Celle du suisse finit en queue de poisson
Mais l'autre, ah, l'autre !
C'est mon fantasme également, et j'ai adoré ta manière de le raconter.

Celle du suisse finit en queue de poisson
Mais l'autre, ah, l'autre !
C'est mon fantasme également, et j'ai adoré ta manière de le raconter.

Je n'ai jamais mis la véracité de l'histoire en doute

C'est juste que j'aurais tellement aimé être à la place de ce monsieur !

Encore une fois, je parle des années 70 / 80 ... et je suis allé plusieurs fois dans un sauna où il y avait une pièce spéciale avec un sling, c' est à dire une sorte de hamac suspendu par des chaînes aux quatre coins.
En s' y installant, celui qui s' y plaçait faisait comprendre qu' il offrait son cul et sa bouche à tout ceux qui en aurait envie tant qu' il y resterait et pour s' en servir comme ils le voudraient.
Ce sling était très confortable, en vynile tout doux et il permettait de bien placer le bas des reins sur le bord avec le cul en l' air, les cuisses bien ouvertes, les fesses écartées et la raie offerte de manière à ce que trou soit bien accessible.
De l' autre côté en bougeant la tête on pouvait soit la mettre en arrière pour tailler des pipes en gorge profonde ou bouffer des rondelles soit la poser sur le sling et sucer de face.
Le sol de cette pièce était en carrelage et conçu pour être inondé de pisse !
Quand j' allais là, c' est parce que j' étais dévoré par une envie insatiable de bites et de sperme partout en moi et je choisissais les soirs d' affluence pour être certain d' assouvir ce besoin, certain que plus d' une douzaine de mecs se serviraient de moi comme vide couilles.
Et là, moi qui ne supporte pas les poils, ces soirs là, je m' en foutais et offrais ma chatte anale et ma bouche sans retenue pour satisfaire tous les caprices des hommes présents.
Je m' installais sur le sling dans la pose la plus obscène possible et la fête commençait.
Les bites se succédaient à la chaîne dans ma rondelle béante et ma bouche ne cessait jamais de sucer des queues, de lécher des couilles, de manger des trous de cul, me délectant des odeurs, des goûts, du foutre et du sperme.
Mmmmh, une bonne grosse bite qui me fouillait le boyau avec une autre qui coulissait dans ma bouche pendant que le sling balançait !
Je me laissais aussi doigter, étirer, dilater, fourrer le cul par des godes et couinais lorsque l' un ou l' autre spécialiste torturait délicatement mes tétons.
Le fait que trois ou quatre mecs me prenaient et jouaient avec mon corps en même temps me rendait dingue et encore plus quand ça se passait devant d' autres qui attendaient de prendre les places vides !
J' aimais me sentir bac à sperme, objet sexuel, utilisé sans ménagement !
Des moments intenses : quand un lécheur venait aspirer tout le sperme qui dégoulinait de mon cul ; quand le pipi jaillissait et qu' ils s' y mettaient à plusieurs pour me doucher avec de la pisse chaude.
Plusieurs fois j' ai laissé des mecs tenter de me fister et j' adorais cette sensation de dilatation extrême mais, à mon grand regret, aucun n' est jamais parvenu à faire pénétrer toute sa main dans mon ventre car mon mon cul ne s' est jamais assez ouvert.
Je n' ai pas fait ça très souvent mais le côté objet, le fait d' être utilisé et de m' exhiber en étant pris, le fait d' être enculé à la chaîne en devant subir m' éclatait le cerveau !
Imaginer ça aujourd' hui avec des dizaines de capotes et de feuilles de plastique ... impossible.