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Une bonne surprise que ce récit de domination traité sur un ton qui change de la morgue habituelle de beaucoup de ce genre de récits.

Domination lesbienne par Slavio 63

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Elle était tellement plate que je me suis demandé si elle n'avait pas laissé ses seins au vestiaire...

Honnêtement je n'arrive pas à comprendre ces dominations 7/7 24/24, mais là il n'est pas question de comprendre, mais d'accepter la situation décrite dans le récit, et ce n'est pas du temps perdu. La description de l'étreinte des 2 femmes est follement excitante, d'une sensualité sans faille. Les autres aspects, genre le mari agenouillé dans un bac de gravier pour avoir le droit de regarder les ébats des deux amantes ne me laisse pas froid, mais au contraire me fait voir une dimension pathologique anti érotique.

Pour résumer, à lire, ça vaut le coup pour les deux femmes, pour le reste, chacun appréciera selon ses goûts

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La plupart des gens sont heureux pour autant qu'ils aient décidé de l'être
Abraham Lincoln
alors qu'est ce qu'on attend ?

A propos des textes de Slavio 63

Slavio est un cas !
Ceux qui suivent la publication de nos récits savent que je me refuse par principe à publier des récits d'esclavage permanent.
Qu'en est-il de Slavio et pourquoi ais-je publié ces récits ?

D'abord c'est un témoignage, plutôt bien écrit. L'auteur à 75 ans, c'est un soumis dans l'âme, il fait aussi siennes un certains nombre de fantaisies que Vassilia se plait à populariser au travers de ses textes et images (l'uro, le fétichisme du pied...), ensuite parce que le ton adopté est original, il y a certes une dévotion/adoration poussée à son paroxysme (jusqu'aux majuscules dans les nom communs se rapportant à ses maîtresses), mais (et cela peut paraître paradoxal) sans que cela tombe dans le morbide. Et puis, ce n'est pas de l'esclavage permanent (même si la lecture de certains de ces textes n'en rend pas forcément l'évidence). Slavio a vécu en couple, et s'il a choisit de nous raconter les séances de domination qui s'y exerçaient, ceux-ci n'avait rien de permanents, les "temps calmes" (comme on dit) y étaient prépondérants, rejoignant en cela notre point de vue sur la domination vu d'abord comme une activité ludique.

C'est en tous cas de cette façon que j'ai "reçu" ses récits et avec cette optique que je les ai publié (mais ce point de vue n'engage que moi, bien évidement)

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L'ordre moral revient, ayons l'air occupé.

Slavio est effectivement un cas. Il nous expliqué sur le forum qu’il s’était déclaré unilatéralement esclave de sa femme. Celle-ci, réticente au début, a accepté de jouer le jeu à reculons, pour lui faire plaisir. A partir de là, peut-on dire qu’il y avait esclavage 24/24 7/7, dans sa tête, je pense que oui, mais dans la réalité, je n’y crois pas. Pas étonnant toutefois que son épouse se soit lassée.

J’ai lu quelques un de ses récits, 1, 2 j’ai bien aimé, ensuite, beaucoup de rabâchage et du prosélytisme, des récits sans queue ni tête. J’ai cessé de lire ses histoires jusqu’au dernier commentaire de Valentin.

Effectivement, c’est une histoire dont l’écriture date. Surprenant qu’il décrive des lesbiennes. Malheureusement, omnibulé par ses fantasmes récurant, il a raté l’occasion de diversifier ses écrits.

Contrairement à Georline, j’ai lu le paragraphe lesbien en diagonal (pour situer la fin), par contre j’ai bien apprécié les passages uro. comme quoi !

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Sans la liberté de blâmer, il n'est point d'éloge flatteur.