Tout ça pour une pochette d'album ! Ce sont nos confrères du site L'Express.fr qui ont remarqué la chose. La chanteuse Caroline Loeb a été censurée par la plate-forme de téléchargement iTunes pour cause de "poitrine dénudée".

Si ce n'est pas la première fois que la chanteuse de "C'est la Ouate" se déshabille sur une pochette d'album, cette fois, la vision de cette femme dénudée n'a pas plu au leader du téléchargement légal qui a tout simplement décidé de retoucher la pochette de l'album.

Caroline Loeb vient en effet de dévoiler une nouvelle version de son album "Crime Parfait", sorti en 2009. Cette nouvelle version, intitulée "Perfect Crime", reprend les titres de l'album sorti en 2009 ainsi que plusieurs autres titres issus de son spectacle "Mistinguett, Madonna et Moi".

L’œuvre de Georges Lacombe qui figure sur l’album du groupe breton enfreint la législation américaine…

Cachez ce dessin qu’ils ne sauraient voir. Pour que leur dernier album, La Belle enchantée, soit disponible sur les plateformes de téléchargements et de streaming, Tri Yann a dû modifier la pochette. Et pour cause, révèle France Info, l’œuvre de Georges Lacombe qui illustre l’opus enfreignait les règles puritaines de la législation américaine.

Jean Chocun, l’un des fondateurs du groupe breton, explique qu’il a pensé qu’il s’agissait d’une « plaisanterie ». Mais l’histoire est bel et bien sérieuse : le fait que le dessin d’une femme nue, de dos, et enlaçant un homme s’affiche sur le disque a de quoi choquer chez l’oncle Sam.
Le « gribouillis pornographique » rhabillé

« La représentation des fesses, sexes, et tétons féminins est un motif de blocage des plateformes digitales. Donc, on a été obligé de rhabiller l’impudique », déplore Jean Chocun.

Pour apparaître sur Spotify, Deezer ou encore iTunes, la femme a dû se rhabiller. « Ainsi est épargné à la vue du public le "gribouillis pornographique" d’un compagnon de Gauguin à Pont Aven », écrit le groupe sur son site. Elle porte désormais un costume de bain marinière… Une « bretonne attitude » que les Américains ne pourront pas lui enlever.

C'est l'actrice Nicole Eggert (époque implants mammaires), à peine sortie de sa période "Alerte à Malibu", qui prend la pose, pour le moins provocante. Là, par contre, par de censure.
Tout le monde à aujourd'hui oublier Sugar Ray, pourtant ce collectif avait préfiguré, par exemple, le travail d'un Limp Bizkit qui ne publiera son premier essai que deux plus tard. D'ailleurs, on retrouve sur cette première galette (de 1995) la participation d'un certain Leor Dimant plus connu sous le pseudonyme de DJ Lethal, que l'on retrouvera aux platines derrière Fred Durst (chanteur et casquette) et Wes Borland (guitariste, passionné par les freaks, monstres et autres mutants), les deux piliers de Limp Bizkit.