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histoire peut-être de faire avancer le schmilimilimili...
Et le schlimili; y tient dans la main, y tient dans la main! :moc:
Et pourquoi pas un dans chaque main
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Sissi, je crois que nous avons eu le même genre de mari... Totalement bloqué alors que nous étions très entreprenantes...
Quand tu penses qu'on croit généralement que ce sont les femmes qui bloquent les ardeurs de leur mari....
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un soir, j'étais en train de le sucer, ce qui était assez rare car il n'était pas très demandeur de la chose. Je lui fais remarquer que jamais il n'a joui quand je le suçais, et il m'a répondu d'un air très réfléchi "ben en fait, je n'y peux rien, quand tu fais ça, tu me fais penser à une pute et ça me bloque..."
Ce que tu dis là, Sissi, me fait penser au père de mon fils, qui avait une libido débordante avant la naissance de notre fils, nous nous entendions très bien point de vue sexe, et lorsque je suis devenue mère, a changé de comportement à 360°. Plus de cunis :
"je ne peux pas lécher l'endroit par où notre fils est sorti", plus de fellations, lorsque je descendais ma tête vers son sexe, il me faisait remonter en m'attrapant par les oreilles :
"ce sont les putes qui font ça, toi, tu es la mère de mon fils et je te respecte", plus de sodomie :
"la mère de mon fils n'est pas une enculée", il ne s'occupait même plus de mes pointes de seins, toujours à cause du bébé que j'avais allaité. J'ai enduré ça pendant 2 ans en attendant un miracle qui ne venait pas, un beau jour j'en ai eu vraiment marre, profitant qu'il était en stage pendant 15 jours à 300 kms, j'ai tout plannifié, sorti le grand jeu, j'ai ressorti ma jupe en cuir, ma plus belle lingerie
(j'étais mince à l'époque 
), mes escarpins de 12 cm, réservé l'hôtel et le restau, pris ma voiture et j'ai filé l'attendre à la sortie de son stage le vendredi soir, appuyée contre ma voiture d'un air décidé et provoquant. J'ai pris les choses en mains
:
"c'est la femme qui est venue te rejoindre, pas la mère de ton fils, alors tu te laisses faire", la nuit même tout est rentré dans l'ordre comme auparavant, comme si ces 2 ans n'avaient pas existé.
Figure-toi que sans me l'avoir dit aussi explicitement, il pensait les mêmes choses (ceci dit, lui il aimait bien m'enculer quand même et vu comment il le faisait, je me demande si ce n'était pas pour lui un fantasme de punition) mais pour moi, ça ne s'est pas arrangé.
Pour nos cinq ans de mariage, j'avais déjà mes deux enfants que je fais garder par ma mère. J'ai moi aussi réservé restau et hôtel (je me demande si je n'avais pas déjà raconté ça avant le crash...) et ce fut le fiasco intégral. J'aurais dû à ce moment-là me poser sérieusement des questions mais j'étais jeune et bête.
Bref, je passe les détails infernaux pour son ego du genre : on commande à l'apéro moi un pastis et lui le cocktail maison et le serveur qui revient et sert d'office le pastis pour lui et le cocktail pour moi... ou la carte, la mienne sans prix, et le moment de payer où il tend la note à mon mari et que c'est moi qui sors la carte bleue...
Au moment de partir, il apprend que j'ai aussi réservé la chambre et qu'on va dormir sur place. Il n'a pas l'air super ravi mais bon... Je file dans la salle de bains et mets une magnifique guêpière noire (j'étais très mince moi aussi à l'époque) des bas, de jolies chaussures et une queue de cheval car je savais qu'il adorait ma nuque. J'avais tout préparé, ma belle-soeur m'avait aidée à faire mes emplettes et était sûre elle aussi que tout ça allait lui plaire. Mais quand je suis sortie de la salle de bains, il m'a regardée comme on regarde quelqu'un d'autre, puis a eu soudain un air dédaigneux et m'a sorti : tu comptes aller faire le trottoir ou quoi?...
J'étais jeune et naïve et j'ai quand même espéré le faire changer d'avis. Mais quand j'ai touché sa queue et qu'il ne bandait pas du tout, j'ai bien compris que ça n'irait pas. Il m'a dit : je ne peux pas, désolé, et à l'avenir épargne-moi tout ça, je déteste les surprises!
La suite de mon mariage me montrera qu'effectivement, rien ne pouvait plus l'affoler que de sortir des sentiers battus, autant dans sa vie sociale que sexuelle.
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Mais pardon, Léo, je m'égare et ce que je raconte ne répond nullement à ta question.
Je ne crois pas que nous soyions hors-sujet en parlant de ça. Tellement de détails, de mots malheureux, peuvent bloquer tout dialogue et par là, toute libido. On n'est pas dans la tête de l'autre et on ne connaît pas toujours l'impact de ce qu'on lui dit mais nous sommes tous sensibles aux mots, aux regards, aux expressions et même si certaines banderilles ne font pas leur effet tout de suite parce que l'amour est là, elles finissent quand même leur lent chemin vers le coeur au moindre problème....
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Tas de jaloux !!!
J'avais pas vu 
Je pense aussi que se sentir (et savoir) aimée est bon pour la libido.