tard, je présume...Vous vous êtes conduite comme une gamine, eh bien, je vais vous traiter comme une gamine... Couchez-vous sur le dos."
Les draps étaient frais et sentaient bon la lessive. Amanda était plutôt contente d'être couchée, elle sentit qu'elle ne mettrait pas longtemps à s'assoupir.
Entretemps la Directrice était partie chercher un grand verre de jus d'orange, ou du moins, ce qui semblait être du jus d'orange. Amanda le but d'un trait.
C'était bon, mais il y avait un goût bizarre.
"Laissez-vous faire," lui intima la Directrice, "je vais vous préparer de façon à tirer le plus de profit de cette sieste." Elle revint avec une table roulante. Amanda ne put voir ce qu'il y avait dessus.
"Vous allez redevenir une gamine pendant quelques heures. Un petit enfant même. Et après ce traitement vous ne vous conduirez plus comme tel, je vous l'assure !"
Amanda se sentait moins tranquille : il y avait quelque chose dans la voix de la Directrice qui lui fit froid dans le dos.
La Directrice lui prit les mains et les attacha avec des menottes en toile renforcée qui étaient attachées à la tête du lit. De cette façon Amanda savait bouger librement les mains, mais ne pouvait pas aller plus bas que ses seins.
Ses yeux s'agrandirent quand elle se rendit compte qu'elle était bel et bien attachée.
"On attache les mains des petits enfants, pour qu'ils soient bien sages..." fut le commentaire de la Directrice.
Amanda devait être très fatiguée, car elle se sentait un peu dans les vapes.
Elle ignorait que le jus d'orange n'était pas si innocent qu'il en avait l'air...
"Mais je..."
La Directrice lui coupa la parole:
"Les petits enfants ne répliquent pas. Tenez, vous avez sûrement encore soif."
Et elle lui tendit un autre verre de jus d'orange. Amanda voulut se relever pour boire, mais se rendit compte que c'était impossible à cause de ses menottes. Puis elle vit que le dessus du verre avait un couvercle en plastique, muni d'une sorte de tétine. Elle prit l'embout entre ses lèvres et suça. Aussitôt le jus de fruit coula dans sa bouche. "Chouette !" se dit-elle :"avec ce truc on peut même boire couchée, ça au moins c'est le progrès!"
La Directrice était penchée au-dessus d'elle et Amanda fut gênée que la femme la voie en petite culotte. Elle sursauta et manqua de s'étrangler dans son jus d'orange quand la Directrice lui baissa carrément la culotte !
Instinctivement elle voulut mettre une main devant elle pour se couvrir mais se rendit compte à nouveau qu'elle était attachée.
"Les bébés souillent leur lit, nous n'allons pas courir le risque, n'est-ce pas ?"
Amanda ne voyait pas où la Directrice voulait en venir. Elle était affreusement gênée.
La culotte alla rejoindre les autres habits sur le serviteur muet.
Amanda était rouge de honte. Entre ses seins elle pouvait tout juste voir les
poils de son ventre sur son mont de Vénus. Elle voulut protester mais l'énergie sembla lui manquer d'un coup. Elle se sentait vraiment fatiguée et eut de la peine à garder les yeux ouverts. "Elle a sûrement déjà vu d'autres filles à poil" se dit-elle sans réfléchir plus loin. C'était drôle, mais elle n'avait soudain plus envie de se battre, de protester, c'était tellement fatiguant...
Elle réagit à peine quand la Directrice la retournait sur le ventre.
"Pour être sûre que les bébés ne sont pas malades, on doit prendre leur température." Amanda ne sut pas si la Directrice pensait à voix haute ou si elle s'adressait à elle. Elle ferma les yeux, continuant de téter le jus d'orange.
La Directrice lui ouvrit les genoux. Quand Amanda sentit qu'elle lui écartait les fesses, elle serra instinctivement les muscles, mais cela demandait tellement d'énergie, qu'elle abandonna très vite. Elle sentit aussitôt qu'on appliquait quelque chose de froid et de gluant sur son petit trou, puis il y eut un frottement qui n'était pas désagréable : la femme était en train d'enduire le muscle de vaseline.

Inconsciemment Amanda soupira d'aise quand la Directrice lui enfonça un doigt dans le conduit anal, lubrifiant le sphincter. Elle enduisit soigneusement l'orifice de vaseline, puis, remarquant aux soupirs de la jeune femme que ce toucher ne lui déplaisait pas, elle fit délicatement quelques mouvements de va et vient.
Amanda remua ses hanches, venant à la rencontre du doigt qui la pénétrait.
Gênée, malgré l'alcool que la Directrice avait mis dans le jus d'orange, Amanda cacha sa tête dans l'oreiller, mais ne fit rien pour chasser ce doigt fouillant son intimité. Au contraire, elle souleva le bassin afin de mieux se présenter. L’étudiante de deuxième année ne se rendit pas compte que sa pose était franchement obscène, le derrière nu en l'air, s'empalant sur le doigt de la Directrice, puis se retirant, puis revenant…
Elle eut un petit cri de dépit quand la Directrice retira son doigt. Celle-ci le remplaça aussitôt par un gros thermomètre rectal qu'elle enfonça profondément. Le verre froid fit sursauter Amanda. Lentement elle se laissa glisser jusqu'à ce que son ventre repose sur le drap, le thermomètre pointant de son corps comme une excroissance obscène. Entre les cuisses, l'orifice luisant de son sexe montrait clairement que le corps de la jeune fille appréciait le traitement.
Après quelques minutes la Directrice retira le thermomètre lentement, en tournant, provoquant un nouveau cri de souris.
"36,6°. Parfait."
Elle farfouillait à nouveau entre les fesses de la fille, ouvrit le muscle anal, puis y glissa un assez gros suppositoire, puis un deuxième. Du bout du doigt elle les poussa aussi loin qu'elle put dans le conduit étroit.
Amanda gémit, puis soupira, se battant contre le sommeil. Elle ne rendit pas compte de ce la Directrice lui avait mis dans le rectum. L'attouchement rectal lui avait été plus qu'agréable et elle se sentait légèrement euphorique, bien qu'une petite voix essayât de lui dire que ce que la Directrice venait de faire, n'était pas permis, qu'elle n'aurait jamais pu se laisser faire de la sorte...

Amanda protesta quand la Directrice la retourna sur le dos, mais n'eut plus la force de résister.
Elle sourit, les yeux toujours fermés, quand la femme lui écarta les genoux, puis les releva en 'pose grenouille'. Autant se laisser faire : elle était incapable de se débattre et en plus, c'eut été tellement fatigant...
La Directrice travailla vite et bien : en quelques minutes elle avait enduit la vulve de la jeune femme de crème à épiler, provoquant de petits cris gênés quand elle touchait des endroits sensibles. Puis la femme avait gratté la crème avec un petit ustensile en plastique vert, emportant les poils. Quand elle eut fini de rincer l'entrejambe avec un gant de toilette, Amanda était glabre comme un nouveau- né.
L'adolescente n'était pas consciente du fait que tous ses poils pubiens étaient partis, mais sentait très bien que sa vulve était devenue beaucoup plus sensible qu'elle ne l'était déjà. Elle ne réfléchit pas plus loin, et gémit à nouveau de plaisir quand les mains habiles de la Directrice l'enduisirent d'huile de bébé odorante. Chaque pli, chaque recoin de chair fut soigneusement badigeonné. Dans un sursaut de lucidité Amanda se rendit compte qu'elle avait les genoux relevés et écartés, et que donc elle exposait largement son intimité aux regards de cette femme, mais elle n'en avait cure, elle se sentait si bien...
"La Directrice sait s'y prendre avec ses élèves," se dit-elle encore.
"Levez votre derrière ! Cela lui couta un effort prodigieux pour lever les fesses. La Directrice glissa quelque chose sous le derrière d'Amanda.
"Je vais vous mettre une couche-culotte. Vous êtes redevenu une petite fille, maintenant. Vous allez faire une longue sieste. Puis je reviendrai vous chercher."
Malgré l'alcool Amanda sursauta et voulut empêcher la Directrice de lui mettre cette chose infâme, mais la femme la repoussa sans peine. Amanda se mit à pleurer doucement. Elle était bel et bien à la merci de cette femme diabolique. La couche-culotte avait une drôle d'odeur chimique, qu'elle reconnaissait vaguement. Ses lèvres tremblaient en un rictus honteux quand la Directrice replia la couche sur son ventre. Elle se sentit soudain affreusement ridicule avec cette couche-culotte de taille adulte. On aurait vraiment dit qu'elle était redevenue un bébé.
La couche était douce et horriblement chaude : dès que la Directrice eut collé les fermetures, Amanda sentit qu'elle transpirait abondamment sous la couche.
A nouveau sa résistance diminua. Elle se sentit bien, au chaud, protégée, à l'abris de tout, et se laissa aller à sa torpeur.
"Maintenant la culotte !"
La Directrice lui mit une grande culotte en plastique d'un blanc laiteux, qu'elle ferma avec des boutons-pressions.
De larges élastiques fermaient la culotte à la taille et aux ouvertures des jambes, la rendant parfaitement étanche. Le plastique fit un drôle de bruit quand Amanda bougeait. Elle sentait très bien les élastiques serrer la peau de son ventre et de ses cuisses : la couche-culotte se trouvait entièrement recouverte par la culotte. Comme cela il n'y avait pas de risques de fuites.
Puis la femme releva les barreaux du lit cage.
"Vous voilà prête pour votre sieste. Je vais éteindre la lumière et vous allez dormir. Si vous dormez sagement, vous serez à nouveau une grande fille..."
La Directrice quitta la pièce, laissant Amanda prisonnière dans son lit cage.
Dès que la porte fut fermée, la jeune fille se regarda son ventre dans la pénombre : l'énorme culotte était grotesque. Elle qui ne portait que de petites culottes fines ! On aurait dit un Bibendum. Le gros paquet entre ses cuisses l'empêchait de fermer les jambes. La transpiration abondante dans la couche étanche lui donnait l'impression d'être trempée, mais comme ses mains étaient attachées, elle ne pouvait même pas sentir sa couche.
Amanda essaya de se relever. Rien à faire. Puis elle tira sur ses liens. Rien à faire non plus, c'était de la toile solide et il lui aurait fallu des ciseaux ou un couteau pour la trancher. En plus, l’étudiante se sentait très fatiguée; sa résistance à la Directrice quand celle-ci lui avait mis cette couche-culotte l'avait éreintée. Elle décida de prendre son mal en patience et de voir les choses du bon côté : elle échappait aux cours de l'après-midi et pouvait rattraper ses heures de sommeil. Elle se laissa donc doucement glisser vers une agréable torpeur...
Hélas, avant même de s'endormir elle sentit un besoin naturel se manifester.
Sa vessie se signalait... Probablement qu'Amanda avait bu trop de jus d'orange...
"Il faudra tenir jusqu’après la sieste", se dit-elle.
Mais très vite un autre besoin se fit sentir : elle devait aller à la 'grande' toilette : une crampe dans son bas-ventre lui fit savoir qu'elle ne devrait pas attendre trop longtemps...
C'est alors qu'elle comprit. En une fraction de second elle fut dégrisée.
C'était diabolique ! La Directrice l'avait attachée et langée justement pour qu'elle ne puisse pas aller à la toilette ! C'est aussi pour cette raison qu'elle lui avait donné deux grands verres de jus d'orange... D'ailleurs, il avait eu un goût bizarre, ce jus d'orange... Et ce qu'elle lui avait mis dans le derrière, c'était quoi alors ? Très vite une crampe lui apporta la réponse :
cette horrible femme lui avait mis des suppositoires laxatifs dans le petit trou !
La jeune femme se débattit de plus belle, mais ne parvint pas à se libérer. A chaque mouvement la culotte en plastique faisait un bruit honteux dans le silence de la pièce...
Entre les élastiques de la taille et ceux des ouvertures pour les jambes,
Amanda était comme dans une gangue chaude et humide. C'était affreusement frustrant de ne pas pouvoir repousser cette énorme chose que la Directrice avait mis entre ses jambes, cet énorme paquet qui faisait office de culotte.
En vain Amanda tenta d'enlever sa couche-culotte en se frottant contre les draps, mais chaque fois elle glissait. A la fin, épuisée, elle abandonna, pleurant en silence.
Sa gymnastique lui avait fait oublier que sa vessie était pleine et que les suppositoires commençaient à faire leur travail... Elle se mordit les lèvres, se frotta les jambes l'une contre l'autre pour ne plus sentir cette pression dans son ventre, mais en vain, dès qu'elle s'arrêtait de bouger, le besoin se fit plus pressant.
Amanda secoua la tête, elle n'allait quand même pas...
Elle refusait de donner satisfaction à la Directrice qui avait fait toute cette mise en scène juste pour l'humilier, pour qu'elle soit obligée de se souiller...
Mais la pression dans sa vessie devint intenable. Elle ouvrit les genoux largement pour donner à sa vessie un peu plus de place, mais se rendit compte qu'alors elle risquait de ne plus savoir contrôler son petit trou... Affreux dilemme...
Ses reins commençaient à faire mal, n'arrivant plus à évacuer l'eau qu'ils filtraient.
Et si elle faisait un petit pipi, juste un petit filet... La Directrice ne verrait rien : un peu d'urine serait immédiatement absorbé par la cellulose et deviendrait invisible, surtout qu'avec tout le jus d'orange qu'elle avait bu, le liquide devrait être tout clair et donc ne ferait pas de marques jaunes sur la couche. Quand la plante de ses pieds et le dessus de ses mains se mirent à picoter tellement le besoin d'uriner fût pressant, elle serra les dents, décidée à relâcher un peu de l'affreuse tension dans sa vessie... Elle se laissa aller... Mais rien ne venait ! Depuis les années qu'on lui avait appris à être propre, elle ne pouvait pas uriner comme cela, habillée et couchée, malgré la pression qui devenait lancinante. Il lui fallut se relaxer avant de pouvoir
enfin se laisser aller.
"Aaahhh!" cria-t-elle de soulagement, sentant l'affreuse pression graduellement diminuer. Elle gémit de bien-être, sentant confusément que son 'petit pipi' était devenu un pipi-fleuve et que même si la Directrice était soudain devenue aveugle, elle verrait tout de suite qu'Amanda, la grande bringue, avait fait pipi dans son lange comme un bébé. Pas moyen d'arrêter
cette cataracte : c'est comme si son sphincter se vengeait : "tu m'as fait attendre, eh bien, maintenant je ne t'obéis plus!"...
Le liquide brûlant se dispersa dans la couche, réchauffant encore un peu plus son ventre. Elle était mouillée du nombril aux reins. La sensation était drôle : elle faisait pipi, mais rien ne coulait en dessous d'elle, le lit semblait rester sec. Le bonheur se mua en désespoir en pensant à la scène que la Directrice ne manquerait pas de lui faire quand elle viendrait la sortir de son lit-cage. Elle pouvait déjà s'imaginer les commentaires humiliants...
Une nouvelle crampe l'empêcha de continuer ses réflexions. Elle avait l'impression que son ventre était un ballon. Comme la couche était trempée et chaude après cette cataracte, elle ne se rendit pas tout de suite compte que la dernière crampe avait fait des dégâts. Lors de la crampe suivante elle sentit une giclée entre ses jambes et sut que ce ne pouvait pas être du pipi...
Morte de honte elle ferma les yeux et cessa de se battre. Elle se mit à sangloter convulsivement. Elle ouvrit les cuisses et se laissa aller. Elle se soulagea les intestins en de long jets brûlants...
Des heures plus tard, la Directrice trouva Amanda profondément endormie, couchée sur le dos, les jambes largement écartées de peur de faire déborder sa couche pleine...

Amanda Gadouchen a terminé ses études à l’institut, elle est maintenant la Capitaine du CAROLINA à Mar Del Plata. Durant ses deux dernières années de formations elle fut parfois le jouet de Denise lorsque celle-ci organisait des soirées pipi caca. A la barre de son navire, porter des couches qu’elle souille jusque débordement est son grand plaisir, bien équipée avec une culotte en plastique par-dessus sa protection elle affronte le gros temps sans jamais quitter son poste et sans nécessité d’aller aux toilettes.

Charlene Ospif.


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Modifié en dernier par MacPyridine le sam. 15 juin 2024, 14:40, modifié 1 fois.
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MessagePosté : ven. 14 juin 2024, 14:43 
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Amanda Gadouchen et ses cartons de couches et culottes en plastiques viennent de s'installer à bord du CAROLINA.


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MessagePosté : ven. 14 juin 2024, 14:49 
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ORGANIGRAMME DE LA MAC PYRIDINE COMPANY PARTIE-3
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Rappel PARTIE-1-2
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