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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mar. 08 mai 2012, 19:03 
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Citation :
L'historienne Edith Huygue nous invite à une histoire du plaisir sexuel depuis l'Antiquité jusqu'au XVIIIe siècle. Dans cet essai, elle insiste plutôt sur la prostitution féminine, même si à plusieurs reprises elle envisage la prostitution masculine et les plaisirs homosexuels.
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Huygues.jpg
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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : dim. 20 mai 2012, 09:16 
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Localisation : Est
A paraître le 25 mai aux éditions Stéphane Bachès, ce "Sexualité sans tabou - Guide pratique du plaisir" signé par Isabelle Rocher.
Fichier(s) joint(s) :
patabou.jpg
Si je vous en parle ici, c'est parce que j'ai contribué au chapitre traitant des jeux BDSM :)

Je pourrai le lire très prochainement, puisque l'auteur va m'en adresser un exemplaire. En tout cas, la couverture est superbe !


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Isa
Jouis et fais jouir, sans faire de mal ni à toi, ni à personne (Chamfort)


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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : sam. 16 juin 2012, 10:16 
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Citation :
L’Anthologie littéraire de la jouissance est paru aux éditions Blanche. Un petit livre qui compile des trésors de créations littéraires pour décrire la jouissance et le plaisir, le délire et l’extase.

« À un moment elle a gueulé, j’ai cru que ça n’allait pas mais elle m’a dit 'Continue !' sur un ton suppliant, alors j’ai mis la gomme et tout d’un coup elle a été parcourue de secousses terribles, des vraies décharges, des vrais courts-jus, moi je croyais qu’elle calenchait, mais pensez donc, mais pas du tout ! Elle était bien vivante ! » Ainsi s’exprime Bertrand Blier, dans Existe en Blanc, paru en 1998 aux éditions Robert Laffont.

Et puis il y a Régine Desforges, sans doute responsable de premiers émois chez nombre de jeunes filles en fleur. « J’aime quand tu me fais mettre à quatre pattes devant la cheminée où brûle un feu de sarment, la guêpière bien serrée, les bas soigneusement tirés, le cul bien cambré, tourné vers toi qui fumes, confortablement installé. » Attention, par la suite, les plus sensibles pourraient bien être troublés et mal à l’aise avec cet extrait extrême de l’Orage, publié en 1996, Editions Blanche.


Tous ces auteurs d’épisodes les plus érotiques, voire pornographiques de la littérature sont réunis dans un recueil édité chez Hugo et Cie, aux Editions Blanche, une collection spécialisée dans la littérature érotique. L’année dernière, la collection s’était attardée sur la fellation. Après l’Anthologie littéraire de la fellation, place à l’Anthologie littéraire de la jouissance, sous la direction de Franck Spengler.

Ces auteurs ne sont pas des noms issus de la littérature érotique, non. L’Anthologie littéraire de la jouissance dépasse cette considération d’un genre littéraire en particulier. Ainsi y trouve-t-on les écrits de Sœur Thérèse d’Avila, un figure majeure de la religion catholique, béatifiée et connue pour sa réforme du couvent des carmélites. L’Espagnole, qui vécut au XVIe siècle, prend ici place aux côtés du marquis de Sade. « Je voyais donc l’ange qui tenait à la main un long dard en or, dont l’extrémité en fer portait, je crois, un peu de feu. Il me semblait qu’il le plongeait parfois au travers de mon cœur et l’enfonçait jusqu’aux entrailles. En le retirant, on aurait dit que ce fer les emportait avec lui et me laissait tout entière embrasée d’un immense amour de Dieu. La douleur était si vive qu’elle me faisait pousser ces gémissements dont j’ai parlé. Mais la suavité causée par ce tourment incomparable est si excessive que l’âme ne peut en désirer la fin, ni se contenter de rien en dehors de Dieu. Ce n’est pas une souffrance corporelle. Elle est spirituelle. Le corps cependant ne laisse pas d’y participer quelque peu, et même beaucoup. » Extrait de la Vie de sainte Thérèse de Jésus (1515-1582). Extase spirituel et jouissance sexuelle seraient donc tout à fait compatibles.


Alfred de Musset, Mirabeau, Verlaine, Henry Miller… Beaucoup, et bien d’autres qui n’apparaissent pas dans ce recueil, ont voulu écrire la jouissance, dire l’orgasme, le décrire et le mettre en scène. Ils ont le pouvoir de verbaliser ce chahut intérieur, et on en profite ! Ainsi Guillaume Appolinaire, qui nous avait déjà interpellés dans les Exploits d’un jeune Don Juan, le dit cette fois en poésie :

Il me souvient de la Dona

Qui faisait l’amour en cadence

Et dont la figue distilla

Un alcool d’une violence

Mais je ne vous dit que Cela
(1)

Pas de préface, ni de postface, les 49 extraits choisis, sont livrés sans explication, ni mise en bouche. À lire seul ou accompagné, parce qu’on se délecte des mots comme on se laisse chatouiller par leur pouvoir d’évocation, l’Anthologie de la jouissance littéraire saura susciter l’attention qu’il mérite.



(1) Il s’agit de la dernière strophe du poème Ma Queue éclatait sous tes lèvres.

Anthologie de la jouissance littéraire, sous la direction de Franck Spengler, Editions Blanche 2012.
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anthologie.jpg


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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mar. 13 nov. 2012, 11:30 
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Lingerie. Jarretelles, pantys ou guêpières… Accessoires de mode autant que de plaisir, les dessous se dévoilent dans trois ouvrages.
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berquet.jpeg
En 1930. - Collection Jean Feixas.

Des petits bouts de soi cachés par de la soie. Des seins propulsés comme des obus, une taille étranglée par des baleines, des hanches arrondies par des gaines, et ce débat qui faisait encore rage dans les années 20 : ouverte ou fermée la culotte ? La suite on la connaît, elle restera fermée. Comme un appel au désir paraît la Lingerie française de l’historienne de la mode Catherine Ormen (1), ou il était une fois nos dessous du XIXe au XXIe siècle. A peine le temps d’effeuiller ces quelque 150 pages de guêpières, pantys, tangas et porte-jarretelles effrontés et coquins ou ces combinaisons pudiques et sages, que débarque en librairie Petites Histoires de corsets au temps des impressionnistes, de Charles-Arthur Boyer (2). De laçages en délaçages, épiées par les peintres, surgissent ces silhouettes de femmes qui promenèrent leur élégance affinée par l’accessoire des allées du bois de Boulogne aux arcades du Palais-Royal. Sans retenue, cet ouvrage dévoile en peintures, pastels et dessins, le regard intime et sensuel des impressionnistes sur «cet objet de désir en tout point singulier qu’est le corset». Un instrument de torture aussi. Un souffle passe, et voila encore cet ouvrage sobrement intitulé le Bas (lire ci-contre), de Jean Feixas, collectionneur et ex-commissaire de police à la brigade des mœurs, qui déjà s’illustra avec sa cinglante Histoire de la fessée (Libération du 3 décembre 2010). En 500 illustrations, l’accessoire ressuscite, glissant et remontant avec volupté , remémorant aux étourdi(e)s que la lingerie ne saurait se résumer à planquer son intimité dans du fonctionnel synthétique.

Comme un tir groupé, ces trois ouvrages rappellent - si besoin en était - que la lingerie fut, et reste, un objet de mode et d’érotisme. En témoignent aujourd’hui toutes ces femmes qui la veulent douce, soyeuse, légère ou transparente, pour mieux la détourner en l’exhibant dans un défilé de bretelles de soutien-gorge qui débordent des décolletés. Pas moins de 40% des Françaises confient porter de la lingerie pour séduire. Et pour cela ne mégotent pas. La France reste le premier marché de la lingerie en Europe, devant l’Allemagne et l’Italie. Le panier moyen s’est établi à 100 euros (environ 17,5% dans les dépenses d’habillement féminin). Le signe que, pour de la lingerie, les femmes sont toujours prêtes à se mettre sens dessus dessous.

(1) Photographies de Gilles Berquet, éd. Plon, 25 euros. (2) Ed. La Martinière, 25 euros.
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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mar. 13 nov. 2012, 11:34 
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L’histoire, autant masculine que féminine, de quelques grammes de séduction.
Fichier(s) joint(s) :
bas.jpeg

Coton finement brodé, 1915. - Collection Jean Feixas.

«La porte s’ouvre, et, vêtue seulement de ses bas, celle que j’ai choisie s’avance minaudière», écrit Louis Aragon dans le Paysan de Paris, en 1926. Là, tout s’arrête. Difficile de continuer à réfléchir tant l’on est subjugué. Dans le beau livre le Bas, Jean Feixas (1) revient sur notre fascination pour ce petit bout de vêtement, objet de multiples désirs. «Elle n’était pas entièrement nue, mais c’était pis ! Elle était bien plus révoltamment indécente que si elle eût été franchement nue», s’effraie ainsi un jour faussement Jules Barbey d’Aurevilly. Déjà auteur de l’Histoire de la fessée chez le même éditeur Jean-Claude Gawsewitch, Jean Feixas, ancien commissaire à la brigade des mœurs, parsème son récit d’une multitude d’anecdotes, citations d’écrivains, photos, peintures, extraits de films ou d’affiches publicitaires aguichantes.

Vert. Longtemps, le bas est autant une histoire masculine que féminine. Henri II, aux noces de sa fille, aurait mis les premiers en «soye». Henri III avait une passion du vert qui poussa toute la cour à l’imiter. Comme l’objet est alors unisexe, il est apprécié des fétichistes. «J’ai connu force gentilshommes qui, avant de porter leurs bas de soie, priaient les dames et maîtresses de les essayer et de les mettre avant eux quelque huit ou dix jours», raconte, au XVIe siècle, l’écrivain Brantôme dans Vie des dames galantes. «Il les portait ensuite avec une grande vénération et en éprouvaient un grand contentement du corps et de l’esprit», continue-t-il. Mais petit à petit, les hommes le délaissent. Parler du bas, de son attrait, de ses formes et de son pouvoir sexuel devient pour eux surtout un moyen d’encenser le corps de la femme et sa puissance érotique.

«Rodolphe, marchant derrière elle, contemplait entre le drap noir et la bottine noire la délicatesse de son bas blanc, qui lui semblait quelque chose de sa nudité», décrit Gustave Flaubert dans Madame Bovary, en 1857. «Une étrange fille au visage dormant et dont les bas noirs faisaient ressortir la blancheur émouvante des jambes», ajoute Marcel Mouloudji, dans Un garçon sans importance, en 1971. Mais là où se niche l’érotisme, la morale, voire les préjugés de classe, ne sont jamais loin. «Et pendant qu’elle levait la jambe toute droite et que l’on voyait, un instant, à la hauteur des têtes, une pointe de bottine recourbée et un bas de mollet dans un bas rose, son danseur endiablé faisait apparaître, en un cancan forcené, toute la crapulerie de la plèbe du XIXe siècle», racontent les frères Goncourt dans leur Journal, en 1863. Si l’on veut être respecté, il ne faut surtout pas porter n’importe quoi. «Quant aux bas multicolores, ou relevés de dessins et de paillettes, une femme de goût les laissera aux manolas, almées et gitanes qui ont au moins l’excuse de costumes à l’unisson», affirme Gabriel Prévost dans le Nu, le Vêtement, la Parure chez l’homme et chez la femme en 1883. Il n’en faut pas beaucoup plus pour que les législateurs viennent donner leur avis. Dans les années 30, la mode est d’en porter à la plage en Californie, mais pas de n’importe quelle manière. «Il ne devait pas révéler plus de 20 cm de chair entre son bord roulé et l’ourlet de la robe. La robe, elle-même, ne devait pas se situer à plus de 65 cm du sol. Des policiers spéciaux y veillaient, le mètre à la main», s’amuse Jean Feixas.

Après tout, ces forces de l’ordre cherchaient sans doute la puce, un terrible animal. «Cette petite friande qui se repaît de viande», comme l’appelle Olivier de Magny au XVIe siècle, fut pendant longtemps particulièrement vorace contre les jambes des jeunes femmes. Ce prédateur avait tendance à remonter le long des cuisses et il fallait risquer sa vie, n’ayons pas peur des mots, pour aller le déloger d’un geste de la main. Le poète Pierre Motin demande à l’une de ses amantes de «l’autoriser à exercer sa cruauté dessus cette importune puce». Il lui propose ainsi de la «dépuceler». Pour Jean Feixas, «notons le bon sens des insectes qui ne s’en prirent qu’aux jolies femmes et jamais aux hommes, peut-être parce que les femmes ont meilleur goût».

Envolée. Reste une question encore irrésolue. Faut-il enlever les bas ou les garder pendant l’amour ? Dans l’enquête sur les Femmes, la Pornographie, l’Erotisme (1978), l’une des femmes questionnées, Juliette, se souvient : «Un type m’avait demandé de garder mes bas. Ça m’avait paru d’un ridicule !» Mais, «par la suite, je me suis aperçue que d’autres étaient comme lui, sensibles aux porte-jarretelles noirs, aux jolis dessous». Pour Jean Feixas, si l’on décide de les ôter, la manière compte et surtout l’envolée finale. Citant le Guide du strip-tease chez soi, de Libby Jones, il ne faut «surtout pas lâcher le bas : il ferait un ignoble bourrelet sur la cheville». Le mieux est de «retenir avec les orteils le bout de ce bas et de tirer. Balancez l’objet toujours tendu, balancez la main ! Balancez le pied, souriez, puis dégagez le pied et laissez tomber». Simple, non ?

(1) 240 pages, 500 illustrations, 39 euros, Jean-Claude Gawsewitch éditions

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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mar. 22 janv. 2013, 15:36 
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Cocu et pas content
D'un classicisme subtil, le nouveau roman de Philippe Vilain, "la Femme infidèle", explore la sidération d'un homme face à la trahison de son épouse.

La Femme infidèle, de Philippe Vilain, est un récit d'une simplicité extrême, translucide, tendu vers sa conclusion comme un arc. Une balistique de javelot, qui finit solidement planté dans l'esprit du lecteur. Ce roman réussit l'exploit narratif par excellence : faire du profond avec du banal, et même du rebattu. Le narrateur est l'archétype du cocu occidental contemporain : il découvre la trahison de sa femme sur son portable ; elle réalise avec son amant un fantasme de soumission que la morale féministe réprouve : «Je suis ta chienne», lui déclare-t-elle, entre autres SMS enthousiastes marquant son ébahissement dans la soumission sexuelle.
La suite ici: http://www.marianne.net/Cocu-et-pas-con ... 25653.html" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mer. 17 avr. 2013, 14:20 
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Surnommé Mr Sex, Scotty Bowers a orchestré les parties de jambes en l’air du Tout-Hollywood durant les années 50 et 60. A 89 ans, il balance tout.

Quand on le croise à L.A., au Chateau Marmont, comme ce fut notre cas il y a quelques semaines (on peut crâner parfois ?), Scotty Bowers est un beau vieux affable et hâbleur qui n’hésite pas à vous draguer dans la perspective de vous mettre dans son lit. Normal, me direz-vous, quand, à 89 ans, on a couché avec le Tout-Hollywood des années 50 et 60. Et bien plus : pendant trente ans, Scotty Bowers aura été l’entremetteur d’innombrables stars et personnalités issues de l’usine à rêves.

Son parcours ressemble à une success story au pays de la débauche sexuelle. Il a pour point de départ une petite station-service sur Hollywood Boulevard. Alors ex-marine de 23 ans revenu de l’enfer de Pearl Harbor, Bowers devient en un rien de temps le pompiste le plus convoité de la ville: jeune star fucker au regard bleu Pacifique, son rôle est celui d’intermédiaire pour la jet-set des studios ; des pontes d’Hollywood venus faire le plein et repartant avec un jeune éphèbe sur leur banquette arrière. Son vivier ? Des camarades de combat de passage à la station transformée en “carrefour des rendezvous secrets du sexe”. Ses clients : gays, hétéros, voyeurs et partouzeurs – toute la faune des studios, du producteur richissime à l’accessoiriste de série B.

Dans cette confession tardive – il a longtemps refusé de dévoiler l’intimité de stars ultracélèbres, malgré l’insistance d’éditeurs et même de Tennessee Williams qui l’avait affectueusement baptisé “la bonne fée de la communauté gay” -, Scotty Bowers nous raconte comment sa “libido hors du commun” et “un volume spermatique étonnant” l’ont conduit à combler les desiderata sexuels de bon nombre de personnalités de l’époque : il sera entre autres l’amant de George Cukor (“qui n’aimait qu’une chose : sucer des queues”), Vivien Leigh (“une des plus belles nuits de sexe que j’aie jamais connues”), Edith Piaf ou encore Cary Grant. Parmi les personnalités fascinantes du livre, Katharine Hepburn, fille magnétique mais hautaine, dont on raille la peau “couverte d’écailles comme un crocodile mort”, à qui Bowers présentera “plus de 150 jeunes femmes différentes”. Serait-il un peu mytho sur les bords ?

Plus que la dimension sulfureuse d’un tel déballage, c’est l’éventail et la maniaquerie des désirs qui frappent à travers ce catalogue souvent cocasse. Derrière l’aura de la célébrité, ce pompiste légendaire raconte des éros complexes et fragiles, toute une gamme de désirs flirtant avec la névrose ou le fétichisme – tels Howard Hughes obsédé par la “bonne santé” de ses partenaires, ou Montgomery Clift se plaignant d’un sexe “qui mesure deux centimètres de trop”. Tout ce qui, au fond, entre en conflit avec le puritanisme de l’époque. Bowers évoque le code Hayes, qui réglemente l’industrie du cinéma et brime alors les acteurs, la brigade des moeurs harcelant la communauté gay et lesbienne. En prônant le sexe à tous crins, l’érotisme frénétique, Bowers oppose un hédonisme jouisseur au diktat de la bienséance, de l’hygiénisme moral.

Son livre est une suite de révélations grivoises, de jeux érotiques et de “scandales” sexuels, mais aussi un joli acte de foi. Les confessions d’un vieil érotomane humaniste en avance sur son temps et ses moeurs : au détour d’une page, il confie avoir offert à un couple de lesbiennes d’être le géniteur de leur enfant. “Jamais je ne les ai revues, ni l’enfant d’ailleurs, et j’ai accepté le fait parce que la situation l’exigeait. J’ai ressenti un bonheur indicible à la pensée d’avoir rendu service à cette famille.”


Full Service Scotty Bowers par Lionel Friedberg (Hugo & Cie) traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Christian Séruzier, 288 pages, 19 €
http://www.lesinrocks.com/2013/04/16/li ... -11380674/" onclick="window.open(this.href);return false;
Citation :
Qui connaît Scotty Bowers ? A peu près personne et pourtant cet ancien pompiste sur Van Ness Avenue, non loin des studios Paramount à Los Angeles, commence à sérieusement faire parler de lui.
A 88 ans, il publie ses mémoires (disponible chez Grove-Atlantic Press), Full Service : My Adventures in Hollywood and the Secret Sex Lives of the Stars.

La distribution d’essence n’aurait sans doute pas eu de quoi nourrir un livre de plus de 250 pages, mais, en réalité, Bowers, joli garçon, plein de vigueur, a rapidement développé une activité parallèle de gigolo au service du gratin des stars du Hollywood des années 40-50.
Il avait toujours refusé d’en parler jusqu’à aujourd’hui, estimant qu’il ne pouvait plus blesser personne, ses clients étant tous morts.
C’est Walter Pidgeon qui le premier l’invite dans sa villa et rétribue une petite prestation sexuelle en compagnie de son amant Jacques Pott. Par la suite, Bowers se met à recevoir de fréquents coups de fil pour recommencer, les interlocuteurs étant successivement Cary Grant, George Cukor, Tennessee Williams, Spencer Tracy, Rock Hudson, Tyrone Power ou le photographe Cecil Beaton. Scotty Bowers n’a jamais été maquereaux, mais il a mis à contribution ses nombreux amis (ouvriers, militaires, chauffeurs de taxi…) dans ce qui est devenu un réseau prostitutionnel de relative ampleur pour jet-setters énervés.
Il affirme ainsi avoir fourni jusqu’à 150 femmes au fil d’une fréquentation au long cours à l’insatiable Katharine Hepburn. Le musicien Cole Porter, marié mais amateur de temps en temps de jeunes marines, l’a embauché pour une partouze en costume à thème naval, et il aurait débarqué chez un Errol Flynn ivre mort avec plusieurs filles sans que l’acteur ne soit capable de réaliser une seule des prouesses sexuelles promises au téléphone.

Brooks Barnes, du New York Times, s’est précipité à la rencontre de Bowers qui vit avec sa femme sur les hauteurs de Los Angeles, et l’article ne dépeint pas un mythomane en proie à un délire lubrique tardif.
Bowers se décrit juste comme un jeune bisexuel qui a profité des opportunités qui se sont gentiment offertes à lui et dont il a tiré des ressources que sa profession de base n’était pas en mesure de lui apporter : «Quelle que soit la demande, j’avais ça en magasin. Je pouvais réaliser tous les fantasmes, peu importe le caractère extravagant ou détraqué du goût des gens, j’étais celui qui savait exactement comment les satisfaire. Hétéro, gay, ou bi, homme ou femme, jeune ou vieux, j’avais un truc pour tout le monde.»

En réalité, les biographes des stars avaient eu recours à Scotty Bowers comme gorge profonde toujours en capacité à déglutir un secret bien caché par les studios et les proches.
Gore Vidal a posté sur son blog un genre de certificat de validité, affirmant qu’il connaît l’animal depuis longtemps et est ravi qu’il ait décidé d’ouvrir sa boîte à souvenirs.
La fille de Cary Grant, Jennifer Grant, en revanche, a refusé de commenter les révélations de Full Service avec d’autant plus de force que dans les mémoires qu’elle a écrits sur son père, elle réaffirmait qu’il avait toujours été hétéro. La vérité ne sort jamais de la bouche des enfants.
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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : sam. 20 avr. 2013, 15:51 
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Citation :
Le Kâmasûtra décliné en application 3D Pour ne pas rester figé dans ses positions

Le mythique recueil indien du Kâmasûtra, dont le titre se traduit littéralement du sanskrit par « Les aphorismes du désir », vient d'être mis à la page dématérialisée du 21e siècle par Xcite Books. L'application numérique interactive, Kama Xcitra, entend permettre aux couples de pimenter leur sexualité en étudiant son éventail de positions érotiques, désormais sous tous les angles, grâce à la technologie 3D hologram.

Le manuel historique, traduit pour la première fois en langue anglaise par Richard Francis Burton, à la fin du 19e siècle, se déclinera dorénavant en format adapté aux tablettes et autres smartphones. Et les hologrammes, venant remplacer les traditionnelles illustrations en 2D, pemettront aux lecteurs de faire plus précisément le tour de la question.

Disponible gratuitement, l'application numérique propose une nouvelle traduction du texte, basé sur d'anciennes philosophies hindoues et auquel on attribuerait près de 2000 ans d'existence.
Comme le présente le directeur général de Xcite Books, Hazel Cushion, l'application présente une sélection de 69 positions, et permet à son usager de personnaliser l'apparence des personnages les illustrant, en changeant leurs couleurs de peau ou de cheveux, et de sélectionner la musique qui accompagne les schémas.
Hazel Cushion ajoute : « Pendant plus de 2.000 ans, les couples se sont tournés vers le Kâmasûtra pour obtenir des conseils sur la façon de vivre une vie amoureuse épanouie. Mais quelques-unes des positions les plus difficiles à pratiquer, comme le Tigre Couché , la Roue ou celle de la Cheville, ont jusqu'à présent laissé les lecteurs un peu perplexes. »

http://www.actualitte.com/applications/ ... -41710.htm" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : dim. 05 mai 2013, 08:51 
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Sexe et orientation sexuelle : marié genre troisième sexe
Localisation : le doubs
Un livre intéressant à explorer pour tous...
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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : dim. 09 juin 2013, 14:55 
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Sexe et orientation sexuelle : Curieux de tout
Localisation : Ove there
Citation :
SENS DESSUS DESSOUS, c’est ainsi que l’on se retrouve quand on s’abandonne au plaisir troublant de la fessée érotique. Ce n’est pas seulement la position, mais également la confusion sensuel qui rend cette volupté si troublante. Arnaud relate ici ses expériences les plus marquantes de trente années de pratique de la fessée érotique au cours desquelles il a conduit tant de femmes au plus grand plaisir.

Arnaud a donné sa première fessée à l'âgé de vingt ans. Cela a été une véritable révélation. La réalisation de ce fantasme a d'abord été un énorme plaisir pour lui. Mais surtout, il a été surpris et ému de constater l'excitation et le trouble ressentis par les femmes qui recevaient la fessée de sa main. Ce goût s'est développé en véritable passion. Sa profession de rédacteur publicitaire lui laissant la disponibilité nécessaire, il a progressivement consacré de plus en plus de temps et d'énergie à satisfaire les femmes dont c'était le fantasme, mais aussi celles simplement curieuse d'une volupté insolite, mais particulièrement intense. La pratique ainsi que le contact avec des partenaires très différentes, lui a permis de développer un talent pour cette pratique qu'il a élevée au rang d'art. Il a donc pleinement mérité le titre de "Maître en l'Art de la Fessée érotique". Par ses diverses publications sur internet, il n'a eu cesse de défendre sa vision originale de la fessée qu'il a toujours qualifiée d'érotique pour bien la distinguer de toute forme de punition. Pour lui fesser une femme n'avait qu'un seul but: conduire la partenaire à un ou plusieurs orgasmes. Le fait de ne pas jouir lui-même, et donc de ressentir ainsi encore plus fort le plaisir de la partenaire, procurait selon lui une volupté toujours plus grande.
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Quand on est jeune, c'est pour la vie ! (Georges Clemenceau)


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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mar. 13 août 2013, 17:04 
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Batman, Superman, Mister Fantastique : “La Vie sexuelle des super-héros”
A quoi ressemblent les ébats érotiques de Batman ? La réponse dans ce roman olé olé. Batman en adepte du fist-fucking. Mystique en reine de la branlette. Robin : un petit vicelard sadomaso.
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Dans La Vie sexuelle des super-héros, nos ex-justiciers ont raccroché les gants et donnent enfin libre cours à leur libido. Hélas, un serial-killer les a pris en grippe, déterminé à les supprimer un par un. Menaces de mort, psychose collective, enquête qui rame… Nos ex-super-héros pourront-ils continuer leurs galipettes sans risquer leur vie à chaque partouze tarifée ?

Dans ce roman égrillard, entre parodie potache et fresque érotique désenchantée, on s’attache aux failles de ces apôtres du sexe débridé : glorieux retraité, l’homme chauve-souris a dragué DiCaprio à 19 ans, paie des call-girls et consomme de la crystal meth ; Mister Fantastique souffre de la taille variable de son pénis, qui a tendance à traîner par terre ; Mystique en a marre de se masturber seule, sous prétexte qu’elle peut, grâce à son pouvoir métamorphique, prendre la forme de son amant.

Qui pourrait sauver notre bande de justiciers à la retraite des griffes d’un tueur fanatique ? Pas Superman, qui marche avec une canne et ne regarde même plus de porno.

Emily Barnett

La Vie sexuelle des super-héros de Marco Mancassola Folio, traduit de l’italien par Vincent Raynaud, 608 p., 8,70 €
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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mar. 03 sept. 2013, 12:34 
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Gisèle et Béatrice, ou comment mon patron est devenu une femme
Dans les sorties de la rentrée, il y un titre assez particulier chez Dupuis, dans la collection Aire Libre. Publié ce 6 septembre, la BD de Feroumont, Gisèle et Béatrice sort dans un format agréable, avec un petit coffret pour l'occasion, laissant découvrir une tout autre couverture. Attention, Gisèle et Béatrice est qualifié de « contenu coquin ». Non sans raison.
Béatrice travaille dans une grande société où, à titre de femme, elle est victime de son patron, d'un machisme ambiant, d'une misogynie latente - et d'une ségrégation claire et nette. Outre ces joyeux désagréments de la vie en entreprise, on peut y ajouter le dénigrement, et un avancement pour accéder à une augmentation et un meilleur poste qui n'arrivera jamais. Jusqu'à ce que son patron se décide à lui faire ouvertement des avances. Là, Béatrice tient sa vengeance.
Il suffira d'un philtre magique venu d'Afrique pour que Georges le patron devienne... Gisèle, la Slave blonde au fort accent. Et soudain, les rôles s'inversent complètement : Georges devenu femme découvre que Gisèle... a un pénis, et sait manifestement très bien s'en servir. Sans papier, sans identité et complètement démunie, Gisèle va accepter de devenir la femme de ménage de Béatrice. Qui dans le même temps va connaître une ascension professionnelle inouïe.
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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mer. 02 oct. 2013, 11:47 
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Tout, tout, tout, vous saurez tout... Avec Les doigts de pied en bouquet de violettes, voici un dictionnaire osé pour découvrir de savoureuses expressions désuètes ou argotiques qui désignent les choses de l'amour.
Les doigts de pied en bouquet de violettes, Dictionnaire coquin de l'amour et du sexe en 369 expressions, par Sylvie Brunet. Les Éditions de l'Opportun, 386 p., 13 euros.

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En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/diaporama/diapo- ... vG8eX77.99" onclick="window.open(this.href);return false;


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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : mer. 02 oct. 2013, 20:09 
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Sur un coup de tête, il emprunte un soir les vêtements de sa femme et se grime sommairement pour sortir, marcher simplement dans la rue, y respirer l'air pur. Prenant goût à cette liberté retrouvée, il décide de se travestir en permanence et devient Suzanne Landgard. D'abord perturbée, Louise est amusée et peaufine le déguisement : maquillage, cours de maintien féminin, travail de la voix, tout ce qu'il faut pour tromper les voisins, les passants, et à fortiori les gendarmes.
La guerre prend fin, mais pas les ennuis de Paul, car il lui faut attendre une amnistie pour reparaître au grand jour sous sa véritable identité. En attendant, il apprend un métier, se fait des amies, commence à vivre sa vie sans se préoccuper de sa femme. Son identité sexuelle troublée, Paul s'égare dans les recoins du Bois de Boulogne, et devient une vedette parmi les fétichistes et autres échangistes qui y pullulent.
Il entraîne Louise dans ses jeux, qui est troublée et fascinée mais surtout déboussolée. L'amnistie venue, Paul reprend l'apparence d'un homme et veut retrouver une vie normale, mais son histoire attire l'attention d'un imprésario véreux. Il se donne en spectacle, s'étourdit d'une éphémère célébrité qui prend fin brutalement et le laisse vide, dégouté.
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mauvais_genre.jpeg
Mauvais genre, 18,95 € 160 pages Editeur : Delcourt

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 Sujet du message : Re: Nouveautés "livres"
MessagePosté : jeu. 14 août 2014, 14:08 
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Comme son nom l'indique, le 64 Kamasutra Artbook est un recueil de réalisations artistiques sur le thème du célèbre Kamasutra. Pourquoi 64 ? Car c'est non moins de 64 artistes internationaux qui ont pris part à ce projet. L'association SQUAME à l'origine de cet ouvrage explique ainsi son initiative : "Nous sommes d'avis que le plaisir (Kama en sanscrit) n'est non pas un péché, mais bien l'une des activités fondamentales pour atteindre le bonheur comme le disent les anciens textes Indiens."
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L'article complet et les références sur le site roomantic.fr


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